Au Bord Du Lac 4/8
Jétais pétrifié, ne sachant comment agir à ce moment là. Terry s approcha de moi à quatre pattes, et vint sagenouiller près de moi, pendant que Ingrid faisait de même du côté dEric.
Bien sûr, depuis que nous les fréquentions, javais souvent imaginé comment cela se passerait si javais choisi Terry, au début, et Eric, à linverse sétait peut-être demandé comment ce serait avec Ingrid.
Aujourdhui elles nous offraient la réponse à cette question, bousculant les tabous, pour nous partager. Terry vint membrasser doucement, et fit tournoyer sa langue dans ma bouche, avant de se reculer, la bouche entrouverte, nos langues restant en contact. Ses mains parcouraient mon torse. Jouvrais les boutons de sa robe, un à un jusquau dernier avant de lécarter pour la découvrir, juste vétue dun tanga noir. Je parcourus son buste de mes doigts, empaumant ses seins. Ils étaient plus volumineux, et implantés plus haut. Sans men rendre compte, je comparais ce que je découvrais avec Ingrid. Tout était plus imposant chez Terry . Ses seins, ses hanches, ses cuisses, ses fesses. Javais limpression davoir pris le modèle au dessus, et pourtant, je sentais sa chair ferme, et élastique sous mes doigts. Je fis descendre son tanga le long de ses jambes et elle lexpédia du bout du pied. A côté de nous, Ingrid et Eric se découvraient mutuellement, tous deux nus, dans la clarté relative.
Je saisis le pied droit de Terry et suçai son gros orteil, avant que ma langue remonte sur son pied, longeant sa jambe en incurvant sa trajectoire jusquà lintérieur de sa cuisse, la suivant vers la fourche de ses jambes. Elle écartait ses cuisses pour laisser passer ma tête jusquà son sexe boursouflé. Je léchai ses grandes lèvres, et cherchai le clito que je serrai entre mes lèvres en aspirant, le sentant grandir et durcir sous ma caresse alors quelle soulevait son bassin pour venir à ma rencontre. Je tentai dy introduire un doigt, mais elle retint ma main, murmurant
« Just your mouth.
Je me rappelai quEric avait découvert, lui aussi, quil nétait pas question pour elle de perdre sa virginité. Je me concentrai donc, à lui procurer du plaisir avec ma bouche. Contrairement à Ingrid elle était complètement épilée. Je léchai abondamment son sexe, écartant les lèvres avec ma langue, et titillant son clitoris, ce qui la faisait frémir, et gémir à chaque fois. Puis je remontais pour aller lembrasser, lui transmettant le goût de ses sécretions. Je descendis pour moccuper de sa poitrine, plus opulente et plus ferme que chez Ingrid. Elle avait deux masses rondes et dures même pas aplaties par sa position allongée, au milieu desquelles pointaient deux tétons petits et durs, sur des aréoles pas très larges. Elle passait ses mains dans mes cheveux, plaquant ma bouche avec force sur ses mammelons, avec des soupirs daise. Ses mains avaient longé mon corps, pour aller pour la gauche, parcourir mon dos et mes fesses, la droite sétant emparée de ma verge quelle branlait doucement. Elle navait dailleurs pas defforts à faire, mon sexe étant déjà transformé en une matraque dure comme du bois, par cette situation inédite. Elle se retourna pour se mettre à plat, ventre. Etendu à son côté, je caressais maintenant son dos, et ses fesses, en allant sur lintérieur de ses cuisses pleines, quelle écarta complaisamment.
Ma main filait dans son sillon, se frayant un chemin entre ses lobes, lobligeant à souvrir encore plus pour libérer le passage. Je trouvais son anus déjà dilaté, et après avoir été lubrifier mes doigts à sa chatte ouverte, revint combler cet orifice avec un puis deux doigts.
