Les Ouvriers
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Ce matin-là, jétais à peine réveillé. Le cerveau encore embrumé, je me servais mon premier café de la journée quand la sonnette retentit. Je nattendais pourtant personne. Je nétais pas encore arrivé à la porte que la sonnette retentissait à nouveau de plus belle accompagnée de coups sur la porte. Qui que ce soit, cette personne était visiblement peu incline à la patience. Jouvrais pour me retrouver nez-à-nez avec deux hommes. Probablement des ouvriers si je me fiais à leurs tenues et à létat de leurs mains. Un troisième se tenait derrière eux mais je ne laperçu pas tout de suite.
- « On vient pour la facture. » madressa sèchement le premier homme sans autre formule.
Cétait un homme assez trapu et dorigine maghrébine selon son accent.
- « Quelle facture ? » répondais-je.
- « Ecoutez Monsieur, on est pressé. On na pas vraiment le
»
- « Je ne sais vraiment pas de quoi vous parlez. Si vous mexpliquiez.» coupai-je.
- « Les travaux quon a fait chez vous. »
- « Quels travaux ? Je nai pas fait de travaux ! »
Le premier homme échangea un regard avec le second qui se tenait à côté de lui. Lui était grand. Très grand ! Plus grand que moi, chauve, barbu et sacrément musclé. Une vraie masse.
- « Ce nest pas bien ce que vous faîtes. On a travaillé. On veut juste notre argent. »
- « Cest une erreur. Vous vous trompez sûrement dendroit. »
- « Vous mentez ! ».
Ils commençaient visiblement à perdre patience et moi, je nageais en plein délire. La situation commençait à senvenimer et je nétais pas en position de force. Jallais leur répondre mais il se tourna vers le troisième homme pour lui parler en arabe. Cétait un jeune garçon, lui aussi visiblement maghrébin, qui semblait presque chétif en comparaison avec ces deux-là. Je ne comprenais rien à ce que lui disait le premier homme mais il acquiesçait manifestement.
Les deux premiers hommes étaient déjà entrés dans le salon quils balayaient du regard comme si ils cherchaient quelque chose.
- « Vous voyez ? Il ny a eu aucuns travaux ici ! » leur criai-je finalement.
Le deuxième homme parcourait mon salon. Je le suivais tout en essayant de le résonner quand la voix du premier homme retentit. Il appelait son acolyte et lui demandait de le rejoindre.
- « Viens ! Jai trouvé quelque chose ! »
Quelque chose ? Comment ça quelque chose ? Sa voix venait du fond du couloir. Ce mec était dans ma chambre ! Je fonçais dans ma chambre ne laissant pas le loisir, aux deux autres mecs qui se trouvaient dans mon salon, de me précéder.
Je découvrais le premier homme assis sur mon lit juste à côté de la silhouette de ma femme qui était encore assoupi. Je ne sais pas si cétait lui qui avait soulevé le drap ou si cétait ma femme qui sétait mis dans cette position dans son sommeil mais sa chemise de nuit était relevée et elle présentait son cul nu à la vue de tous.
- « Regarde ça ! » lança le premier homme au second qui nous avait rejoints entre-temps. Ce dernier se mit à rire. « Je crois que jai trouvé de quoi nous dédommager en attendant que vous régliez votre facture. » madressa-til.
- « QUOI !!!??? » Jétais stupéfait mais sans avoir eu le temps de réagir, le deuxième homme mécartait encore une fois du passage pour lui aussi venir sasseoir dans le lit.
Ma femme se réveilla et se tourna vers les intrus survenus dans son lit.
- « Mais que
» Elle me chercha du regard sans comprendre ce qui se passait.
- « Ne vous inquiétez pas Madame. Tout va bien. Nous sommes des amis de votre mari. » lui répondit le premier homme.
Quel toupet ! Encore une fois, jen restais sans voix ! Je faisais mine de mavancer mais le deuxième homme madressa un regard noir et me fit non de la tête en me menaçant de son énorme poing.
Ma femme restait dans le flou encore surprise de la situation et jetant des regards interrogatifs alentour. Elle navait même pas pris la peine de réajuster sa chemise de nuit ce qui laissait sa toison bien visible. Le premier homme ne manqua pas de le remarquer et de se régaler du spectacle. Le second vint se positionner derrière ma femme et lentoura de son bras puissant.
- « Que faîtes-vous ? » interrogea-telle ?
