Eva 3
Lorsque la sonnette retentit, je courus à ma porte le coeur battant à tout rompre. Enfin ! Le grand jour était arrivé ! Jen pouvais plus dexcitation et de fébrilité. Jouvris la porte, et dans un frisson de plaisir, je découvris mon Chéri qui attendait devant. Ses yeux bleus brillèrent de plaisir en me découvrant, et moi même, je le détaillai avec délectation : il était habillé dun simple t-shirt et jean, mais on devinait aisément ses muscles bien dessinés. Son beau visage, ses yeux bien bleus, son léger sourire, tout ça ne me donna quune seule envie : je me jetai sur lui, et lembrassai fougueusement, en me mettant sur la pointe des pieds, et en le tirant par le cou, car jétais beaucoup plus petite que lui : il faisait dans les 1,85 mètre, tandis que moi je dépassais à peine les 1,50. Surpris, il me répondit avec ardeur me dévorant littéralement la bouche. Jintensifiai le rythme du baiser, et mattrapant par larrière de la tête, il accéléra la cadence lui aussi. On sembrassa si passionnément, quil finit par me soulever, et me plaquer contre le mur de ma maison, se collant contre moi délicieusement.
On finit par se séparer, haletants, le regard brillant. Jétais déjà bouillonnante dexcitation. On entra dans ma maison.
« Tu sais accueillir toi ! »
Je souris, et dis :
« Jétais impatiente de te voir. »
« Cest pour ça que tu tes habillée sexy ? »
Javais mis un débardeur rouge vif très décolleté, qui découvrait mon ventre plat, et un mini-short, vraiment très mini. Javais pas lhabitude de mhabiller aussi chaudement, mais cétait une occasion spéciale aujourdhui.
« Oui, jai mis ça rien que pour toi
je veux que ce soit une journée sportive et intense. »
Il eut un grand sourire :
« Tinquiète pas, ça le sera. »
On alla sur mon canapé, et on recommença à sembrasser. Cette fois ci on y allait doucement, romantiquement.
« Ca te tente un bain avec moi ? Jai tout préparé dans la salle de bains en haut ! »
Il eut son sourire craquant.
« Ok ! »
On monta dans ma salle de bains, et il découvrit tout ce que javais préparé : une baignoire remplie deau chaude et de mousse, une salle de bains garnie de bougies, seules source de lumière. Lambiance semblait hyper romantique. Il eut un sourire étonné :
« Oh là là Eva, tu me fais le grand jeu. »
Je souris.
« Que veux-tu cest mon côté romantique ! On sy met ? »
« Avec joie ! »
Il retira son t-shirt, dévoilant son superbe corps musclé, puis se dénuda complètement libérant son magnifique cul, ainsi que son engin, qui commençait déjà à être assez tendu
Je me dénudai à mon tour, dévoilant mon corps, ma taille fine, ma poitrine opulente, et mes fesses rondes et fermes. Je vis son regard appréciateur, et ça me mit en confiance. Je lui fis signe dentrer dans le bain, et il sexécuta en souriant. Il était important pour mon « plan » quil y entre le premier.
Il sallongea dans leau chaude avec un soupir de contentement. Rapidement, je le rejoignis, entrant dans le bain, en me mettant à califourchon sur lui. Il eut un petit rire devant mon empressement.
« Tas lair davoir envie toi dis moi.
« Oh oui, jai super envie... »
« En même temps ça fait longtemps que tas rien fait, on a pas baisé depuis des mois ! »
Je souriais en réponse. Comme prévu, il pensait que jétais toujours la petite coincée quil avait dépucelée voilà quelques mois
Il simaginait quil était toujours mon seul amant. Sauf quen réalité, depuis quune fille du nom de Katherine avait décidé de devenir ma « prof » en matière de sexualité, javais enchaîné les rencontres et les coups dun soir. Je métais incroyablement améliorée en matière de séduction et de baise. Javais appris à dominer, à mener la danse au lit, et je comptais bien profiter de cette expérience acquise pour soumettre mon Chéri. Mais tout ça, il lignorait totalement, et je comptais bien profiter de leffet de surprise.
