L'Anniversaire

L’ANNIVERSAIRE
Cette histoire se passe à New York il n’y a pas si longtemps
De la fenêtre de son bureau du 27ième étage, Rebecca voyait une grande partie de la ville. Elle pouvait même voir l’aéroport et le pont. C’était une journée très tranquille. Il y avait des saisons plus occupées que les autres. La mode, c’était comme ça. Il était presque l’heure du déjeuner et elle avait faim. Elle était directrice régionale et la patronne de la succursale. Elle pouvait faire son propre horaire. Une belle brune célibataire, au milieu de la quarantaine ? Dans ce métier-là, ça voulait dire… lesbienne.
Elle mit son léger manteau de printemps par-dessus son ensemble de travail vert foncé.
“Je serai absente un certain temps », dit-elle à sa secrétaire
Rebecca regarda sa montre. Elle était à l’heure. Elle traversa la rue animée et se dirigea vers Tiffany’s. Les gens faisaient la queue comme d’habitude. Une femme bien habillée était debout à la fin de la queue and regardait autour d’elle, probablement attendant une personne avec qui elle avait rendez-vous pour le déjeuner et qui était en retard. La femme était blonde et très jolie. Elle avait l’âge de Rebecca, environ 45 ans. Rebecca lui demanda si elle faisait la queue.
“Non. Pas vraiment. J’attends quelqu’un.”, répondit la belle blonde
« Pas de problème. Gardez votre place devant moi et la personne pourra se joindre à vous quand elle arrivera. », dit Rebecca poliment.
“C’est très gentil à vous. Merci, « répondit la blonde, « En passant, je m’appelle Marilyn »
“Bonjour, moi je suis Rebecca », répondit la brune
Les deux femmes se firent un grand sourire et furent silencieuses pendant quelques minutes.
“Et puis zut. Que le diable l’emporte. Elle est toujours en retard. Est-ce que vous tenez à déjeuner ici ? », demanda Marilyn
« Non. Pas du tout. Je vous suis si vous connaissez un endroit qui est moins occupé », dit Rebecca en montrant son plus beau sourire car elle trouvait sa nouvelle amie très attirante.


Les deux femmes marchèrent bras dessus bras dessous le long de l’artère principale, puis tournèrent vers le nord et empruntèrent une rue remplie de boutiques et de restaurants. Enfin elles entrèrent dans un restaurant que Marilyn fréquentait souvent.
“Je travaille pour le Telegraph, » dit Marilyn en s’installant à la table, « et j’ai congé cet après-midi. Mes trois articles sont écrits. »
“Bravo ! Moi je suis avec Freestyle, la boutique de mode », dit Rebecca, « et je peux faire ce que je veux », ajouta-t-elle en riant.
Les deux femmes choisirent le repas et continuèrent à bavarder pendant la prochaine heure. Les tables étaient petites et Rebecca avança son pied, et puis sa jambe droite jusqu’à ce que son genou touche à celui de Marilyn. La blonde ne bougea pas et sourit à sa nouvelle amie.
Elles parlèrent de leur préférence pour des destinations voyages et si elles étaient satisfaites avec leur appartement. Marilyn écrivait un reportage sur les plus anciens édifices de la ville et leur architecture. Les deux amies avaient décidé de se tutoyer.
“Connais-tu l’Hôtel Paramount qui est à quelques rues d’ici ?, demanda Rebecca
“Je connais le nom et c’est sur ma liste d’endroits à voir », répondit Marilyn
« Laisse-moi te montrer. Je connais la femme qui s’en occupe », répondit la brune
« Oh, ça serait super ! Mais je ne veux pas te faire perdre ton temps avec mon travail », répondit Marilyn, en tentant de ne pas rougir.

