La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1155)

La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1147) -

J’espérais réussir à faire honneur tant à l’homme qu’au merveilleux Maître de renommé qu’était Monsieur le Marquis d’Evans... Une fois tous les invités arrivés, le Maître prit ma main pour la poser sur Son bras en m'adressant un doux sourire, et tous, nous le suivirent dans la Grande Salle de réception où avait été préparé un apéritif servi par une dizaine de soumis (ses), tous nus, mains dans le dos liées, des plateaux étant maintenus par des chaines d'or reliées entre leurs cous et leurs tétons, sur lesquels pour certains étaient disposés des flûtes de Champagne et sur d'autres des toasts. Ils étaient alignés de part et d'autre d’une grande et longue table recouverte d’une nappe blanche au beau tissu brodé des Armoiries de la Famille des Evans sur laquelle étaient déposées de magnifiques compositions florales, ainsi que d’autres plateaux bien garnis. L’argenterie ciselée était aussi de toute beauté. Deux soumis se trouvaient être prosternés sous la table. La nappe ne touchant pas le sol, ils pouvaient voir ceux qui servaient approcher. Cela signifiait que leurs plateaux étaient vides. Et comme les esclaves serveurs avaient les mains liées, c’était au deux chiens cachés que revenaient le devoir de réalimenter des plateaux vidés.

La pièce était vaste. Les murs de pierre étaient recouverts de riches tapisseries anciennes présentant d'étranges scènes antiques, présentant des hommes et des femmes nus, enchaînés, exhibés sur des marchés aux esclaves ou offerts aux sévices et plaisirs de Leurs Maîtres(ses) vêtus à l'Antique. De hautes colonnes flanquées de chaque côté de la grande pièce éclairée par des hautes fenêtres placées très haut et n'offrant pas de vue sur l'extérieur... Au fond, au centre, une sorte de trône en bois ouvragé se trouvait placé sur une estrade, celui-là même sur lequel Monsieur le Marquis avait reçu Philippe, le journaliste, (voir le tout premier épisode de la Saga des esclaves) qui depuis avait intégré le Cheptel MDE du Château.

C’est également là que le Noble se positionna. Il monta sur les deux marches de l’estrade, me faisant signe de rester en bas.

- Mes amis, je Vous ai réuni ce soir, pour une occasion spéciale. Cela Vous surprendra peut-être, mais une jeune demoiselle a réussi à toucher mon cœur du véritable sentiment d’Amour. Notre relation est spéciale, vous le constaterez au cours de la soirée !... En attendant, je vous présente ma future épouse, celle qui deviendra très bientôt La Marquise d’Evans…

En disant ces mots, le Maître m’avait tendu la main et m’avait attiré à Sa hauteur, et tous les invités avaient applaudi à cette annonce. Me tenant par la main, et me regardant avec un chaud sourire et un regard à me faire fondre, nous descendîmes ensemble de l’estrade pour recevoir les vives félicitations des personnes présentes. Presque toutes me regardèrent avec un drôle d’air, cherchant certainement à se rappeler où elles avaient déjà vu un visage qui leur semblait familier, mais le Maître me fit comprendre que l’interdiction de parler était toujours de mise, et donc je ne répondais aux bons vœux qu’on nous offrait par un sourire et un signe de tête.

Lors du fastueux repas, le Châtelain me plaça à Sa droite. Je me sentais gênée, jamais je n’avais diné, ni pris n’importe quel autre repas en compagnie du Maître à table ! En effet, à chaque fois que j’avais eu la chance de manger en Sa compagnie, j’étais évidemment toujours à Ses pieds, mangeant en quadrupédie dans une gamelle. Je n’arrivais pas à me détendre. Attentif, comme toujours au bien-être de ceux qui Lui appartenait, Il vit de suite que je restais stressée. Il posa Sa main sur la mienne, et capta mon attention avec Son magnifique regard bleu profond. J’y lus tellement d’amour, tellement de chaleur. Je compris qu’en devenant Sa femme, et Il me l’avait dit, je serais parfois amenée à sortir à Ses côtés en tant que épouse, et même si je ne devais jamais oublier quelle était ma vraie place, il faudrait que je m’habitue à ce genre de situation mondaine.
Et je me rappelais de ma promesse à moi-même de tout faire, dans n’importe quelle situation pour que le Maître, et mon futur époux, soit fier de moi ! Marquise, certes j’allais le devenir, mais avant tout esclave à Ses pieds, je resterai. Alors je me redressais, toujours happée par Son regard, Lui sourit franchement, et calmais tant bien que mal les battements de mon cœur. Après tout, quel immense honneur c’était pour moi que de me trouver à ma place ! J’étais heureuse et amoureuse, j’allais épouser le Maître et l’homme que j’aimais, et qui plus est, m’aimait exactement telle que j’étais ! J’avais une chance incroyable, je m’en rendais compte, alors je décidais de profiter du moment présent. Je serrais Sa main en Lui renvoyant Son sourire aimant.

Si j’avais l’honneur d’être à table avec les amis Dominants du Châtelain, les soumis qui les accompagnaient se trouvaient, eux, sous la table, prêt à répondre aux exigences de ceux qu’ils servaient. Parfois, un claquement de doigts se faisait entendre, et il arrivait qu’on vit et entendit un Dominant ou une Domina jouir des délices qui leur étaient prodigués sous la table… Au moment du dessert, le Noble claqua Lui aussi des doigts. Je savais qu’il n’y avait personne actuellement à Ses pieds, et les invités, qui le savaient également se tournèrent vers Lui, tout comme moi. Il me regarda avec un sourire doux, je voyais devant moi l’homme amoureux, et en une demi seconde, Son regard changea, le regard du Dominant apparaissait clairement et je me sentis de nouveau toute petite, et je baissais les yeux instinctivement. Il claqua à nouveau des doigts, et, sans me poser de question, ne pensant pas à ma toilette, je retrouvais avec bonheur, même soulagement, ma place à Ses pieds. J’écartais ma chaise de la table, et me laissais glisser à quatre pattes, avant de me prosterner devant Celui à qui j’avais offert le contrôle de ma vie. Il y eut un murmure de surprises parmi les invités.

