La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1149)
Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode N°1145 et texte amélioré par MDE) -
Les plateaux sont en fait placés sur une desserte et je bénis Maîtresse Céline pour son harnais. Walter me fixe la desserte dessus avec deux tiges rigides et cest doucement que jarpente le chemin inverse vers la très vaste salle à manger où jen ai maintenant conscience, le Marquis de Sade a dégusté les mets les plus raffinés de son époque
Je prête attention aux marches rendues encore plus hautes par lépaisseur des tapis pour ne pas renverser ce véritable festin. Walter menlève ensuite lattelage et je moccupe du service, servant de convive à convive. Des radis ne tardent pas à garnir mon cul grâce aux mains baladeuses des deux Dominants amis qui conversent sans prêter attention à moi. Mes parties intimes sont fouillées, pétries, malaxées et je me mords mes lèvres pour quaucun son ne sorte de ma bouche. Cette situation mexcite follement, surtout lorsque je vois Monsieur le Marquis dEvans enduire une carotte de mayonnaise et au moment où je me trouve sur son côté pour le servir, il nhésite pas une seconde pour menfiler cette carotte dans ma chatte trempée. La sentir coulisser en moi par ses va-et-vient dune main alerte est à la fois un délice et un supplice puisque je nai pas le droit de jouir
Pour le café, servit dans le petit salon, le Noble demande à Walter de lui apporter la dernière création de Maîtresse Céline et on me place dans un coin, à quatre pattes, épaules au sol, tête sur le côté et mon fessier tourné vers la table et orné de la queue de paon, dont jai actionné le mécanisme pour faire la roue.
- Très joli ! Ces plumes rehaussent la beauté de sa croupe ! Belle chienne !, sexclame le Châtelain
- Ce nest quun prototype ! Cher Ami
Mais je suis ravie que cette idée vous plaise ! Et puis je connais votre prédilection pour le bleu doù mon choix de plumes de paon avec leurs yeux azurés si inimitables, répond de sa voix chantante et suave la Maîtresse qui méduque.
Le temps file mais je me concentre pour satisfaire au mieux les exigences des deux Maîtres derrière moi. Même sils font comme si je nétais quun objet, ils sont également très attentifs. A les écouter ainsi discourir sur des sujets aussi diverses que variés, je me rends compte de leurs points communs, à limage de Monsieur le Marquis dEvans : Ils sont tous les deux stricts, parfois sévères mais toujours justes. Ils ont beaucoup dempathie et ne jugent pas les autres. Ils sont aussi altruistes, sincères et respectueux. Je ne regrette pas du tout de mêtre engagée auprès de Maîtresse Céline. Au contraire, cette relation intense me grandit et mélève. Pour ceux qui croient que le BDSM nest que de la baise « épicée », détrompez-vous. Le BDSM est bien plus cérébral que physique et labandon de soi, conduit avec Art et qui nest possible quavec une confiance absolue envers le Dominant qui nous soumet, est très épanouissant
Jentends, tout à coup, un claquement de doigts et je me dirige sans réfléchir, la queue de paon toujours ouverte vers les deux Dominants. Je me rends compte alors que cest le Noble qui ma appelé, il a gardé son index pointé au sol à côté de lui. Je me place donc à sa gauche et distraitement, il me flatte la tête dune main douce, lente et caressante. Sa main descend sur mon dos pour atterrir à mon entre-jambes trempé.
- Je ne sais même pas pourquoi je teste ! A tes effluves très odorants, je me doutais bien que cette situation texcite ! fait-il remarquer en me donnant ses doigts et sa main à nettoyer de ma langue.
Je rougis de son allusion. Tout mon corps me trahit et il est vrai que ma cyprine sen ressent.
- Walter, remplace ce beau plug offert par Maîtresse Céline par un autre tout simple et amène cette chienne en cuisine, je te prie. Marie a carte blanche toute laprès-midi !
(puis sadressant à moi)
Sache pour ta gouverne, la chienne, que Marie a toute autorité dans son sanctuaire que sont Les Cuisines !
- Oui Monsieur le Marquis, réponds-je timidement.
Grande fan de la Saga, je ne suis pas sans connaître la perversité et sévérité légendaire de Marie, la fameuse cuisinière du Maître. Je frissonne à lévocation de ce qui mattend. Madame Marie a été très claire à ce sujet avant le service
Cest donc dun pas lourd que je suis en quadrupédie, le Majordome à travers les couloirs.
- Fais ce quelle exige, me rassure-t-il. Elle est stricte, patibulaire mais juste.
Walter mentraîne dans une autre pièce. Je replie la queue de paon en actionnant à nouveau le bouton-poussoir avec mon sphincter et il me place un nouveau plug de bonne taille qui mécartèle divinement mon illet.
- Chère Marie, Monsieur le Marquis te met à disposition cette soumise toute laprès-midi !, annonce Walter à notre entrée dans la majestueuse et vaste cuisine du fabuleux Château.
- Ah parfait ! Je vais pouvoir corriger certaines maladresses de cette dinde !
Je courbe encore plus léchine, quil est possible de le faire.
- Tu as peur ? Cest bien, cest comme ça quon fait du bon travail
Va te mettre à la plonge, la chienne. Et que tout brille !
- Oui Madame (Ma voix nest quun murmure).
- Quoi ? Je nai pas entendu ! Parle plus fort, salope !
