Réunion D'Entreprise ....
Je sais davance que je vais passer une soirée de merde en accompagnant mon mari a une réunion de travail où les conjoints sont fortement invités à assister
Je ne connais personne dans cette foule dune trentaine de personne, seule récompense un buffet bien garni et un bar où le champagne est à discrétion, à condition de se servir soi-même
après avoir été présentée et serré des dizaines de mains accompagnées de congratulations toutes faites aussi niaises quhypocrites, sans parler des regards avides sur les femmes, de vieux mâles qui devraient être à la retraite, je me retrouve volontairement seule derrière les invités qui bavent devant une estrade où se relaient des membres du personnel devant un micro nasillard
Jallais me verser une énième coupe lorsque je suis interpellée par une voix suave masculine
- Bonjour, vous aussi faites partie des conjoints invités et délaissés ?
- Hein ? ha bonsoir, vous mavez surprise, jai faillis lâcher mon verre !
- Excusez-moi de vous avoir fait peur, je vais vous accompagner en buvant une coupe de ce fameux pétillant, laissez-moi vous servir
- Merci, monsieur ?
- Thomas, je suis le mari de la DRH
- Ce nest pas le meilleur poste pour être bien vu dans une entreprise !
- Je ne vous le fait pas dire, a part quà la maison elle porte la culotte et au boulot elle lenlève !
- Non ? il se passe des choses répréhensibles ici ?
- Ça jase en tous cas ! qui est votre époux sans indiscrétion ?
- Jérôme
le chef de rayon
- Jérôme
Jérôme
oui, ça me dis vaguement quelque chose, a la vôtre ?
- Évelyne, a votre santé Thomas
- Merci, vous seriez mieux de ce côté du comptoir, il y a des tabourets et nous voyons tout ce qui se passe sur lestrade
- Pourquoi pas ?
Une fois assise je me rends compte que la position fait remonter ma robe assez haut pour attirer lil de mon voisin qui fixe mes cuisses tout en bavardant comme si de rien nétait, pour rester digne je me vois obligée de lui faire remarquer
- Mes jambes vous plaisent Thomas ?
- Il faudrait être difficile, excusez ma franchise mais vous êtes canon !, ne cherchez pas à cacher un si beau trésor ce serait sacrilège, après tout il ny a que moi qui en profite, faites-moi ce plaisir Évelyne
- Cest si bien demandé
- Merci, en même temps ce nest pas le meilleur moyen pour rester présentable devant vous
- Que voulez-vous dire ? ha ! je navais pas compris, vous voulez parler de votre braguette ? effectivement elle est bien gonflée, mais ça ne moffusque nullement, si vous êtes à létroit tant pis pour vous !
- Vous ne pouvez imaginer comme je souffre !
- Eh bien sortez là !
- Vrai ? je peux ?
- Si ça reste discret
je ne voudrais pas être à lorigine de nécroses à cet endroit si fragile
- A vous de juger
regardez
- Mon dieu ! je nai jamais vu une telle verge !
- Ne parlez pas si fort !
- Rangez ça sil vous plait
- Hélas je ne peux plus, à moins que vous ne maidiez
- Vous aidez ?
- Tendez le bras discrètement ça ne se verra pas
- Vous désirez que je vous masturbe ?
- A moins que vous ne vouliez me faire une fellation ?
- Pas ici
mais que me faites-vous dire à la fin !
- Suivez-moi dans un bureau
- Pas question
- Vous ne voulez pas connaitre la liste des amants de ma femme ?
- Jérôme en ferait partie ?
- Suivez-moi vous saurez tout
Jérôme me ferait cocue avec cette pouffe de blondasse ? par ailleurs cet homme est très convenable pour faire un amant dun soir et je dois dire que sa queue ne me laisse pas indifférente et cest réciproque
- Allons-y
- Tu ne vas pas le regretter Évelyne
Lhomme cache sa virilité avec un pull, malgré le soupçon de jalousie qui me taraude je lui emboite le pas pour nous éclipser discrètement par une porte et nous introduire dans lentreprise quil parait connaitre parfaitement, il ouvre une porte et me demande dentrer , Thomas referme a clé aussitôt, dans lattente de la suite je reste scotchée au dos dun fauteuil cossu qui trône au centre de ce bureau
- Voici lantre du boss, là où ma femme se fait sans doute troncher plusieurs fois par semaines
- Vous croyez ?
- Jen suis sûr mais je men fous, ce soir nous allons tacher ce magnifique siège de cuir
En disant ces mots lhomme se colle dans mon dos et pose ses larges paluches sur mes épaules, je ne sais pas ce qui mélectrise le plus de ses mains chaudes ou de sa queue toujours raide pointée sur mes reins
- Nous ne devrions pas nous éterniser ici Thomas
- Tu as raison, passons aux choses sérieuses
- Que faites-vous ?
- Eh bien je tire sur le zip de ta robe ?
- Votre femme couche aussi avec Jérôme ?