La pratique avait assoupli sa rondelle et je pus bientôt ajouter un troisième doigt, après quelle eut soulevé son bassin, et glissé des coussins pour maintenir son cul en lair. Lenjambant, je vins me placer derrière elle et guidai mon sexe, jusquà ce que mon gland vienne sappuyer sur son trou entrouvert. Je poussai doucement en avant, mais elle prit linitiative, et reculant le bassin, sempala delle même sur ma queue avec un râle de satisfaction.
Elle savança, pour se dégager, et me tendit une serviette avec laquelle jessuyais ma queue, et son trou largement ouvert dou débordait mon sperme.
Elle se retourna, et vint sasseoir, face à moi, prenant en bouche mon sexe encore bandé, lui prodiguant, une caresse buccale dune grande douceur, engloutissant la totalité de mon mandrin, quelle maintint en érection, un moment avant de labandonner, et de se rallonger, en mattirant sur elle.
A côté de nous , Eric prenait Ingrid en missionaire, les jambes de cette dernière cadenassées sur son dos. Ils se séparèrent un instant et Eric plaça les jambes de sa partenaire sur ses épaules, reprenant son coït, avec une pénétration maximale, même si la position nétait pas des plus confortables.
Quasi pliée en deux. Il la soulevait, et la laissait retomber sur sa queue, avec force, et ils atteignirent la jouissance, en même temps, alors quelle avait laissé retomber ses jambes, de chaque côté des siennes, et gémissait en continu, collée à lui, empalée verticalement.
Ils se séparèrent, sous nos yeux. Terry membrassa tendrement, et alla rejoindre Eric, pendant que Ingrid revenait vers moi. Les deux filles sétreignirent et sembrassèrent en se croisant.
Ingrid vint se blottir dans mes bras
« Cétait bon ? » me demanda telle
« Cétait parfait. Jai pris autant de plaisir à découvrir Terry, qua te regarder avec Eric. »
« Moi aussi, cétait très fort » chuchota telle
« Je suis heureux de cet échange, mais, un fois lattrait de la nouveauté passée, je ne crois pas que jaurais envie de recommencer. » lui confiai-je
« Moi aussi,. Avec toi, ce nest pas mieux, tu nes pas meilleur quEric, mais je préfère. » mavoua telle
En disant cela elle avait passé une jambe au dessus de moi, et saisissant mon sexe encore bandé, lintroduit en elle, avant se coucher sur moi, immobile, à part quelques ondulations du bassin, et des crispations de ses muscles intimes, qui me firent grossir en elle. Elle embrassait mon cou, et mes épaules, et cala sa tête contre moi. Je mendormis en elle.
Après avoir rejoint ma tente au petit jour, je fus réveillé vers 9h. Je sortais de la douche quand Eric y arrivait. Je lattendis , et, ensemble nous allâmes prendre un petit copieux petit déjeuner à « lAuberge ». Océane nous rejoint pour prendre un café. Profitant des premiers rayons du soleil quand lair retient encore la fraicheur de la nuit, nous échangions des plaisanteries sur les vacances, nous faisant gentiment chambrer.
« Tu as vu Patricia ? » me demanda Océane
Prudemment, je confirmai lavoir croisée, en espérant quelle naurait pas raconté ce qui sétait passé, mais Océane ny fit pas allusion. Jappris quelle navait pas eu une minute à elle depuis les dernières semaines, mais que grâce à deux nouvelles embauches, elle allait pouvoir prendre quelques jours pour récupérer.
« Cest chouette, on pourrait faire un peu de voile, si ça te dit » proposai-je.
Elle vivait entre les pédalos, le bateau mouche, les jets-skis, mais je savais quelle kiffait la voile, et aimait passer du temps sur mon bateau quand cétait possible.
« Oui, me dit elle. Jai des bricoles à rêgler avant, mais ça me changera les idées. Est ce que après-demain te conviendrait ?