“Sshhhhhhhhhh”, répondit la brune, « Laisse « . Leurs mains se touchèrent brièvement sur la table lorsque Rebecca prit l’addition. Marilyn poussa son genou le long de l’intérieur de la cuisse de Rebecca. Elle aurait atteint son string si elle avait été plus près.
Les deux femmes commençaient à suer légèrement en se regardant. Les deux strings devenaient humides.
Pendant la promenade qui les menait au Paramount, ce fut Marilyn qui prit le bras de Rebecca et le colla contre son corps.
On pouvait entendre le clic-clac de leurs talons sur le trottoir de ciment. Les hommes (et quelques femmes) se retournaient sur leur passage pour jeter un coup d’œil à leurs fesses qui se balançaient légèrement même si elles étaient bien retenues par leur jupe serrée.
Elles entrèrent dans le lobby du Paramount et admirèrent le décor néo-classique de l’immense salle. Pendant que Marilyn prenait des notes dans le carnet qu’elle trimballait constamment avec elle, Rebecca s’éclipsa pour aller à l’accueil où une femme aux cheveux gris lui remis une clé sous forme de carte. La brune prit sa copine par la main et l’amena à l’ascenseur. La blonde surprise et sa guide montèrent au 15ième étage and se dirigèrent le long du large corridor jusqu’à la chambre 1515. Rebecca ouvrit la porte avec sa clé sous les yeux d’une Marilyn de plus en plus étonnée.
“Tu as une clé ?”, demanda la journaliste
“Bien sûr que j’en ai une”, répondit la lesbienne de mode, “Si madame veut me suivre”.

Marilyn glissa son carnet de notes dans son sac à main et, à quelques pieds de l’énorme lit, se retourna et fit face à la brune. Rebecca se débarrassa de ses souliers, enleva son manteau de printemps puis son veston de soie et les plaça sur une chaise. Puis elle déboutonna son chemisier et le plaça sur la même chaise. Marilyn était timide et lorsque Rebecca s’approcha d’elle, elle recula de quelques pas, enleva ses souliers avec ses mains, et plaça son veston sur une chaise. Elle ne perdait pas son amie de vue, celle-ci ayant entretemps enlevé son soutien-gorge et laissait pendre ses nichons. Marilyn déboutonna son chemisier avec peine et retourna son soutien-gorge pour le dégrafer plus facilement.

