Souvenirs De Vacances Et Plus... 4 - Rencontre Au Bord De La Piscine De Ma Maison.

Il y quelques années, j’ai hérité de grand-mère Camille le domaine dans les Alpilles où, au sortir de l’adolescence, je retrouvais mes oncles et tantes ainsi que mes cousins. Nous étions confiés à la garde et à la surveillance bienveillante de ma grand-mère et nous passions ensemble le mois de juillet. En août, nous partions pour diverses destinations avec nos parents respectifs pour revenir passer la dernière semaine des vacances tous ensembles avec les parents. Pendant une semaine la maison et ses dépendances étaient bien pleines. Certains couchaient même sous des tentes.

Avec mes deux sœurs et mes cousins et cousines, nous faisions de longues ballades à vélo sur les petites routes de la région et dans différents lieux, nous retrouvions les copains et copines des étés précédents. Je suis donc le seul à être resté dans la région puisque mes frangines vivent en région parisienne. Maintenant que nous sommes presque tous établis dans la vie professionnelle ou que nous achevons des études longues en Faculté, c’est avec un brin de nostalgie que nous évoquons nos souvenirs de vacances lorsqu’il nous arrive de nous croiser.

Depuis plusieurs années déjà, je travaille comme ingénieur dans l’industrie aéronautique et j’habite désormais seul cette grande bâtisse mais je ne me prive pas d’y ramener mes conquêtes d’un soir. J’apprécie le confort douillet de cette maison ancienne et son relatif isolement. Ce domaine des Alpilles reste d’ailleurs le point de rendez vous des cousins et cousines qui, pour la plupart sont désormais en couple.




En fin de semaine dernière, je me prélassais tranquillement en lisant au bord de la piscine après un rapide dîner solitaire quand j’ai entendu une voix de femme venant du devant de la maison appeler :
- Ludovic ! Ludovic ! Tu es là ?

Je ne suis levé pour aller voir qui m’appelait ainsi. J’ai contourné le bâtiment et je suis tombé nez à nez avec deux jeunes femmes de mon âge, Catherine, une des filles avec qui, adolescent j’avais flirté quand nous faisions nos ballades à vélo et une de ses amies Mariette.

Quelle surprise !

Cela faisait au moins dix ans que je n’avais plus rencontré Catherine qui était désormais un joli brin de femme. Grande brune aux cheveux longs coiffés en queue de cheval, elle avait un visage fin avec les yeux marron en amande, une bouche aux lèvres ourlées et pulpeuses. Son T-shirt à manches courtes laissait deviner une poitrine menue et son jean emprisonnait des hanches étroites et des jambes longues et fines. Mariette était un peu plus petite mais elle était assez semblable. Seule différait la couleur des cheveux, blonds et tombant librement sur les épaules.

Nous sommes revenus au bord de la piscine où nous avons bavardé longuement autour d’une boisson fraîche. Le temps était lourd, il n’y avait pas un brin de vent, les cigales s’en donnaient à cœur joie dans les murettes en pierre sèche et les arbres.

Catherine et Mariette venaient de terminer leurs études de médecine et elles devaient s’installer à la rentrée. Nous avons évoqué longuement nos souvenirs de jeunesse et du temps de nos études. Dix ans, c’est long et nous avions beaucoup de choses à raconter. Je découvrais que j’avais rencontré Mariette chez les parents de Catherine. Mais je ne me souvenais plus d’elle. Elles habitaient désormais deux maisons voisines dans un hameau proche de chez moi en attendant pour s’installer ensemble si possible dans un cabinet médical à Aix.

Cette chaleur lourde qui régnait et l’orage qui grondait au loin finissait par être désagréable. Alors que la nuit tombait, Catherine me demanda si je voulais bien qu’elle profite de la piscine pour se rafraîchir. Bien sur !

