Merci Monsieur Le Vigile

Après quinze ans de mariage et deux s notre libido est émoussée, Lily fait moins d’effort pour me plaire, je sais qu’elle se consacre à ses s et je lui en suis reconnaissant, mais quelquefois j’ai envie de retrouver nos vingt ans lorsque je lui faisais l’amour matin midi et soir elle savait se montrer aguichante
Je me suis aussi posé la question : est-ce que je suis toujours attirant vis-à-vis des femmes ? devrais-je essayer de draguer ? faire cocue Lily ne m’enchante guère car je sais quelle m’est fidèle, pourtant certains jours je me sens capable de défoncer un régiment de bonne sœurs ! alors le soir je la baise sans préliminaire pour faire descendre ma tension sexuelle, mais je sens qu’elle est frustrée que ce soit si court et qu’elle n’ait pas le temps de jouir
Il m’est venu une idée, acheter un gode pour changer nos habitudes, le samedi les grands parents prennent les s, cela permet à ma femme de faire le ménage ?en grand?, habillée d’une blouse sous laquelle elle est souvent nue, ce serait vachement plus érotique sans ce sacré sarrau bleu délavé
Pour tester sa réaction je me suis emparé en douce du gode en silicone noir, rien que l’idée de lui fourrer dans le con m?a fait bandé illico alors je me suis mis à poil pour être à égalité au cas où
À quatre patte pour regarder sous le buffet, équipée d’un balais att-poussières, les genoux a terre je vois sa chatte blonde coincée entre ses cuisses, combien de fois l’ai-je léchée et enfilée ? je m’avance et relève lentement le bas de cette blouse
- Allan ? que fais-tu ? tu vois bien que je travaille !
- Reste ainsi, ne bouge surtout pas, tu mérites une pose, s’il le faut je te donnerais un coup de main après
- Après quoi ?
- Après que je t’aurais faite jouir avec ça ?tu sens ?
- Qu’est-ce que c’est ? c’est froid, c’est dur?
- C’est un pote à moi et il ne faiblit jamais celui-là !
- ?Ça? ne vaut pas une vraie queue, et puis ?ça? ne décharge pas ?
- Tu aimerais une vraie bite ? qui te remplierait bien la chatte ?
- Qui me remplirait bien la chatte de chair et de sperme !
- Tu es sérieuse ?
- Ôte moi ça et met-moi ta queue
- Ici ? sur place ?
- Dépêche-toi ! tu vois bien que je suis prête pour une fois
- Ok ne bouge pas ? haaaaaaaann !
- OOOOUUUUUUIIIIIII !!!! VA-yyyyyyyyyyyy
Elle m’a surpris avec cette fougue que je croyais éteinte a jamais, aussi je me suis défoulé dans cette moule qui bave comme aux plus beaux jours de notre jeunesse, elle a jouis en me suppliant de continuer c’est ce que j’ai fait et je me suis mis à lui poser des questions
- Ma salope je vais te défoncer la chatte, lorsque tu disais que ça ne valait pas une vraie queue tu pensais à quoi ou à qui ?
- Personne en particulier ? baise-moi chéri ?
- Mais tu aurais envie d’une queue ?étrangère ?
- Je ne sais pas ?ça peut faire quoi deux verges en même temps dans le vagin ?
- Attend, tu vas tester avec notre nouveau copain de jeu ?
- Noooooonnnnnn ?aaaahhh ooooooohhhhh ? ça fait gros ?
- C’est bon ?
- Ce serait certainement meilleur en vrai ?
- Tu es sérieuse ?
- Baisez moi vous deux ! défonce ma chatte mon chéri
- Je vais satisfaire ton fantasme ma salope, je vais dénicher l’oiseau rare qui te laissera sur le carreau
- Mais tu me baiseras avec lui hein ?
- Bien sûr, ne t’agrandirons tous tes trous
- Oohhhhhoooooouuuuiiiii, le cul aussi !
- C’est trop bon, attention je vais décharger
- Moi aauuuuussssssiiiii ! aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhoooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiii !
- Wwwwoooouuuuuuhh ! ça fait un bail que je n’ai pas joui aussi fort !
- Moi aussi ! Oooohhh une fois retiré ça laisse un grand vide ?.


- Deux queues c’est deux queues grande gourmande !
- Tu sais chéri j’ai dit ça sous l’effet de l’excitation...
- Les paroles qui sortent naturellement en baisant ne mentent pas, je suis certain que tu en a envie, je me trompe ? parle franchement
- C’est vrai ? j’en ai honte...