« Ok, je passerai te prendre au ponton. » dis-je en désignant le ponton où était accosté le bateau-mouche.
« Eric, désolé, mais je ne pourrais passer la journée avec toi. » complétai-je
« Oh, tu peux venir » coupa Océane « ce nest pas un rencart » ajouta telle douchant mes espoirs.
« Euh, non, jai moi aussi un truc à faire » répondit Eric, et je lui en sus gré.
En quittant les lieux, jexprimai mon contentement. Apparemment, Patricia avait gardé le silence.
« Avec ce que tu lui a promis, ce nest pas étonnant. »
« Oui, mais je ne laurais jamais fait. Tu mimagines en train de diffuser des photos, et à qui ? »
« Cest vrai que cest pas très crédible. »
« Non, bien sur. Et même Patricia ny a pas vraiment cru. »
« Tu veux dire que cest comme un jeu, et quelle y aurait pris goût ? »
« Si elle navait pas été consentante, elle naurait rien accepté, et dailleurs, toi qui las baisée, tu as dû constater quelle y a pris du plaisir. »
« Cest vrai quelle avait lair en colère, mais elle mouillait ; ça expliquerait aussi
»
« ça expliquerait quoi ? »
« En fait, jhésitai à ten parler »confessa Eric « mais je suis tombé sur Patricia à la sortie du camping. Quand je lui ai demandé ce quelle faisait là, elle ma raconté que tu la traitais mal, quelle comprenait que je ny étais pour rien, et quelle en avait assez de toi. Et finalement, jai un rencart pour la revoir. »
Jéclatais de rire
« Ah, ah, tu lui a tapé dans lil !, enfin, non plutôt ailleurs ! profites en , mais dis toi bien que cette nana aime être dominée. »
Vers midi, nous étions de retour au camping, quand Eric me saisit le bras. Je regardais ce qui avait attiré son regard,, et fus stupéfait. Sous le soleil au zénith, en shorts et débardeurs, leur peau hâlée mise en valeur par la blondeur de leur chevelure, Terry et Ingrid, se dirigeaient vers nous. Il faut dire que cétait la première fois, depuis que nous les connaissions, que nous les voyions en journée. Cétait si inhabituel que cen devenait incongru, comme si elles avait appartenu à une espèce doiseaux nocturnes, ou encore de vampires, qui ne supportent pas la lumière du soleil.
Elles sengagèrent sur le ponton de bois, au bout duquel nous étions en train de gréer le voilier, et vinrent sarrêter au bord, nous surplombant légèrement.
« Bonjour, lança Ingrid, vous allez bien ? »
« Oui, répondit Eric, mais vous ? Vous sortez le jour ? » Je traduisis.
« Evidemment, ce nest pas parce que vous ne nous voyez pas le jour que nous restons enfermées sous terre. »
« Euh, oui bien sur, mais, vous êtes libres pour boire un pot ? »
« Aujourdhui, nous sommes disponibles toute la journée. La famille est partie en excursion, et nous sommes restées ici. »
« si vous voulez, on peut prendre un verre, et ensuite aller faire un tour de bateau. Il y a une petite brise aujourdhui. »
« Nous navons jamais essayé la voile »objecta Terry
« Vous naurez rien à faire, quà vous bronzer, Eric et moi nous occupons de tout. »
argumentai-je
« Cest assez tentant » fit Ingrid « comment faut il séquiper ? »
« Cest très simple, prenez des maillots de bains et des serviettes, pour pouvoir vous baigner, et de la crème solaire, car, sur leau le soleil tape dur. Nous nous occupons dapporter des boissons. »
Après avoir bu ensemble une boisson fraiche, au stand, près de lentrée du camping, elles partirent séquiper, et je récupérais une petite glacière, que je remplis de bières et sodas, ainsi que de quelques barres chocolatées, et autres friandises, le tout maintenu frais par un gros pain de glace. Javais à bord un petit gonflable qui servait à transborder les affaires au sec, que je mempressai de trouver et de préparer.
