Le Gâteau

En ce dimanche matin, pendant que son mari était à la chasse, Nathalie, vêtue sommairement d'un tee shirt qui lui arrivait en haut des cuisses, pétrissait une pâte pour en faire le gâteau de midi. Le fiston était parti jouer au football et elle était donc seule dans sa cuisine. Cette petite femme d'une quarantaine d'années, au lourd casque de cheveux prématurément grisonnants et à l'agréable visage ovale, était remarquable par le volume de ses seins, véritables obus qui tranchaient avec le reste de son corps, plutôt menu. Après avoir été longtemps complexée par sa poitrine, elle en avait pris son parti et même fait un atout de séduction. Les clients de la librairie où elle tenait la caisse pouvaient plonger dans un décolleté faramineux... et ainsi passer souvent à la caisse, ce dont ne se plaignait pas le patron. Mariée à Fabrice depuis quinze ans, elle passait pour une bonne mère de famille, sans histoire. Son couple fonctionnait parfaitement et c'est le coeur léger qu'elle pétrissait la pâte pour ses deux hommes.
C'est donc en plein pétrissage que Fabrice, de retour de la chasse, la découvrit dans la cuisine, son fusil à l'épaule. Le mouvement des mains de Nathalie faisait remonter son tee shirt jusqu'au milieu des fesses. Fabrice s'éclipsa discrètement pour se débarrasser de ses affaires et revint à pas de loup dans la cuisine pour enlacer sa femme et lui faire une bise dans le cou :
- Hou ! Tu m'as fait peur, dit-elle en l'embrassant. Alors, cette chasse ?
- Bredouille. Même pas un coup de fusil. Mais continue ton travail, j'aime voir les mains de ma femme dans la farine, comme dit Nougaro.

Alors que Nathalie avait recommencé à pétrir sa pâte, Fabrice glissa ses mains sous ses bras et empauma ses seins, comme il aimait souvent à le faire, les flattant, les titillant, les soupesant, avec une paluche de propriétaire. Il se sentait durcir à mesure et colla sa braguette contre le bas du dos de son épouse, laquelle réagit :
- Arrête ! Laisse-moi faire mon gâteau.


Mais l'homme fit comme s'il n'avait rien entendu et glissa ses mains sous le tee shirt, saisissant des doigts les pointes déjà dures des seins de Nathalie. Celle-ci tenta de se dégager :
- S'il te plait, pas maintenant, je ne suis même pas lavée, tout à l'heure si tu veux, quand j'aurais mis le gâteau au four.
Comme si elle n'avait rien dit, Fabrice laissa glisser sa main vers l'entre-cuisses de Nathalie et son doigt toucha sa fente, dont il perçut clairement l'humidité naissante.
- Non, je vais te baiser là, tout de suite, maintenant, parce que tu en as envie.
Et de baisser son pantalon pour exposer un membre en totale érection, décalotté et prêt à l'emploi. Le sentant contre ses fesses, Nathalie interrompit son oeuvre et poussa un soupir, non sans onduler légèrement de la croupe :
- Tu es insupportable. Bon, je te fais une petite gâterie et tu me laisses continuer, hein ?

Saisissant le membre de ses petits doigts, elle se pencha et le porta à sa bouche. Sa langue experte tourna autour du gland surexcité pendant que ses doigts couraient entre couilles et verge. De temps à autre, elle levait les yeux vers son mari pour vérifier son plaisir. Il en avait profité pour se déshabiller entièrement et il était désormais nu. Puis il avait tiré sur le bas du tee shirt de Nathalie et l'avait fait passer par-dessus sa tête, si bien qu'elle aussi était nue, totalement nue. Il lui pétrissait ses nibards pendant qu'elle le pompait, jouant avec eux, les frottant l'un contre l'autre, tant et si bien qu'au bout de quelques minutes, abandonnant toute ambition pâtissière, Nathalie se hissa sur la table de la cuisine, cuisses ouvertes, et ordonna :
- Tu as gagné. Baise-moi, je suis en feu.
Mais l'homme, non sans vice, ne poussa pas immédiatement son avantage. Approchant une chaise de la table, il s'y assit et plongea son mufle dans le bas-ventre de Nathalie, qu'il dégusta à grands coups de langue :
- Nooon, je ne suis pas propre ! geignit-elle.

- Justement, c'est encore meilleur.
Et ce fut un long cunni, profond et superficiel à la fois, qui mit Nathalie en transes. Elle poussait des petits jappements, assise sur la table, observant le travail buccal de son mari jusqu'au moment où, n'y tenant plus, elle l'implora :
- S'il te plait, baise-moi, maintenant, tout de suite.

Alors, Fabrice, debout, engagea son gland dans la fente trempée et la pénétra vigoureusement, sans concession, en tenant fermement les cuisses de sa femme, étalée sur la table, cramponnée aux bords et essayant de lui renvoyer la balle pour lui signifier sa totale adhésion. Fabrice cognait dur, se régalait de la houle des gros seins agités par ses coups de boutoir et plus encore des admonestations de sa femme le sommant d'aller plus vite, plus loin, plus fort. Il reconnaissait bien là l'extraordinaire baiseuse qu'était Nathalie, qu'il se faisait fort de surprendre pour satisfaire son gros appétit sexuel. Précisément, ce retour de chasse était la petite surprise de ce dimanche matin et cette partie de cul sur la table de la cuisine l'initiative qui les sortirait tous les deux de la routine de couple.

Mais ni l'un ni l'autre n'en avaient assez. Fabrice s'assit sur la chaise et invita Nathalie à venir le chevaucher face à lui. Il aimait particulièrement cette position parce qu'elle lui envoyait ses gros seins dans le visage et il pouvait s'en repaître tout en assurant les fondamentaux, à savoir une queue dure et longue sur laquelle Nathalie dansait, les pieds arrimés au sol, feulant et gémissant. Elle le sentait gros, pointu, labourant ses chairs intimes par d'amples mouvements d'avant en arrière de son large bassin. Il savait que tous deux atteindraient l'orgasme de cette manière. Et de fait, il la prévint qu'il ne pourrait plus se retenir, qu'il allait gicler en elle et elle dansa de plus belle en s'égosillant. En éjaculant, il eut l'impression que plus une goutte de sperme ne demeurait dans ses couilles pendant des lustres.
.. Quant à elle, elle avait roulé des yeux, laissant craindre de perdre conscience, tant sa jouissance avait été puissante. Elle se releva en titubant et il dut la soutenir pour gagner la douche réparatrice. Après celle-ci, Nathalie s'habilla, se pomponna et déclara :
- Bon, maintenant, je vais enfin pouvoir faire ce satané gâteau.

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