La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1154)
Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode précédent N°1153 et texte amélioré par MDE) -
- Installe-toi en position dattente et reste ainsi jusquà ce que lon vienne te chercher, la chienne !
- Bien Monsieur.
Alors je patiente un long moment dans cette position. Mes muscles sont de plus en plus endoloris et la tension que jéprouve ne me soulage pas, bien au contraire. Je pense alors à Maîtresse Céline et à la déception que je lirais sur son visage si je faillis. Si elle ma proposé de laccompagner, cest quelle sait que jen suis capable et quelle a mis toute sa confiance en moi. Je puise dans cette source, un regain dénergie. Après un temps infini, jentends du bruit derrière la porte du Cachot. Une clé tourne dans un bruit sourd et la porte souvre en grinçant sur ses gonds. Je ne bouge pas, les yeux rivés au sol, les oreilles aux aguets. Japerçois alors dans mon champ de vision, les chaussures dun cuir luxueux du Noble. Mon cur se met à battre plus fort dans ma poitrine. Il tourne autour de moi comme un prédateur tournerait autour de sa proie. Son silence devient pesant et me met encore plus mal à laise
Cest pourtant avec une voix remarquablement douce, mais assurée, quil me demande :
- As-tu peur ? Je te sens tourmentée, petite chienne
.
- Non Monsieur le Marquis, je nai pas peur, murmure-je faiblement.
Il prend alors mon menton pour plonger Ses yeux dans les miens comme au restaurant
Son regard bleu paon, même à la pâle lumière du Cachot, est saisissant dintensité, de profondeur. Un regard à la fois hypnotisant, enivrant et puissant
Je frissonne malgré moi et détourne les yeux en répondant :
- Jai peur de ne pas Vous convenir Monsieur le Marquis. De ne pas être à la hauteur de Vos exigences
Après quelques instants de silence, le Châtelain me relâche le menton et ménonce Ses ordres :
- Va décrocher la dragonne du mur, et apporte la-moi dans la bouche.
Au moment de saisir la laisse dans sa main, il me flatte la tête avec bienveillance. Sa large main épouse la forme de mon cuir chevelu tout en prodiguant une caresse dune remarquable douceur. Son geste me tranquillise un peu
Le Noble memmène alors dune main ferme et virile à lextérieur du Château. Le soleil est couché et le parc nest éclairé que par la lune. Une légère petite brise arrive à peine à faire bouger et faire bruisser doucement les hautes feuilles des marronniers multi centenaires. Dêtre ainsi en pleine air, complétement nue comme au premier jour, mapaise comme si jétais en communion silencieuse avec mes instincts primaires et la nature de mon état. Le moment est presque solennel. Pour agrémenter cet instant, cette légère brise vient agréablement me rafraîchir mon corps nu et jai lagréable sensation de la sentir me ventiler mes parties intimes. Monsieur Le Marquis dEvans prête attention à me faire marcher sur la pelouse parfaitement entretenue tandis que Lui reste sur lallée aux cailloux rouges. Je Lui sais gré de préserver ainsi mes genoux. Le chant de la nuit couplé à lobligeance du Noble finit par avoir raison de ma tension et me calme tout à fait
- As-tu peur ? Me demande-t-il à nouveau avec douceur
- Non Monsieur le Marquis. Je nai plus peur.
- Nas-tu pas peur de la nuit ? Nous approchons de la forêt.
- La lune est pleine, Monsieur le Marquis, on voit presque comme en plein jour. Et puis je suis à Vos côtés, je sais que je ne risque rien ! Le privilège des soumis, réponds-je spontanément.
- Oui, la lune est pleine, dit-il en la regardant dun sourire rassurant
Viens par ici, la chienne.
Il me guide à travers un petit sentier qui part de lorée du parc et rapidement, il minstalle à genoux au pied dun haut arbre très feuillu. Il enlève doucement mon harnais en me caressant de ses grandes mains mon corps comme pour en apprécier la douceur. Je me sens belle et désirable dans Ses gestes.
- Ouvre la bouche
Cest bien
Maintenant, ferme les yeux et ne bouge plus.
Jentends alors quil descend sa fermeture éclair et alors que je pensais quil me présenterait sa verge pour le sucer, un jet de pisse vient masperger le visage et le corps. Cest doux, cest chaud, je me sens bien. La nuit dété est douce et son chant mapaise. Le Noble me guide, moi toujours en quadrupédie vers le système darrosage de la pelouse et des parterres de fleurs. En quelques minutes je suis rincée de la tête aux pieds. La température plus que clémente en ce mois de juillet permet de se dispenser de serviettes.
- Prends la laisse dans la gueule et marche devant moi vers le Château. Je veux profiter de la vue sur ton postérieur. Je ne men lasse pas !
Nous rentrons ainsi au Château. Je remue exagérément du bassin dans un déhanchement félin telle une panthère et sentir son regard si intense sur moi mexcite. Une douce chaleur se répand depuis mon ventre jusquà chaque extrémité de mon corps, je sens mes tétons se dresser. Une fois dans lancestrale Demeure, nous passons par le hall dentrée somptueux par sa décoration où un magnifique escalier en pierre, aux marches couvertes dun tapis rouge flamboyant de velours épais, à la rampe ouvragée prend naissance à lextrémité et se termine en mezzanine aux balustrades arachnéennes. Tout est calme et respire la sérénité. Je suis envahie par un sentiment de quiétude et de paix dans cette débauche de décorations luxueuses où se mélangent tableaux de maîtres, tentures des plus beaux tissus capitonnés et nombreuses fresques digne de Michel-Ange aux plafonds... Cette sortie ma apaisée et je ne me tracasse plus à savoir si oui ou non je serai à la hauteur. Mon seul but désormais est de Le satisfaire sans réfléchir. Nous gagnons la luxueuse chambre du Noble. La pleine lune darde ses rayons à travers mes hautes fenêtres parées de leurs beaux rideaux non fermés. Il sassoit sur son lit et tandis quil enlève sa veste et sa chemise, il me fait retirer ses chaussures.
