Exhibition Sur Une Table En Verre...
Jattendais sagement que la voiture de devant moi finisse sa manuvre pour prendre sa place quand je fus percuté à larrière du véhicule. Un peu hors de moi, je tirai le frein à main et méjectais hors de lhabitacle.
La conductrice coupable de laccrochage sortait à son tour de son véhicule. Un mètre soixante dix à peu près. Aux cheveux teintés auburn qui lui arrivé à hauteur des épaules.
- Bonjour monsieur, je suis désolée, je ne vous ai pas vue en reculant.
- Il ny a pas mort dhomme. Fis-je, en retenant ma colère. Juste de la tôle a redressé.
Javais un enfoncement de tôle à larrière gauche, tandis que la voiture de la dame avait le pare-choc décroché, le cache feu arrière fissurer.
- Bon il na plus que remplir un constat. En avez-vous un ? Linterrogeais-je. Par ce que moi, jen es point.
- Attendez, je vais voir.
Elle ouvrit la portière passagère, et se plia en deux pour fouiller dans sa boite à gants. Dans le mouvement, la jupe était remontée. Laissant apercevoir des cuisses gainées de bas noirs et un bout de sa petite culotte. Javais là, de quoi occuper le fantasme de ma prochaine branlette. Pour mon plus grand désarroi, elle se redressa pour me déclarer :
- Je suis désolée, je n'en pas.
- Cela narrange pas nos affaires
- Alors que faisons-nous ? Fit-elle.
- Il y a tout proche dici, une compagnie dassurance. Je vais leur demander un constat.
- Cest que je suis pressé. Je dois aller travailler.
- Oui, madame, je le comprends bien. Men aussi jai une journée chargée. Mais quest-ce que je fais moi. Et surtout je dis quoi à mon patron pour la tôle froissée.
- Oh ! Mais je ne compte pas me dérober comme ça. Je pensais régler ce problème demain. Ne travaillant pas nous aurions eu le temps de nous occuper de la paperasse.
- Et quest-ce qui me dit que vous serez au rendez-vous ?
- Mais monsieur, je suis une honnête dame, moi.
Elle fouilla dans la poche intérieure de son veston et en ressortit avec une carte de visite aux bouts des doigts, quelle sempressa de me tendre. Je la pris et la parcouru. Il y était inscrit Viviane, et ladresse était toute proche. Même le numéro de téléphone y était imprimé.
- Sil vous plaît madame. Auriez-vous un stylo ? Fis-je.
- Oui, je vous donne cela.
De la même poche, elle fit apparaître un beau stylo bille argentée.
- Merci madame. Sachez que je nai rien contre vous personnellement. Mais je suis du genre méfiant. Surtout avec les personnes que je ne connais pas, fis-je, en notant le numéro dimmatriculation sur la carte de visite
Même avec des femmes aussi charmantes que vous.
- Merci monsieur. Vous me flatter.
Le numéro inscrit je lui tendis son stylo. Elle me repoussa la main, et dit :
- Gardez le, vous me le donnerez demain lors de votre visite chez moi.
- A-t-il une heure qui vous conviendrez mieux quune autre ?
- A votre guise monsieur. Je ne bouge pas de chez moi, dailleurs jy serais seul, mon mari étant parti en stage pour la semaine.
Le lendemain jétais au rendez-vous. Elle était très troublante dans une robe de mousseline à fleurs, largement décolletée. Jeus une bouffée de chaleur.
- Je vous en pris entrée donc ! Venez dans la salle à manger.
La pièce faisait aussi office de salon. Elle était confortablement meublée. Très maîtresse de maison, elle avait installé sur le plateau de verre de sa table de quoi prendre le café. Il y avait aussi un constat et deux stylos à bille.
- Je vous en pris, prenez place, je mabsente quelques instants le temps daller chercher la cafetière.
Mon regard se porta sur le tableau accrochait sur le mur den face. Représentant la bataille dAlger.
