Collection Black. Harcèlements Sexuels Sur Mon Lieu De Travail (3/11)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Espérant le poste de chef de projet dans mon entreprise, alors que je suis déjà adjointe dans le service où j’ai monté les échelons depuis presque dix ans.
Monsieur Gandin, notre PDG m’annonce que sa femme a été en contact avec un dénommé Boby, bardé de diplômes et qui me prenait mon poste au départ de monsieur Léon faisant droit à sa retraite.
Rapidement, je suis confronté à ses harcèlements sexuels, je m’en ouvre à monsieur Gandin, qui m’en remet une couche, m’avouant son envie de moi et me faisant passer pour une intrigante.
Prise à la gorge, nos finances ne me permettant pas de risquer la perte de mon salaire, je finis par céder, je dois la vérité, j’en tire un grand profit, la queue de mon supérieur et amant me fait jouir comme jamais.
Nous allons même jusqu’à baiser dans mon lit conjugal et à l’occasion, il me sodomise malgré la grosseur de son engin.

C’est à la fête de Noël organisée par le patron et la patronne que Christian, le garçon, mécanicien d’entretien qui il y a quelques années m'a dépucelée finissant par épouser Geneviève, notre chef comptable, fort jolie de surcroît, je dois le reconnaître et ayant l’avantage d’avoir un plus haut revenu.
Si je devais donner une note aux trois hommes que j’ai eus dans ma vie, allez quatre, petite confidence de ma part, jusqu’au jour où l’on m’a imposé Boby et sa queue black les devance.
Christian me demande si Boby vient des USA.

• Non, c’est Louisa notre patronne qui l’a rencontré au Mexique où elle était partie en vacances, elle est revenue avec lui et son mari monsieur Gandin lui a donné le poste que je pensais avoir gagné par mon travail.
Depuis qu’il est arrivé, il me harcèle, allant même jusqu’à se faire mousser auprès du patron profitant de dossiers que j’avais préparés.
• Tu lèves mes doutes Joelle, ce ne peut être que lui, je me souviens plus de son nom, sauf le prénom, John, cet homme est recherché par les polices américaines pour banqueroute à Dallas, avec vol d’une somme de 50 millions de dollars, il a disparu dans la nature et ils ont dit qu’Interpole avait ouvert une enquête.



Je vois de suite, comment je vais pouvoir tirer profit de la situation si c’est bien lui.

• Joelle, si tu le désir, je retourne à New York le 2 janvier après les fêtes, je pourrais me renseigner et t’envoyer tout ce que je pourrais trouver.
• En se tirant avec l’argent, à ce qu’ils disaient aux infos, il a mis sur la paille près de 3 000 employés de la société, sans compter la femme qu’il manipulait et qu’il avait fait mettre à la tête de la société.
Je me souviens bien de cette histoire, ça a fait du bruit pendant huit jours sur les chaînes infos, car cette femme s'est tiré une balle dans la tête de honte après ce qu’elle avait accepté de faire.
Gaffes à tes arrières, ma belle, ma femme et toi pourriez perdre votre emploi et votre chemise.
• Merci, Christian, je compte sur toi, retournons à la soirée, faisons attention de ne pas éveiller ses soupçons.

De retour dans la salle, une envie naturelle me vient, je passe dire deux mots à Lionel qui discute avec Geneviève, il m’embrasse du bout des lèvres et je sors pour aller aux toilettes.
Toilettes dames, cinq femmes papotent en attendant leur tour, la conversation avec Christian ayant duré, il me faut trouver une solution, sinon je vais pisser dans ma culotte que j’ai mise pour cette fête, me voyant mal me faire sauter par le père Noël.
Les toilettes des bureaux à l’étage, voilà ma solution, je prends l’ascenseur serrant les cuisses, quand je m’assois, je me soulage avec délices, l’opération terminée, je sors.

