Groupe De Vacances 27

GROUPE DE VACANCES 27
Ep 27 VACANCES A LA MAISON

Je roulais depuis plus d'une heure et j'avançais bien quand à la sortie d'une ville je voyais un auto-stoppeur. Selon son écriteau il allait au même endroit que moi. Je m'arrêtais et le laissais monter.
C'était un étudiant qui allait passer des vacances au bord de la mer, il venait de terminer les cours, il avait un sac à dos bien rempli avec un matériel de camping complet … Tout ce qui lui fallait sur le dos … On faisait rapidement connaissance. Il s'appelait Régis .

Re : Tu vas sur la cote ?
Moi : Je vais voir ma famille !
Re : Tu en as de la chance d'habiter à la mer !
Moi : En ce moment je suis à la fac .

Il me regardait avec attention …

Re : Mais je t'ai déjà vu toi ?
Moi : On m'a aperçu à la télé …
Re : Quand ? Dis m'en plus.
Moi : Il y a quelques mois, lors d'une compétition inter universitaire !
Re : Ça me dit quelque chose … D'habitude on parle pas de ces compétitions à la télé.
Moi : Exact, c'était la première fois !
Re : Je me souviens, oui tu faisais partie de l'équipe qui a gagné, un record de médailles et de coupes ils ont dit …
Moi : Oui, on a fait fort ce jour là !
Re : Mais, c'est toi qu'ils appelaient le champion, c'est toi qui … !
Moi : Oui, c'est moi qui …
Re : Comment tu m'as dit que tu t'appelais ?
Moi : Jérémy !
Re : Jérémy, celui que tout le monde appelle Djé !

Tout en conduisant, je souriais et acquiesçait de la tête … Un long moment il ne disait plus rien, il regardait la route d'un air pensif en souriant. A chaque fois que je jetais un œil il me répondait par par un regard interrogateur et un petit sourire …

Re : Alors c'est toi qui porte …
Moi : Ouai! C'est moi qui porte …
Re : Et tu le portes ? … Pas toujours ? … Tu le retires de temps en temps ? …
Moi : Oui, je te rassures, je le retire de temps en temps.


Re : Tu le portes … Je veux dire en ce moment ?
Moi : Oui, en ce moment je le porte !
Re : Et c'est quand que tu l'as retiré la dernière fois ?
Moi : Voyons, la compétition c'était il y a trois mois … La dernière fois, c'était un mois plus tôt !
Re : Ça fait quatre mois ! La vache ! Mais ça te rends pas dingue, si on supporte pas ce truc, on fait quoi ?
Moi : Ceux qui ne supportent pas ne le portent pas, il ne faut pas, surtout pas !
Re : Mais, toi, tu fais partie de ceux qui veulent que tout le monde porte ce genre de truc, non ?
Moi : Oh que non ! La règle est simple, si tu ne le supportes pas ne le porte pas ! Si ça doit te rendre malheureux ne le porte pas ! Et si on te prétend le contraire, si quelqu'un veut te convaincre, ou pire te contraindre envoie le braire et dis lui bien que c'est moi qui t'ai dit ça !
Re : Whoua ! Moi qui croyais que tu étais un fanatique !
Moi : Un fanatique … Peut être oui … Mais uniquement pour moi … Je ne veut pas convaincre les autres … Essaye, ça te plaira peut être mais je te le dis, si ça doit te rendre malheureux ou si tu dois en souffrir ne le garde pas !

On continuait la discussion encore un long moment, je lui racontais certaines de mes sensations , cette impression d'éveil que j'avais découvert lors d'un repas, cette frustration qui pouvait devenir jouissive, cette tension apaisante …

Re : Tu essayes de me convaincre là ! Oua tu fais vraiment bien ton boulot, j'aurais presque envie d'essayer !
Moi : Te convaincre d'essayer, oui je veux bien ! On découvre en effet des sensations incroyables, mais si ça ne te convient pas, je te le répète ne le garde pas ! Tu en souffrirais et ça c'est pas le but !

…

Re : Toi, tu n'en souffre pas ?
Moi : Non, moi je n'en souffre pas sinon …
Re : Personne ne te contraint ?
Moi : Il ne manquerait plus que cela ! C'est un choix et je ne l'ai pas fait en un jour, j'ai mis un certain temps …

Je lui racontait sans entrer dans les détails mon parcours, ma période de débauche et les conséquences sur mes études.
Je lui racontais qu'on avait su me forcer un peu la main, mais que celui qui m'avait la main était le premier à me libérer si je ne me sentais pas bien … Je lui racontait sans mentir, j'occultais seulement certains passages qui étaient et devaient rester privés !

