Le Charpentier
LE CHARPENTIER
Avant dêtre pensionnaire dans linternat dun lycée technique, je suivais des stages de formation pendant lété. Lun dentre eux était un stage dans un atelier de fabrication de charpentes en bois. Javais alors 19 ans et jétais assez timide. Jétais plutôt gros et certaines personnes mavaient déjà fait des réflexions au sujets de mes fesses. Jentendais des remarques sur la grosseur de mon cul, des propos grivois surtout de la part dhommes murs que je croisais lors de mes promenades. Ils me faisaient rougir et déclenchaient une sensation de chaleur dans cette partie de ma personne.
Le premier stage se déroulait dans un atelier de charpente. Jy étais seul en compagnie dun ouvrier âgé de 50 ans. Les autres et le patron travaillaient sur un chantier à lextérieur. Jétais chargé de dessiner des éléments de la charpente. Ensuite louvrier les découpait et les assemblait.
Il était assez gros, disons bien bâti, avec un gros ventre et des bras musclés.
Il était agréable et me souriait souvent. Bien sûr je lui rendais ses sourires. Il me racontait des histoires tout en fixant son regard sur mon anatomie. Javais remarqué quil sintéressait beaucoup à mes fesses et mes cuisses sous mon bermuda et moi je ne faisais rien pour les cacher, au contraire. Je faisais toujours en sorte de les mettre en valeur, en écartant largement mes cuisses afin davoir plus de stabilité dans mon travail.
Après deux jours, le charpentier était devenu plus familier et souvent il me rendait visite dans le local qui avait été aménagé pour mes activités. Il plaisantait, et même une fois il ma caressé les fesses en me disant que javais un beau derrière très appétissant et que je devais avoir du succès.
Ce soir là il en était resté là mais il ne se privait pas de continuer à faire des commentaires, des allusions
.me demandait si je sortais avec une fille
je répondis non et son visage séclaira et il me fit un sourire très coquin en passant sa langue sur ses lèvres.
Puis il défit la fermeture de son bleu et sortit un gros sexe bandé. Je le regardais avec étonnement, cétait la première fois que je voyais un sexe dhomme, jétais impressionné. Il était gros avec un gros gland décalotté, rouge et luisant.
Louvrier me demanda si je voulais le toucher, le caresser. Vous savez, jétais très timide, je ne savais pas comment réagir
.alors louvrier pris ma main et me força à caresser son membre qui était de plus en plus gros. Je me laissais faire, soumis à sa volonté. A ce moment là, il passa sa grosse main derrière ma tête, me tint fermement et approcha son gros sexe décalotté vers ma bouche.
Je sentais son odeur très forte, odeur durine et autres. Jétais soumis à ses désirs, ses volontés. Il me dit dune manière brutale douvrir ma bouche et de lécher, de sucer son gros gland.
Bien sûr, par cet homme je fis ce quil me demandait. Je suçais et aspirais son gros gland doù sécoulait un liquide que je ne pouvais pas voir, je le goûtais et je me surpris à aimer ce que je faisais, à me conduire comme une salope comme dans les histoires cochonnes que javais lues au lycée.
Louvrier mencourageait, il me traitait de salope. Il enfonça son sexe dur bien au fond de ma bouche et fit des vas et viens comme sil me la baisait.
Moi, jadorais ce quil me faisait subir, jétais sous lemprise du gros sexe dun homme vicieux, à qui je donnais du plaisir.
Puis je sentis son sexe faire des soubresauts, se raidir encore et puis son gland cracha de nombreux et abondants jets de crème chaude et bien gluante. Ces jets me remplirent toute la bouche. Louvrier me maintenant toujours la tête, il me fut impossible déchapper à cette douche de sperme, que jappréciais. Javalais, je goûtais. Jadorais ce goût sucré/salé.
Alors il caressa mes grosses fesses, baissa brutalement mon bermuda et mon caleçon fit aller et venir ses gros doigts le long de ma raie, appuya sur mon anus, il me le caressait en tournant. Sous ses caresses, je poussais des soupirs de jouissance. Et lui il respirait très fort, soufflait dans mon cou en me disant des mots doux. Je me sentais complètement soumis à ses volontés. Je me sentais femelle, javais envie de me faire baiser par ce gros ouvrier qui sétait déjà vidé dans ma bouche.
Puis soudain il sarrêta net et me dit que demain et il me fera connaître un autre plaisir, en soccupant bien de mon petit trou vierge et quil fera venir un de ses amis viendrait nous rendre une visite.
Effectivement le lendemain matin il me présenta Luc, un de ses amis qui lui rendait visite. Il me salua avec un beau sourire. Il avait la quarantaine. Le charpentier nous invita tous à nous rendre dans mon petit local pour prendre un apéritif.
Alors le charpentier dit à Luc que je jaimais sucer et que je savais faire bien jouir un homme. Il lui a aussi fait remarquer que javais de belles fesses bien appétissantes. Luc était un peu gêné mais il ne tarda pas à me caresser le cul en marrachant un profond soupir.
Alors, le charpentier nous versa un alcool fort que nous bûmes tous les trois dun trait. La tête me tournait un peu.
Jai alors remarqué que le pantalon de Luc faisait une grosse bosse vers sa braguette. Le charpentier me demanda de louvrir pour découvrir un trésor. Je ne fis pas prier et jouvrais sa braguette et fis jaillir un beau sexe bien dur.
Je me mis à genoux et je me mis à sucer son gland quil avait découvert. Lui aussi avait une forte odeur qui dans un premier temps mapparut répugnante, mais après avoir passé ma langue tout autour comme quand on lèche une glace, elle mapparut délicieuse, jadorais le goût fort et son odeur.
Je me sentais bien salope, cet homme me donnait son sexe.
Soudain le charpentier baissa mon bermuda et mon slip, il caressa mes grosses fesses, moi je les écartais bien pour quil puisse voir mon anus.
Je mis mes coudes sur la table, jécartais les cuisses.
A ce moment je sentis que Luc jouissait dans ma bouche, plusieurs jets de crème chaude et goûteuse, un délice que je mempressais davaler.
Un peu de son sperme chaud sécoulait autour de ma bouche, je passais ma langue pour bien le goûter.
A demi couché sur la table du local, appuyé sur mes coudes, je sentais que le charpentier forçait sur mon anus vierge avec son gros gland. Il avait mis beaucoup de gel. Il forçait, ça me faisait mal puis soudain je sentis quune pression plus forte de son gland avait eu raison de mon trou. Il y pénétra, la douleur disparut progressivement, le charpentier fit des vas et viens dabord lents puis rapides et profonds. Il sacharnait sur mon anus.
Je sentis le plaisir monter, je gémissais et lui derrière moi me pistonnait, avec force, je le sentais bien frapper au fond et ses grosses couilles frotter sur mes cuisses. Il mavait bien ouvert lanus, il coulissait bien.
Soudain le charpentier poussa un fort gémissement, il se retira de mon anus. Je sentis quil jouissait, quil marrosait les fesses avec son sperme chaud et gluant. Jétais soumis, je me sentais femelle.
Je ne me suis pas essuyé, jai laissé le sperme chaud entre mes fesses puis jai remonté mon bermuda et je suis resté ainsi toute la journée, souillé.
La prochaine fois nous irons dans un restaurant avec dautres copains. Le charpentier connaît très bien le patron qui se fera un plaisir de nous recevoir. Moi, jai bien envie de rencontrer dautres personnes qui aimeraient faire ma connaissance.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!