La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1145)

Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode N°113 et texte amélioré par MDE) -

… Altière, Maîtresse Céline passe la laisse à l’anneau prévu à cet effet…

- Cher Walter, toujours fidèle au poste ! Comment allez-vous ?
- Très bien Madame. Monsieur le Marquis vous a fait préparer votre chambre habituelle. Mais qu’avez-vous là ? ajoute-t-il à mon encontre. Une soumise de premier choix à ce que je vois !

A son ton pervers et carnassier, je frissonne :

- Oui, je lui ai fait mettre un harnais, c’est bien commode. Vous pouvez d’ailleurs tester par vous-même pour transporter ma valise dans ma chambre. Après avoir monté mes affaires, faites-la préparer comme il se doit que je puisse la présenter à mon cher ami Monsieur le Marquis d’ici une petite heure.

- Très bien Madame, comme il vous plaira.

Ma laisse change de main et c’est avec une poigne virile que Walter me mène vers la Demeure du célèbre Noble, après avoir placé la valise sur mon dos. Un esclave mâle à la peau brillante d’ébène, entièrement nu avec seulement un épais collier métallique et une volumineuse cage de chasteté fermant sa verge et ses testicules, se charge de prendre mon violoncelle. L’entrée est tout simplement magnifique. Je suis subjuguée et obligée de me contrôler pour ne pas rester bouche bée. Le dallage blanc et noir est un supplice pour mes genoux mais leur fraîcheur est saisissante et salvatrice par rapport à la chaleur étouffante de l’extérieur. Nous montons le large escalier magistral à l’épaisse moquette rouge bordée de liserés d’or et je sens le regard lubrique du Majordome sur ma croupe. Il m’assène d’ailleurs une fessée qui manque de me faire sursauter. Sa main s’attarde plus que nécessaire en une invitation de ce qui m’attend. Ce geste m’excite.

- Tu as un cul sublime la chienne. Et à le balancer ainsi, j’ai la bite bien dure dans mon pantalon. Tu ne perds rien pour attendre, salope !

Nous arrivons à la chambre de Maîtresse Céline, toute tendue de velours cramoisis et or.

Une vaste cheminée est placée en face du lit à baldaquin orné de tentures de soie bordeaux. Des petits meubles anciens et délicats sont judicieusement placés et donnent l’impression réelle de luxe et de confort. Walter enlève la valise de mon harnais, puis claque des doigts alors, qu’excité comme il est, ouvre sa braguette sans attendre d’avantage. Je me place en position de soumise, à genoux sur mes talons, tête baissée. Il approche sa volumineuse bite et la décalotte d’une main tandis qu’il pose l’autre sur ma tête pour m’indiquer la marche la suivre, comme si je ne le savais pas ! J’avale goulument son énorme chibre et je m’attarde sur son gland si doux. Je remonte ma langue sur sa verge, salive à outrance et l’engloutis tout au fond. Mes lèvres touchent ses couilles et lui retient un cri de surprise.

- Maîtresse Céline t’a bien éduquée, la chienne. Oui suce bien mon sucre d’orge. Hmmmm, bonne salope !

Je lui tâte les couilles, les gobe une par une dans ma bouche, le branle doucement variant la pression entre mes doigts. Je développe tout mon savoir-faire en la matière. J’adapte le rythme à ses réactions tout en lui aspirant son gland violacé en gorge profonde, sa hampe entièrement plantée en ma cavité buccale. L’effet escompté ne se fait pas attendre, il gicle de longs jets saccadés de sperme chaud et épais que je garde en bouche pour lui présenter avant d’avaler à son ordre.

- Bon, ce n’est pas tout ça, mais il faut quand même te préparer à la présentation du Maître des Lieux !