Un peu plus d'une heure plus tard on faisait une pause pipi !

En pleine campagne, pas de circulation, personne à l'horizon …

Re : Et tu arrives à pisser avec ce truc ?
Moi : C'est très bien étudié, sans problème !
Re : Je peux voir ?

Je pissais devant lui sans gène, c'est vrai que depuis un an de demis, j'en ai vu d'autres. Il semblait fasciné, il pissait devant moi et rapidement bandait … Je me disais, ' Bien foutu le ptit gars ' … Il se caressait la queue …

Re : Ça ne te manque pas ça ?

Je regardais, je ne disais rien … Il se masturbait doucement, décalottait à chaque mouvement puis décalottait complètement … Il crachait alors dans sa main et commençait à s'astiquer le gland … Il se branlait sur la longueur de sa queue puis revenait sur son gland … Sa queue se relevait fièrement maintenant … Ma bite remplissait bien sa cage … Il se masturbait vigoureusement en me regardant avec un sourire légèrement provocateur … Il commençait à respirer plus fort … Je regardais sa queue, je n'en perdais pas une miette … Quelques gémissements et deux puis trois giclées de sperme retombaient devant lui. Il riait de plaisir, de satisfaction ou peut être amusé de voir ma tête … Ma cage devait exploser … Je lui faisais un large sourire, il n'en revenait pas !

Moi : Si ça me manque, j'ai la cervelle en feu mais …

Plus tard sur la route, je lui expliquais, enfin j'essayais de lui expliquer ce que je ressentais … A la fois la frustration et le plaisir … La force que j'en retirais … Il n'avait pas l'air convaincu …

On faisait une seconde pause plus tard dans un fast-food. Puis quelques heures plus tard je le laissais, j'étais presque arrivé.
Il me quittait en me disant …

Re : Tu sais Djé, je crois que … un jour … je suivrais ton conseil … J'essayerai … Juste pour savoir mais pas longtemps … C'est pas pour moi ça !

Il n'y avait pas eu de moquerie, pas de réaction négative sans pour autant que l'accueil soit positif … On parlait dans la presse de cette nouvelle mode et pas seulement dans mon école ou dans le milieu étudiant … Je ne devais pas tarder à m'en rendre compte !

J'arrivais dans ma famille. C'était des retrouvailles, je m'installais rapidement, je voyageais léger aussi j'avais vite fait de vider mes bagages … Mes parents ne cachaient pas la fierté qu'ils éprouvaient depuis mon succès lors de la dernière compétition … J'étais le champion, et j'étais passé à la télé … Dans le quartier on ne parlait plus que de ça … Pas un mot sur mon dispositif même pas la moindre allusion …

Mon frère Luc ne voulait plus me lâcher de la journée … Il est plus jeune que moi, il allait avoir dix sept ans, il était fier de mes médailles …

Luc : Tu peux pas savoir … Tout le monde parle de toi … Tu es une star …
Moi : Et on parle de mon truc ?
Luc : Ouai ! Un peu ! Mais le pasteur nous a parlé de ça ! Et finalement ça inspire plus de curiosité qu'autre chose !
Moi : Les filles ?
Luc : Pas seulement les filles ! Les mecs aussi, il y en a certains à qui ça fait peur, d'autres qui sont déjà volontaires …
Moi : Qui sont volontaires ? Et il y a beaucoup de volontaires ?
Luc : Il y en a au moins un !
Moi : Au moins un ?
Luc : J'aimerais bien voir ce que ça donne !

Mon frère et moi nous sommes déjà souvent vus nus, sous la douche, dans des vestiaires ou encore dans notre chambre quand on se change … Depuis toujours, c'est quelque chose de normal … C'est donc naturellement, puisqu'on était dans la chambre que je baissais mon pantalon …

Luc : Tu ne portes pas de slip ? Moi, la dernière fois que j'ai fait ça, j'ai eu une érection et je me suis senti mal.
Je te dis pas, je suis sûr que tout le monde l'a remarqué. Mais là ça ne risque pas !

Il regardait attentivement … Je remontais mon pantalon .

Luc : C'est génial ce truc … Ça fait pas mal … Ça ne gène pas tes mouvements …

Suivaient toutes les questions habituelles que j'entends depuis le jour où avec Antoine on s'était retrouvé sous les douches … Je lui répondais longuement … On passait la soirée à discuter … On dormait dans la même chambre, il semblait très excité … Il n'arrivait pas à s'endormir .

