Au Bord Du Lac 6/8
Après cette étrange soirée, faite , à la fois, de plaisir et de frustration, jétais encore plus décidé à séduire la belle Océane. Certes, je savais quune des conditions pour obtenir ses faveurs était de montrer ma fidélité, mais la chair est faible, et jétais certain que si une occasion se présentais, avec une femme, jaurais beaucoup de mal à résister. Sachant cela, il était essentiel de se montrer discret. Pour commencer, il fallait éviter ses deux cousines, qui étaient toutes deux dans les parages.
Après mêtre préparé, Jean propre, chemise de soie et mes bottes camarguaises, je partis , en voiture, prendre mon petit déjeuner à lauberge. Jy retrouvais Eric, attablé devant un café, et un jus dorange.
Je mexcusai de ne pas lavoir ramené la vaille mais il balaya mes excuses dun revers de main.
« Pas de soucis, Il y avait pas mal de monde qui revenait dans le coin. De toute façon Patricia avait sa voiture. Enfin, je pense que cest celle de sa mère. »
« Ah, tant mieux. Tu es rentré tard ? »
« Pas trop, non. Tu sais, je crois que tu avais raison à propos de Patricia. Le côté nympho libérée, un peu maso, cest marrant cinq minutes, mais si cest systématique
»
« Je te comprends. De mon côté, je vais léviter autant que possible. En plus, je vais éviter les minettes de la plage. Jaimerais me rapprocher de Océane, et je dois être plus sérieux. »
« Tu es amoureux ? »
« Je lignore encore, mais elle et moi, on se connaît et on se court après depuis des années. On flirte un peu, bien sur, mais jaimerais bien aller un peu plus loin avec elle. »
« De toute façon, je tavoue que les jeux de séduction avec ces petites allumeuses me tapent un peu sur le système » me confia Eric. « Je vais utiliser le reste de mes vacances différemment. Il me reste deux semaines. »
Jétais étonné car il était arrivé bien avant moi, et il ne me restait quune semaine. Il mexpliqua quil était venu avec ses parents et son frère cadet, mais que son père était reparti seul, pour le travail, laissant sa femme sur place, ce qui faisait quil restait en tout près dun mois et demi.
Ce matin, à « lauberge » pas de trace dOcéane, encore en congé. Chrystelle, qui saffairait derrière le comptoir mapprit que je pourrais la voir à Ofèle, le village à côté. Cétait jour de marché. Je laissai Eric lui donnant rendez-vous dans laprès-midi, et je partis pour le village.
La place dOfèle était animée par une agitation joyeuse. Les marchands de toutes sortes avaient installé leurs étals, vendant, qui des produits alimentaires du terroir, qui des vêtements de plage, ou dété,
Je déambulai dans les allées, qui résonnaient des cris de batteleurs des camelots présents, les narines assaillies, par de bonnes odeurs de fruits frais, ou de salaisons du terroir. Je repérai vite Océane qui était devant un étal de fripes, accompagnée par une dame agée que je reconnus pour sa grand-mère. Je mapprochai, alors quelle hésitait entre deux modèles de paréos.
« Le rouge, avec les fleurs est plus joli » émis-je
Les deux femmes se retournèrent. Je saluai la grand-mère, la gratifiant dun baise main, et elle minauda.
« Steve, toujours aussi charmeur ! Océane ma dit que vous étiez là. »
Je fis deux bises sur les joues dOcéane, qui ne manqua pas de remarquer
« Et pour moi, pas de baise-main ? »
« Ma chérie, Le baise-main, ce nest que pour les femmes mariées » reprit sa grand-mère
« Tu devrais le savoir. »
Nous discutâmes un moment. Océane acheta le paréo rouge et le mit dans un panier en osier. Je les accompagnai dans leurs provisions de bouche, sa grand mère tenant à me faire gouter le miel dun de ses voisins. Cétait la fin du marché et les marchands pliaient leurs stands, un à un. En marchant, nous étions arrivés devant leur maison de famille, et nous apprêtions à nous séparer, quand Océane demanda :
« ça te dit de faire un tennis, cet après-midi ? »
« Pourquoi pas » mentendis-je répondre. « Où faut il réserver ? »
« Pas besoin de réserver. » dit sa grand-mère avec un sourire. « Nous avons un court dans la propriété.