- Moi aussi ça m’excite de t’imaginer avec un inconnu entre les cuisses, regarde comme je bande, vient sur le lit je vais remettre le couvert, nous allons parler de ton futur amant en faisant l’amour
- Tu as raison? je suis chaude comme la braise, tant pis pour le ménage !
- J’emmène le gode ?
- Ouuiii !
Le moindre mouvement de mon pénis et du membre factice dans sa grotte liquéfiée la fit gémir, je sais qu’elle pense à un amant virtuel, son imagination doit vagabonder, c’est le moment de la faire parler
- Comment vois-tu cet amant ?
- Ne sois pas jaloux chéri je veux me lâcher totalement mais ça ne se fera qu’une seule fois
- Bien sûr
- je le vois chauve, imposant sans être gros, qu’il soit bourru, doux et viril à la fois car je veux qu’il me manipule à sa guise, comme une poupée de chiffon, qu’il m’oblige à faire des trucs que je n’ai jamais osés te faire
- Comme ?
- Lui lécher l’anus le doigter
- Hébé ! et côté sexe, quel dimensions ?
- Imposant aussi, très long et gros comme ta queue et le gode réunis, je veux sentir mes chairs étirées, sentir s’enfoncer chaque centimètres de sa bite dans mon ventre
- Tu viens de décrire le vigile métis du super marché, en tous cas tu as fait le bon choix il a une sacrée réputation auprès de ces dames et principalement après des cleptomanes qu’il n’hésite pas à fouiller au corps dans l’arrière magasin
- C’est vrai, maintenant que j’y pense il me déshabille du regard lorsque je passe devant lui
- Donc tu le kif inconsciemment, tu n’as jamais rien chouré là-bas ?
- Si, des tubes de rouge à lèvres
- Mais tu n’en mets jamais ?
- C’est pour l’adrénaline
- Ta tête dit non mais ton corps a envie de ce type
- Tu crois ? ? hhhhhaaaaaaaaaaooooooooouuuuuuuuiiiiiii, je jooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiis !!
Quasiment inconsciente après un tel orgasme elle revient à elle petit à petit
- Tu m’en veux chéri ?
- Bien sûr et dès cet après-midi nous allons au centre commercial
- Quoi faire ?
- Tu vas conserver quatre tubes de rouge à lèvre sur toi en sortant
- Et où vais-je les mettre ?
- Deux dans tes bonnets de soustif et deux dans ta chatte
- Dans ma chatte ?
- Réfléchit, ce monsieur va te fouiller ?
- Ha ? devant tout le monde ?
- Certainement pas, il a une salle a lui
- Mais toi ?
- C’est moi qui vais te dénoncer afin de pouvoir vous accompagner
- Tu penses à tout vicieux !
- Dépêchons nous à déjeuner, nous irons à treize heures c’est plus tranquille
- J’ai une boule au ventre.
..
- Bientôt tu en auras deux !
Même si je fais le kéké je n’en même pas large, je vais tout de même amener ma femme au mâle et quel mâle ! une fois arrivé au magasin nous séparons, Lily entre puis ressort bientôt par la sortie sans achat ? c’est à ce moment-là que je vais vers cette ?montagne bronzée?
- Monsieur, monsieur
- Oui ? bonjour
- Bonjour, vous voyez cette femme là-bas ?
- Oui ?
- Eh bien je l’ai surprise après cacher des bâtons de rouge à lèvres
- Et où ça ? elle n’a même pas de sac à main ?
- Devinez ?
- Non ? ? vous êtes sûr ?
- Si je vous le dis ! je vous accompagne si vous la fouillez, ainsi vous serez couvert
- Ça marche, elle va voir de quel bois je me chauffe cette bourgeoise... madame ? MADAME !! venez par ici s’il vous plait
- Plait-il ?
- Ce monsieur affirme que vous avez volé des bâtons de rouge à lèvre
- Mais ? de quoi je me mêle ?
- Suivez-moi pour une fouille sans faire d’histoire ou j’appelle la police
- Pourquoi pas le président de la république aussi ?
- Obéissez ou bien
- C’est bon je vous suis, ce monsieur dois être obligatoirement présent ?
- Il servira de témoin
Lilly jubile intérieurement, je mettrais ma main au feu que son fond de culotte est déjà humide, après un dédale de couloir l’homme ouvre une porte nous fait entrer et referme a clé
- Bien, ou vous avouez de suite ou bien je me verrais dans l’obligation vous fouiller
- Je n’ai rien fait, où pourrais-je cacher ce genre de truc ?