Personne ne m'avait parlé de mon dispositif, et comme je le disais pas même un allusion mais Luc, quand on s'est retrouvé entre nous il n'arrêtait pas … Il ne me parlait que de ça … Finalement il terminait, juste un peu avant de s'endormir, par … '' Dis Jérémy , tu pourras m'en avoir un aussi , ils sont drôlement chères dans le commerce … ? '' …

Le lendemain matin, on prenait notre douche ensemble … Il avait une belle érection …

Luc : Tu m'excuses mais là, je ne peux pas me contrôler …
Moi : Tu sais, c'est pas grave tu sais, on s'est déjà vu en forme … Alors tu as du mal à te contrôler, c'est pour ça que tu veux porter un de ces truc ?
Luc : Non, je me contrôle d'habitude. Enfin pas toujours le matin, mais ça c'est normal ! Non c'est pas ça, en plus je me suis pas branlé hier soir !
Moi : Tu te branles tous les jours ?
Luc : Ouai ! Mais hier , j'ai pas voulu t’embarrasser !
Moi : J'en ai vu d'autre, et si je me souviens bien … On a déjà fait des concours de branlette …
Luc : (En rigolant) Oui mais maintenant, toi tu ne peux pas concourir !

Ensuite, on faisait le tour des copains … et des copines aussi … C'étaient de grandes retrouvailles … Les garçons se montraient curieux, les filles se montraient enjôleuse … Décidément, toutes les mêmes, quand elles voient qu'elles n'ont rien à craindre … Bon et puis il ne faut pas non plus oublier que je suis très mignon en plus d'être célèbre !

La première à me tourner autour était Hélène, une fille que je connaissais depuis la maternelle … Elle était devenue une vraie bombe, on se retrouvait à la plage, là je vous rassure je portais un maillot de bain. Le dispositif était quasiment invisible à ce qui se disait, certains me disaient même qu'ils ne remarquaient rien. C'était pour me rassurer car on le voyait bien tout de même ! Et si une fille aux seins nus venait se frotter à l'un d'entre nous, juste pour taquiner, presque sans pensée coquine, j'étais le seul qui ne manifestait aucune réaction érotique !

Je la prenais alors dans mes bras, Hélène me le faisait régulièrement, je l'embrassais sans avoir à me sentir embarrassé … Rapidement Hélène et moi nous retrouvions sur une plage naturiste. Là on se laissait aller … On se faisait bronzer des heures entières, quand j'étais sur le ventre on ne remarquait rien. Quand j'étais sur le dos ou debout je suscitais des réactions de curiosité. Il n'était pas rare qu'un homme ou qu'une femme vienne me parler, et là, des questions, toujours les même. Certains voulaient juste s'informer, d'autres avaient visiblement envie d'essayer … Certaines voulaient juste s'informer, d'autres auraient voulu le proposer à leur compagnon … Elles discutaient alors souvent un moment avec Hélène qui se donnait de l'importance …

On restait un long moment allongé , elle se blottissait dans mes bras , elle posait sa tête sur mon torse et me laissait lui caresser le ventre , les seins , les cuisses et même un peu plus … Je la masturbais alors doucement , ma main sur son sexe , je lui introduisais un doigt et lui stimulais les parties les plus intimes. Elle hésitait à me caresser les cuisses …

Hélène : Jérémy, je n'ose pas …
Moi : Mais vas y ma puce, ose, fait comme moi. Moi j'ose … Tu aimes ?
Hélène : Oui, c'est divin. Vas y continue, j'adore !
Moi : Tu me dis …

Elle glissait alors doucement sa main vers le haut de mes cuisses, rapidement me caressait la base du sexe, juste sous l'anneau de mon dispositif … Elle passait ensuite à mes testicules qu'elle prenait à pleine main et les massait en les pressant doucement dans sa mains …

Hélène : Je te fais pas mal !

En réponse je l'embrassais …

Moi : Si tu me fais mal, je pleure … Et je te promet pas d'avoir l'air viril à ce moment, tu auras l'air fine …

On éclatait de rire, elle se retournait et se jetait sur moi … Ses seins me chatouillaient les tétons, son sexe me caressait les cuisses … Je la prenais dans mes bras … On s'embrassait longuement puis on se relevait pour aller se baigner, je sentais de nombreux regards sur nous, et probablement, sur moi !

