Souvenirs De Vacances Et Plus... 2 Domination Soft Et Plus...

Après avoir raconté comment mon oncle Patrick m’a déflorée, beaucoup de temps a passé… Ai-je eu tort d’accepter son baiser profond et ses caresses ? Toujours est t’il qu’en cet après-midi ensoleillé de la fin du mois d’août, j’ai perdu ce qui me restait de virginité.

Le temps a passé… Agée de trente ans, en matière de sexe, j’avais désormais à peu près tout expérimenté.
Toute jeune, ce sont d’abord les plaisir de Lesbos qui m’ont attirée. Alors que les garçons de mon âge n’avaient d’yeux que pour moi, si inaccessible à leur désir, je n’aimais que les filles. Mais j’étais quand même curieuse de baiser avec un homme, ce qui fait que lorsque Patrick a fait de moi une femme à part entière, j’en ai été heureuse.

Avec une vie professionnelle enrichissante mais jamais mariée, j’avais ainsi multiplié les aventures plus ou moins prolongées tant avec des hommes qu’avec des femmes.
La seule chose qui me manquait, c’était une expérience de domination car jusqu’à présent, j’avais toujours participé avec enthousiasme aux diverses étreintes mais je me laissais toujours guider, acceptant volontiers de rendre le plaisir que mes partenaires me donnaient…
Je n’étais pas masochiste mais j’étais prête et curieuse pour une expérience de domination soft. C’était un fantasme qui trottait dans la tête depuis pas mal de temps déjà !


Après avoir recherché des revues spécialisées dans des sexshops, j’ai ensuite prospecté les sites sur la toile afin de trouver le ou la partenaire qui semblerait me convenir. Après plusieurs semaines de recherches et quelques échanges de courriels, ce soir-là, j’étais prête pour l’aventure avec Maîtresse Simone.


Le rendez vous était pris pour le samedi soir où je devais me rendre dans une maison de la vallée de Chevreuse. A l’adresse indiquée, je découvris au fond d’un parc arboré, un moulin parfaitement restauré avec plusieurs voitures dans la cour.
Je fus accueillie par un Noir immense vêtu d’un boubou coloré qui me conduisit directement dans une pièce située sous le toit.

Seuls quelques lumignons rouges et orange perçaient la pénombre de la pièce qui m’a semblée immense. Il me fit asseoir sur un haut tabouret en me disant de me pas bouger et que Maîtresse Simone allait venir s’occuper de moi.

Quelques minutes plus tard, l’éclairage de la pièce a augmenté progressivement et je commençais à distinguer ce qui meublait cette pièce : deux croix en X, des chevalets de diverses formes recouverts de velours bleu marine, des panoplies avec toutes sortes de fouets, cravaches, bracelets et accessoires divers et un immense lit rond et bas, des divans bas abondamment garnis de coussin, des poufs de différentes hauteurs.

Bref, je me trouvais dans une chambre de s mais qui, je l’ai vu plu tard, pouvait aussi servir à des ébats érotiques. A ce moment une grande et forte femme vêtue de noir de la tête aux pieds est entrée en disant :
- Je suis Maîtresse Simone ! A genoux devant moi et embrasse mes pieds ! Tu es là pour te soumettre comme tu le souhaites.

Je quittai précipitamment mon tabouret et je me prosternai comme les autres personnes devant celle qui allait être ma tortionnaire pour la soirée. Selon les indications qui m’avaient été données, je ne portais que mon soutif et un string noirs et j’avais du louer une immense cape noire également pour me couvrir. Soudain, mes fesses couvertes par la cape ont été cinglées de plusieurs coups de cravache, pas trop appuyés mais suffisamment pour ressentir une brûlure là où les coups avaient porté. C’était l’entrée en matière.

L’ordre a claqué sèchement :
- Enlève ta cape et tes dessous ! Va te coucher à plat ventre sur le chevalet haut.

Pendant que je m’installais, le Noir revint et il a entravé mes poignets et mes chevilles dans des bracelets fixés au sol. Mes seins (qui avaient pris du volume depuis une dizaine d’années) pendaient de chaque côté et mon cul, éclairé par un spot, était offert à la vue de la dizaine de spectateurs, hommes et femmes, qui étaient entrés quelques instants avant l’arrivée de Maîtresse Simone.


Et mon supplice commença ! Le Noir est venu placer des pinces sur mes tétons puis il s’est placé sur le côté à la hauteur de mes hanches. Clac ! Une main immense s’est abattue sur une fesse, puis sur l’autre alternativement, pas trop appuyées ces claques mais je sentais ma peau s’échauffer. Je mordais mes lèvres pour ne pas gémir.