D’ailleurs, j’avais aussi l’intention de m’y plonger à nouveau. Les T-shirts et jean se sont rapidement retrouvés roulés en boule sur une chaise longue. Elles avaient toutes les deux leur maillot de bains sur elles. Préméditation ?

Peut-être, mais je ne m’en plaignais pas. J’avais passé une soirée avec deux belles jeunes femmes qui me semblaient quelque peu délurées.
Une fois dans l’eau, alors que j‘étais encore sur le bord du bassin, Mariette et Catherine ont commencé à m’éclabousser avec de grandes gerbes d’eau si bien que mes légers vêtements étaient bons à tordre en moins d’une minute. Cela rappelait nos chahuts d’adolescents ! Elles ne perdaient rien pour attendre. J’avais aussi mon maillot de bain sous mon T-shirt et mon short. J’ai plongé dans l’eau pour les rejoindre. Sous l’eau, je suis allé les prendre par les hanches et les plonger sous l’eau pour jouer.

Au bout de quelques temps, las de notre chahut et des frôlements, nous sommes sortis de l’eau. J’avais bien du mal à cacher une belle érection dans mon mini maillot. Rentrés dans la maison, je les ai conduites à la salle de bains pour qu’elles se sèchent et puissent se rhabiller.

Rapidement séché moi aussi avec des vêtements secs, je me suis installé dans la partie salon de la grande pièce à vivre pour attendre Catherine et Mariette. Je les entendais rire dans la salle de bain mais j’étais loin de me douter de la surprise qu’elles allaient me faire.

Puis, SILENCE ! Que se passait-il ? Soudain j’ai senti un bandeau se poser sur mes yeux pour y être noué et Mariette dire en riant :
- Ne bouge pas ! Reste comme tu es !

Devant moi, j’ai perçu une présence. Ce devait être Catherine.

Elle était à genoux devant moi entièrement nue (ce que j’ai pu voir un peu plus tard). J’ai senti des mains se tendre vers la braguette de mon short et elles ont sorti ma bite déjà à moitié bandée. Mon sexe a été embouché aussitôt jusqu’au fond d’une gorge accueillante et une belle fellation a commencé... Catherine savait y faire ! Elle alternait les mouvements en enduisant copieusement mon sceptre de salive ou se contentait du sucer le gland et d’agacer le méat. Avec un tel traitement, je n’ai pas tardé à avoir une bandaison développée au maximum.

Après m’avoir ôté le bandeau, Mariette est venue elle aussi se mettre à genoux derrière Catherine pour lui caresser les seins, roulant entre ses doigts des tétons à peine sortis de l’aréole.
C’était chaud ! Catherine s’est relevée :
- Viens Ludovic, je vais te donner ce que je n’ai jamais pu t’offrir quand nous étions plus jeunes ! Tu vas me faire l’amour ! »

En disant cela, elle s’est allongée sur la peau d’ours (artificielle) devant la cheminée, les cuisses écartées en me tendant les bras. Mon short, mon boxer et mon T-shirt enlevés précipitamment, je me suis agenouillé entre ses cuisses et j’ai embrassé son mont de Vénus où folâtraient quelques poils puis je suis descendu mordiller son clitoris.
- Viens, ne me fait pas attendre ! Depuis mes 18 ans, j’ai envie que tu me fasses l’amour !

Sans prendre le temps d’enfiler un préservatif, je me suis allongé sur elle et d’un vigoureux coup de reins je l’ai embrochée jusqu’à la garde. Qu’elle était chaude et humide ! Nous nous sommes accordés rapidement alors que je faisais les va-et-vient dans sa chatte, Catherine ondulait du bassin pour venir au devant de la pénétration. Mariette nous regardait baiser. Elle caressait sa chatte du plat de la main gauche pendant que deux doigts de l’autre main étaient logés entre les lèvres vaginales.

Puis cette coquine a remarqué sur la table de la salle à manger une corbeille avec des fruits factices pour la décoration. Elle y a pris une banane en porcelaine et l’ayant enduite de salive, elle l’a mise dans son sexe pour l’utiliser comme un gode.