En loccurrence, même si il ne sen rendait pas encore compte, il était totalement à ma merci : dans ce bain, étroit, glissant et rempli deau, il navait aucun moyen de reprendre le dessus. Je brûlai dimpatience, ça faisait tellement longtemps que je rêvai de ce moment, le moment où je pourrais enfin le mâter ! Aussi, je me jetai sur lui, et lembrassai avec une fougue peu commune, le tenant par les joues, lui dévorant la bouche comme une folle. Il me rendit mon baiser autant quil put, mais ma sauvagerie était telle que cétait moi qui donnais le ton. Il aurait dés ce moment dû comprendre ce qui lattendait, mais il était trop persuadé que jétais toujours sa petite soumise pour deviner ce que je lui réservais.
En attendant, mon baiser lavait excité à mort, et son imposant sexe était enfin en totale érection. Je le pris donc en main, et mempalai dessus avec un gémissement. Je commençai alors à le chevaucher, bougeant mon bassin davant en arrière, surplombant cet Apollon musclé, et frissonnant de plaisir à chaque mouvement que je faisais sur son engin dressé.
« Hmm tu me fais tellement de bien ma belle ! soupira-t-il. »
Pour linstant, jétais très loin de le chevaucher à fond, mais ça devait être aussi bon que du temps où jétais pas très expérimentée.
« Tu bouges pas, lui dis-je dune voix très autoritaire. Tu es mon jouet, je te baise et tu restes tranquille cest clair ? »
Il ouvrit la bouche pour me répondre, mais impitoyablement, je le baillonai avec ma main, avant daccélérer encore le rythme, vibrant de plaisir comme jamais je lavais fait. Ca arrivait enfin ! Enfin après des nuits et des nuits passées à « mentraîner » sur des mecs chopés en boîte ou autre, je domptais le seul que je voulais vraiment soumettre, mon Chéri, celui qui mavait dépucelée ! Je me sentais incroyablement puissante en allant et venant sur sa bite si grosse et raide, en voyant son corps dathlète vibrer sous mes assauts, en le sentant se débattre et sagiter faiblement et inutilement, en voyant quil ne pouvait rien faire pour se libérer de mon pouvoir ! Le plaisir et lexcitation bouillonnaient en moi comme un volcan, à chaque coup de rein que je lui donnai, cétait pire encore. La baise était trop forte, trop sauvage et soudaine pour durer longtemps : mon Chéri et moi explosâmes dans un orgasme si violent que je meffondrai sur lui dans hurlement.
Je me redressai, haletante et essoufflée. Jétais tellement contente de moi ! Je naurais pas été moins fière si javais gagné une médaille dor aux Jeux Olympiques. Il était hors de question de sarrêter là. Son énorme engin était toujours en moi, aussi dur et tendu quavant lorgasme : je repris alors aussitôt ma chevauchée.
« Tu aimes ce que je te fais ? lui lançai-je entre deux gémissements. Tu aimes me sentir te baiser violemment comme ça ? »
Comme jaccélérai le rythme en même temps que je lui posai la question, il ne put répondre autre chose quun cri, mais cétait amplement suffisant. Sentant un nouvel orgasme approcher en nous deux, jaccélérai une toute dernière fois le rythme, allant si fort sur lui, que leau agitée de remous, gicla hors de la baignoire, tandis que mon Chéri criait, se tortillait, gémissait et finalement eut un formidable orgasme qui le fit se secouer comme un dingue. Après deux trois coups de reins supplémentaires, je le rejoignis moi aussi au 7ème ciel, hurlant lorsquune brûlante vague de plaisir me submergea et me fit mécrouler hors dhaleine.
Je pris un peu de temps pour me remettre, et sans un mot, je sortis de la baignoire, me séchai, me rhabillai, et quittai la salle de bains. Mon Chéri, lui, resta un moment étendu et sonné dans la baignoire. Ravie de ma victoire, je quittai la pièce, et allai à la cuisine. Je navais pas fait la vaisselle ce matin, et il en restait pas mal dans le lavabo. En attendant que mon Chéri reprenne ses esprits, je mattelai donc à faire ma vaisselle.
Il me rejoignit au bout de dix minutes environ. Il ne sétait pas complètement rhabillé, il navait remis que son pantalon, laissant nu son torse délicieusement musclé.
