Collection Black. Harcèlements Sexuels Sur Mon Lieu De Travail (6/11)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ai réussi à trouver l’adresse de Boby à Paris, boulevard saint Germain, je m’y rends, mais il y a un Digicode, un jeune homme arrive derrière moi, il me prend pour une pute qu’il a convoquée sur un site par Internet, il me donne 500 €, que je mets dans mon manteau.

Que fait une pute qui entre chez un client, je l’ignore, j’y vais au feeling, je sais que les hommes aiment les fellations, il l’a précisé dans le contrat qu’il a passé ?
Depuis la nuit dernière, une verge dans ma bouche ne me fait plus peur, je m’agenouille, je défais sa ceinture laissant son pantalon tirebouchonné à ses pieds, je prends en bouche ce morceau qui ne me fera pas de mal, moins de dix centimètres quand il est en érection. J’ignore s’il trouvera une femme dans le futur, mais il est sûr qu’elle ne sentira pas grand-chose.
Je me relève, lui prend la main et le dirige vers une pièce dont la porte vitrée ressemble à celle que j’ai souvent vue et où se trouve la salle à manger, je trouve ce que je cherche, je relève ma jupe faisant apparaître ma chatte à l’air depuis que ma culotte a fini dans la corbeille à tampon des toilettes de l’entreprise.

Un fauteuil assez large pour que je m’agenouille lui présentant mon fessier.
Il se baisse derrière moi et commence à me lécher de ma chatte à mon anus, il entre sa langue dans mon petit trou qui apprécie, c’est plus doux que les verges, voir les deux verges qui m’ont défoncé la nuit dernière.
Je pourrais prendre du plaisir à la situation de nouveau fort insolite à croire que la vie tourne en vitesse accélérée et que chaque minute qui passe de nouveau moment de plaisir s’offre à moi.
Qui aurait pu me prédire que dans les mêmes vingt-quatre heures, j’allais être livrée à une trentaine d’hommes, à mon patron et que je me retrouverais faisant la pute simplement pour avoir les numéros d’un Digicode.
AEB2C.


Il faut que je mémorise bien ces lettres et ces chiffres, car le plan que j’ai préparé en dépendra.
Si je le fais entrer en moi dès qu’il a fini sa feuille de rose, c’est qu’à tout moment j’ai peur que le Digicode ne sonne pour que l’escorte commandée vienne faire son office.
Sans oublier que j’aimerais retourner chez moi, le message à Geneviève m’intrigue, surtout qu’il devait garder Romain.
La verge où il a placé une capote va et vient en moi, alors que je voudrais en savoir plus, je donne de grand coup de cul pour qu’il jouisse plus vite, je sens quand son sperme vient remplir sa capote.
Je me dégage, je baisse ma jupe et je récupère mon manteau où j’ai rentré les billets.

• Bien, j’ai un autre client qui m’attend, prenez contact avec moi si vous avez encore des envies, je serais toujours prête pour vous.
• Mais cela fait à peine dix minutes que vous êtes arrivée !
• As-tu joui ?
• Oui.
• Alors j’ai rempli mon contrat adieu.

Je le quitte, claquant la porte derrière moi et je me présente à l’ascenseur, les câbles vibres, une personne monte, je descends d’un étage par l’escalier, me retrouvant devant la porte de Boby.
Je vois monter une jeune femme, beau brin de fille, qui doit être l’escorte que mon énième amant attendait, je fais celle qui ouvre sa porte de son appartement.
Mon oreille n’enregistre aucun bruit à l’intérieur aussi dès que la cabine s’arrête, je reprends ma descente, j’ai le temps d’entendre des personnes parler et je rejoins ma voiture.
Je vais pour démarrer quand la pute débouche de l’immeuble rouge de colère, par chance, elle ne me voit pas et je rentre chez moi.

Personne n’est là, ni Lionel, ni Romain, sur la table de la salle, une lettre.

« Joelle, j’ai été prévenu que tu es l’amant de ton chef black, je pars avec Geneviève que j’ai rencontrée un jour en venant te chercher à ton travail et qui me connaissait.
Nous sommes devenus amants et nous avons décidé d’aller dans sa ville nous y installer, je te ferais savoir quel avocat j’ai choisi pour notre divorce.
»

C’est à ce moment que mon portable sonne dans mon sac à main.

• Joelle, c’est Christian, je t’appelle des USA, je vais aller vite, Boby Smith s'appelle bien John, son nom de famille est Edward, comme le présentateur télé, il est bien recherché.
Mais la police a découvert que ce n’était pas la première banqueroute qu’il avait organisée, sous le nom de Bob Convers, il a détourné 15 millions de dollars supplémentaires à Denver.
Il est donc en fuite avec une somme de 65 millions de dollars et va certainement refaire la même opération en France dans votre boîte.
La police a perdu sa trace au Mexique, ou il semble qu’une femme ait été vue en sa compagnie, elle serait grande et élancée, c’est tout ce qu’ils en ont dit.
• Merci Christian, je te revaudrais cela.
• Je t’ai envoyé une enveloppe chez toi à ton appartement avec toutes les coupures de presse, je raccroche, j’ai les moyens, mais la communication va me coûter un bras.

Nous raccrochons, il n’a pas parlé de sa femme, ils n’ont pas dû le mettre encore au courant, il a le temps d’apprendre qu’il est cocu.
Je vais dans notre chambre, je devrais dire ma chambre, encore une situation qui m’échappe, la trahison de mon mari, bien que ce soit après la mienne ayant été compter fleurette à la salope qui l’a prévenu qu’il était cocu.

