Il A Tout Fait Pour Etre Cocu

Je m'appelle Charline. J'ai 28 ans, mariée depuis 9 ans à Thierry qui a le même âge que moi et mère de deux jeunes garçons, mon mari est accro au sexe et sait merveilleusement alterner tendresse et fougue. Il me comble sexuellement et amoureusement, parfois je ne peux suivre la cadence qu'il aimerait m'imposer, être mère de deux s m'occupe déjà beaucoup, je fais volontiers des efforts, car je l'aime et en retour... il m'offre toujours beaucoup de plaisir.
Nous vivions sereinement dans cet équilibre, j'étais heureuse, comblée et sereine, il y a six mois Thierry a voulu pousser notre complicité, rien de bien méchant, seulement en paroles, il me faisait dire des choses qui l'excitaient, m'inventait un rôle de coquine, avec de faux fantasmes, de faux aveux, il me guidait dans ce que je devais dire, j'imaginais quelques détails, quelques scénarios croustillants et cela nous a beaucoup excités, c'est lui qui m'a fait découvrir le site ‘histoire de sexe’, en m'y faisant lire des témoignage d'épouses s'acoquinant avec des amants d’un soir pour exciter leurs maris avides de confessions torrides
Je me suis mise à jouer un rôle pour lui faire plaisir et l'exciter à peu de frais, mon mari, il se piqua à y croire et me fit alors des aveux qui m'étonnèrent, ce furent d'abord des remarques grivoises quand je lui racontais mes liaisons imaginaires, puis des propos salaces qu'il me tint durant la journée, par téléphone ou par SMS, pour lui ce n’était plus un jeu et fini par me convaincre que c'était devenu un désir aussi réel qu'ardent : je compris alors que mon mari s'excitait réellement à l'idée que sa femme, la mère de ses s, le trompe avec un amant, peut-être même plusieurs, si je reprends ces mots à lui, il désirait que je le fasse ‘cocu’ avec un homme et que je lui raconte en détail avec preuves tangibles à l’appuis… genre sperme encore présent dans mon vagin et dans ma petite culotte
Fidèle et amoureuse, je n'étais pas celle qu'il lui fallait pour combler ce désir bizarre.

J'essayais de m'imaginer entre les bras d’un inconnu, mais j'avais du mal... j'aimais de temps en temps lui faire plaisir en m'habillant court (pas trop quand même), cela me plaisait de lui raconter des tromperies imaginaires, mais de là, à le faire réellement…
Bref, Thierry vis à regret que je ne tenais pas à profiter de la liberté sexuelle qu'il m'offrait, il m’a même proposé de garder les s, pendant que j'irais le faire ‘cocu’, comme il disait. il poussa alors nos jeux en utilisant un godemiché assez volumineux, censé représenter le sexe d’un amant. si la réalité m'effrayait, j'aimais beaucoup jouer le jeu, et je dois dire qu'il manipulait l'objet aussi bien que son membre, me procurant ainsi beaucoup de plaisir avec les deux ensemble, surtout quand il me pénétrait avec l'objet et venait, lui, dans ma bouche, je me surpris à m'exciter de plus en plus de ses propos où il commentait mes frasques imaginaires, son excitation devint communicative et, au bout de quelques semaines, j'avais une attitude toute autre, vis-à-vis de son fantasme. j'y pensais souvent, je m'imaginais les s en de bonnes mains, libre de goûter au fruit défendu, et revenir non pas penaude et coupable, mais accueillie avec reconnaissance et... excitation. il rêvait de me posséder après que mes amants aient rempli ma chatte, que je lui raconte tout, et mon imagination se libéra enfin...