Ces deux femelles étaient chaudes comme la braise. Les bruits qui courent sur les étudiant(e)s en médecine seraient-ils fondés ? Elles m’offraient une belle partie de baise bien chaude comme je les aime quand les filles savent prendre l’initiative. Je sentais le plaisir de Catherine et le mien monter crescendo quand cette dernière s’est tétanisée au moment où la jouissance l’emportait. J’ai cessé de me retenir et j’ai lâché au fond de son vagin quelques bonnes giclées de sperme.

Waouh ! Que c’était bon. Mariette a joui elle aussi peu de temps après nous. Elle s’est allongée près de nous, je me retrouvais entre deux jeunes femmes séduisantes et chaudes.
Nous étions tous les trois sur le dos. Catherine et Mariette se sont redressées au bout de quelques minutes et elles ont entrepris de toiletter ma bite, se la partageant ensuite pour des caresses, des baisers et des sucions de plus en plus appuyés. Le résultat ne s’est pas fait attendre. J’avais de nouveau le sexe dressé comme un « I ».

Mariette m’a enfourché en amazone, introduisant elle-même mon sexe dans le sien déjà inondé de cyprine après sa masturbation avec la fausse banane. Elle était plus étroite que Catherine et ma queue était enserrée dans son fourreau. Elle aussi savait y faire. Chaque fois qu’elle descendait pour s’empaler jusqu’à la garde, je sentais ses muscles intimes masser doucement mon gland.

Catherine est venue se placer au dessus de ma tête, offrant à ma vue son entrejambe ruisselant de cyprine et de sperme mélangés. Les deux filles se faisaient face. Pendant que je faisais un cunnilingus à Catherine, ces deux coquines s’embrassaient langoureusement ou caressaient la poitrine de l’autre. Je voyais l’œillet plissé qui palpitait doucement. J’ai tendu le bras pour récupérer la fausse banane que Mariette avait abandonnée près de nous et, après l’avoir enduite des sécrétions de Catherine j’ai titillé son anus qui s’est ouvert instantanément. Je n’ai pas eu à pousser : son anus a absorbé entièrement la fausse banane qui a disparu derrière le sphincter, comme si elle avait été aspirée par une bouche invisible. J’ai repris mon cunnilingus jusqu’à ce que le plaisir emporte une nouvelle fois Catherine et déclenche celui de Mariette au moment où je me vidais en elle.

Toujours affalés sur la peau d’ours nous sommes restés allongés quelques minutes pour récupérer. Dehors la nuit noire était zébrée par les éclairs de l’orage qui désormais était au dessus de la maison et de grosses goutes commençaient à tomber.
- Offre nous l’hospitalité jusqu’à demain, nous sommes à pied !

C’est comme cela que j’ai passé la nuit entre Catherine et Mariette dans mon grand lit après nous être restaurés avec du jambon fumé et du fromage. Au petit matin, je me suis réveillé avec un début de bandaison ! Rêve inconscient de la nuit ou envie ?

Mariette a du percevoir mon état car elle a tendu la main droite pour venir me branler doucement avant de plonger sous la couette pour venir me sucer. C’était reparti pour une nouvelle séance à trois. J’ai pris successivement la chatte de Mariette puis le cul de Catherine où je me suis vidé copieusement.

Nous avons passé le reste de la journée à ne rien faire au bord de la piscine sauf à profiter du soleil de ce beau weekend de juin et nous baigner nus à plusieurs reprises, nouvelles occasions d’échanger des caresses dans l’eau ou au bord du bassin, mais là nous étions repus : plus de sexe !

Au cours de l’été Catherine et Mariette se revenues à plusieurs reprises, disaient-elles, pour profiter de la piscine mais chaque fois cela se terminait par une bonne partie de sexe dehors ou dans la maison…

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