Souvenirs De Vacances Et Plus... 3. Dressage.
Ce soir-là, bien des semaines après ma première visite au Moulin de Maîtresse Simone, je vais y retourner.
Elle ma appelé en début de semaine pour mordonner de venir le samedi à 22 heures précises. Elle voulait poursuivre avec moi la découverte de la domination.
Javais connu une première initiation à la domination soft au cours de laquelle javais été fessée et fouettée, javais eu les seins étirés et le ventre rempli dun lavement à leau tiède et pour finir, javais fait lamour avec une femme que le sort avait désignée au cours dun jeu de « Colin-maillard » érotique.
Jétais retournée plusieurs fois au Moulin pour achever mon dressage
Dès que jai sonné à la porte dentrée, jai été accueillie par le même colosse noir que les fois précédentes. Il ma conduit aussitôt dans la grande pièce de létage où la plupart des séances de domination semblaient avoir lieu.
Je retrouvai le même décor mais il avait été complété par deux balançoires dont les nacelles en cuir étaient percées de deux orifices (je découvrirais pourquoi au cours de la soirée) et dune curieuse machine accolée à un lit bas.
Il y a déjà plusieurs couples qui sont occupés à divers sévices. Les deux croix de Saint André étaient utilisées : une femme et un homme y étaient attachés, un bâillon sur la bouche. La femme tournait le dos à la salle et je pus voir quelle avait été copieusement fustigée tant le haut de ses cuisses, ses fesses et son dos étaient striés de balafres rouges dues à la cravache quappliquait avec la rigueur dun métronome un autre colosse noir uniquement vêtu dun pagne coloré.
Lhomme était lui aussi bâillonné et il avait les yeux bandés. Les tétons de ses seins étaient pris dans des pinces et ses couilles étaient passées dans un lacet avec un poids à lextrémité. Il ma semblé en pénitence !
Le noir qui ma accueilli me tenait fermement par le bras gauche et il me guidait vers le chevalet où javais déjà été attachée lors de ma première visite.
Il ma attachée à plat ventre et ma mis une cagoule en satin sur la tête mais pas de pinces ni de poids à mes seins.
Jentendais tout ce qui se passait mais jétais totalement aveugle. Je percevais le claquement des cravaches et des fouets, les grognements de douleur des uns et des autres. La séance était bien lancée par les acolytes de Maîtresse Simone mais personne ne soccupait de moi
Je perdis la notion du temps.
Soudain, un coup de cravache ma cinglé le haut des cuisses, puis un autre sur les fesses, puis encore un autre au creux des reins. Ils nétaient pas trop appuyés mais la surprise ma fait sursauter. Et çà continuait, toujours au même rythme mais de plus en plus appuyés. Si au début, je comptais les coups, je perdis vite la notion du nombre surtout quand à chaque fois je criais de douleur. Javais dabord serré les dents mais il est arrivé un moment ou je nai plus pu me retenir.
Javais chaud de partout, pas seulement où les coups de cravache avaient zébré ma peau, je transpirais sous la cagoule et je sentais que ma cyprine suintais de ma chatte mouillant le fond de mon tanga. Aussi brutalement quelle avait commencé, la fustigation cessa. Le grand noir avec le pagne ma détachée. Cest lui qui mavait fouetté car la cravache était passée dans sa ceinture :
- Debout chienne, tu nas pas encore fini avec moi !
Et il ma entraînée vers une des croix de Saint André où il ma attachée face à la salle après mavoir pratiquement arraché mes sous-vêtements tant il a été vif et brutal dans ses gestes...
Je restai ainsi exposée à la vue de tous pendant de longues minutes au cours desquelles, hommes ou femmes sont venus me triturer les pointes des seins, les palper ainsi que la fourche de mes cuisses où ils enfonçaient brutalement plusieurs doigts ou des godes de forte taille.
Maitresse Simone, qui jusquà présent avait été occupée avec deux autres femmes plus âgées que moi, sest approchée en me disant dune voix mielleuse :
- Ma belle, ce soir tu vas savoir ce quest la souffrance avant de connaitre le plaisir de te faire bien baiser. Je suis sure que tu vas apprécier.
Elle ma détachée et ma conduite vers une sorte de tréteau allongé où je dus me coucher sur le dos. Le grand noir avec le boubou et la soubrette mont attachée, les bras relevés de part et dautre de la tête. Les liens de cuir ont été placés sur des tambours où en senroulant, ils étiraient mes jambes et mes bras. Jétais littéralement écartelée, la fourche de mes cuisses offerte à la vue de tous.
Au fur et à mesure de la tension des liens, la douleur de lélongation commençait à saccen. Mes articulations devenaient douloureuses. Puis la tension sest arrêtée mais létirement de mon corps a persisté quelques temps avant dêtre relâchée légèrement.
Le supplice continuait : Le grand noir et la soubrette rivalisaient pour mappliquer des claques et des pincements aux endroits les plus sensibles et au niveau des articulations des bras et des jambes. Je ne pouvais absolument pas my soustraire ni même crier ma douleur car avant de commencer ils avaient placé une poire dangoisse dans ma bouche.