Je me surpris à regarder les hommes différemment, dans la rue, au bureau, on me regardait aussi avec désir, ce que je ne voyais pas ou refusais de voir auparavant, j'ai pris confiance en moi, je me sentais désirable et désirée, et cela m'excita, Thierry était enflammé quand je lui racontais mes troubles nouveaux, il avait volontairement introduit en moi un désir d’adultère que je n'avais pas jusque-là, alors que j'étais sexuellement comblée au-delà même de mes besoins, un désir qui grandit, me trotta un certain temps dans la tête, puis descendit dans mon bas-ventre, ma décision fut lente mais devint irrévocable, a la première occasion mon mari sera cocu
Cet après-midi-là je suis allée me promener en ville complètement au hasard, à plusieurs reprise je me suis aperçue dans le reflet des vitrines du regard de certains mâles qui me déshabillaient des yeux, mon excitation se fit pressante, mais comment faire pour aborder un homme ? ou aller ensuite si je trouve ? je me pose ces questions lorsque je m’aperçois que je ne suis devant chez une de mes amies, elle est très ouverte et peut être serait-elle de bon conseil car je sais qu’elle a déjà trompé son mari, je sonne pour me faire ouvrir la porte du hall et accéder au quatrième étage, je m’annonce a l’interphone, pas de réponse mais la porte se déclenche, arrivée à l’étage je frappe à sa porte et là surprise, c’est Alain, son mari qui m’ouvre …
- Bonjour Alain, Cécile est là ?
- Hélas non, elle ne sera là que ce soir tard
- Ah ?? désolée de vous avoir dérangé
- Mais entrez donc un instant, je vous offre un café ?
- Pourquoi pas ? merci
Alain est un homme qui plait aux femmes d’où l’incartade de Cécile qui c’est vengée par un adultère, il doit avoir une dizaine d’années de plus que moi, ses tempes grisonnantes lui vont bien, assis à mes côtés je sens son regard de ‘chasseur’ planer sur mes formes et sur mes genoux découverts
- Vous veniez voir ma femme pour une raison particulière Charline ?
- Non, je passais dans le quartier, je voulais juste papoter un peu, il y a quelques temps que nous ne sous somment vues
- Rassurez-vous elle va bien, vous avez aussi l’air en pleine forme ?
- Ça va merci
- Thierry va bien ?
- Aussi merci !
- Vous me voyez ravi pour votre couple car avec Cécile nous avons eus un passage sentimental à vide, heureusement nous somment passés outre ces petits tracas
- Ah ? c’est bien de pardonner
- Nous nous somment mis d’accord sur le fait que si l’un ou l’autre cédait a un moment d’égarement nous nous dirions tout, la vie est trop courte pour s’embarrasser des principes dépassés de nos jours
- Thierry serait d’accord avec vos résolutions
- Vous voulez dire que ça vous est arrivé aussi ?
- NON ! … mais si ça devait arriver … en fait il ne demande que ça
Houlà ! je viens de me rendre compte dans quel bourbier je me suis enlisée, les yeux de l’homme n’ont plus le même aspect il me scrute de la tête aux pieds, embarrassée je me lève pour partir, il se lève aussi me faisant barrage de son corps
- Excusez-moi Alain je vais y aller, je reviendrais voir Cécile un autre jour
- Attend… attendez Charline dites m’en plus sur votre couple
- Il n’y a rien à dire, rien ne s’est passé jusqu'à présent
- Alors il va se passer quelque chose aujourd’hui même…tu es belle Charline …
- Alain …
En un mouvement habile de sa part je me suis retrouvée dos contre lui, la première chose que je sens est sa virilité puissante qui appuie fortement sur mes reins, ses mains ne restent pas inactives, ma jupe est tirée vers le haut, ma faible volonté est vaincue
- Détend toi, je vais faire de toi la femme adultère que souhaite ton mari
- Ôtez vos mains Alain …
- Écarte les genoux.
