Au Bord Du Lac 7/8
Les jours qui suivirent cette partie de tennis, se déroulèrent presque toujours de la même façon. Je passais une partie de la matinée à « lauberge », a draguer Océane, sans succès, car depuis notre mémorable partie, elle avait repris une attitude distante, soufflant tantôt le chaud, tantôt le froid. Le midi je descendais au village ou javais pris lhabitude de déjeuner avec Déborah. Je la trouvais cultivée, enjouée, et nous partagions de nombreux points communs. Les après-midi étaient partagés entre baignade, voile, ski nautique, et mes soirées étaient calmes depuis quIngrid était partie.
Mon ami Eric, sétait lassé de Patricia, dautant que Crystelle lavait remplacée, et partageait ses nuis soit disant parce que cétait plus près de « lauberge » et lui faisait économiser des trajets.
Un après-midi, je faisais un tour en bateau avec Eric, quand japerçus une coque noire, voiles rouges que je connaissais bien. Je manoeuvrai pour me diriger vers lesquif en question. Il fallait que je coupe sa trajectoire car ce voilier était bien plus rapide que le mien, et je naurais pas pu le rattr. Javais bien calculé mon coup, et après quelques virements de bord, le dériveur noir remontait au vent, face à nous. Quand nous nous croisâmes, jinterpelais la silhouette en maillot de bain Orange, et lui fis un signe de la main.
« Tu la connais ? » demanda Eric
« Depuis longtemps. Ça fait des années que ses parents et ses grands parents viennent en vacances ici ; et elle aussi. »
« Ah, je vois ! Cest la nana dont tu mas parlé . »
« exactement. »
« Sauf que là, tu nes pas seul. » fit il remarquer finement
Le fin voilier noir avait fait demi-tour et gagnait du terrain. Sylvie était seule à bord. Elle fut bientôt sur nous. Et lâcha un peu de toile pour se maintenir à notre niveau.
« Tu te traines ! » lança telle en préambule
« On est deux ; tu as lavantage du poids, et un voilier plus véloce.
« De toute façon, je narrive pas à le maitriser seule quand ça souffle trop. »
« On pensait aller se baigner dans ta crique, si tu es daccord. » demandai-je
« Elle nest pas à moi, et, tu en as bien profité, sans me demander mon avis. »rit elle.
« Cétait toi le bateau qui est passé ? »
« Jai vu que tu étais occupé. Jai passé mon chemin. »
« Tu viens te baigner avec nous ? » osai-je
« Je ne sais pas ; pas trop envie de nager. » répondit elle.
« Tu peux aussi rester sur la plage. »proposai-je. « Allez viens, jai quelque chose à te dire. »
« Bon, OK, » concéda telle. « On se retrouve là bas.
Là dessus, elle borda sa grand voile, et lembarcation prit progressivement de la vitesse, nous larguant irrémédiablement Quand jentrai dans la crique, son dériveur était déjà amarré à la bouée, toutes voiles abattues, et Sylvie sébattait dans leau.
« Quest-ce quon vient faire ici ? » demanda Eric « La petite nana, là, elle nest pas terrible. Et puis moi, je veux pas tenir la chandelle. Encore sil y avait Crystelle, je ne dis pas. »
« La petite nana, comme tu lappelles, a le feu au cul. On ne sera pas trop de deux pour léteindre. » dis-je tout bas, car le son porte loin sur leau.
Eric me regarda, étonné.
Je plongeai dans leau fraiche, et en quelques brasses rejoignis Sylvie, suivi dEric. Je fis les présentations, et Eric mima une révérence qui se terminait par des bulles remontant à la surface, ce qui fit rire Sylvie. Sur la plage, elle avait déjà étalé un drap de bain, et jinstallai les nôtres, amenés sur le petit gonflable.
Sylvie dégrafa son soutien gorge, et se dirigea vers le grand rocher plat, pour le mettre à sécher. Je me hâtais de la rejoindre. Elle était en train de le positionner à plat sur la roche, quand je la saisis par la taille.