- « Rien de grave Madame. Votre mari nous a gentiment invité à venir nous occuper de vous. »
Elle me questionna du regard mais je navais pas de réponse. Le second homme mobservait et guettait ma réaction avec un air menaçant. Il sassurait également que ma femme puisse bouger le moins possible pendant que son complice lui caressait les cuisses. Tout en lui susurrant des paroles qui se voulaient rassurantes, il se fit de plus en plus entreprenant. Ma femme faisait bien mine de résister, serrant les cuisses autant que la position le lui permettait mais il savait arriver à ses fins. A laide de quelques phrases habiles que je ne saurais retranscrire, il eut raison de ses dernières défenses et profita dun moment de faiblesse. Il humidifia son majeur dans sa bouche et se faufila pour le glisser dans la chatte de ma femme. Au fur et à mesure quil faisait jouer son gros doigt douvrier dans la chatte de ma femme, celle-ci se détendit et se laissa faire, écartant même, à ma grande surprise, ses cuisses pour lui faciliter laccès. Le premier doigt fut très vite rejoint par un deuxième puis un troisième. Après quelques minutes de ce manège, il remplaça ses doigts par sa langue. Ce qui ne fut pas pour déplaire à ma femme.
Il finit par déboutonner son pantalon et en sortir une verge certes courte mais particulièrement épaisse. Son gland énorme couronnait un mandrin épais parcouru de grosses veines. Sans plus de sommation, il écarta les jambes de ma femme pour venir présenter sa queue devant sa chatte.
Elle ouvrit la bouche comme surprise mais aucun son ne sortait. Elle restait muette et immobile dans les bras du second homme qui la tenait comme si il lavait enlacé tendrement.
- « Ne vous inquiétez pas. Vous allez aimer Madame. »
Le premier homme la pénétra enfonçant son chibre et lui arrachant un gémissement dont je naurais su dire sil exprimait du plaisir. Ce fut un gros morceau à prendre mais sans plus attendre, il se mit à la besogner agrippant fermement ses mains douvriers sur ses hanches. Lhomme était bedonnant mais visiblement vigoureux et ses coups de reins étaient puissants.
- « Cest bien. Madame, elle aime ça. »
Effectivement cela ne semblait pas lui déplaire. Décidément elle me surprenait de jour en jour. Et moi aussi à observer ainsi sans réagir. Il faut dire que le spectacle nétait pas pour me déplaire.
Le second homme desserra son étreinte pour venir glisser ses mains sous la chemise de nuit. Il cherchait à explorer plus avant son corps mais il était visiblement gêné par ce vêtement quil arracha en deux avec une déconcertante facilité. Ma femme se retrouva totalement nue en un instant, totalement à la merci de ses mains baladeuses. Entre ses mains, qui étaient énormes, ma femme nen paressait que plus petite.
Les deux hommes séchangèrent quelques mots en arabe avec le sourire aux lèvres, visiblement ravis. Je me doutais que le second homme nen resterait pas là et quil voudrait également bientôt prendre sa part une fois que son pote aurait terminé.
- « Ecoutez, ça suffit
» tentai-je.
- « Calme-toi Monsieur. Je moccupe de Madame et regarde elle est contente. »
Ma femme ne me regardait même pas. Elle était subjuguée par cette queue épaisse qui allait et venait en elle.
- « Elle aime ça Madame »
Elle le regardait comme si elle ne comprenait pas de quoi il sagissait.
- « Tu aimes Madame ? »
Elle hocha la tête en réponse.
- « Tu vas aimer mon ami aussi. Lui aussi va soccuper de toi.»
Elle se tourna vers le second homme qui affichait un regard satisfait. Pendant que son pote accélérait la cadence et se vider bruyamment les couilles dans le vagin de ma femme, il se leva et se déshabilla complétement, révélant son sexe qui était à son image : colossal. Si le sexe de son pote était plutôt court, le sien était long et tout aussi épais. Cétait un énorme bout de viande qui pendait entre ses cuisses. Il fit le tour et poussa son pote sans ménagement pour prendre sa place entre les cuisses de ma femme et la pénétrer. Même bien lubrifiée par le foutre de son pote, la pénétration ne se fit pas toute seule mais le mec nétait pas un tendre et il la pilonna jusquà ce quelle encaisse la totalité de son chibre. Ce mec était une force de la nature et si son pote avait suscité quelques gémissements chez ma femme, lui la faisait littéralement gueulée. Entre ses mains, ma femme ressemblait à une frêle et fragile poupée dont il aurait fait son jouet. Je tentais bien quelque chose mais ma femme me repoussa pour se consacrer à son amant quelle encourageait sans équivoque. Elle enserrait ses cuisses autour de lui et lenlaçait de ses bras, plantant ses ongles dans son dos tant le plaisir la submergé à lévidence. Je naurais su dire mais elle semblait avoir joui déjà à plusieurs reprises. Elle hurlait de plaisir.