- Mes amis, si Vous ne l’aviez pas reconnue avec ses vêtements, veuillez voir en Ma fiancée, l’esclave Aphrodite MDE ! Oui cette chienne va devenir Ma femme, mais elle sera toujours et avant tout Mon esclave ! Je l’aime, mais je resterai fidèle à ma réputation de Dominant intransigeant, sévère, bien que toujours juste ! Elle n’aura aucun traitement de faveur dans notre monde D/s et vous allez pouvoir vous en apercevoir ce soir ! Si vous le voulez bien, je vais avoir besoin des chiens et chiennes que Vous avez emmené avec Vous, aujourd’hui.


Après que les trois Dominants concernés aient donné en souriant positivement d’un geste de la tête leur assentiment, Walter arriva pour venir chercher les trois soumis et les informer des exigences du Maître des lieux. En attendant, je reçu l’ordre de passer sous la table, toujours habillée, et de faire jouir chaque personne présente, une fois avant la fin du dessert.

- Et tâche de ne pas me décevoir, sinon tu le regretterais, dit de Sa voix emplie d’autorité naturelle, le Châtelain.

Celui-ci m’indiqua la Domina à Sa gauche pour commencer. Je devais finir par un des Maîtres présents. Le Châtelain avait précisé qu’avant la fin du temps qu’il m’était imparti, Il claquerait dix fois dans Ses mains. Tous mirent en œuvre leur Maîtrise pour retarder au maximum leur jouissance. Et lorsque le Maître tapa pour la première fois des mains, je venais à peine de prendre en bouche le sexe de celui par qui je devais finir. En tout état de cause, soit il eut de l’indulgence pour moi, soit il était très excité, mais il éjacula bruyamment durant le dixième claquement de mains du Maître Vénéré. J'étais soulagée de sentir cette dernière semence s'écouler au fond de ma gorge, et de ne pas commencer cette soirée par Le décevoir… Le Noble claqua alors des doigts, et je sortis de sous la table pour me prosterner à Ses pieds. Au même moment, le Majordome revint avec les trois soumis sachant ce qu'ils auraient à faire.

- Lève-toi, Ma chienne !

Je me redressais donc, écartant les jambes, mains dans le dos et tête baissée. J'étais peut-être toujours habillée comme la future Marquise d'Evans, mais j'étais revenue à ma place d'esclave MDE et je n'oubliais donc pas la position que je devais tenir. Sur un signe de tête de Sa part, Walter toucha le bras de soumise Alice, chienne de Maîtresse Céline. En quadrupédie, elle se prosterna d'abord devant le Maître des lieux avant de se positionner sur ses deux jambes. Elle me contourna et défit les lacets de ma robe puis la fit tomber au sol, avant de rejoindre le Majordome, où elle se positionna à côté des deux autres chiens, à genoux, les fesses reposées sur leurs talons, les mains posées paumes vers le ciel sur leurs genoux, les têtes baissées.
Je me retrouvais seulement parée d'un magnifique collier serti de pierres précieuses dans un beau camaïeu de bleu (saphir et aigue marine) formant les Armoiries du Maître des Lieux, et ainsi nue ne faisant que rehausser ma beauté, d’après les dire du Maître Vénéré, collier de pierres auquel pendait un anneau.

Ce fut au tour du seul mâle présent de se lever pour attr un plateau qu'il présenta au Noble. Ce dernier prit ce qui s'y trouvait, à savoir une première paire de pinces qu'Il posa sur mes tétons, une seconde qu'Il mit à mes lèvres intimes, une laisse qu'Il accrocha à l'anneau du collier de pierre précieuses et un plug bijou frappé aussi de Ses nobles Armoiries. D'un claquement de doigts, en me montrant le plug, Il me fit comprendre de me mettre en position pour le recevoir. Précautionneusement, pour ne pas me prendre les pieds dans la robe, je me tournais et me penchais en avant le plus possible tout en écartant de mes mains les deux globes charnus de mon fessier. Le Maître appuya doucement mais fermement le plug contre ma rondelle cachée, et il s'enfonça facilement tellement il avait l'habitude d'être travaillé. Le Noble me prit la main et me fit enjamber la robe.

- Voici, mes amis, la future Marquise esclave ! Et ce soir, elle sera là pour vous satisfaire tous et toutes ! Mais pour commencer, j’aimerai la voir rougir un peu. soumise Keira MDE, approche ! Tu vas prendre ce fouet et rougir la peau de ta sœur de soumission. Je t’ai déjà vu à l’œuvre. N’oublie pas, ceci n’est pas une sanction, mais il faut que les coups soient assez forts pour exciter son côté masochiste et pour que sa peau soit rougie durablement !

soumise Keira MDE s’approcha alors du Maître en quadrupédie avant de se prosterner le temps qu’Il dépose devant elle, un fouet. Elle le saisit dans sa bouche et s’approcha de moi toujours à quatre pattes. Elle m’adressa un discret sourire puis elle se releva et passa dans mon dos, se retrouvant cachée de l’assistance.

- Tournez-vous Mes chiennes que mes amis puissent voir l’effet du fouet sur cette peau blanche !...

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!