La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1152)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1151) -
- Tu comprends, il fallait que je sache qui Il était avant même d'envisager tout autre chose avec lui !..., déclara Carole à Sandra,
Je suis donc partie en coup de vent avec mon scooter. Passant chez moi, juste le temps de me changer et de prendre mon sac à main avec mes papiers et argent, ainsi que la sacoche contenant mon vieux PC portable, me rendant ensuite à notre bibliothèque municipale de Villefranche-sur-Saône afin d'y rechercher des informations sur l'histoire du Château de la Famille des Evans. Grace à l'aide de charmants messieurs-dames, mes recherches s'avéraient fructueuses : Jappris grâce à des documents retraçant lhistoire de la région queffectivement le Château des Evans était très proche de Villefranche-sur-Saône sur la commune de Saint-xxxxxxxxx, en pleine campagne limitrophe. Ce qui coïncidait donc avec mon trajet, puisque je sais quavec mon scooter, je suis juste sortie de la ville pour me retrouver en rase campagne et y découvrir ledit Château au détour dune départementale très boisée.
Jappris aussi que les Evans étaient des nobles très influents dans la région et cela depuis le XVII ème siècle. A la fois de généreux mécènes et créateurs demplois depuis la révolution industrielle de la seconde moitié du XIX ème siècle, ils possédaient de très nombreux terres, terrains, forêts, étangs et diverses propriétés au village et ailleurs. Mais aussi industriels, ils donnaient du travail à un grand nombre de personnes du village et dailleurs. Jappris également que les différents Marquis dEvans qui se sont succédés de père en fils depuis des siècles étaient tous réputés pour leurs murs sexuels bizarres sortant de lordinaire et cela depuis aussi plusieurs siècles, murs transmis de génération en génération et donc quil se passait durant tous ses derniers siècles, des choses étranges dans le Château mais que personne ne sétait jamais plaint de quoi que ce soit.
Sans réponse, si ce n'est avec encore plus d'interrogations, y ayant passé de longues heures, je décidai de retourner au Château. En sortant de la bibliothèque, javais froid et décidais daller boire un chocolat chaud dans un bistrot avant de retourner au Château. Le temps était incertain et il y aurait certainement de la pluie abondante avant la fin de la journée, à voir le ciel chargé de gros nuages noirs. Une fois mon chocolat dégusté et avant de quitter le café-bar, je décidai de me rendre aux toilettes pour me soulager la vessie avant reprendre la route. Je métais à peine assise sur la cuvette du WC que je mimmobilisai de tout mon corps car au moment où jallais uriner une voix, Sa voix résonnait dans ma tête. Je reconnus tout de suite le fantôme qui visiblement voulait communiquer avec ma petite personne
Avant même quil mordonna quoi que ce soit, jétais comme hypnotisée, obnubilée par Ses mots et je savais déjà quIl pouvait me demander ce quIl voudrait, que jobéirai sans aucune hésitation, tant jétais déjà sous Sa forte Emprise
Voici ce quil me dit, dune voix doutre-tombe, froide mais calme et autoritaire :
- Te crois-tu autorisée duriner de cette manière ? A partir de maintenant et pour toujours, tu devras mettre tes seins à nus et te pincer, presser tes tétons de chienne pour déclencher le premier jet durine et cela jusquau dernier, de manière à ce que tes tétons servent de boutons-pressoirs qui enclenchant lexpulsion de pisse de ta vessie
Alors montre-moi ton obéissance, petite chienne qui doit pisser comme je le veux
La voix se tut, plus un seul mot, mais je savais que je navais pas rêvé ! La voix avait été très distincte et sans équivoque.
- Reste nue et caresse-toi pour Moi, assise sur la cuvette, cuisses largement écartées, petite chienne et jouis quand je ten donnerai lordre
Alors je nattendis pas une seconde pour obéir, trop mouillée, déjà par lordre délicieux de se caresser. Je ne tardai pas à me malaxer tendrement mes seins, un dans chaque main. Mes tétons se dressèrent, comme s'ils m'appelaient à m'occuper d'eux. Je les titillais, je m'amusais avec eux et cela eut pour effet de me procurer des frissons de plaisir qui me parcourut tout le corps. Ensuite, je délaissais mes seins pour aller droit au but, jétais trop excitée ! Ma chatte était déjà bien humide... Je frôlais de ma main mon clitoris. Je ne fis que passer mais déjà quelques décharges électriques de plaisir m'ordonnèrent d'aller plus vite. Je m'attardais donc sur mon clitoris laissant échapper des soupirs de plaisir. Je le caressais doucement mais fermement. Je sentis le plaisir m'inonder, ma chatte était maintenant trempée. Mes mouvements se firent plus rapides. Mes soupirs se transformèrent vite en cris. Je n'en pouvais plus, je souhaitais jouir le plus vite possible. Alors sans que je ne baisse le rythme de pression sur mon clitoris, je me doigtais abondamment menfilant mes doigts le plus profond possible et les fit aller et venir dans mon vagin dégoulinant.