- Oh oui cest bon ! Cest si bon ! On ne ma jamais baisé comme ça ! »
Lui ne répondait pas et ne faisait que grommeler en la prenant de plus belle.
Il la baisa ainsi en missionnaire pendant plus dun quart dheure avant denchaîner les positions sans que lui, ou elle, ne semblent sen lasser. Il jouissait lui aussi à plusieurs reprises et abondamment comme pouvait en attester les flots de sperme qui sécoulait du sexe de sa partenaire mais, ça ne semblait pas le stopper ni même le freiner et de plus, elle en redemandait, se mettant à chaque fois à quatre pattes, le dos bien courbé comme laurait fait une femelle en chaleur et le sommant de la prendre encore et encore.
- « Prends-moi encore ! Baise moi sil-te-plaît ! » le suppliait-elle en tortillant du cul.
Elle nhésitait pas à laider à reprendre de la vigueur sil le fallait en lui suçant le chibre et les couilles ou en venant frotter son sexe le long de sa queue avant de venir sempaler dessus.
Le premier homme était resté assis sur le lit et se branlait vigoureusement en ne perdant rien du spectacle de ma femme se faisant tringler par son pote. De temps en temps, il lui crachait des mots en arabe et je navais pas besoin de traduire pour comprendre que ce nétait pas de la poésie. Il finit par sadresser à son pote qui, pour toute réponse, jeta ma femme à côté de lui comme si il sétait agi dun objet usagé. Ils se mirent ensuite tous deux au-dessus delle et après sêtre branlé quelques instants, lui lâchèrent dabondants jets de sperme. Puis ils sen détournèrent sans même un mot ou un regard pour elle et sortirent du lit pour aller se rhabiller. Avant de quitter la chambre, le premier homme sadressa au jeune homme qui sétait tenu tout ce temps dans le couloir sans intervenir ni réagir. Il était tout jeune et visiblement aussi surpris que moi de ce qui venait de se dérouler.
- « Allez ! A ton tour ! »
- « Mais chef
»
- « Moblige pas à
! »
Le jeune madressa un regard comme si il scrutait ma réaction mais je ne savais plus quoi faire ou dire.
Il entra dans la chambre et commença à se déshabiller sans entrain. Le second homme était déjà parti depuis longtemps mais le premier resta encore un instant à lorée du couloir pour sassurer que le jeune irait bien jusquau bout.
Ma femme était allongée sur le dos. Visiblement à bout de force et exténuée. Le corps en sueur en partie recouvert du sperme de ses précédents amants. Elle neut aucune réaction quand le jeune homme sapprocha delle. Il se glissa contre elle avec une douceur qui contrastait avec tout ce qui venait de se dérouler. Il lembrassa et lui adressa des gestes tendres avant de la pénétrer lui aussi. Elle finit par lui rendre ses baisers et ils senlacèrent. Je décidais de les laisser pour me rendre dans le salon où mattendait le premier homme. Le second se tenait dans lencadrure de la porte dentrée quil remplissait de sa stature.
- « Votre nom, cest bien Monsieur Christian ? » me demanda-til.
- « Pas du tout ! » répondai-je agacé.
- « Aaaah ! Vous auriez dû nous le dire tout de suite Monsieur. Désolé alors pour le dérangement. »
Et il séloigna en riant avant de claquer la porte derrière lui. Je maccordais un instant pour reprendre mes esprits et retisser le fil de ce qui venait de se dérouler. Jentendais les halètements du jeune homme qui me parvenait de la chambre. Je décidais de les ignorer et de réchauffer mon café.
Après quelques instants pour me reprendre, je me rendais à nouveau dans la chambre pour voir les deux amants allongés lun contre lautre, ma femme enlacée dans les bras de son jeune partenaire. Elle madressa un regard tandis que le jeune homme surpris par mon arrivée, fit mine de se relever avant que ma femme ne le retienne.
- « Non ! Reste ! Je vais me reposer un peu et jaurais encore besoin de toi ensuite. »
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