Groupe De Vacances 28
GROUPE DE VACANCES 28
Ep 28 VACANCES A LA MAISON 2
Un jour sur la plage un homme plus âgé que moi, un peu plus de quarante ans, venait me voir, je le connaissais bien on avait déjà parlé à plusieurs reprises . Il avait un grand sourire, et était encore habillé, pas moi .
Henri : Salut Djé, j'ai quelque chose à te montrer !
Moi : Non tu ne vas pas te mettre à poil, on est tout de même sur une plage
Naturiste ...
Henri : Arrête de dire des conneries Djé, tu sais ton truc qui me fait fantasmer,
, j'en ai acheté un
La taille que tu m'as conseillé
Je trouve ça super
Je le porte depuis trois jours !
En parlant, il retirait ses vêtements et en effet
Il avait l'air content de lui ! On parlait un long moment, sa femme était très contente aussi et c'est elle qui avait la clé
Elle arrivait quelques instants plus tard
Ils me demandaient s'ils pouvaient s'installer à proximité pour qu'on puisse discuter . Je leur faisait signe de nous rejoindre . Le reste de l'après midi on se détendait, les femmes appréciaient tout particulièrement
On se laissait aller aux caresses, ni lui ni moi ne risquions de réactions déplacées
Jeannette, sa femme, arborait fièrement la clé suspendue à son coup par une chaîne en or que son mari lui avait offert pour l'occasion ! La fameuse clé objet de fantasme pour tous les porteurs de clé .
Quand je me levais pour aller me tremper les pieds, Jeannette me suivait
Jea : Tu sais Djé, c'est génial
Trois jours seulement et déjà je vois une grosse différence
C'est dans la tête, enfin surtout dans la sienne
Le jour même ou il l'a mis, à l'instant ou il a refermé la cage, il a changé, il est devenu plus câlin .
Moi : Moi, la première fois je me suis dit que j'étais fou d'avoir accepté .
Jea : Et tu l'as gardé combien de temps ?
Moi : Plus de trois mois !
Jea : Il ne la gardera pas si longtemps !
Moi : Quel protocole avez vous choisi ?
Jea : C'est simple, en général il est trop rapide, pas assez attentif, préliminaires trop courts
Je te choque pas Djé ? ( Je faisais non de la tête ) Aussi, maintenant il faudra qu'il fasse monter mon désir avant que je le libère, et pas trop souvent de toutes façons ! Mais bon on a pas choisi de durées particulières ce sera entre deux fois par semaines et deux fois par mois
Il ne le sauras pas à l'avance !
Moi : Il avait l'air câlin là !
Jea : Il a changé en trois jours, je te dis pas !
En effet Henri, tout comme moi avait passé l'après midi à caresser sa femme, aucune réaction déplacée, la femme en profitait !
Pendant la deuxième semaine, je rencontrais plusieurs autres porteurs, un était de mon âge les deux autres étaient plus âgés quarante cinq et cinquante ans
Ils étaient tout les trois accompagnés de leurs femmes .
Le plus jeune, Pascal, se confiait rapidement . Pas aux autres mais à moi au départ . On marchait sur le rebord de l'eau tranquillement
Pascal : Je sais pas comment aborder le sujet
Moi : Tu peux me parler librement ! Tu sais tu ne me choquera pas !
Pascal : Il y en a, parmi les porteurs, qui utilisent des
gadgets ?
Moi : Des gadgets ? Du genre ?
Des trucs qu'on s'enfile dans le cul ?
Il éclatait de rire pour cacher son embarras .
Pascal : Comment tu dis ça toi !
Moi : Je t'avais dit que tu ne me choquerais pas ! C'est ça que tu voulais dire ?
Pascal : Oui c'est bien ça ... ça soulage !?
Moi : Oh oui, ça soulage
IL y en a plus d'un ! Mais tu es tout rouge d'un coup !
Pascal : C'est le soleil !
Moi : Mais non c'est pas le soleil, tu es déjà bronzé, c'est pas le soleil !
Pascal : Comment du dis ça toi !
Moi : Je le fais de temps en temps .
Pascal : Ouai mais il faut pas le répéter !