Puis ils mabandonnèrent, exposée au vu de tous. Un couple sest approché de moi. Lhomme, très grand et très mince, ma retiré la poire dangoisse et a glissé une bite imposante à moitié bandée dans ma bouche. Je savais ce quil attendait de moi : que je le suce
Javais de la peine à la faire entrer dans ma bouche tant elle était gigantesque. La femme, une grande blonde dune quarantaine dannées à la poitrine menue et aux hanches étroites sest mise à genoux dans la fourche de mes jambes et a débuté un cunnilingus très appuyé, Elle a fait coulisser plusieurs doigts dans ma chatte qui est inondée avant de dire à lhomme que je semblais prête.
- Vas-y, elle semble bien ouverte, continue, mets-y ta main en entier ! Je la baiserai après. Ouvre-moi le passage.
La femme a continué de me masturber ainsi, je sentais que ma chatte souvrait de plus en plus quand elle a dit dun air triomphant :
- Çà y est. ma main est entrée jusquau poignet.
Je ne ressentais plus aucun plaisir. La douleur dune telle intromission métait insupportable au début, puis je my suis habituée peu à peu quand la femme fait coulisser sa main en moi en caressant doucement mon clito. Puis elle sest retirée...
- Viens, elle est prête !
Ils ont changé de place. Lhomme a enfilé un préservatif et dun seul coup il ma éperonnée brutalement, faisant claquer son pubis contre le mien. Ma chatte navait heureusement pas eu le temps de se refermer car sinon, je laurais sentie passer cette bite de cheval qui maintenant me ramonait à grands coups de reins.
La femme vint placer la fourche de ses jambes au dessus de mon visage. Javais en gros plan la vue de ses lèvres intimes très développées qui pendaient jusquà mes lèvres. Je voyais aussi les deux petits anneaux qui les perçaient et la petite barrette dorée qui traversait le capuchon de son clitoris. Je navais quune chose à faire, lui manger la chatte ruisselante de cyprine.
Lhomme me baisait de plus en plus vite, toujours aussi brutalement comme sil me violait rageusement. La chatte de la fille ruisselait de plus en plus. Au moment où lhomme a joui, la femme a déchargé littéralement plusieurs jets de liquide dans ma bouche au point que je manquai de m de surprise : cétait une femme fontaine !
Maitresse Simone sest rapprochée de notre trio et ma dit :
- Alors chienne, tu tes fait couvrir par mon meilleur étalon ! Bravo ! Tu as encaissé sans broncher.
Cest vrai, jai tout encaissé, le fist dune main entière, la fellation dune bite immense qui ensuite a achevé de me défoncer la chatte et le jaillissement de la fontaine de la fille dans ma bouche.
Je vais te rincer le cul ! Tu sais ce qui tattends ! Tu y as goûté lautre fois !
Et une nouvelle fois, jai subi ce lavement qui était destiné à faciliter laccès à mon antre secret à celui qui voudrait bien en profiter. Comme la fois précédente, javais le ventre gonflé par le liquide tiède qui avait envahi mes intestins. Comme la fois précédente, des hommes et des femmes virent me palper le pubis et le ventre, mordre ou tortiller les pointes de mes seins.
Lorsque je revins de mêtre vidée, la soubrette ma installée dans une des nacelles de balançoire. La position est bizarre. Je suis à plat ventre, le buste relevé en appui sur ce que je croyais être le dossier, les seins passés par une ouverture pendent sous moi. Mes jambes sont écartées et relevées par des entraves passées autour des chevilles et attachées après les suspentes. La fourche de mes cuisses est totalement accessible, les deux orifices prêts à être pénétrés. La pose nest guère confortable
Sur le moment, je ne sus pas qui en a profité ! Je sentais une bite longue et dune taille qui me semblait normale, sintroduire dans ma chatte puis après quelques mouvements de va-et-vient changer dorifice. Mon baiseur passait ainsi alternativement dun orifice à lautre jusquà ce quil jouisse bruyamment alors quun autre est au fond de ma bouche où il se branle littéralement entre mes lèvres. La jouissance ma emportée pour la première fois de la soirée. Puis, lhomme qui sétait fait sucer pris sa place et me sodomisa à longs traits. Lui na pas profité de ma chatte. Mon cul lui suffisait jusquà ce que le plaisir nous prenne au même moment.
Pendant que je me faisais prendre, je voyais à quelques pas de moi, une femme aux formes opulentes, âgée dau moins 50 ans se faire baiser par une machine dont le système de bielle portait à son extrémité un sexe factice de belle taille. Allongée sur le dos, les jambes écartées, la bite factice entrait et sortait inlassablement de sa chatte couverte dune toison grisâtre.
Ce nuit là, jai connu les pires sévices jamais endurés mais, comme cela devait se passer à chaque fois, tout le monde sest retrouvé pour une partouze géante : nous étions au moins vingt personnes à copuler dans les divers endroits de la salle des s. Je ne sais plus combien dhommes et de femmes ont profité de moi. Au petit matin, ma bouche, ma chatte et mon cul étaient douloureux tant ils avaient été utilisés.
Depuis, je retourne régulièrement au Moulin des Plaisirs, mais cest pour y participer avec Maitresse Simone à des séances de dressage : Elle minitie un peu plus à chaque visite mais je nai pas une âme de sadique, juste ce quil faut de masochisme pour être bien excitée pour participer à lorgie finale.
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