- Plus tard pour les confidences, savoure linstant présent
Tétanisée je sens ma robe glisser sur mes épaules sans rien faire pour la retenir, les mains accompagnent le vêtement jusqu'à ma poitrine et sen empare aussitôt, mes bouts dressés sont coincés sous les bonnets, cest comme une délivrance lorsque le soutien-gorge tombe sur mon ventre, aussitôt remplacés par dix doigts agiles, sa virilité se fait plus pesante, trop excitée pour refuser je ferme les yeux et prend appuis sur lépais dossier de cuir
- Nous allons nous venger des affronts subits Évelyne
- Je ne sais pas si cest bien
Une main a délaissé un nichon pour relever ma robe sur mes reins, la bite sest aussitôt glissée entre mes cuisses que jai resserrées par réflexe, en fait ce rempart illusoire ne sert quà imiter un vagin entre lequel il mime les mouvements du coït, limant le fond de mon string qui shumidifie rapidement
- Jimagine que ta chatte est aussi étroite, ça va être un régal que de te baiser
- Je ne veux pas tromper Jérôme
Hélas
ou heureusement, il se moque de mes paroles et entreprend de faire glisser ma petite culotte a mis cuisses, la verge se retire pour laisser place à ses doigts, comment refuser cette caresse que jattends avec impatience ? mes pieds se déplacent ouvrant ainsi laccès total à ma chatte, ma poitrine sécrase sur le dossier, suffisamment cambrée et désormais consentante a lacte sexuel
- Je vais te fourrer comme tu le mérite salope
RRRHaaaaaaaaaaoouuuuuiiiiiiii, tu es bien comme je le présageais, étroite et trempée !
- Attendez ! ça suffit, dites-moi la vérité sur la DRH et mon mari MAINTENANT !
- Cest qui cette bonne femme ? connais pas, pas plus que ton Jérôme, je suis là complètement par hasard !
- Salaud ! salaud ! jaurais dut me méfier !
- Je te laisse le choix, retire-toi si tu nas plus envie de ma bite, nous ferons comme si rien nétait arrivé
Thomas bloqué au plus profond de mes entrailles a stoppé ses mouvements me laissant pantoise et décontenancée, quelle attitude adopter ? comment refuser sa queue à présent que mes muqueuses sont réveillées
- Baise-moi ! mais baise-moi donc salaud ! tu vois bien que jai envie dêtre fourrée
- Hé bien tu vois ? que dhistoires pour un simple bout de chair décalotté, finalement je veux bien te faire jouir mais a une condition
- Laquelle vite !
- Tu me suce, ensuite je te défonce la moule
Sans répondre je me résous à retirer moi-même ma chatte de sa trique pour me retourner et avaler le gland enrobé de ma cyprine, cest maintenant lui qui se cramponne au siège, la mâchoire ouverte je pompe et branle sa hampe énergiquement, les couilles tremblent, il grogne de satisfaction allant jusquà chercher à senfoncer toujours plus loin dans ma gorge, à la limite du rejet naturel je pompe avec ardeur jusqu'à ce que je sente les prémices de léjaculation, mon amant ne bouge plus, seule sa bite tressaute en évacuant les giclées de foutre épais et abondant que jai toutes les peines du monde à ingurgiter, le laissant récupérer je vais me positionner nue sur le fauteuil jambes posées sur les accoudoirs, ainsi écartelée quel mâle digne de ce nom refuserait laccouplement ?
- Je tattends
.
- Merde ! mon fauteuil en cuir ! ne le tache surtout pas, il vaut du fric !
- Ton fauteuil ? mais qui es-tu donc ?
- Le boss, le patron de Jérôme pardi !
- NON ?
- SI ! mais soit rassurée, personne ne saura ce qui sest passé ici, à présent je vais te fourrer les miches, reprend la position que tu avais, que ta chatte soit bien ouverte pour recevoir ma queue
Tout en me matant sans honte il se défringue en vitesse avant de venir au-dessus de moi queue pointée à proximité de mon vagin béant, je me saisis de cette trique pour la frotter sur mes lèvres qui transpirent la mouille, impatient de me pénétrer il avance nerveusement son bassin, cest moi qui choisit quand
- Vas-y baise moi maintenant !
- HAAAAAAANNNNNN !!! Tiiiiiiieeeeeeennnnnnnnt !!
- OOOOOOOOUUUUUIIIII ! tape dans ma cramouille enfoiré
- Ton Jérôme va passer chef de service salope !
- Cest vrai ?
- Avec voiture de fonction si jai droit à ton cul
- Il est à toi ! mais baise-moi la chatte avant
Jamais je nai été labourée avec autant de vigueur, les orgasmes se sont succédé durant vingt minutes, la plus forte jouissance sest déclarée lord de son éjaculation extraordinaire, jétais dans une sorte de torpeur, inconsciente et bienheureuse lorsquune brulure a lanus ma rappelée ses promesses, son gland venait de me perforer le cul, je me suis touchée le clito pour mieux subir cet assaut hors nature et les jouissances sont revenues, énormes...
Une dernière éjaculation et le boss de Jérôme sest enfin retiré de mon anus et du bureau, je me suis arrêtée aux toilettes pour faire un minimum de nettoyage de mon entrecuisse, au bar jai retrouvé mon mari qui se faisait du souci
- Hhaaaaaa ! quand même, où était tu passée ?
- Je parlais avec ton patron
- Ah ? où et quand ? figure toi quil vient à l instant de mannoncer mon avancement
- Chef de service avec voiture de fonction ?
- Tu sais donc ?
- Oui et je men souviendrais longtemps
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