Collection Black. Harcèlements Sexuels Sur Mon Lieu De Travail (10/11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis coincé, je venais récupérer largent des mallettes planqué par Louisa, Boby, même Polo qui semble être lhomme à tout faire de mon amant qui vient de me faire mettre à la tête de lentreprise afin de piquer tous son argent et entraîner une banqueroute frauduleuse qui mincomberait.
Jai débloqué une fenêtre pour contourner le système dalarme afin déviter que si Boby saperçoit que son argent a disparu avant que Christian nait agi, il consulte lordinateur qui gère les entrées et les sorties et que mon numéro de badge apparaisse.
Javance avec prudence, incroyable, cest un homme en combinaison de travail qui est dans mon bureau, grâce à la glace qui est sur la porte de la cabine de douche où Louisa devait sadmirer avant de partir, je vois un black assis dans le fauteuil devant le bureau.
Il fume, il boit le whisky quAlbert ma offert la dernière fois où nous avons baisé et en plus, il a sorti sa verge et se masturbe, à ses côtés un charriot, cest le technicien de surface black comme Boby qui doit nettoyer les bureaux de nuit qui semble prendre du bon temps.
Je suis attendu par Serge et après 10 minutes, le temps me semble interminable, deux solutions souvrent à moi, la première, entrer dans le bureau, le sucer et lui demandé de me laisser aller dans mes lavabos.
Je rigole, depuis que jai accepté de tromper Lionel pour garder mon emploi, je ne pense quau sexe, je suis un sexe sur patte se déplaçant au gré de mes besoins afin daccumuler les amants, trente-deux, trente-trois, trente-quatre peut-être, si je compte Serge.
Serge, élève curé, que jai dépucelé et qui mattend avant daller retrouver le Cap d'Agde dans la voiture de son père, quelle salope je fais, détourner un homme dÉglise de sa vocation.
Une fraction de seconde, je pense que jai réalisé en femme ce que tout grand séducteur semble vouloir réaliser, sauter une bonne sur avec sa cornette, il me faut agir.
La deuxième idée, cest celle que je mets en pratique, je vais vers lascenseur, jappuie sur le bouton et je vais me cacher dans le bureau le plus proche, celui de Geneviève, juste en face.
Jentends un bruit comme si quelquun paniquait, je vois le black, deux fois moins grand que Boby venir voir lascenseur, qui arrive au moment où il se pointe, les portes souvrent, bien sûr il ny a personne.
Je le vois se gratter la tête.
Putain dascenseur, voilà quil se met en route tout seul, il devient fou, lautre fois, les portes ont refusé de souvrir et je suis resté bloqué 6 heures avant que la secrétaire narrive, il va me faire mourir dune crise cardiaque ce con.
À cinq mètres de lui, je manque déclater de rire, est-ce le fait de travailler seul, le fait parler seul, il retourne dans mon bureau, jentends un bruit de verre, il doit ranger la bouteille et je le vois sortir avec son chariot sifflant de nouveau.
Pendant que je suis dans le bureau de Geneviève, je remets ma lampe frontale, jouvre le tiroir et je prends la dizaine de cartes qui sont toujours là, bingo. « Paul Adam », la photo correspond à lhomme qui ma reçu devant le club que je suis sur le point dacheter, je repose les autres et je pars prestement dans mon bureau.
Je récupère les mallettes, je les ouvre, des billets de 500 , ils ont blanchi les dollars certainement grâce à un réseau mafieux, je compte 50 000 que je vais remettre à Serge en même temps que je signerais le compromis de vente et quil me remettra les clefs de lensemble club et logement.
Le sac de sport est plein quand je place la dernière liasse avant de le fermer, il me reste un travail à faire, remettre en place les mallettes avec une petite surprise si les amants diaboliques les ouvrent en premier.
Ce travail fait avec plaisir, il me reste à refermer la trappe qui les obstrue.
Je quitte mon bureau, je reprends lescalier portant le sac, jouvre la porte, pas de lumière, pas de sifflement, je rejoins le local et je laisse tomber le sac avant de sortir moi-même.
Je nai pas oublié de récupérer le morceau de carton que javais placé pour coincer le vasistas et je me dépêche de retourner à ma voiture.
Il me reste une chose à faire qui une nouvelle fois va me prendre un peu de temps, je referme mon coffre sans bruit et je retourne à lentreprise en courant longeant les murs.
Quand jarrive à la porte du parking, elle souvre, une camionnette en sort, heureusement, jai pu me mettre derrière un poteau, le black qui faisait le ménage en buvant mon whisky conduit, je le vois tourner le coin de rue.
Jattends encore quelques minutes et je passe le badge au nom de Polo Adam, jentre dans le parking, jignore où Polo est, il se peut quil soit avec Boby, et mon subterfuge tombera à leau.
Trente minutes et je ressors refermant le parking avec la carte, jai pu faire cette opération pour brouiller les pistes, si la carte navait pas été dans le bureau de Geneviève, ça passait tout de même, mais avec un coupable de moins.
Voiture, changement de tenue, et sac à main avec les 50 000 , je rejoins le club et Serge qui mattend, mince, il est presque minuit.
