La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1156)
La Marquise esclave (suite de l'épisode précédent N°1155) -
- Tournez-vous Mes chiennes que mes amis puissent voir leffet du fouet sur cette peau blanche !...
Ma sur de soumission avait déjà eu effectivement loccasion de manier le fouet sous la direction du Maître ou de son compagnon, Dominant, Monsieur le Commandant (voir lhistoire de Vanessa au Château) mais cétait la première fois que je me retrouvais fouettée par elle. Je ne retrouvais pas, évidemment le doigté affiné et précis de Celui à qui nous appartenions, mais elle était de toute évidence très douée ! Les coups étaient suffisamment mordants pour que jen ressente de la douleur, et pour que jen ressente de lexcitation. Je sentais ma peau chauffer, mais je sentais aussi quelle ne me blessait pas. Sur un « STOP ! » laconique du Châtelain, elle arrêta son bras, au bout dun bon quart dheure, elle prit le fouet dans sa bouche et retourna le déposer aux pieds du Maître Vénéré, avant de se prosterner. Il lui flatta le derrière avant de claquer des doigts et quelle ne rejoigne Walter. Ce dernier fit apporter trois croix de Saint André et il y attacha un par un chacun des soumis invités.
- Ma chienne, tu vas devoir tout mettre en uvre, mettre tout ton talent, tout ce que tu auras appris depuis que tu es arrivée au Château, pour faire jouir ces trois chiens. Mais écoute-bien ! Eux ont linterdiction de jouir jusquà la fin du défi. Une fois que le gong aura retenti, si celui ou celle dont tu es en train de toccuper a un orgasme il ne sera pas puni, alors choisis bien lordre dans lequel tu vas toccuper deux. Ceux qui ne réussiront pas à obéir à lexigence reçue seront sanctionnés par le Dominant ou la Dominante à qui ils appartiennent. Si cest toi qui doit être sanctionnée, la première sanction sera que tu nauras pas méritée que je te sanctionne moi-même, tu le seras par le Maître ou la Maîtresse qui possède celui ou celle que tu nauras pas réussi à faire jouir.
Javais un avantage sur au moins deux dentre eux, qui navaient pas reçu la si exigeante éducation de tout membre du Cheptel MDE. Pour le mâle, qui à priori nétait pas soumis depuis très longtemps, cela fut rapide, il éjacula dans ma bouche après que celle-ci sactiva dans une cadence rapide sur toute sa hampe dressée, il jouit donc tout en râlant tel un cerf en rut au bout de quelques minutes. Pour soumise Alice, jeus un peu plus de mal, mais mes coups de langue bien placés, titillant abondamment son clitoris, ses lèvres intimes, eurent raison de sa volonté. Restait soumise Keira MDE, une de mes surs de soumission
je navais jamais eu loccasion dêtre soumise en même temps quelle, mais je savais quelle avait une volonté de fer. Je nétais pas sûre que le fait davoir mérité mon statut desclave soit un avantage suffisant. On se regarda quelques secondes. Nous avions toutes les deux de sacrés enjeux. Toutes deux avions dans cette pièce le Maître qui nous soumettait, et lhomme que nous aimions, et même si ce nétait pas le même, les deux étaient des Dominants reconnus. Et chacune avait la profonde et farouche volonté de montrer une parfaite obéissance !
Il nous restait quinze minutes. Je navais reçu aucune consigne de limite. Avec le mâle et soumise Alice, je navais eu besoin de moccuper que de leur sexe. Mais pour soumise Keira MDE, je savais que cela ne suffirait pas. Pourtant je commençais de la même façon. Puis sans prévenir, sans que rien ne puisse le lui laisser deviner par avance, je mattaquai à un de ses seins, tout en lui léchant le clito. Ensuite, ma langue sortit de cet antre chaud et humide et se dirigea vers son anus, souple évidemment. Je la pénétrais de ma langue, tandis que mes doigts dune main lui baisaient la chatte et que lautre travaillait sans relâche son clitoris. Petit à petit, je la sentais se tendre, son souffle saccélérait, sa poitrine se soulevait, une fine pellicule de sueur commençait à se former.