Ma cage allait exploser mais il fallait avoir un œil averti pour remarquer quelque chose … Hélène faisait la fière devant les autres filles, leurs regards semblaient particulièrement envieux. Si elles voulaient faire la même chose avec leur copain, les réactions seraient beaucoup plus spectaculaires et elles perdraient vite le contrôle de la situation alors que là, Hélène restait seule maîtresse de ce qui se passait !

Je lui laissais le meilleur rôle, j'avais compris depuis longtemps que celui qui semblait passer en second plan, celui qui semblait avoir le plus petit rôle était en fait celui que l'on regardait, qu'on enviait. Et je savais qu'il me suffirait de claquer les doigts pour revenir au premier plan et redevenir le maître le leader ! Mais les filles adorent jouer car elles adorent tricher, je la laissais jouer, je la laissais croire que c'était elle qui trichait !

Ces journées étaient éprouvantes pour les nerfs, les stimulations sexuelles étaient quotidiennes. Pendant les semaines et même les mois précédents, depuis la compétition, mon abstinence était totale à l’exception de deux petits écarts, un plug et la très belle queue de Charles … Mais j'évitais alors les stimulations sexuelles ! Maintenant, mon abstinence était totale également, je n'avais pas emporté de gode ou de plug, et les stimulations sexuelles étaient permanentes !

C'était un enfer délicieux, ma cage était tout le temps sous pression, toujours relevée vers l'avant … Il n'y avait aucune douleur mais un certain inconfort à la longue … Les caresses autant celles que je donnais que celles que je recevais étaient à la fois la douceur, une extrême douceur et une douleur moral, un feu dans la tête, un besoin qui m'était refusé, un désir qui ne serait pas assouvi, une envie qui en resterait là.

Mon esprit restait en éveil, rongé par le désir, par l'envie … Rongé mais pas gâté ! J'étais conscient, ultra conscient des autres, du moindre regard, du moindre geste, du moindre mot sans pour autant souffrir d'une sensibilité anormal qui aurait pu me conduire à surinterpréter ce qui se passait autour de moi ! J'étais conscient, ultra conscient de mes sensations de chaque contact physique, chaque contacte de la peau, autant ceux que je recevais que ceux que je donnais ! Le moral était au beau fixe ! Je me sentais bien, en manque mais bien !

Sur la plage, les habitués ne faisaient plus guerre attention à moi. On se saluait, on discutait souvent … Là encore comme à la fac tout le monde me connaissait, et tout le monde semblait m'apprécier … Je ne prenais pas la peine de dissimuler d'une quelconque manière mon dispositif et même j'en étais fier !

Peut-on jouir sans aucune stimulation sexuelle physique ? Uniquement par des contacts physiques autres, les bras, les cuisses, le torse, les tétons. Par moment quand Hélène me touchait, la sensation était forte, très forte !

La zone naturiste ne se limitait pas à la plage, les chemins qui y conduisaient étaient aussi classés zone naturiste … Je m'y promenait librement, y faisait du footing. Deux fois le tour, huit kilomètres, en passant par tous les chemins plus de treize. Une fois le matin, une fois dans l'après midi … Je ne relâchait pas mon entraînement …

Luc nous avait rejoint à plusieurs reprise sur la plage … Je me souviens d'un jour en particulier. J'étais allongé sur le dos, Hélène avait posé sa tête sur mon ventre, juste au niveau du nombril. Je la caressait passant ma main depuis le haut de ses cuisses jusqu'à ces seins sur lesquels je m'attardais toujours un peu.

Au début, tout se passait bien pour Luc. Il nous regardait et rapidement se ratatinait sur lui même , il avait l'air gêné, il s'était assis les jambes repliées. Il regardait de tous les cotés inquiet … Puis il finissait pas se lever en prenant soin de garder ses mains devant ses parties pour tenter de dissimuler une érection, il nous dit rapidement '' Je reviens '' et partait vers les buissons dans lesquels il disparaissait un long moment …

Hélène : Qu'est-ce qu'il a ?
Moi : Un besoin incontrôlable ! Rien de grave, il va revenir, il sera plus détendu !
Hélène : Tu n'as pas de besoin incontrôlable toi ?
Moi : Oh que si ma puce, oh que si … Mais moi je sais rester stoïque !

On rigolait … En effet Luc revenait, il avait une belle grosse molle qui pendait entre ses cuisses, un petit sourire satisfait. Il s’asseyait à coté de nous …

Moi : Alors Luc ça va mieux, tu me sembles plus détendu …
Luc : Enfoiré, te moque pas ! Mais tu fais comment toi ?
Hélène : Il sait rester stoïque !

On rigolait tous les trois de bon cœur !

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