Comment Je Suis Devenu Un Lope Bi Pour Hommes Murs

Bonjour à tous,

Je suis un homme BI de 42 ans, plutôt du style viril.
J'aime les femmes depuis toujours, mais étant timide et réservé, j'avais du mal à faire des rencontres étant ado.
Et puis, à force de lire les journaux gratuits de petites annonces à Paris (au milieu des années 90), je me suis mis à fantasmer sur une rencontre avec un homme mûr et entreprenant qui pourrait m’apprendre l’amour entre homme. Non pas que je cherchais une histoire d’amour, mais plutôt un homme à qui je pourrais donner du plaisir….
Je me mis donc à appeler les réseaux téléphoniques où je pouvais approcher ces messieurs, intéressés à l’époque par ma jeunesse (j’avais moins de 25 ans) et mon côté « puceau ».
Après quelques tentatives où je renonçais devant le pas de porte (désolé Messieurs !), je me suis enfin décidé à aller au bout de mes envies homo, mais quelques années plus tard…. Entre temps, j’avais rencontré enfin ma première petite amie, à qui j’avais avoué mes penchants BI. Elle les avait pris au sérieux, et toute vicieuse qu’elle était, prenait un malin plaisir à me lécher l’anus et à me doigter !
Donc, au milieu de ma trentaine, marié avec une autre femme, mes envie d’appartenir à un homme plus âgé revinrent de plus belle… L’apparition d’internet aidant, les choses furent facilités : de multiples annonces s’offraient à moi, ainsi que quelques réseaux téléphoniques gratuits.
Entre temps, mon fantasme se précisait : j’avais très envie d’avoir les yeux bandés, sans voir mon partenaire, ainsi qu’avoir les mains attachées… Un vrai soumis en somme ! Je passe alors sur un site une annonce, qui disait précisait ma recherche de façon détaillée. J’eu alors le plaisir de rentrer en contact avec un homme de 60 ans, habitant à Paris, et pouvant recevoir. Il cherchait la même chose que moi : un plan direct. Il était donc d’accord pour me bander les yeux et me guider ensuite. Il voulait aussi jouir en moi, et j’étais d’accord pour cela (après avoir vu son test OK).

Je me prépare donc le jour venu, avec un bon lavement, et un anus bien rasé de prêt. Je suis très excité, un mélange de peur et de plaisir. J’arrive dans le quartier, je suis en avance. C’est un samedi après-midi d’hiver, je tourne un peu pour me réchauffer. J’ai l’impression que les passants dans la rue me dévisagent et savent que dans quelques minutes je serai en train de sucer un homme, à poil à quatre pattes ! L’heure H arrive enfin, je sone à l’interphone, l’homme me dit de monter par l’ascenseur « au premier » et qu’il « laisse la porte entrouverte ». Mon cœur bat à tout rompre, j’ai envie de faire demi-tour mais l’excitation face à l’inconnu de cette rencontre prend le dessus.
J’arrive devant l’entrée de l’appartement, je toc et j’entends sa voix derrière la porte qui me dit d’entrer. J’arrive dans un couloir sombre, où je vois un bandeau. Mon partenaire, qui est dans la pièce à côté, me demande de me déshabiller et de mettre le bandeau ce à quoi je m’exécute. Jamais mes habits ne m’auront paru si difficiles à retirer ! Enfin nu, j’enfile le bandeau et lui dit que je suis prêt. Il arrive alors, me tiens la tête et m’ordonne d’ouvrir la bouche, pour me rentrer alors sons sexe déjà à l’intérieur. Ca y est, me voilà parti. J’use de ma langue pour bien lécher son gland, dont je découvre la texture. Je trouve cela très excitant. Après quelques minutes, il pousse un peu plus long son sexe dans ma bouche, et j’ai du mal à suivre. Il me dit alors « là, comme ça, c’est bien salope », ce qui me pousse à continuer à bien lécher cette belle tige ! Il me fait alors respirer une petite fiole, je saurai plus tard qu’il s’agit de poppers. Je respire à fond par une narine, puis l’autre, même si je trouve cette odeur forte, je ressens comme une grande chaleur en moi. Je suce alors de nouveau, de plus belle, avec à la main cette fiole au pouvoir si enivrant.
Il me fait alors me lever pour me guider vers ce que je pense être sa chambre. Le fait de ne rien voir m’excite terriblement : je vais être la chose sexuelle d’un homme expérimenté ! Il me fait allonger à 4 pattes, pour mieux me remettre sa bitte dans ma bouche. Je comprends qu’il est sous moi car je sens alors sa langue titiller ma rondelle, qui ne demande que ça. Je reprends un peu de poppers, tout en caressant les couilles de mon partenaire, qui semble apprécier ma bouche et mes douces mains.
Il me pousse un peu, pour se mettre derrière moi. Je sais alors qu’il va me pénétrer, j’essaie de me décontracter et de bien ouvrir me fesses. Heureusement, mon amant est doux et y va par étage. Il me dit que mon anus est très doux et très excitant (ça doit être vrai tellement son sexe est dur !) et qu’il va entrer en moi. J’ai un peu mal (je mords l’oreiller !), mais ses vas-et viens se font moins douloureux au bout de quelques minutes, et avec le recours d’un gel dont la fraîcheur est très agréable. Je reprends un peu de poppers pour me donner du courage, car j’avoue ne pas être au mieux avec cette bitte qui me déchire les entrailles. En même temps, le fait d’être ainsi soumis me plait. Il me donne quelques claques sur les fesses en me traitant de « salope ». Au bout de quelques minutes, mon intimité bien serré le fait jouir en longues rasades, alors qu’il s’accroche à mes hanches. J’avoue ressentir à cet instant un grand plaisir à être féconder par cet homme, que je ne connaissais pourtant pas 30 minutes avant…
Il me remercie et me dit qu’il a vraiment apprécié me sodomiser, je le crois volontiers au regard du sperme qui coule de mon petit trou. Je garde le bandeau et il m’emmène alors à la salle de bain pour que je prenne une douche (méritée !). J’étais honteux, mais en même temps content d’avoir été enfin sodomiser, avec le scénario que je désirais tant…
Voilà le départ de mes aventures bisexuelles, que je continue aujourd’hui encore (je vous les raconterai prochainement…). Quant à mon amant, je l’ai revu deux ou trois fois les mois suivants, et il prit à chaque fois autant de plaisir, comme si c’était la première fois….