Soudain cette fessée prit fin pour être remplacée par une caresse douce sur mes fesses, dans mon entrejambe, sur mon dos. Maîtresse Simone me caressait avec une sorte de plumeau avec une manche assez long et, je l’ai vu plus tard, imitant à l’autre extrémité un phallus de bonne taille. C’était doux et très sensuel. Mais cela n’a pas duré.

De nouveau la cravache s’est abattue sur mes fesses, le haut de mes cuisses, au creux de mes reins, sur mes épaules. Là encore les coups n’étaient pas trop appuyés quand Maîtresse Simone a dit à son acolyte :
- Charge ! Etire-lui les mamelles !

J’ai compris tout de suite quand il a changé les pinces de mes tétons par d’autres pourvues un petit poids. Mes tétons pincés ont été étirés vers le bas. Là je commençais à avoir vraiment mal et les coups de cravache reprirent. Partout où j’avais été fustigée, j’avais la sensation que des flammes montaient de mon corps. Puis les coups cessèrent, remplacés aussitôt par des nouvelles caresses avec le plumeau.

Les spectateurs ont approché, les femmes me caressaient les cheveux, les épaules et m’encourageaient. Les hommes admiraient mes seins pendants ou flattaient mes fesses, allant même jusqu’à introduire un doigt dans ma chatte ou mon cul.

Maîtresse Simone dit alors :
- Ca suffit, passons à autre chose !

Le Noir dont ce soir là je n’ai pas su le nom, est venu retirer les pinces de mes seins. Il m’a détachée. Il a passé un collier en cuir autour de mon cou et, tenant à la main une laisse, il m’a guidé vers un curieux fauteuil ressemblant à un siège gynécologique mais plus confortable pour que je m’y installe.


J’avais le buste semi allongé, les jambes écartées et entravées reposant sur des étriers prolongeant les bras du siège, mes fesses au ras de l’assise, la chatte et le cul totalement accessibles. Ainsi offerte, ma pose était humiliante mais ce n’était pas tout.

Une soubrette âgée d’une vingtaine d’années tout au plus, court vêtue et les seins à l’air derrière la bavette de son tablier blanc, est arrivée avec un broc à lavement muni d’un long tuyau terminé par une canule imitant un sexe masculin de belle taille. Elle l’a enduit rapidement de gel et d’un geste brusque l’a enfoncé dans mon cul.
Heureusement que le passage avait déjà été ouvert !
Je sentis bientôt le liquide tiède envahir mes intestins et mon ventre gonfler.
Au bout de quelques temps, elle a retiré la canule tout aussi brusquement en me disant d’une voix sévère :
- Serre les fesses.

J’avais le ventre rebondi comme une femme enceinte. Certains spectateurs faisaient le cercle autour de moi en commentant ce qu’ils voyaient pendant que d’autres se faisaient fouetter ou humilier.
L’un d’eux s’est même enhardi pour palper mon ventre en descendant jusqu’à ma vulve où il a introduit deux doigts avant de se faire réprimander par Maîtresse Simone.
Je n’en pouvais plus de contracter mon sphincter pour retenir le liquide en moi. La soubrette revint pour me conduire aux toilettes où je me suis vidée les intestins avec plaisir.

Quand je revins dans la grande pièce, j’avais les jambes qui tremblaient. Maîtresse Simone rappela tout le monde autour de moi en disant que pour une première séance j’avais bien encaissé et que méritais ma récompense.

Le Noir revint pour me bander les yeux pendant que Maîtresse Simone me disait de choisir mon partenaire, homme ou femme, le premier touché à ce jeu de Colin Maillart érotique pourrait me faire l’amour. Le hasard fait que j’ai touché une femme qui m’a aussitôt entrainée vers le grand lit en ôtant mon bandeau.


Elle a environ 40 ans, plus petite que moi, elle a un corps potelé avec des belles rondeurs. Je découvre que ses fesses et ses seins sont zébrés de marques rouges légèrement boursoufflées.
Elle a certainement été fouettée ce soir. Devant mon regard interrogateur, elle me dit :
- C’est mon mari, il m’a puni parce qu’hier soir, je n’ai pas voulu participer à un trio avec un de ses copains !


Nous avons fait l’amour divinement au milieu de couples venus nous rejoindre sur le grand lit. Ma première séance de « dominée » se terminait par une partouze, mais cela devait être habituel dans ce lieu. Depuis, je suis retournée plusieurs fois au moulin pour d’autres

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