Walter reprend alors ma laisse et me guide le long des couloirs aux tapis épais vers une salle de bain immense où m’attend une femme nue et racée. Grande fan de la Saga des esclaves de Monsieur le Marquis, je reconnais bien vite esclave Phryné MDE. Le Majordome nous laisse et alors que j’allais ouvrir la bouche pour lui dire bonjour, un doigt sur ses lèvres, L’esclave du Marquis m’indique que nous devons garder le silence… Après le lavement, elle me mène dans un bain chaud et me masse le corps.
Je me détends totalement sous ses mains expertes, surtout quand elle me masse le cuir chevelu. Après m’avoir séché avec des serviettes chaudes et douces d’une éponge haute gamme marquée aux Armoirie de la Famille des Evans, elle me place devant un miroir. esclave Phryné MDE réalise une tresse brésilienne avec mes cheveux et mêle des rubans à ma coiffure. Je ressemble à une pouliche. Je me surprends à sourire à mon reflet. C’est exactement ce que je suis ce week-end ! L’esclave du Marquis me maquille et enduit mon corps d’une huile parfumée qui fait briller mon corps de mille feux. Pour terminer, j’enfile des chaussures salomé avec des talons aiguilles vertigineux… Tout d’un coup, ma sœur de soumission se met à genoux regards baissés quand j’aperçois alors le Majordome dans le miroir. Il se tient à l’embrasure de la porte et tient une laisse à la main. Je m’agenouille immédiatement.

- C’est bien, vous êtes à l’heure, mes jolies.

Il s’approche de moi, me met mon harnais et m’emmène de nouveau devant la chambre de Maîtresse Céline qui termine sa préparation sous les mains d’une très belle femme nue toute en grâce et volupté.

- C’est exactement ce que je voulais, esclave Aphrodite MDE.

Il s’agit donc de la Marquise esclave, celle pour qui Monsieur le Marquis voue de tendres sentiments au point de lui avoir offert sa main ! Je suis impressionnée par le dévouement sans faille de cette femme du même âge que moi. Je vois d’ailleurs une lueur de désir dans les yeux de Maîtresse Céline et mon cœur se serre de jalousie. Je réprime aussi vite ce sentiment qui n’a pas sa place dans ce milieu. Comme toujours, Maîtresse Céline est sublime. Elle a un bustier noir qui laisse sortir sa poitrine, un string et des cuissardes aux talons hauts. Elle reprend ma laisse des mains de Walter et lui demande s’il veut bien porter un petit coffret qui contient un présent pour Monsieur le Marquis, afin de le remercier de l’invitation dans son accueillante Demeure.
Nous redescendons au rez-de-chaussée et nous pénétrons dans la grande Bibliothèque du Château. Quelle bibliothèque ! Pour un rat tel que moi, c’est un immense honneur de me trouver ici ! Les quatre murs sont lambrissés de bois avec des livres du sol au haut plafond. Un épais tapis aux motifs floraux recouvre une bonne partie du dallage en pierre clair. Le contraste entre le sol clair et les meubles en bois plus foncé fait ressortir les dorures de certains meubles … Décor absolument magnifique qui ferait pâlir plus d’un bibliothécaire ! Je remarque alors que le Maître des Lieux est déjà présent dans la salle. Mon cœur bondit dans ma poitrine tandis qu’il se lève du fauteuil crapaud où il nous attendait. Les dimensions de cette pièce lui correspondent, à la hauteur de son charisme.

- Très chère amie, comment allez-vous ?

Toujours cette voix envoûtante et chaleureuse.

- Très bien mon Cher ami. Je vous remercie de votre si bon accueil. Mais laissez-moi vous présenter ma dernière trouvaille.

Maîtresse Céline tire alors sur la laisse et m’enjoint à me mettre debout. Je garde les yeux baissés comme il sied à mon rang de soumise. Monsieur Le Marquis d’Evans me tourne autour et m’observe sous toutes les coutures dans un silence de plomb, tout en laissant installer ce silence, il me dévore des yeux. Je suis très intimidée : et si je ne lui plais pas ?