- Mes chiennes, puisquaucun dentre nous ne peut déterminer avec certitude laquelle de vous deux a rempli lexigence qui lui avait été donnée, je vous nomme toutes les deux gagnantes. Je tiens à vous dire que je suis particulièrement fière de vous, vous mavez fait honneur ce soir ! Et je veux vous récompenser. Vous allez venir à Mes pieds et vous aurez le droit de lécher Ma Noble verge, jusquà ce que je vous dise de Vous arrêter ! esclave Aphrodite MDE, détache ta sur, et toutes les deux, venez à moi.
Je lui obéissais et avec un sourire lune à lautre, nous nous dirigeâmes avec bonheur aux pieds du Maître Vénéré pour recevoir notre récompense. Pendant que nous nous concentrions à Lui apporter un maximum de plaisir, Il nous caressait, la tête, le visage, les seins. De Ses pieds, Il nous titillait lentrejambe. Il appuya également sur nos nuques pour nous offrir lhonneur et le bonheur incroyable de pouvoir le prendre en bouche, en gorge profonde. Jusquà ce quIl recule Sa chaise dun coup sec. Il se leva, ordonna quon se place côte à côte et que nous relevions la tête, tout en gardant le regard baissé, et il éjacula sur nos poitrines, avant de nous ordonner de nous nettoyer mutuellement. Dans de doux coups de langue, nous dégustâmes avec dévotion la noble semence du Maître, un privilège dont on savait être reconnaissante.
Dans la Grande Salle à Manger, les festivités continuèrent. Je restais la seule soumise pour occuper 8 Dominants. Et ils sen donnèrent à cur joie ! Je fus besognée par tous mes orifices. Je léchais tous les sexes, masculin ou féminin qui se présentaient. Je reçus pour leur plaisir des coups de fouet, de badine, de martinet. Pour leur plaisir, oui. Mais je ne pouvais nier que mon côté maso assumé se régalait également de cette torride soirée orgiaque, et ma chatte ne cessait de mouiller et de couler ! Je fus couverte de tous les spermes, cyprines et urines possibles. Lorsque la soirée sacheva, jétais ligotée sur une table, souillée, puante, mais heureuse. Je pensais avoir pu faire honneur à léducation que javais reçue jusquici. Après que le Châtelain ait raccompagné ses invités jusquau bas du perron, Il revint me détacher, et sans un mot, Il saisit ma laisse et mentraina jusquà la salle deau des soumis, où Il mordonna de me nettoyer, de Sa voix Dominante, laconique. Je narrivais pas à deviner sur Son visage impassible si je lavais satisfait et je commençais à douter de mes certitudes à ce niveau. Lorsque je fus propre, Il ne reprit pas la dragonne de ma laisse en main, Il se contenta de claquer des doigts pour que je Le suive. Je la prenais donc dans ma gueule de petite chienne et je Lui emboitais le pas. Ce qui me rassura un petit peu fut que je reconnus le chemin qui menait à Sa chambre. Il y entra et sassit sur un fauteuil. Je me prosternais alors devant Lui, et attendis patiemment de longues minutes.
- A genoux, Ma chienne !
Je me mis en position, les mains dans le dos, dos bien droit, tête baissée. Au bout de peut-être cinq minutes, Il posa deux doigts sous mon menton et doucement Il me releva le visage vers Lui.
- Regarde-moi Ma chienne ! Je suis fier de toi ! Tu tes parfaitement conduite ce soir, tu as fait honneur à léducation que tu as reçu ici, tu Mas fait honneur ! Je nai reçu que des compliments de mes amis ce soir à ton propos. Je suis heureux de savoir que très bientôt tu deviendras Ma femme esclave. Pour te récompenser, cette nuit, tu es autorisée à dormir au pied de Mon lit. Sois heureuse et reconnaissante de cela !
Il se pencha vers moi et membrassa longuement, avant de saisir ma laisse pour lattacher à un anneau enfoncé dans le sol près dune couverture. Je me couchais dessus sous Son ordre.
- Endors-toi Ma chienne chérie ! Sois apaisée, je veille sur toi
Et après la longue soirée que je venais de vivre, je ne tardais pas à mendormir, en chien de fusil, sous les mains du Maître de ma vie et de mon cur, qui me caressait comme Il laurait fait avec une vraie chienne animale
(A suivre
)
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