- Jespère navoir pas été trop longue ? fit-elle en passant la porte.
- Non
non, jadmirais votre tableau
- Ah oui, tout le monde le dit en le voyant. Lança-t-elle en versant le café dans les tasses.
- Prenez-vous du sucre ?
- Non merci, jamais dans mon café. Je vois que vous avez trouvé un constat. Émis-je en lui désignant du doigt le feuillet.
- Oui, je lavais dans mon dossier dassurance. À propos de constat, jaurais quelque chose à vous proposez.
Elle me regardait en coin, attendant ma réaction.
- Ah oui
je vous écoute.
- Est-ce quil serait possible de passer outre.
- Pardon ! Vous voyez là, je ne vous suis pas très bien.
- Je ne vous cache pas que cette affaire à gâcher une partie de ma soirée. Mempêchant même de trouver le sommeil. Et au petit jour, comme par miracle, jai trouvé une solution
Sa poitrine semblait palpiter sous létoffe.
- Et je peu savoir quoi ?
- Jy viens fit-elle tout en allumant une cigarette blonde dont elle tira voluptueusement une première bouffée. Pour être toute à fait honnêtes avec vous, jai des problèmes avec ma compagnie dassurance. Je suis à la limite de me faire radier. Jai déjà à mon tort, deux accrochages dans la même année civile. Et je me vois mal arrivée à lagence, un constat en main. Vous voyez ce que je veux dire ? Et je ne vous parle même pas de la réaction de mon mari.
- Et alors comment comptez-vous faire pour me dédommages ?
- Un peu de patience. Jy arrive, fit-elle. Ses yeux respiraient la candeur et le vice à la fois. Il vous suffit demmener votre véhicule chez un carrossier de votre choix, et une fois les travaux effectués vous me faites parvenir la facture, que je paierai en liquide. Comme ça ni vu, ni connu. Quest-ce que vous en pensez ? Fit-elle avec une moue satisfaite.
- Que vous navez pas lair de vous imaginez ce que cela va occasionner en dépense, ma chère dame.
- A bon ! Par ce que vous, vous le savez ! À combien va sélevé la facture.
- Jai ma petite idée, oui !
- Et je peux savoir de combien mon cher ami !
- Pas moins de quatre mille francs
Son visage se rembrunit brusquement.
- Quoi ! Jespère pour mon compte personnel que vous vous trompez, fit-elle avec un petit air las.
- Cest quil faut décabosser, enduire, poncer, et peintre. Et la main duvre nest pas donnée de nos jours.
- Vous en êtes sûr ?
- Je pense ne pas être trop loin de la vérité.
- Est-ce le choix ? Sil faut payer, je paierai voilà tout. Jai bien deux, trois amis qui se feront un plaisir de me rendre service.
De minute en minute, je mintéressais de plus en plus à cette femme. Limage de ses cuisses gainées, alors quelle fouillait dans la boite à gant à la recherche me revenait en mémoire. Mexcitant plus que jamais. Et là devant mes yeux avec son comportement fantasque et aguicheur.
Je profitais de sa nouvelle pose cigarette pour la détailler plus précisément. Essayant dimaginer le contour de son corps sous sa robe, de ses seins que jimaginais fermes, et ses jambes, que je voyais tout proche de moi, sous létoffe de sa robe. Un peu grasses, en effet, mais tellement voluptueuses.
Mon cur battait la chamade. Je commençais réellement à désirer cette femme. Tandis quelle continuait de trouver une sortie au problème dans un silence minéral. Je commençais à fantasmer. Je la voyais nue, et moi, couvrant son corps de baisers. Cherchant le bon chemin pour lemmener jusquà la jouissance.
Javais rarement été aussi excité à ce point dans une situation aussi banale.
