Terma 26 : Mahdi Dans Le Bus Bloqué En Montagne.
Je vous ai raconté les aventures de sodomies de Mahdi avec Ammi Ali et son ami Said puis dans les cinémas porno de la ville. En voici une autre, inédite. Un jour, Mahdi, pour assister à une fête familiale, a décidé daller visiter ses grands parents qui habitaient un village, la haut sur la montagne. Il prit le seul vieux bus qui assurait le voyage, mais, comme cela arrive souvent, le véhicule tomba en panne avant darriver. Ils étaient six dans le bus, quatre vieux de la région, habitués à ce genre dincidents, Mahdi le jeune étudiant et le chauffeur.
Les quatre vieux, connaissant bien leur région, même de nuit, ont décidé de continuer à pieds. Ils ont proposé à Mahdi de les accompagner mais il a refusé. ester Il pensait que le chauffeur pourrait réparer. La nuit arrivant, ils se sont installés sur la banquette à larrière et comme il ny avait quune couverture, ils ont dormi serrés.
Comme avec Ammi Ali, Mahdi tourna le dos au chauffeur qui se serra contre lui et contre son cul. Mahdi : «Ouakhar chouiya » (recules un peu) mais lautre lui répond «oulaydi ! khayf minni ? » (fiston ! tu as peur de moi ?) alors Mahdi se tut. Et, au bout dun moment, chauffé par le contact, Mahdi, calmé réussit à sendormir.
Il dormait depuis plus dune heure, lorsquil ressentit la bite du chauffeur qui lui piquait, avec insistance, le cul et des mains qui lui caressaient le derrière. Mahdi essaye un « agla3 yaddak » (enlèves ta main) faible, mais lhomme accentua la pression de son zob et répond « zébi skhoun 3ala teremtek ! ouskout wala rani naga3rak ! » ( ta terma ma chauffée le zob ! tais toi ou je vais te tabasser). Mahdi, apeuré, resta tranquille, dautant plus que cela commençait à lexciter.
Habitué aux sodomies, Mahdi ne se déroba pas aux désirs du chauffeur. Alors, il tortilla un peu son derrière pour mieux frotter sa terma à la bite. Ausitôt, le chauffeur dégagea son zob et :« Ah ! klatak teremtek ! thourk nzahiha bzébi ! » ( Ah ! ta terma te démange ! je vais lamuser avec mon zob !).
Pour permettre au zob de mieux le pénétrer à fond, Mahdi se mit à quatre pattes. Et le chauffeur, content : « hakdhak ya oulaydi ! 7al, 7al teremtek !» ( cest bien fiston ! ouvres , ouvre bien ton cul) et sadressant à sa bite : « houk ya zébi eterma ! houk ! raha ta3rag bi chahwa ! nikha bi rahtak ! nik !) ( frottes ô mon zob la terma ! elle sue de désir ! niques la à ta guise ! niques !)
Ainsi, Mahdi et le chauffeur, pendant plus dune une demi-heure, se donnèrent du plaisir, jusquà ce que lhomme éjacule dans les entrailles du jeune. « dhougui zannat zébi, ya terma la7louwa » ( goutes le sperme de mon zob, ô douce terma).Et Mahdi :«zebek nakni bi ra7a, qari ma chba3ach ! hatli nmoussou !» (ton zob ma niqué faiblement, mon cul nest pas rassasié ! laisses moi le sucer ! ). Et, il avala le zob, le suça et le branla avec énergie. Rapidement, la bite se regonfla. Le chauffeur, impatient :«ekhlass ! rah tanane ! hatli teremtek ! » ( ça y est ! il est gonflé ! donnes ta terma !).
Et Mahdi se recoucha, mais, cette fois, sur le dos, et leva haut ses jambes et cuisses en les écartant à fond, il invita le chauffeur à le pénétrer de face. « t7ab anikak kil kahba ! mine gouddam ! hil qarek » ( tu veux que je te nike comme une pute !par devant !ouvres ton cul !). Et il senfonça dans Mahdi.