« Cétait quoi ça ? Ce que tu mas fait dans la salle de bains ? »
Je roucoulai :
« Ca, mon coeur, cétait moi entrain de te baiser sauvagement, et de tutiliser comme un sex-toy. Ca ta plu ? »
Il sapprocha doucement.
« Je peux pas dire que ça ma déplu
»
« Tant mieux. Tu ferais mieux de ty habi, ça se passera souvent comme ça... »
Il sapprocha encore, jusquà se coller dans mon dos. Ses deux bras puissants menserrèrent soudainement, tandis quil me collait à lui. Je pris alors conscience à quel point jétais plus petite que lui. Il se pencha jusquà mon oreille, tout en me serrant doucement.
« Tu es sûre ? »
Dans cette position, debout coincée contre le lavabo, je navais aucune chance de le dominer, jen avais parfaitement conscience.
« Oui, répliquai-je malgré tout dun ton de défi. »
« Cest ce quon verra, ma petite... »
Il marracha aussitôt mon mini-short, emportant dans la foulée mon shorty. Tout en me maintenant plaquée contre le plan du lavabo, il fit également tomber son pantalon, puis son caleçon. Je pus sentir son sexe tendu derrière moi, et ça mexcita follement. Il me pénétra avec force, et je frémis de plaisir lorsque son imposant engin entra en moi, cognant le fond de mon intimité. Je poussai carrément un cri, lorsquil se mit à aller et venir, me limant avec vigueur, tout en massant vigoureusement ma poitrine, me faisant bouillir dexcitation. Il accéléra progressivement le rythme, me plaquant contre le plan de cuisine avec force. Jétais tellement excitée que jen perdais la tête, je me sentais tellement fragile et vulnérable, prise ainsi avec force, coincée par les bras si musclés de mon Chéri. Plus la baise durait, et il plus devenait sauvage et brusque, pour mon plus grand plaisir. Ses cous de reins sintensifiaient, ses massages sur ma poitrine devenaient plus pressants plus vigoureux. Il se montrait de plus en plus sauvage, et jadorais ça.
Il me saisit ensuite par les hanches, et me tira jusquà la table. Il me souleva, et métala dessus sans aucun effort. Je me débattis un peu, mais honnêtement le coeur ny était pas : il était bien sûr beaucoup plus fort que moi, et dans la situation présente, lempêcher de faire de moi son petit jouet était impossible. Et puis
jadorais ce qui se passait, il fallait bien le reconnaître. Me tenant plaquée contre la table, en me tenant par les mains, il me prit à nouveau, me labourant avec force. Sa queue me limait encore et encore, inlassablement, déclenchant en moi de véritables tourbillons de plaisir qui me faisaient me tortiller et gémir de plus en plus intensément. Lui pendant ce temps sactivait toujours plus, me regardant droit dans les yeux dun air viril et dominateur. Ca mexcitait terriblement, je mouillais à fond, et ça lui permettait de me baiser avec toujours plus dardeur. Ce qui me rendait folle aussi, cétait voir son corps dathlète en action, ses muscles se contracter pendant leffort quil faisait. Tout en prenant un pied énorme, je soutenais son regard, au début pour le défier, mais au fur et à mesure que sa queue me faisait gémir et frémir de plus en plus, mon regard devenait de moins en moins lionne, et de plus en plus chienne. En attendant le plaisir sintensifiait, devenait insupportable je tremblais, gémissais, jétais plus échauffée que jamais. Je le sentais lui aussi, trembler et frémir sous ses propres assauts, et compris que lexplosion était imminente. Je serrai les dents pour tâcher de retarder au maximum un orgasme que je pressentais dévastateur, mais ce fut inutile : il me baisait trop bien, avec trop de constance, de force et de vitesse, je ne pouvais me retenir longtemps à ce rythme : jexplosai dans un orgasme si fort que chaque parcelle de mon corps en vibra, et que je me sentis épuisée après. Mon Chéri jouit en moi lui aussi, dans un grand cri de plaisir.
Jétais un peu troublée par ce qui venait de se passer : je métais mise en tête de dominer mon Chéri, et il venait de me mâter de la plus belle des façons. Pire, javais complètement adoré ça
Il fallait que je me reprenne, et je décidai de me venger le plus vite possible.