« Disons 16 heures, ça va ? »
Je donnais mon accord, et les laissais. Il était presque midi. Je descendis la rue, et retournai sur la place désertés, où les employés municipaux ramassaient cartons et papiers. Déborah, était en train de fermer son agence immobilière.
Elle me suivit jusquà ma voiture et je lui dis que javais réservé aux « rives de létang » un restaurant, plutôt classe, à la sortie du village. Elle me précisa quelle devait Ouvrir à 14 heures, car elle avait des rendez-vous avec des clients.
Au restaurant, le maître dhôtel nous installa à une table calme, au bord dune baie vitrée donnant sur létang. La mise de table était classique : nappe et serviettes blanches, assiettes en porcelaine, etc
Après avoir passé commande, nous trinquâmes à ces retrouvailles. Le repas fut agréable, le service discret et attentionné, les mets gourmands, et le vin rouge de Bordeaux de bonne tenue. Déborah, me raconta quelle avait rencontré un homme, deux ans après que je laie connue, quand elle était ma monitrice en club ado. Ils sétaient mariés lannée suivante. Ils avaient eu un , une fille qui avait maintenant cinq ans, mais Déborah sétait rapidement aperçue que son mari ne sintéressait plus à elle. Il était souvent absent pour son travail, et quand il revenait , était fatigué et irascible. Elle avait acquis la certitude quil la trompait, un jour où appelant sa société pour le joindre, il lui avait été répondu quil était en congé, alors quil était censé être en déplacement pour trois jours. A son retour, lexplication avait été orageuse, et depuis ils cohabitaient, plus pour leur fille que pour eux. Déborah travaillait dans cette agence immobilière qui était à son père, maintenant retraité. Elle avait eu une commerciale qui était partie, juste avant la saison, et elle devait assurer seule le boulot, en attendant de retrouver une employée.
Je lécoutais parler, la dévisageant. Sa longue chevelure brune était aujourdhui nouée en queue de cheval, dégageant lovale de son visage aux traits fins et réguliers.
« On peut finir cette conversation demain à midi. »
Elle sempressa de me donner son accord.
Je remontais au camping, et après une petite sieste, me mis en tenue pour le tennis.
Océane vint mouvrir, et minvita à entrer. Elle était déjà en tenue, jupette bleu marine, et tee-shirt sans manche blanc. Une visière ouverte ceignait son front, et ses cheveux étaient disciplinés en queue de cheval (décidément elles se donnaient le mot). Je la suivis autour de la maison, et nos pas débouchèrent sur larrière de la batisse, où une grande terrasse couverte par un store en toile, occupait une partie de la façade. Une table de jardin ovale, très grande était entourée dune dizaine de fauteuils en fer forgé recouverts de coussins. Les couleurs de la mosaique, la table et les tissus dans les tons ocre, étaient ornées de motifs de type marocains. En descendant trois marches, on arrivait sur un espace de pierre blanche qui encadrait une piscine turquoise, suffisante pour pouvoir y nager à son aise. Océane contourna le bassin, en passant à coté du plongeoir, et sengagea sur une sente pavée de pas japonais traversant le jardin engazonné, coupé ça et là, darbres de grandes taille. Je crus reconnaître un tilleul, et un Hêtre, mais je ne suis pas assez renseigné pour en être certain.