« Hé, ça ne va pas ? » dit elle en se dégageant.
« Justement, Eric, est un très bon ami. Il est discret, et jai repensé à ce que tu mas dit, la dernière fois. »
« Jai dit quelque chose ? »
« Oui, quand je tai fait lamour par derrière, tu mas dit que ça serait mieux avec une deuxième queue devant. Aujourdhui, je te propose de réaliser ton souhait. »
« Oui, cétait une constatation. Pas un vu formel » rectifia telle. Un peu adoucie.
Elle me faisait face, appuyée contre la roche. Je posai une main sur son sein droit, et le caressant, fis émerger une framboise pleine et dure.
« Sans tavancer, dis moi comment tu le trouves. »
Elle regardait par dessus mon épaule en direction dEric. Mon autre main avait glissé sur sa hanche et dérapé sur sa fesse.
« Je reconnais quil est pas mal. Ne me dis pas que tu lui as parlé de
»
« Je ne lui ai parlé de rien » mentis-je « On a quà faire comme sil nétait pas là, et on verra si la situation linspire. Je te laisse décider de tout. Si tu ne veux pas, au dernier moment, tu le dis et cest fini. » assurai-je
Joignant la geste à la parole, je defis mon bermuda, et le déposai sur le rocher, à côté de son soutif. Puis, la prenant par la main, je retournai vers les draps de bain. Sylvie sallongea, à côté dEric, entre nous deux. Ce dernier, lui offrit de lenduire dhuile solaire. Elle se mit à plat-ventre, la tête entre ses bras.
Il sappliqua à la masser longuement avec longuent protecteur, depuis le cou, jusquau bas du dos, puis le long des jambes, remontant jusquaux hanches avant de faire lintérieur des cuisses. La caresse de ses mains faisait son effet et elle écarta légèrement les jambes pour faciliter le passage de sa main. Il lui demanda ensuite de se retourner, loccasion pour nous de voir ses tétons durs comme des noisettes, quil fit rouler sous ses doigts. Arrivé à son ventre plat, il contourna le maillot suivant ses hanches de garçon, et entreprit de descendre jusquà ses pieds, quil malaxa, orteil par orteil.
Sans sarrêter, il revint sur les hanches, et saisit les ficelles du slip quil tira vers le bas doucement. Je mattendais à une rebuffade de la part de sylvie, mais elle se contenta de soulever les reins, pour faciliter le passage. Il lui massa ensuite, le pubis, ses doigts tirant sur ses lèvres pour dégager le clito. Il linvestit de ses mains un moment avant de la délaisser.
« Il faut mettre ces maillots à sécher » dit il en se levant.
Il tendit la main à Sylvie, et laida à se relever. Pendant quelle ramassait sa culotte, il me fit un clin dil, et lentraina au bout de la plage. Je lobservais déposer son maillot sur le rocher , pendant quelle y mettait sa culotte à sécher. Se rapprochant delle, il lenlaça et lembrassa en passant ses mains partout sur son corps. Il la saisit à la taille et la souleva pour lasseoir sur le rocher, face à lui.
Il écarta de ses bras, le compas de ses jambes et vint enfouir sa tête contre son pubis. Rapidement, je vis la demoiselle, fermer les yeux et appuyer la tête dEric contre son sexe.
Elle bascula en arrière, et lança ses jambes vers le ciel, avant de les reposer sur les épaules dEric, qui la doigtait tout en la léchant.
Il la releva enfin, et, la porta jusquà un rocher, plus bas, où il vint sasseoir. Elle savança vers lui, et il la souleva pour la laisser retomber sur son sexe où elle sempala dun coup, avec une plainte de joie. La tenant aux hanches, il la fit monter et descendre sur sa queue. Je voyais son petit cul etroit sagiter en roulant du bassin.