« Tas aimé ? me demanda-t-il »
Il avait un petit sourire entendu, qui en disait long sur sa confiance en lui. Ca me plaisait beaucoup.
« Oh oui, répondis-je franchement, cétait une baise de folie ! »
« Oui
désolé de tavoir un peu malmenée, mais tu mas vraiment trop excité dans la baignoire tout à lheure
ne réessaye jamais de me dominer comme ça, sinon je te punirais encore, compris ? »
Je lui souris dun air timide et soumis :
« Oui tinquiète pas, jai bien retenu la leçon. »
On se mit à table, histoire de recouvrer nos forces. Pendant le repas, on parla beaucoup, et avec animation. Je me sentais vraiment bien avec lui, et je me dis que même si il navait pas été un dieu du sexe, je me serais bien entendue avec lui, ne serait-ce que pour sa gentillesse. Ce ne fut quaprès le dessert, que je repassai à lattaque.
« Tas aimé le repas ? lui demandai-je en mapprochant de lui. »
« Jai adoré, tu fais super bien la cuisine ! »
« Merci, tu veux quon passe au dessert ? »
« On la pas déjà pris ? »
« Non, je parlais de celui-ci... »
Je me mis à genoux devant lui, et lui retirai son pantalon lentement. Il se laissa faire, avec un sourire ravi et amusé. Le pauvre devrait encore croire quil avait affaire à Eva la soumise timide. Malgré notre baise dans la salle de bains, il ne comprenait pas que jétais devenue une vraie tigresse. Il ne tarderait pas à le comprendre, cependant
En attendant, je fis tomber son pantalon, puis arrachai son caleçon, le tout avec un sourire coquin. Son sexe, à nouveau libéré, était tout dur et tendu, et je me mis à le sucer magistralement. Je faisais courir ma bouche le long de sa hampe jouait de ma langue pour le faire frémir, et le pompais avec avidité lui arrachant des cris de plaisir. Je métais énormément améliorée dans le domaine de la fellation, et il devait sen rendre compte maintenant. Je minterrompis quelques instants pour attacher mes cheveux en queue de cheval, sous son regard appréciateur. Puis je repartis à lattaque, plus gourmande que jamais. Je le pompais avec fureur et avidité, dévorant sa queue, tout en lui malaxant dune main les boules, de lautre sa hampe, lui arrachant des gémissements de plaisir. Plus je le suçai vite et fort, plus il poussait de grands cris , et plus je me sentais forte, sexy et irrésistible : cétait incroyablement excitant de faire autant de bien à un mec, juste avec sa bouche, et jen tirais presque autant de plaisir que lui. Je conclus cette formidable pipe, par une branlette énergique tout en le regardant bien dans les yeux, avec un sourire provocateur. Son visage était décomposé, son corps tout entier frémissait sous le plaisir que je lui infligeais, je lui faisais perdre la tête, il était à moi !
Pleine de confiance, je me redressai, et sans attendre, retirai mon mini-short et mon shorty, puis, vins mempaler avec un cri sur son imposante queue. Bien décidée à le mettre KO tout de suite, je me déchaînai, bondissant sur son sexe de haut en bas, mempalant encore et encore sur ce pieu délicieusement dressé. Je poussai de grands cris de plaisir, mais gardait la tête froide, et mappliquais à lui faire perdre la sienne. Entre deux bonds sur son sexe, je me mettais à lui donner de puissants coups de reins davant en arrière, tout en le tenant par les épaules, plaqué contre le dossier de la chaise. Je pouvais sentir son corps tout entier frémir sous mes assauts, je le regardais droit dans les yeux en signe de défi, je griffai parfois ses pectoraux si parfaitement sculptés. Tout ça me rendait folle, quel pied de dominer ce mec si parfait, qui mavait initiée au plaisir du sexe ! Jallai de plus en plus vite, et lui criait de plus en plus fort. Je voyais ses beaux yeux bleus chavirer sous le plaisir que je lui infligeais, je me sentais incroyablement puissante à le baiser comme ça. Je saisis le dossier, et allai davant en arrière à fond, mempalant puissamment sur sa queue qui cognait le fond de mon intimité, et me faisait crier. Je me retournai ensuite, lui tournant le dos, et me mis à me déhancher, malmenant son sexe sur un tempo infernal. Il posa ses puissantes mains sur mes hanches pour ralentir le rythme mais cétait peine perdue. Je saisis ses poignets et les plaquai sur la chaise. Puis jaccélérai encore le rythme allant si vite, que je le fis défaillir. Dans un grand frisson, accompagné dun cri, il eut un puissant orgasme, qui le laissa écroulé sur le dossier de la chaise. Moi même je continuai à le baiser un petit moment, jusquà ce que je jouisse à mon tour.