- Très joli corps, en effet ! Et quel cul !

Je respire de nouveau et me rends compte que j’étais en apnée jusque-là. Il passe une main baladeuse sur mon postérieur et glisse quelques doigts furtifs jusqu’à mon entrejambes.

- Tu es bien sèche ! Chuuuttt ! Tout va bien se passer me susurre-t-il à l’oreille… Je veux te voir marcher. Va jusqu’à la cheminée et ramène-moi le livre de « Justine ou les Malheurs de la vertu » que tu trouveras sur la troisième étagère à droite de la cheminée. Fait très attention, car ce beau livre avec une reliure rare est un Original datant de plusieurs siècles et il a été dédicacé en main propre par le Marquis de Sade lui-même, à mon aïeul, le Marquis Charles-Edouard d’Evans (lire les Origines de la Saga des esclaves).


Je suis très impressionnée que ce livre soit une œuvre originale. Ah Monsieur le Marquis connaît la prédilection de Maîtresse Céline pour les ouvrages anciens ! Je roule du cul au maximum en mettant un pied devant l’autre mais au moment d’arriver à la bonne étagère, je trébuche accidentellement. Je me ratt de justesse à un magnifique guéridon style Louis XVI et renverse un vase sculptée et posé dessus que je ratt au vol in extremis. Je me laisse alors tomber à genoux, les mains derrière le dos en une attitude humble, puis ajoute :

- Ma maladresse n’est pas digne de ma position de soumise. Je vous prie de bien vouloir sanctionner ma faute.
- Je vous félicite pour votre éducation ma chère. M’accordez-vous le droit de la punir ? Demande le Noble à Maîtresse Céline
- Mais bien-sûr, faites donc ! répond-elle, cette maladroite doit apprendre à bien se déplacer sans trébucher surtout dans un lieu tel que celui-ci, lieu chargé d’Histoire ! Car cette effrontée n’a même pas conscience qu’elle foule le sol que le Marquis de Sade a foulé lui aussi, jadis ...
- J’ai cru comprendre que tu aimais écrire, c’est bien cela ? M’adresse le Châtelain en prenant une tout autre voix
- Oui Monsieur le Marquis
- Et bien nous allons voir ça.

Il va jusqu’à un bureau du même style que le guéridon et prend un crayon de papier ainsi qu’une grande feuille A3 qu’il place devant moi.

- Tu vas prendre ce crayon dans la bouche et m’écrire 20 fois à quatre pattes « C’est un beau métier professeur ».

Je souris alors :

- Qu’y-a-t-il ? Pourquoi souris-tu ? Parle sans détour.
- Merci pour le compliment Monsieur le Marquis.
- Tu aimes donc les contrepèteries, la chienne ?
- Oui beaucoup, Monsieur le Marquis.

Je continue de sourire bêtement parce qu’une autre contrepèterie me vient à l’esprit.

- Pourquoi souris-tu toujours ?
- Parce que je pensais à une autre contrepèterie sur le même thème de l’enseignement.
- Et bien dis-là, je suis curieux de l’entendre
- « Aucun étudiant n’est jamais suffisamment fort pour ce calcul ».

Je souris alors de nouveau bêtement, attendant avec fébrilité le moment où les syllabes se mettront en place. Je ne patiente pas longtemps car le Noble rit très vite à gorge déployée.

- Tu as de l’humour, j’apprécie. Allez maintenant écrit.

J’écris donc avec application et je lui sais gré de m’avoir donné un crayon à papier. Quelle que soit l’orientation du stylo, il écrira toujours. Au bout de la deuxième ligne, je bave à n’en plus finir et ma salive descend jusque sur la feuille. Alors que je continue d’exécuter ma sanction, j’entends les deux Dominants converser :

- Pour vous remercier de Votre invitation dans Votre Noble Demeure, mon cher Marquis, je Vous offre ma dernière création ! ajoute alors Maîtresse Céline en désignant la boîte que Walter a déposée sur un autre guéridon.

