Albert, Le Routier, En Allemagne
Jai réussi à faire travailler les méninges dAlbert, mon pote routier, et il sest souvenu de cette histoire. Certes elle est un peu courte mais elle ma bien excité alors pourquoi pas vous!
Cette fois encore je vais rentrer dans le personnage dAlbert et utiliser le « je » à sa place.
Jétais dans mon camion en direction de Hambourg, en Allemagne, je devais décharger de la poudre à lusine Calgon. Quand jarrive enfin à lentrée de lusine, il est plus de 19 heures et la grille est déjà fermée. Je descends de mon bahut pour aller sonner. Jattends un petit moment quand un mec vient enfin vers moi. Il doit avoir une quarantaine dannées, il est légèrement plus petit que moi, porte un costume avec un écusson dune société de gardiennage, sa chemise est grande ouverte sur un torse poilu. Nos yeux se croisent et ne se quitte plus jusquà ce quil arrive à ma hauteur et ouvre la grille. Sans dire un mot il mindique la balance. Pour ce genre de livraison, il y a toujours quelquun qui pèse le camion à lentrée et à la sortie.
Je remonte dans mon camion et le déplace jusquà la bascule pour la pesée. Quand je redescends nous continuons à nous fixer sans ciller, puis il passe sa langue lentement sur ses lèvres. Maintenant cest sa bouche que je fixe. Une fois la pesée fini, il me donne le formulaire pour que le vérifie et que je le signe. Dès quil à sa main libre, il matt le paquet à travers mon jean. Je signe rapidement son papier et je fais la même chose. Le salaud à lair dêtre bien monté surtout sil ne bande pas à fond, je le malaxe aussi à travers son pantalon. Sans lâcher prise il me demande si je parle allemand, heureusement pour moi je me débrouille bien dans cette langue alors il me demande:
« Jusquoù du doit rouler ce soir? » tout en continuant à me faire malaxer la bite et à malaxer la sienne je lui répond quaprès avoir déchargé le camion je vais chercher un parking et my poser pour la nuit.
« Si tu veux il y a un garage à 500 mètres dici, je finis de travailler à 22H30 on peut sy retrouver là bas et passer un petit moment ensemble. »
Il serre plus fort sa main autour de mon entrejambe mais jarrive quand même à sortir un « Avec plaisir ». Il lâche son étreinte, je fais pareil, il dépose ses lèvres contre les miennes puis séloigne.
Je vais vider le camion, il est plus de 21H30 quand je me dirige vers la sortie avec mon camion, il est devant la grille. Pendant quelle souvre il sort sa queue du pantalon, elle nest pas très dur mais à une très belle taille et se caresse un peu en me faisant à nouveau courir sa langue sur ses lèvres. Une fois la grille entièrement ouverte, il range son matériel et me laisse passer. Quand jarrive à sa hauteur je lui dit: « Viens dès que tu peux, je tattendrai avec impatience ».
Jarrive au niveau du parking quil ma indiqué. Je profite du temps que jai avant quil arrive pour casser la croute et faire un brin de toilette. Ensuite je retourne dans mon camion, je ferme les rideaux et me déshabille entièrement. Je feuillette une revue gay qui traine dans ma cabine ce qui me fait immédiatement bander. Heureusement pour moi pas longtemps après on toque à la portière de mon camion, jentrouvre le rideau et je vois mon gardien de tout à lheure, il ne ma pas fait un faux plan. Jouvre la portière et le fais monter, quand il voit que je suis entièrement nu il se dépêche de refermer la portière et se déshabille à son tour avant de me rouler une bonne pelle baveuse. Nous nous embrassons et nous caressons entièrement nu pendant un bon quand je lui propose de passer à larrière de la cabine pour être plus à laise.
Il passe le premier ce qui me permet de mater et tâter son cul, je rentre à mon tour dans la couchette avec la queue déjà bien dressée quil avale directement et commence à me sucer. Pendant quil fait de plus en plus rentrer ma bite dans sa bouche je lui caresse les deux tétons en même temps, il a lair de beaucoup aimer ça et moi aussi.
