La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1147)
La Marquise esclave (suite de l'épisode N°1144) -
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tu deviendras alors Ma femme, La Marquise esclave !
Monsieur le Marquis dEvans, qui faisait toujours les choses en grand noccultant aucun détail, bien que toujours de manière raffinée, décida de donner un dîner avec ses plus proches amis, tous faisant partie de notre monde de la Domination/soumission, pour annoncer ce prochain heureux évènement. Il décréta que le mariage aurait lieu deux mois après quIl mait proposé de munir à Lui, et voulut donc que ce repas ait lieu deux semaines après
Je ne savais pas encore comment le Maître allait présenter la chose à Ses invités. Mais comme ce fut moi qui prépara et envoya les invitations, je savais que ce nétait que des personnes qui avaient déjà eu loccasion de me voir en tant que soumise, novice ou esclave. Mais je ne me posais pas de questions. Le Châtelain ferait comme Il lentendrait, et le fait que ce soir-là, Il annoncerait officiellement que nous sommes fiancés ne changeait absolument pas le fait quIl restait LE Maître et quIl navait aucune justification à me donner sur Ses agissements, et quIl navait pas à me tenir au courant de quoique ce soit. Je restais avant tout Son esclave, qui devait juste patienter et attendre de voir la tournure que pouvaient prendre les évènements, tout en ayant conscience que, dans tous les cas, je ne risquais absolument rien entre Ses mains. Jexécutais donc mon travail avec rapidité, et très vite les invitations arrivèrent à destination. Les bans devaient être publiés à la mairie du village dès le lendemain du dîner. En attendant, rien ne changea dans ma vie au Château, elle ne devait changer significativement quaprès les noces tout en sachant quesclave jétais, esclave je resterai à vie
Lorsque le jour du repas arriva, je finissais tranquillement ma journée de secrétaire particulière. Le Noble avait déjà quitté Son bureau depuis longtemps, étant parti en début daprès-midi pour un important rendez-vous professionnel.
- Allez la chienne ! Nous navons pas le temps de nous amuser, ce sera pour plus tard ! Suis-moi et dépêche-toi !
Je ne savais pas ce quil entendait par là, mais je ne doutais pas que je saurais très bientôt. Je désencombrais donc mon sexe et mon anus de leurs sexes factices, et me laissais tomber en quadrupédie à ses pieds. Je saisis ma laisse dans ma gueule, et fit la belle pour la lui présenter. Il me caressa distraitement la tête, prit la dragonne et commença à marcher. Jévoluais sans mal derrière lui, suivant la cadence quil mimposait
Il memmena dans le dressing réservé à ceux de Cheptel qui allait avoir à évoluer en extérieur. On était loin du petit placard que lon pouvait trouver dans certains appartements avec suite parentale. Il faisait bien une centaine de mètres carrés ! A lintérieur il y avait de tout. Des tenues décontractées, des maillots de bain, des sous-vêtements, des tenues plus classiques, des déguisements
mais la couleur dominante était évidemment le bleu. Quand nous entrâmes dans la pièce, lesclave du Marquis Phryné MDE et soumise Laïs MDE, mes surs de Cachot, étaient là, assises en tailleur, têtes baissées, les mains en position doffrande paumes vers le ciel reposant sur leurs genoux.
- Bien les chiennes, vous savez ce que Monsieur le Marquis, le Maître, attend de Vous ! Je laisse donc votre sur entre vos mains. Ne soyez pas en retard !
Nous savions que nous navions pas reçu lautorisation de parler. Alors nous nous regardâmes un instant, en souriant. Au fil des années, passées principalement dans le silence, des liens sétaient réellement tissés entre nous. Surs de Cachot nétaient pas simplement une expression. Chacune avait eu une vie avant darriver aux pieds du Châtelain, mais notre volonté de tout mettre en uvre pour satisfaire Celui à qui nous appartenions nous avait indéniablement rapprochées. Et le Noble, qui tenait à cette fraternité entre nous, ne se lassait pas de nous soumettre ensemble, resserrant encore ces liens. Il ny avait aucune jalousie entre nous, celle-ci étant exclue avec notre statut desclave ou soumise et à leurs visages, je sus quelles se réjouissaient sincèrement pour moi
Exceptionnellement, le Maître avait voulu que je choisisse ma tenue parmi une présélection de robes toutes aussi belles les unes que les autres et des magnifiques chaussures haut de gamme que mes surs me présentèrent. Visiblement, Il voulait que mon futur titre soit visible par ma tenue, car il ny avait que des splendides robes de marquise. Je choisis une très très belle robe de taffetas bleue roi, sans manche, sans bretelles, lacée dans le dos, sur laquelle les Armoiries de la Famille des Evans étaient brodées au fil dor au haut du bustier, sur la ceinture et sur le bas de la robe, ainsi que les chaussures de la même couleur qui allaient avec.
Puis mes surs me conduisirent dans la salle de bain attenante. Après mavoir laissé prendre une douche, lune soccupa de mon maquillage et lautre de ma coiffure.
- Respire Ma chienne ! Mets tes mains sur la nuque et reste ainsi un moment que je puisse tobserver à ma guise.