Soudain, dans la nuit noire, des silhouettes pénétrèrent dans le bus par la porte de devant et avec une torche, ils éclairèrent lintérieur et trouvèrent les deux hommes à moitiés nus, lun dans lautre. Cétaient trois hommes et leur allure pas rassurante. Mahdi et le chauffeur se séparèrent et la lampe de lun des intrus sattarda plus longuement sur lentre jambes du jeune homme, étendu sur le dos et effrayé, nu et les cuisses largement écartées, le cul bien éclairé, invitation claire à la sodomie.
Et lhomme hurla avec joie :« shabi ! zharna layla ! trame tetnak ! wajdou zbouba » (les amis ! notre chance ce soir ! des termas en plein neik ! préparez vos zobs !). Et, sans hésiter, il sortit son zob, et repoussant le chauffeur, il se rua sur Mahdi paralysé, lanus ouvert, brillant dans la lumière de la torche. Lhomme caressa les cuisses de Mahdi, largement écartées, poussa un doigt dans son anus, puis se coucha sur lui.
Le zob à la main, il lenfonça, avec un han bruyant de désir, dans le cul de Mahdi, en soufflant :«foum teremtek mahloul, ya 3atay ! dhoug zébi lakhchine ! » ( le trou de ta terma est ouvert, poufiasse ! goûtes mon gros zob !». Mahdi cria un peu car ce zob était bien plus gros et puissant de celui du chauffeur. «bi chouya ! rak ouja3atni ! » (doucement ! tu mas fait mal !), mais lhomme « ma tkhafich ya eterma ! twalfi ! twalfi fissa3 ! choufi zébi ga3rak fissa3 ! » ( ne crains rien ô terma ! tu thabias ! tu thabias vite ! regardes, mon zob ta vite défoncée !).
Puis il commença la sodomie par des vas et viens puissants, le souffle rauque et haletant de plaisir. Mahdi, constatant que le zob de lhomme était long et épais, comme il les aime, se laissa aller pleinement aux jouissances de la sodomie. Il se prêta à fond à lhomme qui lenculait, lui donnait des baisers et des sussions sonores sur le visage et le cou, tout en lui pelotant les seins à travers ses habits, et lui dit :
( hbibi ! qarek hlou ki asoua ! warini bzazek ! mtag3ine ki nta3 labnaate » ( chéri ! ton cul est doux comme une chatte ! montres moi tes seins ! gonflés comme pour des filles !). Goutant cette sodomie sauvage, Mahdi releva alors ses vêtements pour mieux dénuder sa poitrine. Lhomme en profita pour lui pétrir les seins, sucer et téter les boutons gonflés. « souwa wa bzazel ! enike fi kahba ! nike ya zébi ! » ( chatte et seins ! je nique une putain ! niques ya mon zob ! niques !). Ces caresses insistantes sur ses seins et les rushs sauvages du gros zob dans sa terma amplifièrent les jouissances du jeune homme.
Mais, tout en goutant la sodomie du zob qui fouillait son cul, Mahdi jeta un coup dil sur ce qui se passait de lautre coté. Et ce quil vit, aiguisa ses fantasmes érotiques. Cest que les deux autres intrus ont profité que le chauffeur était en partie nu de la terma, plongèrent sur son cul. Et déjà lun des hommes était monté sur le chauffeur et le sodomisait avec force et rires bruyants.
Et le troisième homme se branlait en attendant son tour, avec impatience : «achtaar ya sahbi ! achtar ! zébi mtanane ! traich teremtou ? » (vite mon ami ! vite ! mon zob est gonflé ! comment cest, sa terma ?) et lautre, le souffle bruyant, le rassura : « malssa ! malssa ou hloua ! skhouna ! rani grib entayar ! ousbour !» ( lisse ! lisse et douce ! chaude ! je suis prêt à éjaculer ! patience !). .