- Jai envie de toi, la chienne, soupire-t-il tout en membrassant et mattirant à Lui sur le lit... Installe-toi à quatre pattes sur le matelas et exhibe bien tes orifices
Je mexécute et remarque un immense et haut miroir savamment placé en tête du lit. Les mains du Noble caressent mon postérieur pour en écarter les lobes. Sa langue frôle les replis cachés de mon intimité et remonte jusquà mon illet. Ma faim est tellement aiguisée par les plaisirs frustrés sans orgasme de la journée que les sensations sont décuplées. Il passe un doigt dans mon anneau plissé, doigt vite rejoint par un deuxième quil fait tourner. Rapidement, sa verge vient investir mon cul en une seule poussée virile et profonde qui marrache un petit cri de plaisir. A Sa manière à la fois virile et sensuelle de me posséder, je comprends que cest Lui le mystérieux inconnu qui ma fait grâce de Sa queue dans laprès-midi.
- Oui, cétait bien Moi. Javais envie de goûter à ton superbe cul !
La chaleur gagne ma tête car je rougis de plaisir à Son compliment. Il me serre contre Lui, Ses bras menveloppant et me caressant, mon dos plaqué contre son torse. Il ralentit alors la cadence le temps de quelques pénétrations profondes et puissantes. Je suis en extase et ne peut retenir ma poitrine de vibrer dun soupir rauque et bestial tant cette situation me plaît. Il me besogne de plus en plus vite à grands coups de reins profonds et cadencés
- Oui, abandonne-toi à Moi ! Mordonne-t-il à loreille avant de mordiller mon épaule.
Je frissonne sans avoir froid. Je ne suis queau à lentrejambe. Il touche mon clito de la main et remonte lentement sur mon corps laissant un sillon de cyprine qui est feu ou glace, je ne sais plus. Je suce Ses doigts avec avidité, plaisir du sexe et du goût, je suis à lévidence une chienne en chaleurs en manque de jouissance.
- Regarde-toi dans le miroir, regarde comme tu es belle, la chienne !
Je ne me reconnais absolument pas dans cette femme au corps nacré de transpiration, de mouille et de salive. Jai limpression de voir en réel limage dune BD de « Giaocomo C. » de Dufaux et Griffo.
- Oui, cest toi !
Le Noble glisse à nouveau sa main dun geste possessif, autant ferme que tendre sur mon bouton damour et je vois lhomme du reflet faire la même chose à cette femme si sensuelle dans son abandon total au plaisir. Mes bras sont relevés au-dessus de ma tête, de part et dautre de Son cou, ma tête au creux dune épaule, le cou offert. Je nen peux plus de me contenir. Je sens venir lorgasme du tréfonds de mon corps. Ma respiration devient saccadée et un gémissement rauque et animal sort de ma bouche. Le Noble accélère à nouveau Ses coups de boutoir dune inouïe puissance, sa prise de possession de mon corps est bestiale, animale, sauvage. Je sens mon sphincter délicieusement souvrir et se contracter au rythme endiablé que le Maître des Lieux impose de plus en plus virilement. Son pubis claque contre mes fesses et jadore ça.
- Jouis maintenant ! Je te lordonne, la chienne !
Alors, tel un séisme dévastateur, un violent orgasme ravageur, explosif mébranle de la tête aux pieds et secoue mon corps en spasmes incoercibles. Les décharges électriques jouissives se diffusent abondamment de partout remontant toute mon échine
Je crie à nen plus finir et la queue de Monsieur le Marquis qui se raidit encore plus, me pilonne encore plus quil est possible, quand il explose à son tour en balançant Sa semence au fond de mon trou, Ses doigts continuant de pétrir mes petites lèvres. Un délice, une explosion atomique me fait chavirer dans des jouissances rarement égalées. Je ne sais plus où je suis, je suis pures sensations aux multiples plaisirs
La première chose que jentends lorsque je reprends mes esprits, cest mon cur qui cogne fort dans la poitrine. Le Noble me tient toujours dans Ses bras. Sa queue a quitté ma rondelle et Sa semence sécoule entre mes fesses. Je suis confuse et cherche à magenouiller pour Lui nettoyer la verge mais Il me retient.
- Chut, reste calme. Tu termineras dans quelques instants. Prends le temps de revenir à toi, petite chienne, me dit-il avec affection.
Alors je profite de cet instant pour savourer son contact et la jouissance extrême qui vient de me parcourir... Ses doigts en éventail, Il me caresse le début du renflement de ma poitrine, là où ma peau commence à être très sensible. Jai limpression dêtre en osmose avec tout, avec moi-même mais aussi avec la terre entière et surtout avec Lui, dêtre exactement à ma place, là où Il a voulu mamener. Nos respirations se synchronisent et le temps semble suspendu. Comme jaimerais que cet instant de plénitude dure une éternité !
Après une douche rapide à leau froide, je me couche aux pieds du lit de Monsieur le Marquis, sur une descente de lit des plus raffinée. Exténuée mais comblée, je mendors si rapidement, le sourire aux lèvres, que je ne Lentends pas sapprocher de moi pour me couvrir dun plaid tout en membrassant le front dun geste protecteur, ni me dire « Bonne nuit, petite chienne » de sa voix caressante, douce et chaleureuse
(A suivre
)
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