Essoufflé et comblée, je me levai lentement. Mon Chéri était un peu sonné sur sa chaise. Je remis mon short et mon shorty, et lui lançai dun ton narquois :
« Va falloir ty habi mon coeur : maintenant ça va être moi la patronne entre nous deux. Toi tu seras juste mon jouet. »
Très fière de moi, je quittai la cuisine. Jétais dans mon salon, quand soudain jentendis un bruit derrière moi : mon Chéri mavait couru après, et jeus à peine le temps de crier quil me soulevait et me jetait sur le canapé.
« Si tu crois que je vais te laisser me soumettre, tu te fourres le doigt dans loeil. »
Sans plus attendre, il marracha mon mini-short et mon shorty, et me pénétra sauvagement me laissant en débardeur. Il se mit à me baiser en missionnaire, bien décidé à me faire payer ce que je lui avais fait. Il me tenait solidement par les mains, et allait et venait en moi, son engin memplissant totalement et me faisant vibrer de plaisir. De plus son corps musclé au-dessus de moi était tendu et contracté par leffort, tandis que ses yeux bleus me fixaient dun air supérieur et dominateur. Il me rendait complètement dingue, quest ce que jaimais être prise comme ça ! Quest-ce que jaimais, même, me sentir « remise à ma place » par son attitude ! Il augmenta quelque peu la cadence, me donnant de puissants coups de reins, qui me firent pousser des hurlements de plaisir. Sûr de lui, il se pencha sur moi pour membrasser. Je décidai den profiter pour réagir. Rapidement, je dégageai une de mes mains, et lui tirai les cheveux, pour reprendre le dessus. Ca avait marché avec beaucoup de mecs avec qui javais couché.
Mon Chéri lui ne broncha pas. Je lui tirai la tête en arrière, mais il me saisit par le coude et me plaqua le bras contre le canapé, avant de redoubler dardeur, me prenant avec encore plus de force pour mapprendre à me rebeller. Je gémis comme une petite soumise, et ça lui tira un sourire satisfait.
Il me souleva ensuite, probablement pour changer de position, et jy vis une nouvelle occasion de reprendre le dessus. Je le poussai tout à coup, le collant contre le dossier du canapé, et me mis le chevaucher avec ardeur. Je le saisis au cou, et accélérai le rythme, bondissant sur son sexe à fond, et me déhanchant avec force. Son visage se décomposa, et il poussa un cri de plaisir.
« Ooooh ! Eva ! »
« Tu kiffes chéri ? Tu aimes comme je te baise ? »
« Oui ! »
Je me mis à aller et venir sur lui davant en arrière, il poussa un nouveau cri, tandis que je le saisis par les cheveux, pour lobliger à me regarder droit dans les yeux. Jallai à fond, sa queue me faisait un bien fou, je lui faisais perdre la tête à force de plaisir
quest ce que je me sentais puissante ! Comme cétait bon de baiser ainsi !
Alors que je pensais lavoir totalement mâté, je fus soudain saisie par les hanches, et renversée. Avant que jaie eu le temps de dire ouf, mon Chéri me retourna, et me mit à quatre pattes sur le canapé. Il me prit en levrette, me tenant par les hanches avec fermeté, il se mit à me baiser fortement davant en arrière me défonçant littéralement marrachant des cris de plaisir de plus en plus stridents. Il allait si fort, que mon canapé en tanguait, sa bite me faisait trembler sur place tandis que ma vue se brouillait. Il me saisit par les cheveux, et tira ma tête en arrière pour mobliger à le regarder, et tandis que ses coups de reins me rendaient folle, il me toisa dun air moqueur. Je me sentais remise à ma place, femelle prise par un vrai mâle, jétais tellement excitée par cette baise si animale ! Je me serais bien débattue pour reprendre le dessus, mais cétait juste impossible. Il mavait trop bien en main, et le plaisir me clouait sur place.