Soudain, lamant de Mahdi éjacula dans le cul de notre ami en hurlant «dhoug ya bni ! dhoug hlib zébi ! skhoune ou mdahane ! n3amarlak qarak ! » ( goutes fiston ! goutes le lait de mon zob ! chaud et épaix ! je te remplis le cul ! ). Et son sperme se mélangea, dans le cul de Mahdi, avec les restes de jus de linfortuné chauffeur.
Puis, lhomme retira son zob et le présenta à Mahdi « haak ! mousli zébi ! alhass ! » (tiens ! suces mon zob ! lèches !). Et Mahdi ne demandait que cela. Il suça par plaisir le gros zob, toujours gonflé malgré léjaculation, et le nettoya avec sa bouche. Mahdi était très excité. La grosseur du zob, sa raideur et sa lourdeur lont tellement affolé quil le suça avec joie visible. Son amant, remarquant cela, compris quil était tombé sur une bonne occasion. « hummm ! thab neik ! thab zbouba ! thab tmouss ! rah zébi leik layla kamla ! » ( hum ! tu aimes niquer ! tu aimes zobs ! tu aimes sucer ! et bien, mon zob est à toi, toute la nuit !).
Alors, il poussa Mahdi à quatre pattes, et, se pointant derrière lui, il enfonça, encore une fois, son gros zob dans la belle terma chaude de notre ami. Mahdi, enchanté, cria son plaisir :«zid ! nikni bezzaf ! khali ezeb yasskine fi qari ! hlou wa mtine ! » (continues ! niques moi fort ! laisses le zob remplir mon cul ! doux et puissant ! ) et, complètement conquis, il avoua :« houk ! chhaal alqara enta3ak mtina ki loutek ! » ( frottes ! ta bite est dure comme un pieu ! » Et lhomme accéléra encore plus.
Mahdi, submergé, noyé de jouissances, hurlait :«ag3ar ! hazli teremti ! chatta7 zébek fi qari ! » (défonces ! secoues moi la terma ! fait danser ton zob dans mon cul). Perdu dans les cieux du plaisir, il se donnait à fond à cette sodomie ; Et son amant, lui aussi saisi par cette frénésie, le pilonna encore et encore plus fort, heureux de laubaine.
Prisonniers de leurs sens, dans la tempête du plaisir sexuel, les deux amants se dépensèrent follement, avec volonté, liberté commune et plaisir continu. Ils hurlaient leurs jouissances à tu tête, avec des grognements sauvages, inhumains. Mahdi ma avoué que cette seconde sodomie, avec cet homme, au zob merveilleux, a été parmi les meilleures, les plus fortes et les plus fantasques de toute sa jeunesse.
Quant, enfin, lhomme éjacula dans les entrailles de Mahdi, celui-ci était totalement assommé par les jouissances de sa terma, merveilleusement ouverte et remplie du zob et de sa chaude semence. Il remercia son amant « zebek 3amarli qari ! zantak skhouna ! lazam enikou zada ! » ( ton zob ma rempli le cul ! ton sperme est brulant ! il faut quon nike encore !). Et Mahdi bénissait le ciel et la panne du tacot qui lui ont permis de faire connaître, à lui et à chère terma, ce zob à la hauteur de leurs désirs.
Quant lhomme se sépara de lui, Mahdi, remarqua que le chauffeur, toujours à quatre pattes, se faisait aussi lustrer énergiquement le cul par le troisième homme qui, criant son plaisir, hurlait à chaque enfoncement de son zob « hloua ! hloua ! » (exquise ! exquise !). Et, Mahdi, lança au chauffeur « nakouk ya sahbi ! ga3roulak qarek ! zodj zbouba fi teremtek ! twalaf ! twalaf zeb !» (ils tont niqué ô mon ami ! ils tont défoncé le cul ! deux zobs dans ta terma ! tu thabias ! tu thabias au zob !).