Son visage, son cou, ses cheveux, les moindres parties de son corps me mettaient dans un état dexcitation indescriptible. Javais attendu quelle écrase sa cigarette dans le cendrier, et la regardant droit dans les yeux, je lui ai dis :
- Pour ma part jai quelque chose à vous proposer.
Je débordais de désir. Je voulais la prendre comme ça, tout de suite, et lui donner du plaisir à la rendre aussi folle que je me sentais le devenir.
- Je vous écoute
- Je veux que vous vous soumettez à mes désirs et cela dans une durée dune heure.
- Ah oui ! Si cela peu me permettre déviter de passer par la case compagnie dassurance, jadhère. Un sourire de bien-être éclaira les lèvres, alors quelle se levait. Avait contourné la table pour venir tout proche de moi. Elle posa ses mains sur mes épaules, et tout dun coup elle se pencha sur moi et membrassa. Je cherchais aussitôt sa langue, et sentis avec un plaisir divin la sienne se faufiler entre ses dents et venir titiller le bout de la mienne. Jai promené ma langue le long de la sienne en me délectant du goût fumé de sa salive.
Le baiser fut long et agréable. Puis sa bouche sétait écartée de la mienne. Me fixa de son regard et me dit : elle ma demandé :
- Vous me désirez, tant que ça ?
Ses joues avaient rosi et son regard sétait soudain allumait.
- Dîtes-moi, pour votre part que vous ne mouillez pas en cet instant...
- Oui, je mouille.
- Faite voir ?
Elle releva sa jupe dun geste vif. Je rivais mes yeux sur sa culotte auréolait dune tache humide très éloquente.
- Cest diablement érotique vous savez ? Jaime les femmes qui se donnent sans poser de question.
- Vous avez une préférence. Fit-elle en refermant le compas de ses jambes.
-
une préférence ?
- Oui, dans le salon où dans la chambre.
- Je me disais que nous serions bien ici, dans cette pièce.
- Pourquoi pas, si cela est votre choix.
Elle me fixait avec intensité. Je me trouvais très à laise avec cette femme réellement attrayantes.
Je me levais et lui pris la main.
- Voulez-vous bien vous asseoir cul nue sur la table ?
- Je vois, fit-elle, avec un sourire salace.
Elle glissa ses mains sous sa robe. Se tortilla et enleva sa culotte. À la manière dune gamine qui se change sur la plage.
À laide de la chaise elle se hissa sur le meuble, alors que je maccroupissait pour me glisser sous le plateau de verre. Par transparence, javais une vue imprenable sur son sexe. Qui sécrasait sur la vitre. Les lèvres collées à la paroi en un baiser indécent prenant des reflets luisants. La fente palpitait imperceptiblement. Elle mouillait, couvrant le verre dun brouillard gluant. Sa chatte en sarrachant à la paroi émit un bruit visqueux, comme une ventouse.
Puis de sa propre initiative, elle avait corrigé sa position pour coller son cul contre le plateau. Séparant ses fesses pour que son anneau bistre cerné de stries mauves embrasse le verre. Il me regardait comme laurait fait un il. La raie de son cul était aussi poilue que sa chatte. Il me donnait envie de le sucer, de le mordre.
- Branlez-vous le cul, voulez-vous bien.
Elle cédait à la tentation et y glissait une phalange de son majeur. Son anus le happa comme une petite bouche vorace. Jétais émoustillé par sa passivité. Comme ce fut une joie intense, lorsquelle le fit coulisser entre ses fesses. Frétillant du postérieur comme une chienne. Elle activait encore plus rapidement le doigt qui plongeait entièrement dans son cul. Puis pour ma plus grande satisfaction, elle saccroupi. Les deux pieds à plat en contact avec le verre. Sa posture était dune affolante impudeur. Son index toujours dans le cul, de son autre main elle tâtait louverture luisante du sexe. Fouillant dans les replis soyeux. Elle passait et repassait son doigt entre les lèvres. Elle eut une moue pudibonde. Elle tremblait et soupirait dune façon saccadée. Elle se mit à gémir en jouissant sous sa caresse.