Il accéléra le rythme, me tenant par les cheveux et tirant dessus au gré de ses envies, pour me faire sentir que jétais à lui. Ses hanches me percutaient, et menvoyaient en avant, et à chaque fois jexplosai intérieurement de plaisir, prenant mon pied comme jamais je lavais pris. Il continua ainsi un bon moment, son sexe me pilonnant à fond, et puis, brusquement, cen fut trop : dans un vertigineux frisson, qui me fit mécrouler sur mon canapé, jeus un orgasme qui me coupa le souffle et me laissa sans force. Le pire fut que mon Chéri nayant pas joui, il continua de me baiser quelques instants, mécrasant contre le canapé avec une force délicieuse, et prolongeant cet instant encore et encore. Lorsquil nen put plus, je sentis sa bite exploser en moi et il poussa un cri, avant de sécrouler à mes côtés.
Je me relevai, sonnée et comblée par ce qui venait de se passer. Tout aurait été parfait, si je navais au fond de moi ce sentiment de frustration : rien à faire, il se laissait pas dominer et je narrivai pas à le mâter. Jallais essayer une dernière fois, quand jaurai repris mes esprits.
On passa laprès-midi à ne rien faire, on discutait, riait, plaisantait, mais on restait chaste. Ce ne fut que lorsque je montai chercher quelque chose dans ma chambre, et quil me suivit, que les choses se corsèrent. Il vit mon grand lit à deux places, et eut un petit rire.
« A quoi ça sert un lit aussi grand pour une fille aussi petite ? »
Je le regardai en souriant.
« A avoir toute la place pour menvoyer en lair. »
Il voulut répondre, mais je ne lui en laissai pas le temps. Je le poussai sur le lit, et il sy écroula dun coup. Je lui arrachai sauvagement son pantalon, puis son caleçon, avant de le saisir par la bite, et de la sucer goulument. Il poussa un petit cri de plaisir alors que je le pompais rapidement, enserrant sa hampe avec mes lèvres et allant et venant le plus vite possible. Il se tordit sur le lit, en proie à un plaisir énorme. Je lui massai les boules en même temps, ce qui augmenta encore son plaisir, et accélérai tout en lui léchant le gland à plusieurs reprises. Il devint complètement fou, se mit à hurler de plaisir de plus en plus fort à mesure que jaccélérais.
Lorsque je me relevai, il était complètement sonné, à ma merci. Je me déshabillai rapidement, et mempalai sur sa bite avec autorité. Je me mis à aller et venir sur lui démarrant directement sur un rythme élevé histoire de le mettre tout de suite en mon pouvoir. Il se débattit et chercha à mattr pour reprendre le contrôle, mais je le saisis aux poignets, et les lui plaquai contre le torse. Hors de question quil sen sorte cette fois, jaccélérai le rythme, et vibrai de plaisir lorsquil poussa un rugissement de plaisir alors que mes hanches cognaient les siennes que son engin se faisait malmener. Je me mis à me déhancher de gauche à droite, bougeant comme une danseuse orientale, me tenant les cheveux tant le plaisir me submergeait. Je maintins ce rythme un bon moment, baisant mon Chéri de plus en plus vite jusquà ce quil soit complètement paralysé, le corps raidit, le souffle court à force de crier. Moi même jétais essoufflée, hors dhaleine, et le rouge me montait aux joues. Cependant, pour rien au monde, je naurais ralenti le rythme, chevaucher sa bite encore et encore en allant davant en arrière me faisait trop de bien, à chaque fois, elle senfonçait loin en moins mincendiant les reins littéralement.
Mon Chéri finit par avoir envie de se rebeller : il se redressa une première fois pour me renverser, mais je le repoussai en le poussant par le cou dun geste autoritaire. Je lui donnai plusieurs coups de reins, et il ferma un moment les yeux sous le plaisir que je lui apportais. Puis il se redressa à nouveau, mais cette fois-ci, ce fut avec une gifle bien sentie que je le refoulai. Il poussa un grognement de douleur qui me fit frémir dexcitation, tandis que jaccélérai le rythme. Il se redressa à nouveau, mais plus rapidement, me saisit par les hanches et avec beaucoup de force et dautorité me renversa et me plaqua contre le matelas, me tenant par les bras.