Monsieur Le Marquis va ouvrir son présent et sort un plug surmonté de plumes de paon.

- Vous avez toujours été très imaginative. Mais qu’est-ce donc ?
- C’est une queue de paon. Le soumis qui a ce plug dans le cul fera ainsi la roue en appuyant sur un bouton avec son sphincter. En appuyant de nouveau sur le bouton poussoir, la queue se replie.
- Génial ! C’est bien pensé ! Il me tarde de l’essayer !

Je suis très appliquée et soudain je sens quelque chose de bizarre titiller mon clito. Ça a l’air plat et cela fait comme de milliers de petits picots qui viennent successivement exciter mon entrejambes.

- Ne bouge pas, la chienne ! Tu te demandes ce qui te chatouille ainsi, n’est-ce pas ? ! ... Termine ta punition et tu le découvriras. Bien sûr, interdiction de jouir et même de gémir ! Sinon, on reprend la punition de zéro.

Ne pouvant parler avec le crayon dans la bouche, j’acquiesce de la tête. Le Châtelain est un expert et c’est une douce qu’il m’inflige. Au bout des vingt lignes, je m’assieds sur mes talons, les bras derrière le dos, tête baissée. Je remercie Monsieur le Marquis d’avoir ainsi contribué à mon éducation. Il approche sa main à baiser en signe de gratitude et je découvre alors l’objet de mon doux supplice… une plume d’oie !

- Le nouveau sextoy de la Maîtresse qui te soumet et ton goût pour les récits m’ont rappelé que j’avais une plume d’oie du temps de mon aïeux qu’il a reçu son grand ami le Marquis de Sade en ce Château en 1784, nous explique-t-il. Je vois également que tu es de nouveau excitée, ce qui me plaît davantage. J’espère que tu te rends compte que ce n’est pas n’importe laquelle des plumes d’oie qui t’a divinement branlé, qu’elle est historique ayant appartenu à l’un de nos plus célèbres écrivains français

Il tend alors son bras vers Maîtresse Céline et claque des doigts en pointant son index vers le sol. Je m’avance à son ordre, la laisse dans la gueule et m’installe près de lui.

-Bonne chienne, me dit-il en flattant ma tête

Le Châtelain appuie sur l’interphone :

- Walter, emmène la propriété de Maîtresse Céline aux cuisines. Cette chienne fera le service, confie-là à Marie, notre si experte cuisinière ....

Quoi, je vais aller faire le service alors que je viens de me ratatiner avec mes talons ? Le ‘stressomètre’ monte au maximum en sachant le savon que me passera le Dragon de ce Château en la personne de Marie la Cuisinière réputée pour être perverse voire sadique et en tout cas très autoritaire… C’est donc le cœur battant que j’entre dans l’immense cuisine du Château. Je n’avais pas mis les pieds dans ce lieu que de suite Marie m’interpelle sur un ton hautain, me dévisageant de haut : ... Walter lui parle mais je n’entends pas ce qu’il lui dit quand ensuite elle s’approche de moi :

- Alors, c’est toi la nouvelle dinde qui retarde le repas de Monsieur le Marquis ?! Tu crois que j’apprécie de devoir contrôler la cuisson à cause de l’erreur d’une soumise ? Tu ne perds rien pour attendre ! Dépêche-toi d’amener ces plateaux à la salle à la manger ! Et que ça saute !

Les plateaux sont en fait placés sur une desserte et je bénis Maîtresse Céline pour son harnais. Walter me fixe la desserte dessus avec deux tiges rigides et c’est doucement que j’arpente le chemin inverse vers la très vaste salle à manger où j’en ai maintenant conscience, le Marquis de Sade a dégusté les mets les plus raffinés de son époque …

(A suivre …)

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