Lautre homme, qui avait eu sa part dans le cul du chauffeur, sapprocha de Mahdi, le zob à la main, mais lamant de notre ami le repoussa violemment « la ! la ya sahbi ! hadha eterma khassa laya ! kahbat zébi ! » ( non ! non mon ami ! cette terma est reservée pour moi ! la pute de mon zob ! ), et il lui conseilla daller se faire plaisir sur la terma du chauffeur qui vient juste de hurler de plaisir, en recevant dans son cul, les jets de sperme de lautre homme.
Ensuite, les trois quidams se concertèrent près de la porte du bus. Puis, les deux amants du chauffeur sont partis en amenant leur proie avec eux. Le pauvre, sa nuit va être très agitée avec ces soudards. Mahdi lui lança encore « teremtek alayla tachba3 zbouba ! zodj mtannine ! saha leyk ! » ( ce soir ta terma va se rassasier de bites ! deux zobs gonflés à fond ! tu as de la chance !). Cependant, lamant de Mahdi a rassuré le chauffeur, avant son départ, que son tacot sera gardé jusquà son retour le matin et en lui souhaitant, avec un rire gaillard, une bonne nuit pour sa terma. « malssoulou mli7 eterma ! chab3ou halou bi hlib zboub koum » ( lissez lui bien la terma ! rassasiez la avec le lait de vos zobs !)
Mahdi est donc resté seul avec son amant qui semble avoir trouvé la terma du jeune au gout de son zob. Large, blanche, douce et profonde, cest ce qui fait gonfler les zobs affamés et cest son cas. Mahdi, lui-même, avait espéré que lhomme resterait avec lui. Alors, il recommença à sucer le zob, tout en le masturbant, tout en avouant « zébek ekhchine ! wathguil ! rani 7ayar kifah dkhal fi teremti bi shoula ! » (ton zob est gros ! et lourd ! je suis étonné comment il est rentré facilement dans mon cul! » et lautre, expliquant « teremtek kahbate zboub ! saharra ! wa 3moudi a3jabha ! » ( ta terma est une pute à zobs ! une sorcière ! et mon pieux lui a plu ! ).
Et dans cette semi obscurité de la faible torche, Mahdi m a avoué que le zob du gars lui apparaissait encore plus énorme. Gonflé, il était effrayant, mais aussi, si attirant sexuellement, si désirable et affolant. Mahdi sentait sa terma qui suait de désir et frémissait encore, malgré les deux sodomies de lhomme. Elle était insatiable et Mahdi etait toujours prêt à la satisfaire, surtout lorsquil tombe sur une bite de cet acabit, grosse, dure et si douce en même temps..
Et il lavoua à son amant :« zebek rah mazal mtannane ! qawy ! ki al ghoul ! ekhawafni, bessa7 habbalni ! » ( ton zob est joujours gonflé ! puissant ! comme un ogre ! il me fait peur, mais il maffole !) et pour finir : « lazam enzidou ! chaba3li teremti ! haya fissa3 ! » (il faut quon continue ! rassasies moi la terma ! viens vite !).
Par bonheur, lhomme avait les capacités exigées par la terma de Mahdi et était disposé à la satisfaire toute la nuit. Sure quà la simple vue de ce beau cul et de ces fesses blanches, larges et si douces, le zob sexcitait facilement de nouveau, et se regonflait de désir. « rani goutlak ! nagdar nikak, 3achar maraate, anike hadha eterma albaydha ! qlawya mazaal m3amrine zanna ! » ( je te le dis ! je peux te niker dix fois ! niker cette blanche terma ! mes couilles sont remplies de sperme).
Vidant son cul dans le couloir du bus et face à ce zob si tendu, Mahdi replongea sur son homme et les deux amants se lovèrent lun contre lautre, lun dans lautre. Et Le zob se lova, lui aussi, dans la douceur de la terma, lisse et encore chaude de notre chanceux ami. Et, durant le reste de la nuit, il la sodomisa encore, par deux fois, la première par derrière et lautre, face à face, avec fortes sussions des seins et du cou.