Les balles se mirent à fuser, et nous à courir. Le physique est important cest sur, mais dans ce sport la stratégie et le mental sont déterminants. Je la fis jouer, relançant sans trop en faire, la laissant développer son jeu, construire son avantage, mais à niveau égal, une femme na que rarement battu un homme. Me basant sur cette réalité, je ne cherchai pas à triompher, mais plus à mentrainer, et à profiter de cette partenaire régulière qui rendait plaisant les échanges. Je ne tardais pas à remarquer que, sur cette surface, elle était plus sure delle. Elle maitrisait bien les déplacements et savait gérer utilement les glissades en fin de course pour se retrouver bien en appui avant de frapper ses balles.
Les échanges sintensifièrent et nous mirent à lépreuve, la chaleur aidant. Nous allions régulièrement nous désaltérer, puisant des petites bouteilles deau fraiche dun frigo encastré dans le réduit. Après près dune heure, alors que nous étions tous deux assis sur le banc à nous hydrater, je la complimentai.
« Tu joues toujours aussi bien, bravo ! »
« Non, mieux. » rectifia telle
« Cest vrai, que tu te déplaces mieux encore sur la terre ; ça donne de lefficacité à tes coups. »
« On fait un match ? » osa telle
« Je ne sais pas. Tu sais, si je lâche mes coups, ça risque dêtre moins marrant, surtout au service. »
« Oh, mais quel prétentieux !, On va compter et on verra bien si tu es si fort. »
« Mais quel serait lenjeu ? Quel intérêt aurai-je à te battre, sans compter que tu pourrais mal le prendre. » demandai-je
« lintérêt, cest de montrer qui de nous deux est plus fort aujourdhui. »
« Non, cest insuffisant, il faut un enjeu. Faisons un strip-tennis . ça cest drôle ! »
« un strip tennis ? »
« oui, le principe est simple. A chaque jeu perdu, le perdant enlève un vêtement. Si il na plus de vêtement, ou si il perd un set, le gagnant lui colle un gage. »
« Oh, je te vois venir, non, non, pas question. Tu veux encore profiter de la situation pour te rincer lil. » contra telle
« Je te rappelle que cest toi qui dis pouvoir me battre. Si tu es si sure, prouve le. »
« Ok, tu sers en premier. »
Je servis des balles pas trop appuyées, et malgré avoir été à égalité, je remportais ce jeu.
Océane, se délesta de son tee-shirt blanc, et apparut dans un soutien gorge brassière de sport, très maintenant et très couvrant. 1/0
Son service était très travaillé avec beaucoup deffet, et jeu un peu de mal à le contrôler. Je perdis le deuxième jeu. Il fallait respecter le contrat et jenlevai mon polo de tennis, que je déposai sur le banc. 1/1
Dans le troisième jeu jaccélérai mon service, et y mis plus de poids. Océane avait du mal à le contrôler, et perdit ce jeu. Elle se défit de sa visière. 2/1
Dans le quatrième, jappuyai mes balles, et coupai deux fois ses trajectoires par des volées intouchables, et un smash pour conclure. Javais fait le break. Océane dégrafa sa jupette et apparut en shorty, bleu également.3/1
Dans la foulée, je remportai mon service, et, après avoir hésité, elle se débarrassa de son soutien-gorge, libérant ses seins arrogants, et fermes.4/1
Cela ne lempêcha pas de combattre, et après un superbe lob, de réduire la marque.Sa plastique mavait sans doute déconcentré. Je dus me défaire de mon short, pour apparaître en slip noir, pas super sexy, mais pratique pour le sport.4/2
Je me ressaisis aussitôt, prenant le filet dassaut, pour claquer des volées imparables. Les chaussures étant incontournables pour le jeu, Océane fit glisser son shorty et apparut nue. 5/2
Elle ne faisait pas mine dabandonner, et je dois bien avouer que, tout en jouant, jétais fasciné par ses courbes, fermes malgré sa course sautillante, tendue vers son objectif , dévoilant dans son effort ses muscles saillants, ses pectoraux remontant en lançant sa poitrine en avant sur les revers, ses aducteurs bandés, creusant lintérieur de ses cuisses sur les glissades, son sexe souvrant presque dans ces grands écarts, ses genoux pliants, et ses mollets se contractant tels des boules dénergie dans ses courses latérales, et ses fesses aux côtés creusés renforçant larrondi du profil en pas chassés. Evidemment cela me couta un jeu et mon slip 5/3.