Eric, tout en la limant, me fit signe. Je me levai et mapprochai deux. Je voyais la queue dEric entrer et sortir de la chatte distendue de Sylvie, ses fesses écartelées dévoilant un petit trou, déjà entrouvert.
Je me collai à Sylvie, et empoignai ses seins, malmenant ses pointes érigées.
Nous nous séparâmes et allâmes nous baigner, autant pour nous débarrasser de la sueur que de nos sécrétions. Sur la plage, nous étions nus au soleil. Je ne pus mempêcher de demander :
« Alors, tu as aimé. »
« Hmmm, cest dix fois meilleur » confia telle « Un peu douloureux au début, mais quel pied ! »
Je sentis sa main empoigner mon dard, qui relevait déjà la tête.
« Oh, je vois quon pourrait sy remettre ! » commenta telle. Il faut dire que depuis plusieurs jours je cumulais les frustrations. Eric, qui de son côté, se faisait épuiser chaque nuit par Crystelle, était en berne..
Sylvie, vint se positionner sur le dos, dans le sens opposé à Eric, et le prit dans sa bouche, en caressant ses couilles, pour lui redonner de la vigueur. Je vins magenouiller entre ses jambes écartées, et pointais mon sexe sur sa chatte où je menfonçai profondément, entamant un missionnaire.
Dès quEric fut de nouveau opérationnel grâce aux soins buccaux prodigués par Sylvie, elle se dégagea, et , me laissa me tourner, avant de venir sempaler sur mon sexe. Son petit cul montant et descendant en cadence, sa bouche absorbant de nouveau Eric, qui se servait delle comme dun sexe, la tenant fermement pendant que son bassin basculait davant en arrière.
Eric se dégagea bientôt, et la contournant, vint se coller à elle en écartant ses fesses des deux mains.
« Non, pas là ! tu es trop gros ! » glapit Sylvie
« La place est déjà faite, ça va aller. » la rassura til, ce qui était faux car Eric avait un sexe, moins long, mais bien plus gros que le mien. Une vraie matraque.
Elle poussa un feulement de douleur quand il la pénétra, sabattant sur elle, tous deux écrasée sur moi. Il commença alors à la limer, provoquant quelques cris de douleur, qui se transformèrent en gémissement de plaisir. Elle avait repris son mouvement de va-et vient sur moi, et nos ébats, un peu plus longs, cette fois furent rythmée par les bruits de clapot de ses sécrétions, mélés aux claquements de nos corps, les uns contre les autres, et à nos cris de plaisir. Chacun se retenait pour voir le plaisir de lautre et Sylvie eut plusieurs orgasmes bruyants et remuants. Eric sortit pour envoyer de longues rasades de sprme sur ses fesses blanches et sur son dos. La vue de ces explosions finit par avoir raison de ma résistance et je libérai le torrent brûlant qui montait en moi, à lintérieur de sa chatte.
Elle se releva, maculée de sperme, de longues trainées dégoulinant le long de ses cuisses depuis sa chatte presque imberbe encore baillante, et nous sourit.
« Là, je crois que jai pris ma dose » conclut elle avant daller se jeter à leau
Quelques instants après, nous étions avec elle, dans leau, jouant avec les tétons de ses touts petits seins, caressant son ventre et son dos
« Je vais avoir un problême » nous dit elle en rigolant« Avec ce que vous mavez mis, je ne vais pas pouvoir masseoir pendant plusieurs jours. »
« Cétait pour ton bien » lassurai-je
« Oui, je vous remercie de bien vouloir parfaire mon éducation de bourgeoise. »
Au moins elle avait le sens de lhumour.
Elle récupéra son maillot de bain quelle enroula dans le drap de bain. Elle partit à la nage et parvint à son bateau en nageant, un bras au dessus de leau, gardant ses affaires au sec. Une fois à bord, elle se rhabilla, hissa ses voiles et nous fit un signe de la main en partant.
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