Javais peur, que ta venue dhier soit un canular, bien que je fusse certain que javais perdu mon pucelage.
Jai crevé, je commençais à démonter quand un homme sest arrêté pour maider, je peux me laver les mains, elles sont bien noires.
Quand je vous dis quune femme a toujours un tour dans son sac.
Voilà largent, je vais te demander un service, si un jour quelquun tinterroge et te demande à quelle heure, je suis arrivée, dit que jétais là à 10 h 30.
Du matin.
22 h 30 si tu préfères, je sais, tu veux être prêtre, même si je te fais douter, depuis que je tai dépucelé, pense quil y a une autre vie que cette vie de prière, mais tu vas pouvoir choisir la voie que tu souhaites et mentir nest certainement pas dans tes principes.
Jai un problème à mon travail avec mon supérieur hiérarchique, il me harcèle, mais ce sera bientôt terminé, ma vie peut dépendre de ton témoignage, car il essaye de mentraîner dans une histoire louche, je ne peux pas ten dire plus.
Je naime pas mentir, cest normal, si je peux taider à te sortir des pattes dun tel salopard, je dépasserais, mes croyances, tu peux compter sur moi.
Je viens me lover dans ses bras, nos bouches se trouvent et je me retrouve rapidement sur son lit, sa langue sur ma chatte puis sa verge à lintérieur, il décharge.
Je suis tellement crevée que je voudrais dormir, mais je tiens au témoignage de mon amant alors, je me laisse prendre une seconde fois en levrette avant de tomber dans les bras de Morphée et quelques secondes, je dors.
Quand je me réveille, Serge dort encore, cest nu que je descends dans le club, car je dois aller vite et là où était la bouteille de whisky, jy cache mon sac, qui viendra chercher le paquet deuros dans cet endroit ?
Je vais directement à mon travail, je suis arrêtée par des voitures de police qui semble entourer notre entreprise, un gardien de la paix, me demande daller me garer et de rejoindre le commissaire qui dirige lopération.
Un autre policier maccompagne quand je prends lascenseur.
Pouvez-vous me dire pourquoi tout ce déploiement de forces ?
Je ne peux rien vous dire, vous verrez.
Je me dirige vers mon bureau suivi par mon ange gardien, la porte de la salle de bains est ouverte, doù je suis-je vois que la protection de la cache est toujours en place.
Boby et Louisa sont là, menottes aux mains, ils doivent craindre la carrure de Boby, ils sont entourés de quatre policiers.
Madame, vous vous appelez bien Joelle, la nouvelle patronne de cette boîte.
Oui, Monsieur, monsieur Boby ma nommé à ce poste quand il a racheté la société à monsieur Gandin.
Connaissiez-vous monsieur Boby Smith alias John Édouard lorsquil était aux USA ?
Non, je lai connu quand monsieur Gandin la mise à la place de mon ancien supérieur qui a pris sa retraite.
Lui en avez-vous voulu ?
À qui, à monsieur Boby ou à monsieur Gandin !
Jinsiste sur les messieurs, je ne vaux pas faire voir que je suis devenue la maîtresse de lhomme qui grâce à Christian se retrouve menotté avec sa complice.
Non et jai bien fait, je dirige tous maintenant.
Deux dernières questions, Madame.
Si je peux vous répondre !
Avez-vous signé des feuilles blanches à monsieur Boby pour une demande de prêt ?
Heureusement que je connais les dossiers américains, jaurais pu me faire piéger, le commissaire montre qu'il le connaît.
Nullement, je connais la loi, cest strictement interdit, Dieu seul sait ce que lon peut faire de votre signature, si vous en signez.
Salope, tu es une salope, tu te fais baiser par mon mari et maintenant tu refuses de reconnaitre les cinq feuilles que tu as signées et que John ma montrées.
Comment savez-vous quil y en a cinq, madame Gandin, je ne lai pas mentionné, cest bizarre et pourquoi John ?
Louisa voyant quelle avait fait des bourdes se tait, le commissaire ne minterroge pas sur linsinuation que je suis la maîtresse de son mari.
Boby la regarde avec de la haine dans les yeux, comment a-t-elle su que jétais la maîtresse dAlbert ?
Cest à ce moment que le portable du commissaire sonne, il va dans le couloir et revient.
Salope, tu es une salope, tu te fais baiser par mon mari et maintenant tu refuses de reconnaître les cinq feuilles que tu as signées et que John ma montrée.
Des inspecteurs ont fouillé votre domicile boulevard Saint-Germain, et à part 500 000 en liquide, ils nont pas trouvé largent que vous avez dérobé à Dallas et à Denver.
Boby à un sourire ironique, mince, il y avait autant dargent caché boulevard Saint-Germain, mais le pactole qui est caché dans le frigo du club échangiste est bien suffisant pour vivre une vie tranquille.
Madame, vous semblez bien anxieuse, pourquoi regardez-vous avec insistance vers cette porte, inspecteur, regarder ce quil y a derrière ?
Nous avons vérifié avant que vous arriviez, Monsieur, un simple cabinet de toilette.
Lavez-vous fouillé ?
Non, Monsieur.
Cest à ce moment que le maillon faible du plan de Boby se met à fondre en larmes.
Pauvre conne !...
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