Nous étions parés quand elles nous rejoignirent.
Je les aidais à embarquer , maintenant le bateau, et les plaçant, plus vers lavant, chacune dun côté. Puis, je larguais les amarres, et quittai la baie .
Un petit vent soufflait régulièrement, mais nous étions un peu chargés, à quatre, et avancions à un rythme plutôt lent.
Dès que nous fumes éloignés du bord, les débardeurs et les shorts furent entassés sous le plat-bord avant, et la crème solaire, passa de main en main. Constatant la stabilité de lembarcation, elles sallongèrent sur les rebord, une a tribord et lautre à babord, en bikinis minimalistes noirs. Nous croisions des embarcations nombreuses, et un canot motorisé vint tourner autour de notre voilier, trois jeunes gens interpelant les filles, mqis voyant quelles ne réagissaient pas, ils passèrent leur chemin.
Jatteignis bientôt lextrèmité de la plus grande surface du lac, contournant la grande Ile pour passer derrière. Dans cette partie, plus sauvage, le trafic était plus restreint, les bateaux à moteur devant contourner lile par lautre côté, en passant sous un pont, ce que nous ne pouvions faire, à cause du mât. Cette partie était très découpée, avec de nombreuses criques dont la plupart étaient assez inhospitalières, avec des berges rocheuses où mes arbres avançaient bas dans leau, constituant un épais lacis de branchages infranchissables. Nous empruntâmes un bras, sur la gauche, et, après quelques bords, découvrîmes la crique où jétais allé avec Sylvie. Elle était déserte, et je my engageai.
« whaow, super coin ! » apprécia Eric. »En plus une petite plage, bien tranquille. »
Nos passagères sétaient redressées et contemplaient le décor
« Cest très joli, ici » commenta Ingrid
« Et on aura une plage, rien que pour nous » assurai-je « pas daccès à pied, et très peu de bateaux. En tout cas, aucun qui sy arrête. »
Je demandai à Eric de passer à la proue, et il amarra le bout à la bouée. Ensuite, il descendit le foc, lenfournant sous le plat-bord avant, pendant que je carguais la voile autour de la bôme.Je mis à leau, le petit gonflable, y déposant la glacière, les serviettes de bains, et le sac en paille des filles, contenant leurs affaires.. Puis, je me jetais à leau, et les autres plongèrent à leur tour. Après une courte nage dans leau fraiche et transparente, nous reprîmes pied, et débarquâmes sur la plage. Il ne nous fallut pas longtemps pour étaler nos serviettes, et nous allonger sur le sable chaud.
« Tu es sur que personne ne vient ? » demanda Terry
Je lassurai de la parfaite tranquilité de lendroit. Elles coururent vers le grand rocher plat, et se défirent de leurs maillots de bain, avant de revenir sallonger, nues sur leurs serviettes. Trouvant lidée judicieuse, et un peu coquine, jallai, moi aussi déposer mon bermuda à côté de leurs maillots, sitôt rejoint par celui dEric.
A poil , nous ouvrimes des bières bien fraiches, et les sirotâmes en grignotant.
Puis, chacun sallongea, et se laissa aller à une douce somnolence, sous les rayons du soleil, le vent léger caressant notre peau.
Le soleil devenant brûlant, je décidai daller me rafraichir dans le lac. Je fus rejoint par Ingrid, et après avoir nagé ensemble, elle vint se coller à moi. Javais de leau, jusquaux épaules, et elle vint sy accrocher, ses seins en poire aux pointes affermies par le froid, se frottaient contre moi. Elle suscita vite une érection, quelle capta dune main, et, décollant du sol pour venir enrouler ses jambes autour de moi, guida mon sceptre vers son antre. Elle entreprit de monter et descendre sur ma hampe, générant un clapot léger entre nous. Ce fut une étreinte, longue et tendre, et elle jouit, en membrassant. Terry et Eric entrèrent dans leau, à grand fracas, dans des gerbes déclaboussures, et séloignèrent à la nage vers le bateau. En les regardant, je remarquais un voilier, à la coque noire qui virait à lentrée de la crique, et une silhouette brune avec un maillot orange. Le dériveur, reprit de la vitesse et séloigna, disparaissant derrière la pointe, à droite de la baie.