• Alors ma belle pute, je t’ai vu prendre l’ascenseur, bravo, tu as réussi à nous isoler, les toilettes des dames à l’étage, il fallait y penser, entre, je vais te défoncer comme tu aimes !

Pour me défoncer, comme j’aime, il peut le dire, il me cloue littéralement à la paroi et avec force, il me soulève avant de me faire retomber sur son pieu, il est gêné par ma culotte et d’une main baladeuse, il me l’arrache littéralement et me la met dans la bouche.


• Pour me défoncer, comme j’aime, il peut le dire, il me cloue littéralement à la paroi et avec force, il me soulève avant de me faire retomber sur son pieu, il est gêné par ma culotte et d’une main baladeuse, il me l’arrache littéralement et me la met dans la bouche.

Bien que j’aie désobéi, cette promesse me fait voir l’influence dans ses délires pervers que cet homme a réussi à prendre sur moi, il me remplit tellement divinement, allant jusqu’à défoncer le fond de mon vagin touchant mon utérus avec la grosseur et surtout la longueur de sa verge.
D’un côté, je bous de lui faire payer ce qu’il a fait de moi e me piquant mon poste et de l’autre, chaque partie de baise qu’il m’impose me rapproche de plus en plus de la chienne que de la femme aimant son mari.
Je commence à geindre de plaisir à travers ma culotte, les grognements que j’émets doivent s’entendre quand un bruit de porte s’ouvrant à quelques mètres de nous derrière la paroi, suspend ses coups de boutoir.
Rapidement, je comprends que c’est dans les toilettes des hommes que l’on est entré, ce que j’entends devrait me glacer d’effrois.

• Merci Christian de m’avoir fait monter ici, avec la file d’attente en bas, j’aurais mouillé mon pantalon faisant la honte à Joelle de mon comportement.

Ciel mon mari, c’est ce que je devrais dire, quand j’entends Lionel parler derrière la cloison avec Christian mon premier amant, heureusement que Boby m’a muselé avec mon sous-vêtement, car sa bite continue de me labourer à m’en faire jouir, ajouter à la situation insolite, je prends le pied de ma vie.
Est-ce normal qu’une femme se fasse baiser à moins d’un mètre de son mari et que cette situation-là stimule.

• Comment Joelle a-t-elle pris son éviction du poste qu’elle espérait obtenir, par ses efforts dans son travail ?
• Je la trouve soucieuse, mais j’ai une femme très forte, elle s’en remettra.
• À qui le dis-tu, a-t-elle dit que nous avons été très proches avant votre rencontre ?
• Je savais que je n’avais pas été le premier, mais je ne lui aie jamais demandé qui l’avait dépucelé, c’était son affaire, mais j’ignorais que tu avais fait partie de ses premiers amants.

• Le premier pour elle, la première pour moi, détrompe-toi mon ami, quand je l’ai quitté, c’est rapidement toi qui l’as consolé, je pense que nous sommes les deux seules à l’avoir connu intimement.

Entendre parler de moi, une bite dans la chatte, c’est vraiment bizarre, ces propos doivent exciter Boby, car ses coups me labourant redoublent jusqu’au moment où il se vide les couilles en moi.
Je pourrais les détromper en passant de l’autre côté, car ils ne sont pas deux, mais trois, quatre si je compte Boby, ce qu’ils ne savent pas, c’est l’amant que j’ai eu il y a quelques mois, je suis tombé dans la rue à quelques mètres de chez nous, un jeune garçon m’a aidé.
Il m’a soutenu jusque dans mon salon, l’une de mes chevilles ayant lâché et comme mon genou saignait, à ma demande, il est allé chercher des pansements dans notre salle d’eau, il est entré puceau et est ressorti, pouvant se féliciter d’avoir perdu sa rondelle avec moi.
J’ignore jusqu’à son nom, si Christian et Lionel n’avait pas parlé du nombre de mes amants, je l’avais partiellement effacé de ma mémoire, car je n’ai jamais joui le temps qu’il a été en moi.
Boby se fiche complètement que mon mari soit derrière cette paroi, il se tourne et commence à pisser dans la cuvette.