Je savais que Mahdi aimait cette position en face, car elle imprimait aux deux amants une certaine intimité, même une complicité dans laction et la jouissance. Ils peuvent voir les résultats de leurs jouissances sur leurs visages, se caresser par devant et derrière, sembrasser, baiser poitrine contre poitrine, avec des soubresauts de plaisir commun. Entre deux hommes, la position est encore plus excitante, plus bandante. Mahdi ma souvent répété : « sa7 ! nhab neika mine goudam ! wajah mqabal wajah ! hakdha, nhiss mli7 bi rajal idakhal fia zebou fya ! nikeni bil qouwa ! » ( cest vrai ! jaimes la sodomie par devant ! face à face ! comme ça je sens mieux lhomme qui me pénètre ! et me nique avec force !).
Il ajouta même que : « nchouf raynih fi raynya ! wan hass zébou dakhal mli7 fi teremti ! » (je vois ses yeux dans mes yeux ! et je goûte mieux son zob à lintérieur de ma terma ! ). Et il minforma encore, dun autre type de désirs inédit dans la sodomie face à face : « zid 3ala hadha ! yagdar iboussli bzazli, imouss houm ou yanka3 houm ! nzid nhiij ! ou qari izid yat7al mli7 li zeb ! » ( encore autre chose ! mon homme peut membrasser les seins, les sucer et les téter ! ça mexcite encore plus ! et mon cul souvre encore mieux pour le zob ! ).
Lorsque le plaisir commun est à son zénith, et les deux souffles sont affolés, la sodomie face à face est à son summum, jouissant. Et lhomme pouvait, à son aise et désirs, caresser aussi bien les hanches et cuisses de Mahdi, mais surtout ses seins, assez développés comme ceux dune jeune fille. Mahdi encourageait lhomme : « moussli sidri ! anka3li bzazli ! douk zebek zein ! dafag hlibak fi qari ! » ( suces ma poitrine ! tètes mes seins ! enfonces bien ton zob ! déverses ton jus dans mon cul ! ).
Enfin, épuisés et repus de sodomies, ils sendormirent, lovés lun dans lautre. Laube les obligea à se lever et à ajuster leurs vêtements. Une demi-heure plus tard, le chauffeur arriva, accompagné des deux autres hommes. Puis en se congratulant tous ensemble, comme de vieux amis, les trois hommes séloignèrent en conseillant au chauffeur de garder sa bouche et doublier cette histoire.
Après leur départ, le chauffeur avoua à Mahdi que cétait la quatrième fois que ce genre daventures lui arrive dans cette montagne, et avec dautres hommes. « ya bni, ma t7irich ! rani mwalaf ! ch7aal mine wa7ad nakni fi hadhal lajbaal ! » (fiston ne soit pas étonné ! je suis habitué ! plusieurs mont niqué dans ces montagnes ! »
Cest ainsi quil était devenu mixte en offrant et son zob, avec Mahdi, et sa terma avec les autres. Il avoua quil jouissait des deux cotés. « teremti walfat bi zbouba ! » (ma terma sest habituée aux zobs ! ». Ensuite, il lui raconta, avec rires complices et détails, ce que les deux hommes lui ont fait toute la nuit, mais il était surtout content davoir aussi satisfait son zob dans la terma de Mahdi, et ils éclatèrent de rires.
Ils attendirent deux heures avant quun camion ne se pointe sur la route. Grace à ses batteries pleines, à un câble puissant et à lexpérience de son chauffeur, le tacot a pu repartir. Ensuite, il déposa Mahdi sur le bord du sentier qui menait au village de ses grands parents. Mahdi remercia le ciel davoir transformé lincident du tacot, en une nuit entière de plaisirs et de jouissances sexuelles. A bientôt.
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