Ma vengeance dépasse mon ressentiment sur leur adultère et une petite voix me dit que les 65 millions de dollars sont peut-être à ma portée, même si comme je l’ai entendu dans un film de gangsters, une cavale est onéreuse et qu’il ait été obligé de dépenser quelques billets.

Je tente d’appeler Lionel, il a changé son numéro de portable, au matin, je repasse les diverses possibilités, l’absence de Boby depuis une semaine, même s’il a tiré les ficelles dans le club désaffecté, ne se retrouvera pas de sitôt.
Vers 9 heures, j’enfile ma tenue de jogging, avec serre-tête en tissu et je prends ma banane pour mettre portable et clef.

Avant de partir, je vais sur Internet, je récupère un numéro de téléphone que j’appelle, la circulation est fluide, je rejoins le boulevard Saint-Germain, la même place est libre.
AEB2C.
Je me retrouve sur le palier de l’appartement de Boby, mon plan est bien huilé et n’a qu’une faille, que je dissipe rapidement, je sonne soit il est là et je suis mal, soit l’appartement est vide et mon plan continu.
Vide.
La porte du rez-de-chaussée s’ouvre et l’ascenseur monte, s’arrête à ma hauteur, j’ouvre la porte, un homme une sacoche en cuir en bandoulière sort, dans les films, il aurait un mégot éteint aux coins des lèvres.

• Alors ma petite dame, on a besoin de mes services, on a fait une bêtise.
• Je suis parti faire mon jogging, j’ai dû faire tomber mes clefs et je me retrouve sur mon palier.
Pouvez-vous m’ouvrir rapidement, mon mari doit rentrer d’une minute à l’autre de voyage, il est jaloux et ne comprendrait pas qu’en courant, j’ai perdu mes clefs.
• Aucun problème, mais c’est dimanche, j’espère que vous avez du liquide.

La demande est évidente, j’ouvre ma banane, je plonge ma main dedans.

• Du liquide, j’en ai là, combien voulez-vous, pressez-vous.
• Eh ! 200 € !
• Tenez, vous me sauvez en voilà 300 €.

Je sors les 500 € que le voisin du dessus m’a donné hier quand j’ai fait la pute afin d’obtenir le Digicode, le serrurier est arrivé très vite, car je l’ai appelé de chez-moi avant de partir pour gagner du temps.
Je vois qu’il regrette de ne pas m’avoir demandé plus.

• Regardez, un truc de métier pour ce genre de porte et de serrure.

Il sort une feuille de radio médicale, il pousse la porte avec son épaule, glisse la feuille, le système d'ouverture se déclenche.

• Voilà belle-dame, vous êtes sauvé, je vous demanderais bien si vous m’offrez un verre, mais je n’aimerais pas que votre mari me trouve chez vous, si vous dites qu’il est jaloux.

Toujours à votre service.

Il remonte dans l’ascenseur, j’ai mis mon pied dans la porte afin qu’un courant d’air ne la referme pas, j’ai prévu l’argent gagné hier, pour pouvoir entrer, j’étais sûr qu’une joggeuse n’attirera pas la suspicion du serrurier que je suis bien chez moi.

La porte fermée derrière moi, je fais un tour de toutes les pièces rapidement, par chance, il fait jour les volets sont tous ouvert.
65 millions, en billets, j’ignore leur valeur et leur nombre, mais les dollars semblent coller aux euros, ou dans les transactions pour amener l’argent ici, n’est-ce pas déjà des euros.
Un attaché-case ou deux devraient suffire, ou peuvent-ils être cachés, je commence par la chambre, la difficulté, c’est de laisser tout à la même place, je trouve un escabeau, je m’en sers pour regarder sur l’armoire, je le replace pour le reprendre pour la deuxième chambre et l’autre armoire.

Je suis dans la salle de bain quand la tuile arrive, j’entends clairement une clef tourner dans la serrure, aucune possibilité de repli, il faut réfléchir vite, le meuble sous le lavabo, je l’ouvre, c’est vide.
Je me glisse gêné par la colonne d’évacuation d’eau, heureusement que je fais beaucoup de sport, car je referme la porte quand deux voix se font entendre dans la chambre que semble avoir investi mon amant.
Combien de temps vais-je devoir rester dans cet espace réduit, si le couple que j’entends parler, mais trop loin pour comprendre et savoir qui ils sont, je serais obligé de signaler ma présence, car je ne pourrais rester recroqueviller ainsi jusqu’à demain.
C’est à ce moment que j’entends de l'eau coulée au-dessus de moi, la chance doit être avec moi, il semble que l’on a ouvert l’eau de la douche.

• John, je prends une douche, je remets les effets que j’avais avant que nous partions à La Plagne avec la voiture que nous avions louée, il faut que j’évite qu’Albert ne se pose des questions.
• Ma chérie, je t’ai déjà dit que depuis que nous sommes revenus du Mexique, sur les faux papiers que tu m’as fournis, c’est marqué Boby, un de ces jours, tu vas te tromper.
• Que veux-tu mon amour, depuis les bancs de la fac où je t’ai rencontré et que tu m’as séduite, n’étant pas hors-la-loi en ces temps-là, je t’appelais John, il faut me comprendre.

Mince, les deux voix sont là et il est impossible pour moi de ne pas reconnaître Boby mon supérieur et amant et Louisa, la femme de monsieur Albert Gandin notre patron.
Une partie du puzzle manquant commence à se faire jour…

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