- Oui Madame !, dis-je en parlant plus distinctement
- Cest mieux ! Mais avant, viens un peu ici que jajoute des couleurs à ton fessier de pute !
A peine approchée, elle me claque la fesse droite.
- Tu vas compter les 20 fessées sans te plaindre et dune voix forte. Si tu te trompes ou désobéis, on reprend depuis le début. Compris ?
- Oui Madame.
Je compte en me concentrant sur les chiffres. Les coups pleuvent à un rythme irrégulier et sur des zones différentes à chaque fois. Impossible de prédire où la main, frappera le prochain coup.
- Voilà qui est mieux ! Maintenant, file à la plonge, petite chienne !
Je me place devant lévier contenant une quantité de vaisselle impressionnante et mattelle à la tâche, le cul encore chaud.
- Déjà fini ? Maintenant, passe le balai puis la serpillière au sol. Tu trouveras tout le nécessaire là-bas. (Elle mindique un coin de la cuisine dun geste sec de la main). Prends des poses suggestives et érotiques. Je veux voir ton fessier se trémousser, la salope.
Elle ponctue cette dernière parole en frappant mon cul de son torchon.
- Aller, oust !
- Oui Madame.
Je ne suis pas du tout à laise pour danser. Jai beau savoir quil faut voir le manche à balai comme un poteau de « pole dance », je ny arrive pas. Je me sens très gauche. Malgré tout, je mefforce de me déhancher sur un rythme lent. Pour maider, je me fredonne en boucle une musique érotique dans ma tête. Je sais que mon point fort cest mon cul alors je me penche tout en baladant mes fesses de droite à gauche et en remontant, je fais glisser une main sur mes jambes en mattardant sur mon entre-jambes et écartant mes fesses pour bien montrer mon plug. Ma main monte encore jusquà mes seins que je caresse et je vais ensuite lécher mes doigts couverts de cyprine de manière la plus sensuelle possible. Ce mouvement de balancier bouge le plug qui garnit mon cul et les petits soubresauts sur mon sphincter sont un délice.
- Suffit ! Pose tes ustensiles et rejoins-moi à quatre pattes, espèce de chienne en chaleur...
- Oui Madame.
Je mexécute au plus vite. Maîtresse Marie est assise sur un tabouret, elle soulève sa robe et dévoile une nudité sur ses parties intimes nayant aucuns sous-vêtements, les cuisses largement écartées exhibant ainsi sa vulve glabre.
- Approche ta langue et lèche-moi, la guenon !
Docile, jobéis et tends la langue pour pénétrer ses chairs intimes.
Ma bouche nest pas en reste et je crois même quelle devient plus chaude encore. Jaspire les chairs intimes de Maîtresse Marie et je salive plus sil est possible. Je sens également mon cul mouiller, ce qui narrive que lorsque je suis très excitée. Le Dominant doit le sentir parce que ces coups de boutoirs prennent un rythme encore plus rapide. Quil est difficile pour moi de ne pas partir au septième ciel ! Les gémissements de Maîtresse Marie sont de plus en plus rapprochés annonçant sa délivrance proche. Elle me couvre la tête de cyprine quand elle laisse éclater son puissant orgasme et lhomme dans mon dos éjacule à longs jets saccadés de sperme dans mon cul au même instant ! Je suis comblée daise de servir ainsi de vide-couilles ! LInconnu repart comme il est venu, sans bruit et sans que je connaisse son identité. Madame Marie me tend une assiette et mordonne de récupérer le nectar laissé par le Dominant. Pour cela, elle me fait me mettre accroupie et détendre mes muscles anaux pour expulser le sperme. Ensuite, je lèche le tout pour ne rien perdre de son offrande.
- Hmm voilà qui est mieux ! Une dinde farcie comme je les aime !
Je ne peux mempêcher de sourire à son trait desprit
Walter vient peu après et mattache une laisse au harnais et quittons les cuisines après avoir reçu une nouvelle volée de fessées de la cuisinière tout en me traitant de tous les noms doiseaux... Après une traversée de couloirs, toujours menée en quadrupédie, nous pénétrons dans un donjon. Le Dominant retire le plug et moctroie 5 min pour me doucher à leau froide. Mon cul et ma chatte sont ensuite enduits dune crème que jimagine aphrodisiaque au vu des sensations intenses quelle procure
La journée est bien avancée et les heures les plus chaudes sont déjà passées. Le Majordome memmène dans le parc à lorée de la forêt où déjà deux femelles, deux des esclaves du Maître des Lieux et trois mâles, dont lhomme noir très bien bâti qui a transporté mon violoncelle le matin, sont déjà présents en position dattente. Le jardin est magnifique et à cette heure de la journée, le soleil joue avec les ombres et apporte une belle couleur aux pierres dorées formant un petit muret. Une table est dressée et un buffet copieusement garnie est installée sur la pelouse à lombre des majestueux marronniers plusieurs fois centenaires. Walter a à peine le temps de me placer que très vite jentends la voix mélodieuse de Maîtresse Céline ainsi que celle de baryton de Monsieur le Marquis.
- Merci Walter ! Comme dhabitude, tu as tout réalisé selon mes exigences ! Cest parfait
(puis sadressant à nous)
Ce soir, jai organisé des jeux lubriques. Celui ou celle, qui remportera les épreuves, sera récompensé (ée) par une nuit passée aux ordres et aux pieds de Maîtresse Céline
(A suivre
)
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