Un air résolu sur le visage, il me prit en missionnaire, remontant mes jambes autour de sa taille pour me baiser avec plus de profondeur. Il partit tout de suite sur un rythme effréné, bien décidé à se venger de ce que je lui avais fait. Son imposante queue allait et venait en moi avec la force et la régularité dun marteau-piqueur, à chaque fois, elle me défonçait jusquau fond de mon être, mexplosant littéralement de plaisir, et marrachant de grands cris. Je tentais bien de me débattre, de me servir de mes jambes, enroulées autour de ses hanches, mais rien à faire, il me tenait trop fort avec ses bras puissants. Jétais coincée contre le matelas, prise avec vigueur et force, chaque parcelle de mon corps explosant de plaisir à chaque instant
je vivais un pur moment dextase, grâce à ses coups de butoir quil massénait encore et encore jusquà me faire perdre la tête. Il mobservait avec attention, un sourire satisfait aux lèvres alors que je criais son prénom encore et encore tant ce quil me faisait était bon.
« Alors ma belle tu prends ton pied ? »
Jeus le plus grand mal à répondre.
« Pas
pas du
ooooh putaiiin ! pas du tout je
oooooh bordel ! je sens rien là ! »
Il sourit devant mon évidente mauvaise foi et me lança :
« Ah mince
on va changer de position alors. »
Il me retourna soudainement, et me mit à quatre pattes. Je mattendais, à tout moment, à sentir son sexe entrer dans mon intimité, mais je neus pas le droit à une levrette classique
Au lieu de ça, il présenta sa queue à lentrer de mon cul, et doucement entra dedans. Je poussai un grand cri de douleur tandis que sa longue et grosse bite entrait en moi, cétait tellement douloureux ! Ca le fut encore plus lorsquil me donna quelques doux va-et-viens
Mais heureusement, la douleur disparut bien vite pour laisser place à un incroyable plaisir.
Sentant que je navais plus mal, mon Chéri accéléra le rythme, me baisant le cul avec force. En me tenant bien solidement par les hanches, il allait et venait très rapidement, me prenant comme une chienne sans aucune douceur. Alors quil était sur un rythme très élevé, et que le plaisir bouillonnait en moi comme la lave dans un volcan, me faisant trembler sur mes quatre pattes, je me rendis compte que je navais plus aucune envie de le dominer. Je le sentais, derrière moi, me prenant si fort, je sentais ses mains me tenir fermement les hanches, je sentais son engin pénétrer mon cul, tout cela me rendait complètement dingue, je me sentais gazelle capturée par un lion, femelle prise par un mâle. Lorsquil me saisit par les cheveux et tira dessus, je poussai un grand cri de plaisir, et frissonnai : quest ce que cétait bon dêtre soumise comme ça ! Le plaisir montait et montait encore, ma vue se troublait, mon corps se raidissait, je compris que lorgasme était proche, et lui aussi le sentit. Il accéléra à fond, se mit à me baiser comme personne ne lavait jamais fait, me prenant si vite et si fort que jen eus le souffle coupé par lextase. Je ne pus tenir très longtemps à ce rythme, et nous explosâmes tous les deux dans un orgasme titanesque, qui me fit meffondrer sur le matelas en hurlant, tandis que lui se déversait dans mon cul à grands jets.
On sécroula sur le lit, hors dhaleine, incapables de parler.
Ce ne fut quun bon moment plus tard quil me dit :
« Eh ben ! Tétais en forme aujourdhui, depuis quand tes si douée ? Et si rebelle ? »
Jeus un peu de mal à lui répondre : jétais toujours sous le coup de ce quil mavait fait.
« Jai rencontré une fille, elle ma appris deux trois trucs, et jai couché avec pas mal de garçons. »
« Ah ouais ? Du coup tes devenu un super plan cul, Eva, elle sappelle comment cette fille ? »
« Oh je pense que tu la connais pas, elle sappelle Katherine. »
« Quoi ?! »
Il se redressa dun coup, lair stupéfait.
« Quoi ? Tu la connais ? »
A suivre
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