Mes lèvres remontent, cette fois, jusquà son gland que je lèche aussi avant de le gober alors que main redescendent et vont caresser son cul qui lui aussi est poilu. Javale de plus en plus sa bite dans des petits mouvements dallers retours avec mes lèvres, mes mains, ou plutôt mes doigts, se rapprochent de son trou. Jai les lèvres qui sont très tirées tellement quil a un calibre important, jarrive tout juste à prendre les 3/4 de son sexe en bouche. Ma salive dégouline le long de son mat, alors que mon index droit appuies sur sa rosette qui est très fermée.
Je monte et descend avec ma bouche depuis plus de 5 minutes mais son cul ne se détend pas énormément sous mes massages alors je décide de délaisser ses fesses pour me concentrer sur sa bite et ses couilles que je caresse sans arrêt avec mes lèvres et ma langue.
« Arrêtes sinon je vais jouir » puis il matt par les épaules et mallonge sur le dos en remontant mes jambes contre ses épaules. Il descend sa tête vers mon entre jambe tout en mettant mes jambes en lair, il pose sa langue le plus bas possible sur ma raie et remonte tout doucement. Sa langue fait un premier stop sur mon oeillet et joue avec quelques instants avant de continuer son chemin. Il continue à remonter et cette fois sarrête au niveau de mes couilles quil gobe lune après lautre à plusieurs reprises. Encore une fois sa langue reprend son chemin et remonte le long de ma queue jusquà mon méat qui commence à chuinter, il lèche le liquide et empale sa bouche sur mon sexe jusquà lavaler entièrement. Apres il commence un va et vient énergique le long de ma queue en jouant avec sa langue mais aussi ses lèvres et ses dents. Je sens que je continue de couler.
Subitement il abandonne mon sexe et replace sa langue au même endroit quau début et refait la même chose sauf quil sattarde plus à chaque arrêt. Cette fois il me bouffe le cul jusquà y faire rentrer sa langue, ensuite il me lèche les couilles, les pinces avec ses lèvres et tire dessus avant de les gober à nouveau et il me suce de nouveau mais pendant plus longtemps et aspire régulièrement ma bite comme sil buvait à la paille.
Sa bouche abandonne encore une fois mon sexe mais cette fois il place directement sa langue dans mes entrailles et me sodomise avec pendant de longues minutes. Puis il se met à genoux et place son sexe contre mon trou et se frotte dessus, jempoigne mon sexe et me masturbe en même temps. Avec toute la salive quil a déposé entre mes fesses, son chibre glisse comme il le faut, je sens même des fois son gland qui rentre légèrement en moi, du coup je lui demande:
« Tu as des préservatifs? », malheureusement il me répond par la négative. Il remplace ma main qui me caresse le sexe par la sienne tout en continuant à me branler la rondelle avec sa grosse queue.
« Jai envie quon se finisse en 69 », sans attendre ma réponse il nous place, me fourre sa bite dans la bouche que jaccueille avec plaisir et avale la mienne qui est sur le point dexploser. Mes lèvres courent le long de sa chair veinée, je sens les goûts de mes sécrétions en le léchant, tout cela mexcite tellement que je narrive pas à me retenir et jexplose de 4 grosses giclées dans sa bouche. Il continue de me sucer au même rythme que je moccupe de son sexe, je malaxe aussi ses couilles quand il simmobilise, enserre mes fesses avec ses mains et me rempli la bouche de son liquide chaud et épais alors que mes lèvres ne bougent plus mais que ma langue continue de titiller son frein.
Il retire sa bite de ma bouche, jallais avaler sa semence quand il att mon visage et me roule une pelle. Il a toujours mon sperme en bouche et nos langues mélangent nos deux liqueurs. Au moment où nos bouches se séparent nous avalons chacun ce que nous avons dans la bouche avant de nous rouler une nouvelle pelle en étant dans les bras lun de lautre à nous caresser et nous embrasser.
Nous restons ainsi 10 bonnes minutes puis il me dit quil doit y aller, sa femme lattend à la maison. Je suis un peu déçu javais espéré passer plus de temps avec lui et peut être même la nuit, mais bon
Il se rhabille, membrasse une dernière fois la queue et en ouvrant la portière il me dit quil espère que la prochaine fois un de nous deux aura des capotes.
Plus tard je me suis branlé en sentant nos odeurs sur le matelas et en me rappelant ce moment très chaud et jai avalé mon sperme.
Je suis retourné plusieurs fois dans cette usine, toujours avec des préservatifs dans ma cabine mais je ne lai jamais revu.
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