Après Un Retard
Cest bien ma chance ; jai déjà près dune demi-heure de retard et cela navance pas ; alors que nous avions un repas de prévu, avec des amis à la maison, jai une urgence à lhosto. Heureusement que cest mon homme qui doit faire le repas, sa spécialité un couscou ; finalement cest avec 1 heure de retard que jarrive à la maison ; la voiture de nos amis est déjà dans la cour ; je sens que je vais encore avoir des remarques.
Quand jarrive dans le couloir, je suis surprise par les bruits que jentends, comme un bucheron qui cogne dur un tronc, les han saccompagnent de gémissements ; intriguée, je jette un regard discret vers le salon et ce que je découvre me laisse stupéfaite : mon homme à plat ventre sur le bras du fauteuil, se faisant joliment enculer, tout en suçant celui qui est devant lui. Ah oui, une précision, nos amis sont deux hommes, célibataires, jouant dans le même club de badminton.
Bien sûr, jai déjà vu Jean avec un homme lors de nos sorties libertines, mais là je suis surprise de la tournure du rendez-vous ; à aucun moment, il ne mavait dit que ses amis étaient gays. En silence , je continue mon observation, et je dois dire que le plaisir de voir mon homme entrain de se faire sodomiser est évident, ; quittant parfois la queue quil suce, je lentends râler, signe que je connais bien, il est en pleine jouissance ; son ami, accroché, à ses hanches le perfore violement ( il adore cela), à chaque pénétration son bassin vient claquer sur le fessier offert ; si je ne vois pas le sexe de celui qui lencule, par contre, celle qui lui prend la bouche est de belle facture ; quand jean la lâche, je peux constater au moins 20 cm et sans doute très grosse. Le tableau, sil ma surpris, ne me choque guère, bien au contraire et je sens ma chatte se remplir de cyprine ;jai déjà vu jean se faire prendre, mais là le voir avec deux autres menvoie des décharges dadrénaline dans le ventre lenvie de me caresser devient criante.
Finalement, jean a réussi à faire jouir celui quil suçait et deux jets de sperme viennent sécraser sur son visage, avant quil ne gobe à nouveau la bite offerte pour avaler le reste de la semence. Puis à son tour, le deuxième se cambrant a joui à son tour, lâchant toute sa purée dans les entrailles pénétrées ; pour jean, il ne peut retenir son plaisir, bruyant, total. Les doigts complétement enfoncés dans ma chatte écartelée, je ne tarde pas moi aussi à jouir, ma cyprine, abondante sécoulant sur mes cuisses.
Alors que les trois compères reprennent leurs esprits, je fais mon entrée ; ma jupe encore retroussée leur prouve que jassistais à leurs ébats, et ils ne savent pas trop comment se comporter ; deux ont la quequette basse, le méat encore goutant, seul jean na pas juté et sa queue est encore bien tendue ; sans un mot je me mets à genoux et la prenant à pleine main , je le branle, le suce, lui mordille le gland. Surpris les deux amis me regardent et constatant que de la semence perle de leur méat, je viens les sucer à tour de rôle, alors que jean sous leffet de ma branlette éjacule enfin, me maculant le visage.
Alors que tout se calme, les trois hommes ne savent pas comment réagir ; afin de les mettre plus à laise, et ayant très envie de me faire saillir,à mon tour je me déshabille , gardant simplement mon string ; mais alors que je croyais les deux amis gay, je maperçois de mon erreur, sans doute la vue de mon corps nu leur donne des envies ; si la queue de jean pendouille encore, les deux autres ont retrouvé leur vigueur, et la situation évolue rapidement ; après un accord dun signe de tête, celui qui prenait jean vient près de moi et sans préambule, il me renverse sur le canapé , arrache mon string et dune poussée, il senfourne dans ma chatte .
La situation a évolué car maintenant cest moi qui me fait prendre par une tige ardente, trapue et très vigoureuse ; enfoncée jusquà la garde, elle mamène rapidement à la jouissance, et regardant mon homme, étonné de la façon où je me suis offerte, je lui dis « regarde comme il sait bien me faire exploser, comme toi tout lheure, je jouis sous une belle queue et je vais profiter comme toi de tes amis « et madressant à lhomme qui se paluche à coté de nous « vas y baise le en meme temps que moi je me fais troncher, ce soir , jai envie dêtre une petite salope comme mon homme va être votre petite lope » lui ne pourra pas me toucher, nous vous appartenons totalement, faites de nous ce que vous avait envie » je ne peux en dire plus car mon baiseur, sans doute excité par mon discours me pilonne avec force, me percutant violemment, ses mains me triturent les seins, pinçant les testons pour mon plus grand plaisir ; je ne suis plus que jouissance et brutalement je crie mon plaisir « oh oui cest trop bon, jean, il me defonce oh putain il me féconde oh !!!!!!!!!!!! »
A coté de moi , jean lui aussi gémit sous les coups de butoirs ; cest la deuxième fois quil se fait défoncer la rondelle et manifestement il aime cela ; soudain son ami se retire et le retournant, il lui fourre la queue entre les lèvres et lui agrippant la tête, il éjacule dans sa bouche ; jean suffoque et quand il se libère, le sperme sécoule de ses lèvres.
Finalement nous restons tous nus, et alors que nous nous restaurons, jean mexplique que pour mattendre, il avait un peu consommé et quà force d histoires sans doute salées, lun des amis avait proposé doccuper le temps et sétait approché de son copain et lui avait roulé une pelle. Jean , sans doute très excité , en avait fait de même ; la suite a été toute naturelle et quand il a avoué quil aimé bien se faire prendre, lun la sodomisé, lautre sest fait sucé ; ce que javais vu.
Mais pour ma part , jétais encore sur ma fin ; javais en tête deux envies : la première me faire prendre par lautre ami, avant si possible dune double vaginale ou totale, mais aussi et peut être surtout voir jean se faire prendre en double lui aussi , ce qui ne lui était encore jamais arrivé. Autrement dit la soirée ne faisait que commençait
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