Une idée particulièrement perverse commençait à germer dans mon cerveau, mais il fallait que préalablement je massure que Viviane ne bloquerait pas dessus.
- Jai un fantasme, Viviane, que je voudrais réaliser avec vous. - Oui, pourquoi pas. Cest quoi ?
- Jai envie que vous fassiez pipi sur la table.
- Oh, cest très cochon ça
dit-elle en me regardant, la mine sévère. Mais je veux bien. Dailleurs es-je le choix ?
- Alors, Pissez
Elle écarta les lèvres de sa chatte, et força jusquà ce que la première goutte sorte de son méat, puis deux, puis un jet. La table nétant pas daplomb un chemin de pisse se former sur le verre, courant sur ma droite. Sapprochant peu à peu du bord de la table. Je me déplaçais, et plaçais ma bouche grande ouverte à laplomb de la chute. Tout en massant son clito elle me regardait boire son pipi. Je sortais ma queue de sa prison de toile, et me mis à la branler. La jouissance arriva après seulement quelques va-et-vient. Tant était mon excitation. Souillant le carrelage de mon sperme.
Mous comme de la guimauve, et ankylosé, jétais sorti de dessous la table. Avec le goût salé et âcre dans la bouche. Mes espérances les plus folles étaient comblées. Avec un kleenex je me suis essuyé ma queue avant de la remettre à la place sous létoffe de mon pantalon.
- Alors ? Vous nallez pas me baiser.
- Jai dis une heure.
- Et alors, il reste un bon quart dheure !
Je la sentis déçus en disant cela. Je ramassais la culotte. Dont une tâche sombre maculait son fond.
- Je peux la prendre ?
- Cest avec plaisir que je vous la donne.
Alors que je prenais la route de chez moi, tout en conduisant je plaquais ma bouche sur le tissu. Il était humide de ses sécrétions. Un délicat mélange composé des ses fluides sexuelles et de son urine. De quoi me faire tourner la tête.
Quelques heures plus tard, dans le salon, le pantalon et le slip aux chevilles, jétais devant ma femme à quatre pattes sur le divan. Les cuisses grandes ouvertes. Entre les monts voluptueux de son cul blanc et rond, sa chatte aux lèvres rougies, béantes, était une invitation quil ne pouvait refuser. Je positionnais ma verge à lorée de sa cicatrice et frottais lextrémité de mon gland dabord contre sa toison, puis entre ses grandes lèvres, de haut en bas. Elle souleva son bassin vers moi et je sentis sa liqueur damour séchapper depuis sa fente. Je la pénétrais, dabord avec son gland, puis dun violent mouvement du bassin, je fis disparaître toute la longueur de mon membre dans la fente chaude et ruisselante.
Elle cria de satisfaction et tentant de mavaler plus profondément en elle. Sa chatte enserrait fermement ma bite pendant que jentamais de lents mouvements de reins, quelle accompagna de ses hanches. Chaque va-et-vient arrachait un gémissement des lèvres de ma femme. Quand jaccélérais le rythme, ceux-ci gagnèrent en volume et se transformèrent en hurlements de joie et de plaisir, la laissant terrassée par lorgasme.
Je me retirais pour investir son anus comme à son habitude très accueillant. Jétais complètement déchaîné. Je fermais les yeux et me remémorais lexhibition de Viviane sur la table translucide. Alors que mes narines retrouvaient lodeur que sa culotte avait refoulé. Alors ma rage de navoir pas voulus la posséder éclata à grands coups de boudoir. Je défonçais ma femme qui hurla de douleur et de plaisir. Puis je déchargeais en un cri bref, vite étouffé par les râles de ma femme qui me mâchouillait le pénis avec son anus.
- Ah ! Alain, quel enthousiasme, quelle rage ! Fit ma femme, alors quelle sessuyait le cul. Quest-ce qui ta pris ?
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