- Je l’ai vue faire j’vous dis ! une femme est pleine de ressources
- Déshabillez-vous en vitesse ou je décroche le téléphone
- Bbiiiiieeeeeennnn ! que d’histoire ! aidez-moi au moins à baisser ma fermeture dans le dos
Face à moi Lily arbore un large sourire complice, le vigile baisse la fermeture et fait glisser la robe qui tombe sur ses hanches
- Dois-je continuer moi-même ?
- Ne vous privez surtout pas
- Monsieur vous êtes témoin que je dois dégrafer le soutient gorge ? ?.

- Vous pouvez aussi passer votre main dedans avant non ?
- Vous avez raison ? huuuuuuummmm, et ça, c’est quoi ?
- Un bâton de rouge à lèvre ! fouillez bien s’il n’en reste pas au fond de bonnet !
Ma femme se laisse peloter en se mordant la lèvre inférieure, ses yeux se ferment, elle savoure pleinement, l’autre main fouille le deuxième bonnet, les deux tubes jetés à terre l’homme continue son pelotage intensif pour le plus grand plaisir de ma femme qui colle son cul sur le ventre du vigile, sent elle une bosse significative, en tout cas elle s’y frotte frénétiquement
- Vous êtes satisfait ? vous avez trouvé ce que vous cherchiez ?
- Monsieur avait vu juste, qui me prouve que vous n’en avez pas dissimulé ailleurs ?
- Vous n’allez tout de même pas fouiller ma petite culotte ?
- Qu’en dites-vous monsieur ?
- Moi je pense qu’elle en a encore sur elle, approfondissez vos investigations monsieur le vigil
- Baisser votre culotte
- Non !
- Pour la dernière fois obéissez
- Alors faites le vous-même !
Les yeux exorbités l’homme finit de faire tomber la robe au sol, les seins sortis du soutient gorge elle est à demi nue, il passe devant Lily, c’est là que je vois sa braguette anormalement déformée, un genou à terre il att le slip qui présente une humidité certaine et l’arrache sans ménagement, ma femme dans un réflexe de pudeur croise les cuisses avant de me consulter du regard et devant mon clignement d’yeux de s’offrir totalement à la curiosité de métis
- Rien dans la culotte ?
- Mais sans doute en a-t-elle planqué à l’intérieur ? faites votre boulot que diable ! enfoncez vos doigts dans sa chatte !
- Pour ma bonne foi je vous prends encore à témoin, veuillez écarter les cuisses chère madame
- Voilà, c’est suffisant comme ça ? hhhaaaaaaaaaa doucement ! ce n’est pas une entrée de métro !
- Excusez-moi, c’est vrai que vous êtes serrée ? mais ? ? ENCORE UN ! il est tout poisseux !
- Fouillez encore plus loin
- Je n’ai pas les doigts assez longs
- Et dans votre froc ? avec une bite comme vous devez posséder vous irez jusqu'à son estomac
- Vous avez raison, c’est une chienne comme les autres je vais la fourrer jusqu’aux couilles
- Aaaaaaaaaahhhh quand même ! je vais débarrasser le coin du bureau, posez lui le cul dessus
- Elle est appétissante la garce ! je bande comme un porc
- Non ! non ! je ne veux pas aidez-moi monsieur, il va me démonter avec cette grosse trique
- Tu l’as bien cherché salope, fallait pas voler, allonge toi et laisse ce monsieur faire son travail
- Maman ! je vais me faire baiser par un monstre ?
- Ta gueule !
Faisant mine d’être résignée Lily se prête volontiers a cette mascarade de viol, je me débraguette en vitesse lorsque la verge impressionnante se fraie un passage entre les lèvres boursouflées par le désir, trahie par l’envie ses mollets se nouent derrière les reins du vigile, il fait largement le double de ma quéquette, la verge plie durant le , ma femme cherche l’air un moment et pousse un cri de soulagement lorsqu’elle est introduite par la totalité du membre
- CHÉRI !!! il me baise ! c’est super booooooooonnnnnnnnn ! encore ! encore ! enfonce-toi encore !
- Mais ? vous vous connaissez ?
- Pardi c’est ma femme, défonce lui la chatte elle est venue pour ça
- Merde alors !c’est la première fois qu’on me fait ce coup-là, je vais te faire cracher la mouille par le cul espèce de chaudasse ! Ooooohhhh ce n’est pas vrai ? je sens un autre rouge à lèvres au bout de mon gland !
- Pousse-le au fond !
- Chéri, il m’écartèle vachement le vagin !
- Ça t’apprendra petite voleuse ! c’est ton châtiment !.
..

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