Je repris mon va-et-vient et mabandonnai dans le sexe dIngrid qui navait pas bougé.
« Tu sais, cest vraiment intense ce que nous vivons, Terry et moi. Aujourdhui, si vous avez une envie, cet endroit me paraît bien pour la réaliser. »me confia telle
« Est-ce que cest quelque chose qui serait possible ? » demandai-je en venant chatouiller son anus de mon doigt.
« Je pense que jy prendrais du plaisir, si jétais aussi prise par devant. »
Sur ce , les deux autres revenant vers nous, nous nous séparâmes et jouâmes dans leau un moment, avant de sortir, et de retourner nous sécher sur la plage.Nous étions secs, et la morsure du soleil se faisant sentir, je passai de la crème solaire sur le corps dingrid, insistant sur la chair délicate des seins et des fesses, plus sensible car moins souvent exposée. Javais pris le soin de menduire pour me protéger. De son côté Eric, massait Terry avec lhuile protectrice, et celle-ci, sappliquait à lenduire également. Ce massage réciproque prenait une tournure érotique, les mains sattardant sur les fesses, en séparant les globes pour sinsérer dans le sillon pour stimuler les orifices, ou manipulant longuement les seins, enduisant les tétons érigés, tandis que nos partenaires avaient en main nos sexes bandés, brillants dindice 50. Les soupirs se firent plus éloquents, les gémissements plus forts. Terry se leva et vint tomber , les genoux de chaque côté de la tête dEric, et cambra son bassin pour quil accède avec sa bouche à sa chatte quil se mit à dévorer. Ingrid se déplaça vers Eric, et mattira vers elle. Dune main elle saisit le sexe dEric, et de lautre le mien, les masturbant en cadence, allongée sur le dos, ma main fouillant entre ses cuisses écartées. Me rappelant de ce quelle mavait dit, je me mis à genoux, et la retournai sur le ventre. Elle reprit nos sexes en main, et enfonçai mes doigts dans sa chatte et dans son cul, qui se tendait vers le haut.
Elle se releva et enjamba Eric pour aller sempaler sur sa queue. Elle se laissa tomber, lenfonçant en elle jusquau fond avec un rale de plaisir. Elle se trouvait face à Terry et les deux filles sembrassèrent, et se caressèrent les seins, lune secouée par les coups de reins dEric, lautre criant son plaisir sous sa langue. Je passai alors derrière Ingrid, et poussai son buste en avant, la plaquant contre Eric. Terry se dégagea pour laisser la place. Ingrid, devant moi, jambes écartées au maximum, montait et descendait sur Eric en se servant de ses genoux et de son bassin, mexposant son petit trou. Je la bloquai en posant mes mains sur ses hanches. Terry sempara de mon sexe, et lajusta sur lanus de son amie, le maintenant en place pendant que je mintroduisais dune seule et lente poussée.
Ingrid gémit un peu quand je forçai ses muscles intimes, mais je sentis le passage sassouplir, et Terry enleva sa main , la posant sur mes fesses pour accen ma poussée. Eric reprit alors son va-et vient, et je calquais mon tempo sur le sien, sentant son sexe coulisser en elle en même temps que le mien. Terry, avait changé de position et malaxait maintenant les seins dIngrid, qui brâmait son plaisir à tue-tête, son chant aigu se mélant aux éructations rauques des deux hommes qui la pénétraient.
