L'Amour Dans Les Fourrés 13

- Ma chère Cécile, j'ai une excellente nouvelle. Oui, Julien accepte de reprendre avec moi les séances d'insémination naturelle. N'est-ce pas aussi formidable qu'inespéré?

-Eh! bien, tu as de la chance d'avoir réussi à le persuader de renouer contact après ton étrange conduite. Si tu avais fait les efforts nécessaires pour recevoir son sperme dans les meilleures conditions, comme moi, à l'heure qu'il est, tu serais enceinte. Te comporteras-tu plus raisonnablement à l'avenir? Montre toi plus réceptive.

- Je viens de m'y engager à l'instant. je serai entièrement soumise aux désirs de notre reproducteur. Quoi qu'il réclame de moi, quelque position qu'il demande, de l'horizontale à la verticale, tête en bas et pieds en l'air, succube ou incube, je me plierai à ses ordres, je serai sa chose et j'obtiendrai d'être mère par lui.

- Bravo ma chérie! Qu'attends-tu pour commencer?

- La fin de mes règles. Pour partager ma vie et mon lit, tu es avec moi la seule à savoir quand elles commencent et quand elles finissent. Dans une semane le moment sera idéal pour des accouplements féconds. Mais Julien mérite dès à présent une récompense, je la lui ai promise.

- Peux-tu préciser quelle récompense te semble appropriée?

- Il a traversé une longue période d'abstinence. Il est temps d'y mettre fin.

- Je te croyais indisposée. Comment feras-tu, rêveuse impénitente ?

- N'es-tu pas ma compagne ? Tu n'as plus d'écoulement de sang, tu es immédiatement disponible. Avec ma bénédiction, c'est toi qui vas faire l'amour avec lui, ici et maintenant. Exécution !

- Oh, comme tu y vas ! Par bonheur j'en suis ravie, enfin tes interdictions tombent et je n'aurai pas à me forcer pour l'aimer de toutes mes forces. Viens Julien, viens père de l' que je porte, aide-moi à me déshabiller.
- Hola! Quelle précipitation. Calme tes ardeurs.Tu as cinq minutes pour te transformer en Eve.

Mais avant de croquer la pomme, tu m'aideras à préparer ce mâle à te pénétrer. J'ai décidé d'entreprendre les préliminaires avant de te céder la place. Je l'excite et je le mets en forme, il te reviendras d'achever l'oeuvre de chair en t'unissant charnellement à lui lorsqu'il bandera ferme.

- Tu es trop bonne ! Mais ce sera sans restrictions ? je pourrai me livrer à fond, tu ne me soupçonneras plus d'adultère, tu ne critiqueras plus mon enthousiasme quand je gémirai de bonheur; tu ne freineras plus ma jouissance ?

- Je te le demande, sois tendre, aimante et folle si tu le souhaites. Baise, hurle de joie, jouis. Donne-toi pleinement et procure lui le plaisir extrême.

- C'est merveilleux de t'entendre.

- Auparavant, apprends-moi comment faire une bonne fellation. J'ai toujours détesté l'idée de prendre en bouche un pénis, de le machouiller jusqu'à lui faire cracher sa semence.

- Tu es moins nareuse quand tu me bouffes la chatte d'habitude. Tu me suces alors les abords de la vulve et le vestibule du vagin sans modération en grognant comme un porcelet tétant la truie. Mon clito n'est jamais assez grand, ma mouille jamais assez abondante ! Heureusement Julien n'est pas avare de sperme, allons voir si tu t'en délecteras avec autant d'engouement.

- Je connais aujourd'hui un bouleversement dans mes façons d'appréhender les relations sexuelles. Je veux prendre les moyens d'aboutir. J'ai besoin de toi pour conforter mes résolutions de m'ouvrir aux pratiques amoureuses courantes. Oui, je veux le sucer convenablement et lui prouver de la sorte mon entière soumission.

- C'est parfait. Telle que je te connais, tu ne mettras pas longtemps à assimiler mes consignes. Mais Julien rentre du travail; il a certainement transpiré. Aussi ardente soit ton envie d'apprendre, pour ne pas te rebuter dès le départ sa verge, comme tout son corps, réclame une douche qui évacuera les odeurs les plus fortes accumulées dans la journée.
montons à la douche.

- Une douche, toute nue, aujourd'hui. Mes pertes de sang vont l'effrayer.

- Voilà tes vieux démons qui reviennent! Alors, tu veux ou tu ne veux pas?

- Tu porteras la responsabilité de son dégoût; montons.

Dans la salle de bain, Cécile invite sa maîtresse à me dévêtir. Nathalie se montre active et finit par se retrouver face à une érection de bon aloi, prometteuse. Le sourire malicieux de Cécile me satisfait. La cabine de douche est limite, mais nous parvenons à y introduire nos trois corps nus. Chaque geste, chaque déplacement me met en contact avec la petite ou la grande, chaque frôlement envoie des frissons. Comment empêcher ma verge de toucher un ventre ou une paire de fesses ?

Comment dans ces conditions débander ? Le phénomène ne surprend plus la trop prude Nathalie qui finit même par rire aux éclats chaque fois que sous la pluie mon membre va émouvoir ses sens ou se glisser la dans sa raie, ailleurs contre sa fente. Quand l'eau de la douche se teinte de rose dans le bac, Cécile attire discrètement mon regard et désigne la preuve des menstrues. A force de temps nos peaux se familiarisent. Cécile sournoisement entretient mon état d'une main ou d'un coup de croupe quand ce n'est pas en se frottant ouvertement à moi, seins pointés, ventre projeté vers ma partie sensible. Mon dard aussitôt se redresse. Je bande dur.

Nous voici de retour au salon pour la leçon de fellation. Cécile étale ses connaissances, montre comment prendre une bite en main, comment dégager le gland du prépuce d'un souple mouvement de poignet? Nathalie doit l'imiter, passe de la timidité à l'audace. Au stade suivant elle sait passer la pointe de sa langue sur le méat à l'extrémité du "noeud" puis autour du bourrelet qui couronne mon appendice et enfin sous le frein si réactif. Cécile déguste tout le gland avant que Nathalie ne l'enfourne à son tour. Je résiste aux pulsions qui projetteraient mon sperme dans son gosier.
Je n'oublie pas que Cécile et moi nous unirons à la fin de la démonstration. L'une est bonne pédagogue, l'autre se révèle élève douée. Je suis pacha dans un harem.

Lorsque Nathalie accomplit l'exploit de me recevoir à fond, contre sa luette et s'en tire avec des toussotements spasmodiques, une coulée de salive et des larmes dans les yeux, elle constate avec joie qu'elle saura entreprendre une fellation. Elle veut stopper là l'expérience. Cécile proteste et exige qu'elle boive jusqu'à la lie le jus de corps d'homme. Les deux femmes partagent goulûment leurs efforts, engagent un concours de succions. Je capitule et j'envoie "la purée" au fond de la bouche de Nathalie.Cécile s'écrie:

- Non, tu ne recraches pas, tu dégustes et tu avales. Ce goût particulier doit marquer tout ton corps, devenir familier. Il faut que tu y prennes goût, que tu en ressentes l'envie.

- Attends, une fois enceinte je n'en aurai plus besoin.

- Es-tu enceinte ? Non. Alors patiente et aime ce que tu viens de réaliser. Il faudra recommencer lors de chaque accouplement. La grossesse sera le fruit de tes envies et le couronnement d'unions sans doute répétées avec Julien. Je lui accorde un moment de récupération, mais après il recevra la récompense promise.

à suivre

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