Moi : On a une règle, ce qui se passe ou ce qui se dit entre porteurs doit rester entre porteurs ! Et je te rassure, tous les porteurs que je connais
Pascal : Non
Tous ! Et toi tu le fais souvent !
Moi : En fait, je suis rendu à un autre niveau depuis quelques temps
Je lui racontais, toujours en retirant quelques détails, les derniers orgasmes que j'avais eu
Pascal : En plus de quatre mois ! Whoua ! T'es pas seulement champion dans le domaine du sport ! Je suis impressionné ! Mais c'est pas facile à supporter au début, j'ai jamais pu le supporter plus d'une semaine d'affilée
Dans les jours qui suivaient Henri venait me voir, il me racontait comment ça se passait avec son truc
Je lui donnais des conseil et surtout lui conseillais de le retirer si ça posait vraiment des problèmes
Mais là, j'étais aussi obligé d'en parler avec sa femme qui avait la clé ! Les deux derniers plus âgés portaient leur truc depuis plusieurs mois et avaient donc acquis de l'expérience .
J'aimais bien me promener dans les chemins de cette zone naturiste quelques jours avant mon départ, je faisais mon footing quotidien je retrouvais un revenant
Régis
Il avait voyagé dans la région et de passage dans le coin, il profitait du soleil a poil !
Re : Alors Djé, ça va toi depuis l'autre jour ?
Moi : Régis, je vois que tu n'as pas suivi mes conseil, je suis donc un si mauvais vendeur ?
Re : Arrête de dire de conneries et viens donc par là
Moi : Naïvement, je le suivais dans un buisson
Rapidement il bandait .
Re : Regarde ça, tu es sûr que ça te tente pas ?
Je craquais, je commençait à le sucer, il se laissait faire
Ma bite se manifestait c'était de plus en plus inconfortable . Par moment ça devenait douloureux, comme aux premiers jours !
Re : Tu fais ça bien en plus ! Vas y Djé, t'es le meilleur, c'est toi le champion !
J'avais attrapé ses couilles et je tirais dessus, pas trop fort, pas pour lui faire mal
Juste un peu pour l'obliger à se cambrer
J'avalais sa queue sur toute sa longueur, je sentais son gland me caresser le palais avant de s'enfoncer dans ma gorge
Il gémissais de plaisir
Je recommençais encore
Le masturbais en massant doucement son gland décalotté
Je lubrifiais avec beaucoup de salive puis reprenais plus fort
Je le suçais encore puis le massais de nouveau
Je massais son gland plus fort, je le prenais au creux de la main que je refermais bien puis le massais d'un geste de rotation
Il tentait d'écarter ma main, je tirais plus fort sur ses couilles
Je sentais le plaisir monter en lui
Je lubrifiais et je recommençais plus fort
Il gémissait et rapidement me giclait à la figure
Il débandait aussitôt
Re : Tu fais ça bien dis donc mon gars , c'est pas la première fois
Vous devez bien vous amuser entre vous ! Je t'aurais bien enculé mais bon, là , j'ai plus envie .
Moi : Tu viens nous rejoindre quand tu veux !
Re : Je viens comme je suis ?
Moi : Non, il faudra te couvrir et fermer le cadenas !
Re : Alors là ça ne risque pas !
Dommage , je me serais bien pris cette bite dans le cul, ça commence vraiment à faire long cette affaire
Je retournais rejoindre le groupe après avoir piqué une tête dans l'eau, histoire de faire disparaître toutes les traces de cette rencontre
Je m'installais Hélène posait doucement sa tête sur mon ventre, je bandais ferme, je sais qu'elle l'a remarqué
Mais elle ne se posait pas de questions, sa présence ou son contact suffisaient à justifier ma réaction
Ma tension ne diminuait pas, j'étais fou de désir
Je savais qu'il n'y avait aucune chance de soulagement avant
Avant je ne sais pas quand !