La frénésie nous prit, accélérant ce double coit jusquà lexplosion ultime, hurlant tous trois notre jouissance. Il nous fallut un peu de temps pour récupérer. Après nous être rincés dans leau, Eric décréta que ce nétait pas juste et que Terry devait prendre du plaisir elle aussi. Nous nous relayâmes entre ses cuisses, la léchant, la mordant, la suçant, la fistant, cherchant à exciter au maximum son clitoris, et elle se mit bientôt à couiner sa jouissance.
Eric, qui était de nouveau au mieux de sa forme, entreprit de la sodomiser, à genoux derrière elle, qui était à quatre pattes. Elle mattira devant elle, et je me mis à genoux ; ma queue face à sa bouche fut aussitôt gobée, et je durcis entre ses lèvres, la fellation imprimée par les mouvements de bassin de celui qui lui tamponnait le cul énergiquement. Ingrid, vint caresser mes bourses, et titiller mon anus, ce qui provoqua bientôt mon éjaculation que Terry reçut sans interrompre le mouvement, et avala avant de ma délaisser, pour clamer son plaisir. Eric, la pistonna de plus en plus fort, et jaillit en elle avec un grand râle .
Après cette joute, nous retournâmes à leau, et reprîmes des forces en somnolant sur le sable.
« Cest bon de pouvoir crier son plaisir sans retenue » apprécia Ingrid.
Lombre gagnait du terrain, et le soleil commençait à descendre. Il fut temps de se préparer à rentrer. Pendant que Terry et Eric regroupaient les affaires, Ingrid , caline, mentraina vers le rocher plat, où elle voulut que je la prenne, en missionaire.
Nous quittâmes à regret ce coin de paradis, et après avoir libéré notre voilier, prîmes le chemin du retour. Les deux filles étaient restées nues, et couchées sur les plats-bords, les pieds vers nous, nous offraient une vue sur leurs sexe encore gonflés de désir. Néanmoins, comme nous approchions dune partie où nous pouvions croiser dautres embarcations, je leur demandai de se couvrir, et elles remirent leurs culottes, et débardeurs. Nous débarquâmes à la marina en tenue décente.
Après le diner, Nous nous retrouvâmes comme à laccoutumée. Ingrid me proposa daller dans ma tente, et Terry sen fut avec Eric, dans la sienne. Ma canadienne était assez petite, mais cétait suffisant pour deux. Arrivés devant la tente, elle vérifia que personne ne trainait alentour, et entreprit de me déshabiller, menlevant mes tennis, puis mon sweat shirt, mon pantalon, et mon caleçon. Elle membrassa, et minvita à entrer dans la tente. Allongé sur le lit, je la vis se reculer, et à la lueur du lampadaire, enlever, son, Pull, dégraffer sa longue jupe qui glissa à terre, Elle passa son débardeur par dessus sa tête, et prit ses seins en poire par dessous comme pour me les offrir, puis ses mains longèrent son corps, arrêtée aux hanches par lélastique du string, avec lequel elle joua avant de se tourner et de le faire descendre jusquaux chevilles, sans plier les genoux, moffrant une vue, en contre-plongée de son joli popotin, et de son abricot déjà entrebaillé.
Elle fit ensuite demi tour, et ramassant ses fringues, vint se réfugier en courant dans labri de toile avant que les moustiques naient le temps de la dévorer.
Je pensais nêtre plus capable de grand-chose, mais elle sut extirper de mon corps les dernières parcelles dérotisme. Après plusieurs rounds damour, nous sombrâmes dans les bras de Morphée. Quand je me réveillais, il faisait jour depuis longtemps, et Ingrid avait disparu, ne laissant derrière elle quune odeur de parfum, mélée de stupre.
Après un bon petit déjeuner, et une douche, je retrouvai Eric, qui me dit avoir passé, lui aussi une nuit Torride. Au détour dune allée, dans un recoin, près dun lampadaire, lemplacement de leur tente était vide.
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