Mon clitoris n'étant plus apte à me contenter, je pensai vite à mon deuxième ami : le point G.
- Jouis, maintenant Ma chienne !
Alors, un ultime et violent spasme orgasmique m'arracha des râles de jouissance à nen plus finir dans un orgasme rarement égalé en étant seule à me caresser. J'ai eu du mal à garder le rythme. Brusquement mon corps se cambra et je rejetais la tête en arrière dans de longs râles rauques ! De puissants et violents orgasmes successifs vinrent m'assaillir... Jen étais épuisée mais envahie de bien-être. Je souris béatement. Je m'écroulais un instant, inerte et haletante sur dossier de la cuvette. Il me fallut quelques minutes pour men, remettre alors que je nentendis plus aucun mot du fantôme. Je me rhabillais le plus vite possible, remerciant le ciel que personne ne fut entré dans les toilettes car inévitablement, on maurait entendu crier mon plaisir jouissif. Je sortis des toilettes, payais ma consommation et quittai le bistrot.
Une fois dehors, je fus repousser par une bourrasque de vent froid, et sous un ciel sombre chargé encore plus de gros nuages gris anthracite, je me hâtai de retourner à mon scooter. Alors qu'il commença à pleuvoir je me dépêchais de démarrer, me faufilant en trompe entre les voitures pour sortir de Villefranche, accélérant de plus belle une fois ses limites franchies, afin darriver au Château avant que la pluie ne devienne plus violente.
Je lâchai un juron, quand en le redressant je constatai les dégâts dus à sa chute. J'en avais tellement pris soin toutes ces années, et voilà que par mon empressement, il était largement fendu dégorgeant d'huile et d'essence, le moteur fracassé. À contre cur, je décidai de le laisser là, de toute façon je n'aurais su le remonter toute seule sur la route. Et étant plus proche de la vieille Demeure que de la ville, je repris ma route à pied vers le Château. En cette époque de l'année la nuit tombait vite, et ne m'aida guère à retrouver le Château dissimulé entre temps sous les rideaux d'eau de pluie en trombe me sentant durant un moment perdue tel "Ulysse" puni par les Dieux, ne pouvant retrouver mon foyer. Trempée jusqu'aux os, ne sachant plus où je me trouvais, je priai comme à chaque fois dans ces cas-là mes parents pour qu'ils m'aident. C'est alors qu'un éclair fendis les cieux, illuminant un bref instant l'immense et sinistre Demeure au loin. Je courus le cur en joie, manquant de tomber à plusieurs reprises, vers le Château. Mais étrangement, quand je voulus entrer, la porte me résista refusant obstinément de s'ouvrir. Je tambourinai alors dessus en criant, cherchant à me faire entendre malgré le bruit de la pluie battante, pour appeler mon hôte afin qu'il vienne m'ouvrir, quand brusquement, la porte se dégonda et tomba lourdement avec fracas dans le hall soulevant au passage une épaisse couche de poussière. La pluie tombant à torrent, ne me laissait pas le loisir de demeurer là à m'interroger sur le comment et le pourquoi...
Je montais dare-dare l'escalier, me dirigeant vers ma chambre dans le but de m'y changer et réchauffer, mais je restai interdite dans l'embrasure de la porte ouverte devant la scène de cette chambre où j'avais passé la nuit, bien au chaud allonger dans ce lit moelleux, trappée des mille et une nuits, aux meubles et décor ancien digne de Versailles. La pièce qui s'ouvrait devant mes yeux n'avait plus rien de merveilleux. C'était comme si je me retrouvais dans un mauvais film d'horreur. La pluie poussée par le vent s'engouffrait par les deux hautes fenêtres aux carreaux brisés dans la pièce, se répandant sur le sol jonché de mousses, de chiures d'oiseaux, de verres, de plâtres et de pierres détachées des murs décrépis et sales, couverts eux aussi de moisissures et de toiles daraignées. Le lit était en pièce, tout disloqué, et le matelas pourri traînait sur le sol, complètement déchiré, troué, grignoté par les rats, servant de refuge probable à toutes sortes de bestioles. Lâchant sac et sacoche, je redescendis en hâte les escaliers, découvrant la même scène cauchemardesque dans la salle à manger et la cuisine. Ce n'était pas possible. Je n'avais quand même pas hallucinée à ce point mon séjour dans ce Château. Seules les traces de souris ou autres rongeurs témoignaient dans la poussière omniprésente de leur passage. Mille toiles daraignées complétaient ce triste décor dabandon de lieux. Aidée de la lumière de mon portable, que j'avais récupéré chez moi et garder dans ma veste, je me frayai un chemin à travers les couloirs ténébreux. La peur montait en moi, à la vue des quelques rares tableaux délabrés que j'avais pu découvrir et admirer de paysage, de scène de chasse et de nus anciens, à présent effacer, poussiéreux et noircie par le temps et lhumidité, troué, déchiré, quand il n'était pas pantelant ou décrocher en bas des murs, ou carrément disparue, enlever, voler je ne sais quoi d'autre
(A suivre...)
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