Ce jour là je me laissais aller à caresser Hélène comme je le faisais de temps en temps
Je posais ma main sur son sexe, j'introduisais un doigt et la stimulais manuellement, avec beaucoup de douceur, je prenais bien mon temps, je lui caressais le ventre en remontant jusqu'à ses seins . Voyant cela mes camarades en faisaient de même
Je sentais les seins d'Hélène se durcir sous mes doigts et je la sentais gémir ! Les autres filles commençaient à gémir également
Hélène posait sa main su le mienne pour me guider, on ne se pressait pas
Son souffle devenait fort, elle commençait à pousser de véritable cris, je l'embrassais pour la bâillonner . Elle me serrait fort contre elle en me tenait par le coup . Elle mouillait, je la sentais vibrer, elles jouissait, totalement essoufflée elle me disait darrêter, j'arrêtais ! Elle restait là, allongée sur moi, ses seins étaient durs, on s'embrassait, je la sentais se détendre
Les autres filles ne tardaient pas à se retrouver dans même état
Un peu plus tard elles nous laissaient pour aller se rafraîchir dans l'eau
Moi : C'est pas ça qui va nous calmer nous !
Ils rigolaient tous, on échangeait nos sensations, on était tous sous tension ! Toutes les cages étaient sous pression !
Mon frère venait nous voir régulièrement, il en profitait pour discuter avec mes nouveaux amis .
Luc : Tu te souviens quand je t'ai demandé si tu pouvais m'avoir un de ces truc ?
Moi : Oui, je m'en souviens très bien !
Luc : Tu me promets d'y penser, j'ai vraiment envie de porter un truc comme toi !
Moi : Je vais voir ce que je peux faire !
On continuait à en parler une bonne partie de la nuit, je lui disais de ne pas se forcer, que si ça n'allait pas il ne devait pas insister
La taille du dispositif
c'était facile, nous sommes frères et si j'ose dire, on chausse pareil ! Il me ressemblait et quand on nous voyait l'un à côté de l'autre il n'y avait pas de doute sur le fait qu'on était frères !
Le lendemain je me préparais à repartir dans la matinée
J'avais de la route, Justine habitait dans une ville pas très loin de ma fac, ça me faisait quelques centaines de kilomètres à refaire dans l'autre sens
Je disais au revoir à tout le monde Hélène était venue
En m'embrassant elle me glissait à l'oreille
'' Je ne suis pas prêt de t'oublier Djé ''
C'était un flirt de vacances et on sait ce que devient ce genre de flirt quand les vacances sont finies
Je reprenais la route dans l'autre sens
Une bonne partie de la journée et je serais chez moi, à mon appart avant le soir, il m'était réservé pour tout l'été
Mon frère me demandait s'il pouvait venir avec moi !
Luc : Jeremy, tu m'as dit que tu avais de la place
Moi aussi je suis en vacances
Je pourrais voir ou tu vie
Visiter ton campus
Juste une semaine , deux semaines, trois
Dis quelque chose
Je rigolais, en fait c'était une bonne idée, ça ne pausait aucun problème
Moi : Si tu veux !
Luc : Oué ! Super !
Il courait chercher son sac, il était déjà prêt, le jetais dans la voiture et s'installait à la place passager
Tout content de partir en voyage ! Il ressortait de la voiture pour embrasser nos parents, il avait réussi à les convaincre, ils avaient dit oui sous réserve que j'accepte, et on faisait route !
Moi : Mais pourquoi tu ne m'en as pas parlé hier ?
Luc : En fait, j'y ai pensé ce matin en me levant
Je me suis dit que
Et puis j'avais peur que tu dises non !
Moi : Mais pourquoi j'aurais dit non ? Ça me dérange pas que tu viennes ! Au contraire ! On ne se voit plus trop souvent depuis deux ans
Luc : Tu me présenteras tes copains ?
Tu me feras visiter ton école ?
Il y a des coins sympa ?
Tu sors ou le soir ?
C'est une grande ville ?
C'est pas la campagne ? ...
Et il était comme ça pendant tout le voyage
Ah ces jeunes !
On faisait une pause dans un fast-food , puis une seconde pour se dégourdir les jambes . Luc n'avait pas le permis de conduire il n'était pas question de se relayer . Quand on arrivait, il ne disait plus rien . Il regardait partout, il découvrait la ville, je passais devant l'école pour lui montrer le campus, on n'avait pas le temps de s'arrêter, je lui faisais seulement faire un tour . On s'arrêtait, de l'autre coté de la rue, il remarquait un écriteau au dessus de la porte ' Cité universitaire, logement étudiants ' . Il prenait donc son sac et traversait la route
Moi : Tu vas ou là ?