Marilyn ne recula pas cette fois quand Rebecca s’approcha d’elle. Les deux femmes mûres s’enlacèrent et se frottèrent les seins les uns contre les autres pendant qu’elle se donnait un baiser de langue. Elles mirent leur main sous la jupe de l’autre, puis cherchèrent la fermeture éclair qu’elles tirèrent vers le bas, faisant en sorte que le vêtement se ramassa autour des pieds.
Rebecca s’assit sur le lit et enleva ses bas pendant que Marilyn faisait la même chose de l’autre côté. Rebecca se dirigea du côté de la très grande salle de bain rose et enleva son string, puis ele interpella son amie avec son doigt, l’invitant à venir prendre un bain mousseux et une douche pour commencer leur réunion.
Les deux femmes nues se tenaient debout sur un tapis dans le bain et s’embrassèrent. Elles avaient à peu près la même taille mais la brune était plus mince avec des fesses longues et étroites tandis que la blonde était plus grasse avec des fesses rondes. Leurs nichons étaient de la même grosseur avec ceux de la brune qui retombaient un peu, ses grandes auréoles faisant oublier ce détail. Rebecca était rasée et Marilyn avec une mince touffe blonde. Rebecca initia le jeu d’eau et Marilyn sentit le liquide chaud sur son ventre et le long de ses cuisses avec un peu qui se perdait dans sa touffe parsemée. Marilyn pissa à son tour et Rebecca gémit de plaisir au contact chaud de la pisse de son amoureuse. Rebecca commença à faire fonctionner la douche et distribua le chapeau de douche Les deux femmes continuèrent à se caresser pendant qu’elles prenaient une douche complète donnant une attention toute particulière aux endroits où les femmes aiment explorer avec leur langue.
Il n’y avait aucun doute sur qui menait cette danse. Rebecca transporta une Marilyn toute séchée de la salle de bain jusqu’au lit, et elle la posa d’une certaine façon qui la fit en même temps glisser ses hanches entre les cuisses de la blonde. Marilyn ne protesta pas un seul instant et il semblait naturel pour elle que, ce que la plupart des lesbiennes gardent pour la fin, elles s’en serviraient comme apéritif. Marilyn croisa ses jambes autour de la taille de son amoureuse et s’offrit totalement à Rebecca dont les hanches s’activaient déjà entre ses cuisses. Une vidéo captée du pied du lit aurait montré deux chattes, une rasée, l’autre poilue et blonde, se frottant lentement l’une contre l’autre, les lèvres ne formant qu’une épaisseur de chair rose.
Les clitos étaient invisibles mais c’est ce qui était la source des gémissements des deux lesbiennes à chaque fois que le petit bout de chair de l’une frottait contre le petit bouton d’amour de l’autre.
Rebecca remonta un peu sur son amoureuse pour l’embrasser, les deux femmes sentant leur orgasme sur le point d’éclater. Lorsque le moment arriva pour les deux en même temps, elles durent interrompre leur baiser pour pouvoir crier leur plaisir, tout en s’empêchant de se mordre.
Les deux lesbiennes prirent une pause, l’une sur l’autre, tentant de reprendre leur souffle. Rebecca se leva, ne demeura que quelques minutes sous la douche, et revint vers le lit pour remettre sa jupe.
“Est-ce que c’est déjà terminé ?”, s’écria Marilyn étendue sur le lit, et appuyée sur son coude.
“Non…on continue…si ça t’intéresse”, répondit Rebecca, “Une douche rapide et tu remets ta jupe”.
Marilyn se précipita dans la douche, montrant ses nichons et ses fesses bondissantes à Rebecca qui n’avait pas besoin de stimulant. Elle revint et remonta sa jupe bleue tout en y glissant ses fesses nues. Ce jour-là les deux femmes portaient l’uniforme habituelle des femmes d’affaires: jupe serrée à peine au-dessus des genoux, un chemisier blanc et un veston de la même couleur que la jupe. t
Marilyn avait finalement compris ce qu’avait imaginé son amoureuse. Elle remonta la fermeture éclair de sa jupe et se trémoussa en s’approchant de Rebecca. Elle tourna le dos à la brune et se mit à retrousser l’arrière de sa jupe un centimètre à la fois. Rebecca ne perdit pas de temps et s’agenouilla derrière la blonde et remonta sa jupe jusqu’à la taille. Rebecca était face à face avec le superbe fessier blanc de Marilyn. Elle n’hésita pas un instant et plongea son visage dans la l’étroite raie des fesses de la blonde. Elle était folle de désir. Marilyn perdit l’équilibre et tomba à genoux puis s’étendit de tout son long sur le tapis de la chambre tandis que le visage de Rebecca se pressait contre son cul, ses mains ouvrant la raie encore plus grande, et sa langue plongeant dans le trou discret de Marilyn. La blonde criait car elle recevait un léchage des plus érotique et intime qu’une femme pouvait recevoir. Rebecca glissa sa main entre les cuisses de la blonde et, pendant qu’elle lui léchait le cul, lui frottait la chatte avec sa main. Marilyn atteignit son orgasme quelques minutes plus tard, arrosant l’intérieur de sa jupe de nombreuses gouttes de jouissance.
Ensuite Rebecca prit la position familière aux lesbiennes habituées au léchage de cul. Elle se mit à genoux avec ses fesses bien en évidence et son visage et ses mains sur le tapis. Marilyn débuta son assaut avec la chatte de Rebecca qu’elle lécha soigneusement y compris sa pissette et son clito, puis on passa aux choses sérieuses. Elle tourna et retourna sa langue dans le trou plissé de Rebecca jusqu’à ce que cette dernière, qui se frottait la motte en même temps, asperge de cyprine le tapis, sa jupe baissée ainsi que l’arrière de ses cuisses.
Les deux lesbiennes se mirent à poil encore une fois et s’étendirent côte à côte sur le lit.
“Comment as-tu eu la chambre ?”, demanda Marilyn, “J’espère que ce n’était pas trop cher”.
“C’était gratuit. Tu te souviens de la femme aux cheveux gris à la réception ?, demanda Rebecca
“Oui…c’est la gérante…non ?”, répondit Marilyn, “……tu ….n’as pas ?…”, s’écria Marilyn.
Rebecca ne lui répondit pas. Elle ouvrir les cuisses et fit un mouvement avec sa langue dans sa bouche.
“Tu l’as sucée ?”, demanda la blonde
“Non…c’est elle qui m’a sucée”, répondit Rebecca
“Tu es une vraie salope”, murmura Marilyn en souriant
“Je suis une lesbienne de ruelles”, répondit Rebecca
“Et moi je suis une femme tellement correcte qui fut séduite par une partenaire de déjeuner et e à poursuivre une vie de perversion saphique”, dit Marilyn en riant
“Tu as raison”, dit Rebecca
“Ça fait combien de temps, chérie?”, demanda la blonde
“Ça fait trois ans aujourd’hui que nous sommes des amoureuses ”, répondit Rebecca
“Ce fut amusant de recréer notre première rencontre”, dit Marilyn avec un soupir
“Oui en effet…ce fut une journée bien spéciale”, répondit Rebecca, qui se roula soudainement sur Marilyn
“Tu avais dit…..qu’on voulait aller voir la façade…..”, balbutia Marilyn qui se faisait monter par une femme qui avait perdu tout intérêt pour l’architecture.

FIN

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