Je prenais donc la position exigée. Bien que je commençais à mhabi à cette position, je ressentais toujours des fourmillements dans les bras et les mains au bout de quelques minutes. Ce qui ne mempêcha pas de garder une immobilité de statue. Au deux différents gongs que jentendis, je sus quune demi-heure sétait écoulée, quand je vis Ses pieds arriver dans mon champ de vision et sapprocher de moi. Dun doigt, Il releva mon menton, et comme je gardais les yeux baissés, Il me murmura tendrement de Le regarder. Je levais donc lentement les yeux pour Le voir me sourire. Je sus que javais pour le moment lhomme amoureux en face de moi. Comme à chaque fois que nos regards se croisaient dans un moment tendre, je ne pus mempêcher de sourire. Nous restâmes quelques minutes ainsi dans un silence savoureux avant quIl ne se penche vers moi et que nos lèvres se rejoignent.
- Ma chienne, nous allons bientôt quitter ce salon. Pour la première fois, tu seras à Mes côtés pour accueillir mes Invités sur le perron. Tu devras garder la tête haute. Mais tu as linterdiction de parler. Si on te salue, tu souris et incline la tête tout en baissant les yeux, mais je ne veux pas entendre le moindre son. Et tu te tiendras un pas derrière moi. Ce soir, tu apparaitras comme Ma future femme, mais tu restes avant tout Mon esclave, Ma salope de chienne, même ce soir comme tu seras toujours avant tout !
Je restais concentrée, je buvais Ses paroles. Une fois de plus, entre nous cétait une osmose totale, nos pensées se rejoignaient, allaient dans la même direction ! Je ne pouvais pas me sentir Son égale, javais bien trop besoin de soumission, ma nature de chienne était bien trop ancrée en moi ! La vie quIl voulait bien moffrir, pouvoir aimer et être aimée, pouvoir être soumise, guidée, protégée, de manière stricte, toujours juste, en sachant quil y a toujours énormément damour derrière, cétait moffrir le paradis sur terre, cétait le bonheur, la plénitude assurée ! Etre Sa femme, marquise, mais toujours et plus que jamais, dabord esclave !
Il me saisit la main, y déposa un baiser, me tirant un sourire, puis Il la posa sur son bras et nous sortîmes du Petit Salon Privé. Déambuler debout dans le Château était très rare, mais être au bras de Monsieur le Marquis dEvans était pour moi une grande première, et javais le cur qui battait la chamade. Je me sentais heureuse de pouvoir Laimer au grand jour, et en même temps, je ne me sentais pas à ma place et mal à laise dans cette si belle robe, dans cette position à évoluer en bipédie à Son bras
Je pris donc une profonde inspiration et essayais de calmer mes tremblements. Le Maître dut sentir mon mal-être. Dans un couloir, soudainement, Il me plaqua contre le mur. Il membrassa à pleine bouche, une main se glissa dans mon corsage, me titillant, me torturant les tétons. Quand mon souffle commença à saccélérer, Il lâcha mes lèvres, saccroupit et passa sous ma robe de marquise. Je ne portais aucun sous-vêtement, toujours prête, toujours mes orifices offerts à Sa disposition. Il mécarta alors aussi largement les cuisses que les jupons de ma robe le permettaient et Il commença à me lécher, à me sucer, à me mordiller de Sa langue baladeuse et vicieusement pénétrante. Très vite, je me mis à haleter, à couiner comme la chienne que jétais, malgré mes beaux atours. Je mourrai denvie de me laisser aller aux vagues de plaisirs qui massaillaient. Mais le Noble faisait durer le plaisir. Et javais de plus en plus de mal à tenir sur mes jambes !
- Quand je te claquerai ton clito si réceptif, tu jouiras Ma petite salope en chaleur !
Et Il continua encore quelques minutes à lagacer avant de donner cette claque vive et furtive même douloureuse, mais salvatrice et je hurlai mon orgasme, là, en plein milieu du couloir, sans aucune retenue, tandis quIl continuait à me lécher divinement. SIl ne mavait pas tenue fermement par les hanches, je me serais écroulée sur le sol, sans aucun doute ! Il mappuya un peu plus contre le mur, le temps de Se relever et Il me prit dans Ses bras. Il me fit lécher ma mouille qui se trouvait sur Ses doigts qui mavaient pénétrée pendant Son savoureux cunnilingus.
- Parfait Ma salope, Ma chérie, Ma petite chienne en chaleur, détends-toi ! La soirée ne fait que commencer !
Il me sourit tendrement, déposa un baiser léger sur mes lèvres, et quand Il sentit que les forces métaient rendues dans les jambes, nous reprîmes la direction du Perron du Château. Juste à temps dailleurs, car au moment où nous nous positionnions, on entendit au loin le bruit du moteur de la première voiture. Je sentais encore le rouge post orgasme qui mornait les joues, quand on vit les premiers Invités au bas des marches. Parmi ceux-ci, il y avait le Commandant des pompiers Laurent et sa compagne soumise Keira MDE, ainsi que Maîtresse Céline et Sa soumise Alice, très belle. Quant à Wangdak et esclave Zhuoyue du Tibet, ils navaient pas pu faire le voyage pour cette soirée. En tout, il y avait trois couples de Dominants, un Maître et deux Dominas qui étaient venus accompagnés de leurs soumis ou soumises, compagne ou non. Le dîner sannonçait riche en surprises, et certainement intense en Domination/soumission. Jétais toujours excitée par ce que nous avions vécu dans le couloir, mais je ressentais toujours un certain malaise en ma position, surtout lorsque les Dominants me saluaient, en particulier les hommes qui me baisaient tous la main, comme si jétais une personne de noble naissance. Je ne sais si ceux qui mavaient déjà rencontrée et utilisée mavaient reconnues, mais personne ne le laissa paraître. Jespérais réussir à faire honneur tant à lhomme quau merveilleux Maître de renommé quétait Monsieur le Marquis dEvans
(A suivre
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