Sur mon service, jarrivai à me reconcentrer, et me hâtai de conclure avant de perdre mes moyens.6/3. Océane sapprocha du banc, attendant le gage que je nallais pas manquer de lui imposer.
Je lui tendis la bouteille deau et après quelle se fut désaltérée :
« Ton gage sera de te caresser devant moi. »
« me caresser, moi ? » répéta t elle
« Oui, toi, je veux voir comment tu te donnes du plaisir. » insistai-je
« Pervers » chuchota telle.
Elle commença à caresser ses seins, les faisant rouler sous ses paumes, et sapprocha du banc où elle vint sasseoir, sans cesser de me regarder. Ses index tournaient autour de ses tétons qui rapidement se développèrent. Elle les prit entre ses doigts et les fit rouler entre eux. Puis elle sallongea, les jambes vers moi, et fit glisser ses mains sur son corps moite de sueur, le long de ses côtes, sur son ventre plat et son nombril, avant de descendre plus bas et datteindre son pubis. Les doigts fourragèrent dans le buisson brun qui sécarta peu à peu, faisant apparaître la chair intime rose. Elle dégagea son clitoris quelle titilla, le laissant prendre une taille et une dureté respectables, comme un petit penis. Sans cesser de soccuper de son clito, son autre main rampa plus bas et un doigt indiscret écarta les replis de ses lèvres, les parcourant deux ou trois fois avant de simmiscer dans sa cavité. Océane leva sa jambe gauche et vint la poser sur le dossier du banc. Javis une vue imprenable sur sa chatte grande ouverte, dou coulait déjà son plaisir. Un second doigt rejoignit le premier, et sa main entreprit une danse de saint Guy , ses phalanges entrant et sortant delle de plus en plus vite. Elle ne me lachait pas des yeux, et ne pouvait ignorer ma queue tendue vers elle, car je navais pas eu le temps de remettre mon slip.
Jempoignai mon sexe, et, en la regardant , commençai à me masturber. Jaugmentai ma cadence en même temps quelle. Son regard se voilait et elle respirait très fort, une main dans son sexe, lautre malaxant un sein. Elle me lâcha des yeux, dun coup et renversa la tête en arrière, les yeux clos, exhalant un long soupir de jouissance.
La vision de cette femme qui sabandonnait à son plaisir, acheva de mexciter, et jexpédiai plusieurs giclées de ma semence, sur ses jambes, et sur la terre battue, dans un râle de soulagement.
« Satisfait ? » me demanda telle presque aussitôt
Je lassurai que oui, en me rhabillant après mêtre nettoyé avec des lingettes que jai toujours dans mon sac.
« On fera le deuxième set un autre jour. » conclutelle en rangeant ses affaires.
Je la suivis tandis quelle retraversait le jardin, sans sêtre rhabillée.
« Ta grand-mère nest pas là ? Elle pourrait te voir » lavertis-je
Elle tourna la tête vers moi, et sexclaffa.
« Ma grand-mère me voit me promener nue dans cette maison, depuis que je sais marcher. Elle a lhabitude. Allez, viens te baigner ! »
Sur ce elle piqua une tête dans la piscine, et je ne pus résister à la rejoindre bien quun peu angoissé à lidée quun membre de sa famille me découvre chez eux dans le plus simple appareil. Fort heureusement, rien de tel ne se produisit. Après le bain, Océane sétendit nue pour parfaire son bronzage, et après mêtre séché, je décidai finalement de quitter les lieux avant de faire une rencontre inopportune.
« Je ne te raccompagne pas . De ce côté de la maison, ça va, mais je ne sors pas devant, à poil, en journée. » sourit elle, évoquant lépisode de la veille.
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