.. encore un peu … voilà qui est mieux…
- Alaiiinnnnn …
- Chhhhhuuuuut, je vais écarter ta petite culotte, mais tu mouille ? fouille dans mon pantalon, si ce que j’ai entre les jambes ne te convient pas je te laisse repartir
Je me sens comme une pucelle qui va se faire sauter pour la première fois, mon désir est confirmé, ses attributs sont haut delà de mes espérances, une verge très appréciable pointe vers la ceinture, je vais céder à cet homme quoiqu’il me demande, il tire sur mon tanga trempé, ses doigts pianotent sur ma vulve afin de séparer mes lèvres, je lève la tête pour quémander un baiser, mon bassin est totalement offert à cet homme qui en profite, les bruits que produisent mon vagin ne me font pas honte, j’assume d’être une salope, au creux de ma paume bat un gland énorme, je l’étreint aussi fort que je le peux arrachant a Alain des grognements de satisfaction
Je me fais pesante entre ses bras, l’homme devine mon désir et me laisse m’agenouiller devant sa queue que je gobe sans tarder en la décalottant a la force de mes lèvres pour le sucer avec un plaisir non dissimulé, pendant ce temps mon corsage est tiré de ma jupe mon soutien-gorge dégrafé, une main pétrit un sein puis l’autre, mes tétons dardés et pincés envoient des impulsions jusque dans mon ventre, les soupirs d’Alain se font plus rapprochés, jusqu’à devenir rauques, sous mes doigts le canal se gonfle soudain de sperme, je m’apprête à recevoir sa semence, plusieurs giclées drues me font tousser, satisfaite de ma performance je me redresse en m’essuyant la bouche d’un revers de main
- Tu remercieras Thierry de t’avoir si bien apprise à faire les pipes !
- J’ai surtout bien aimé votre queue, cela compte beaucoup
- Que désires-tu commenter de plus à ton mari ? un bon cuni ?
- Pourquoi pas ?
- Assied toi sur le canapé, pas besoin de t’expliquer la position ?
- Ainsi ?
- Ce sera parfait, à moi de jouer... mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm
- Hhhaaaaaaaaaaaaaaaaooooooooouuuuuuuuuiiiiiiiii ! !
Tout en savourant les effets efficaces de ses doigts conjugués à sa langue experte je me vois racontant en détails mon après-midi à Thierry qui suspendu à mes lèvres se masturbera comme un puceau, mais un orgasme monstrueux stoppe net mes délires, Alain bougonne de se voir ainsi aspergé et se dégage aussitôt de mon entrecuisse trempé
- Excusez-moi Alain je ne contrôle plus rien
- Je m’en suis aperçu ! ma bite va servir de bouchon, à quatre pattes chère madame !
- Pourvu que mon mari me pardonne …
- Trop tard pour les repentirs, je ne vais pas te laisser repartir sans t’avoir culbutée au moins deux fois
- Deux fois ?
- Un coup par devant un autre par derrière pardi !
- Vous comptez me sodomiser ?
- Ton anus est trop ouvert pour ne pas en profiter, il ne te le fait par ton mec ?
- Si … quelquefois …
- Pas assez à ton goût ?
- J’avoue que j’aime être e dans des moments intenses…
- Comme maintenant ?
- Comme maintenant …vas-y Alain défonce la salope que je suis devenue
- Quelle vue ! tu vas prendre cher ma poule !
- Met-là moi jusqu’à la garde
- Jusqu’aux couilles, promis… TIIIIIIIIEEEEEEENNNNNNNNNNNT !!!!!!
- RRRHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOUUUUUUUUIIIII !!!!
Mes muqueuses sont à fleur de peau, le moindre mouvement de sa bite dans mon vagin et de son pouce dans mon cul m’arrachent des mots qui n’existent pas dans le dictionnaire, mon amant qui me traite de pute tape comme un forcené dans ma moule complètement éclatée, tout ça n’arrive pas à les phénomènes sonores créés par son fabuleux piston
- Le temps de vider mes burnes dans ton manchon a bite et je te prends par le petit
- Oui-oui-oui-oui-OOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIII !! je jooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
- Mmooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!! prends ça dans les miches rhhhhhaaaaaaaaaaaa !!.
.. et Tiiiiiiieeeeeeennnnnnnnt, voilà le feu d’artifesses !!!
- Ouvre-moi le cul salaud ! Mmmmmuuuuuuuuummmmm que c’est bbbboooooooooonnnnnnnnnnnnn !!!!
C’est moi qui ai demandé grâce, après avoir déchargé trois fois Alain avait encore une gaule d’enfer, je suis rentrée à la maison en marchant tel un canard sans m’être lavée, Thierry n’as eu qu’à humer l’air qui m’entourait pour deviner d’où je venais … je n’ai pas changé une virgule de ce récit pour lui raconter mon après-midi, il a promis de m’emmener dans une boites a partouze pour me voir à l’œuvre … par contre je ne sais pas si Alain a tout raconté à Cécile …

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