Luc : Bein, c'est pas là que tu habites ? ( il me montrait l'inscription )
Moi : Non, c'est pas là, c'est ici !
Luc : Résidence
Tu habites dans une résidence !
Moi : Et encore tu n'as rien vu !
On entrait . Greg descendait les escaliers au moment ou nous arrivions .
Greg : Déjà de retour, ton séjour s'est bien passé ? ( On se faisait la bise )
Moi : Super, j'ai ramené mon petit frère avec moi
Luc, Greg ( Je les présentais ) . Greg lui faisait la bise également !
On discutait un moment, je prenais des nouvelles sur l'avancée du projet
On se quittait et Greg nous invitait pour le souper !
Luc : Il a l'air sympa ton voisin, il fait quoi dans la vie !
Moi : Il est prof à mon école !
Luc : Et tu fais la bise à tes prof toi maintenant !
Moi : Et encore t'as rien vu !
On montait au second
Moi : Au premier, il y a Greg
Moi je me suis trouvé une petite place au second
Luc : Il n'y a qu'une seule porte par palier ?
Moi : Évidement, il n'y a qu'un seul appartement par étage !
Luc : Mais ils sont grands comment les appartements ?
Moi : Je te le dis comme je le pense, tu n'as rien vu !
J'ouvrais
Moi : On n'est pas trop à l'étroit
Salle à manger avec coin salon de plus de cent mètres carré, cuisine de quarante, trois chambres de vingt cinq, la mienne en fait un peu plus de trente
, une grande salle de bain par chambre
Enfin, ça va c'est supportable
Luc : Et tu as combien de colocataires ?
Moi : Aucun mais j'ai un valet de chambre !
Luc : Tu déconnes . Et il est ou ?
Moi : En vacances !
Il faisait le tour de l'appartement à toute vitesse, passait dans toutes les chambres, il ressortait de ma chambre
Luc : Mais c'est quoi cette salle de bain de ouf dans ta chambre ?
Moi : Bain bouillonnant, je sais, c'est cool !
Luc : Mais c'est un truc de fou, j'y crois pas ! Tu as un balcon, il y a une grand baie vitrée là ?
Moi : Et encore t'as rien vu ! ( J'ouvrais le volet déroulant ) Un balcon, oh non, mais une terrasse de deux cent mètres carré et la possibilité de l'agrandir en utilisant le toit de l'immeuble
C'est ce qu'on à fait à la fin de l'année, il y avait plus de deux cent cinquante invités !
Luc : Je te crois pas ! C'est un truc de fou ! Tu es devenu un parrain de la mafia ou bien !
Il faisait le tour de la terrasse .
Luc : Et tout ça pour une personne, juste pour toi !
Moi : Avec Charles on était deux !
Luc : Charles c'est qui ça ?
Moi : Mon valet de chambre !
Luc : C'est vrai je l'avais oublié celui là ! Je te crois pas !
On se préparait pour descendre chez Greg . Un homme en livret nous ouvrait la porte
Stéphane : Monsieur Ducran n 'est pas encore arrivé, mais il m'a demandé de vous recevoir
C'était le valet de chambre de Greg
Il nous installait sur la terrasse nous servait un rafraîchissement
La terrasse de Greg était plus petite que la mienne mais son appartement faisait presque le double
Un peu plus tard on sonnait à la porte, une très jolie jeune femme entrait , Stéphane la recevait avec beaucoup dégards . Elle nous rejoignait
Sophie : Bonsoir, je m'appelle Sophie, tu dois être Djé et toi Luc ?
Luc : ( décontracté ) Non, c'est le contraire !
Sophie : ( amusée ) C'est vrai que vous vous ressemblez !
Luc : Moi je vous connaissais pas mais je ne vous aurais pas confondu !
Sophie : Il est amusant ton frère !
Moi : Il est encore très jeune, dix sept ans, c'est l'adolescence, il ne faut pas lui en vouloir ! Et tu es donc une amie de Greg ?
Sophie : Non, je suis sa sur, sa jeune sur . On a presque dix ans décart !
N'hésitez surtout pas à laisser un commentaire !
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