• As-tu entendu, il y a eu du bruit dans les toilettes des femmes ?
• Tu as raison, sortons, ces parois sont si minces.

J’entends la porte se refermer et sans plus de précautions, Boby sort lui aussi au risque de rencontrer mon mari.
Je suis toujours appuyé le visage et les seins collés à la paroi, je finis par récupérer de ce moment autant divin, qu’étrange, j’enlève ma culotte de ma bouche, dans l’état où elle est, je suis dans l’obligation d’ouvrir la poubelle à tampon et la déposer dans le sac plastique que la société de nettoyage va vider demain.

De retour dans la salle où se tient la fête, je retrouve Boby discutant avec Lionel et de nouveau Geneviève, je feins un début de migraine afin de partir avec Lionel.


• Fais un petit effort, j’aimerais rester un peu, mais c’est toi qui commandes.
• Je n’ai pas de voiture, je vous aurais raccompagné, votre femme m’étant tellement précieuse, je vous dois bien cela.
• Rentre Joelle, Christian est venu avec sa voiture et moi la mienne, je le raccompagnerais, va te reposer.

C’est sur un regard ironique de Boby que je salue quelques collègues et les patrons, avant de reprendre l’ascenseur et descendre au parking, je me dépêche de prendre ma voiture et de sortir, connaissant maintenant Boby, il est capable de remettre le couvert sur le capot d’une voiture avec tous les risques que cela comporte.
La situation que j’ai vécue dans les toilettes prise par mon amant et écoutant mes autres partenaires de sexe parlant de moi, m’a suffi pour ce soir.
De plus, je suis en vacances la semaine entre Noël et le jour de l'An, nous emmenons Romain chez mes parents pour les deux fêtes, je suis d’humeur exécrable pendant notre séjour, outre l’éloignement de mon Maître noir, j’ai ce qui arrive à toutes les femmes chaque mois.

Je retourne au travail, Boby brille par son absence pendant plusieurs jours, un mail du système interne me demandant d’assumer, comme monsieur Gandin est seul à Paris, Louisa sa femme à ce qu’il me dit est partie à La Plagne faire du ski, j’ai affaire directement à lui.

• Bonne année Joelle, je suis à l’aéroport de Roissy, je pars dans une demi-heure pour New York, je pense à notre affaire, je t’enverrai des messages électroniques avec les pièces que je trouverais.

Bon voyage, mon ami, trouve-moi les preuves nécessaires à ma libération afin que ma vie reprenne son court, aussi bien avec Lionel qui pour le moment semble peu pressé à faire son devoir conjugal.
C’est le jeudi quand je quitte mon travail que les choses se précipitent, où est Boby, à Paris, pour arriver à mettre dans ma voiture avec mon nom marqué au feutre noir.
Mon premier réflexe est d’appeler les services de sécurité, trouvant un colis suspect surtout dans ma voiture que je suis sûr d’avoir fermé en arrivant, mais quel terroriste serait capable de vouloir faire sauter une femme qu’il connaît le nom.
À l'intérieur un short en cuir noir lassé, à hauteur de la chatte, un soutient gorges dans la même matière, des cuissardes et une paire de bas noire.

Une lettre écrite de la main de Boby, je reconnais son écriture aussi bien dans la forme que dans le style.

« Souviens-toi de ce que je t’ai dit, ce n’est pas parce que je suis absent étant parti visiter vos belles Alpes que je t’oublie.
Voici une adresse, demain dans ton bureau, tu mettras ces affaires, elles feront de toi la pute que j’aime que tu sois et tu rejoindras cette adresse à 21 heures sans avoir mangé, tu seras nourri pendant cette soirée, un homme te fera entrer après bonne soirée » …

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