Premier Pas D'Une Histoire Difficile

Après avoir raconté diverses rencontres et aventures que mon épouse et moi avions eus en découvrant le candaulisme, je vais à présent narrer un épisode qui fut à deux doigts de causer la perte de notre couple. En effet, les fantasmes sont une grande source de plaisir et de jouissance, ils peuvent apporter un épanouissement supplémentaire dans un couple, mais parfois, ils peuvent aussi le précipiter au bord du gouffre.
Ma femme avait accepté de se plier à quelques uns de mes fantasmes, elle y avait aussi trouvé son compte car elle avait découvert à quel point elle suscitait encore le désir et notamment chez les jeunes gens qui étaient devenus sa friandise et son péché mignon. Une anecdote nous montra à quel point elle avait changé et surtout qu’elle devait porter sur elle ce côté sexy et sûr d’elle. En allant dans une galerie marchande, elle remarqua un jeune homme qui semblait la suivre. Elle voulut s’en assurer et fit exprès de traîner devant les vitrines et dans les boutiques. Effectivement, il la suivait. Toutefois, il ne l’abordait pas et mon épouse finit par se diriger vers sa voiture. Il faut savoir qu’elle hésitait un peu car une fois, un jeune l’avait suivi comme ça et quelque temps plus tard, il se mit à la harceler car il avait repéré sa voiture, couleur assez voyante en effet, et par hasard l’avait retrouvé, à la campagne ça peut aller vite, et après observation, il réussit à découvrir son nom et ensuite son adresse et à partir de là nous eûmes régulièrement droit à des messages pervers au téléphone, dans la boîte aux lettres, jusqu’à des préservatifs remplis devant la porte. Cette période fut compliquée car ma femme commençait à se demander si ce n’était pas elle qui en était responsable en raison de son habillement peut-être trop « provocant». Toujours est-il que cet autre jour, elle mit ses quelques courses dans son coffre, elle s’installa dans sa voiture, mais juste avant qu’elle ne ferme la portière, le jeune se précipita, lorgna sur ses cuisses car sa jupe courte était remontée et lui lança :
- « Bonjour madame, je voulais vous dire que vous êtes très belle et très sexy !
- Merci, et très mariée aussi !
- J’ai vu, mais je voulais vous le dire.

Me permettriez-vous de vous demander quelque chose ?
- Je ne sais pas, tout dépend.
- Voilà, j’aime beaucoup vos jambes et vos pieds, serait-il possible que je puisse les caresser ? Je vous ai déjà remarqué et j’en rêve depuis plusieurs mois !
- Un fétichiste des pieds ! Mon mari est du même genre. C’est vraiment tout ?
- Oui
- Si c’est vraiment tout, je veux bien vous faire plaisir, mais pas ici.
- J’ai ma voiture, vous me suivez, je connais un coin tranquille.
- D’accord. »
Ma femme suivit le jeune dans un chemin à proximité d’une route, elle resta dans sa voiture et il lui caressa les pieds qu’elle avait sortis de sa voiture. Elle lui permit de regarder sa culotte, mais elle pouvait difficilement faire autrement vue la longueur de sa jupe. Puis il lui demanda l’autorisation de frotter son sexe sur ses pieds et elle accepta. Tout ceci finit par une éjaculation sur ses pieds et ses collants. Lorsqu’elle me raconta cette histoire en me montrant ses collants souillés, je dois reconnaitre que j’étais toujours surpris par cette nouvelle liberté sexuelle et son acceptation d’un certain nombre de pratiques. Pour ma part, il m’a fallu près de 20 ans pour lui demander le droit de lui lécher les pieds et me masturber avec. Comme quoi, j’aurai dû être plus directif.
Toujours est-il que je cherchais toujours de nouvelles aventures. Je traînais sur divers sites, je lisais des témoignages et j’échangeais avec des maris qui étaient dans les mêmes dispositions que moi. Après avoir expérimenté les rencontres ponctuelles, je réfléchissais à une relation plus durable afin qu’une vraie complicité naisse entre ma femme, son amant et moi. Je mis donc des annonces sur divers sites afin de trouver le partenaire idéal. Je souhaitai un jeune autour de 25 ans, avec éventuellement une expérience de ce genre de relation. J’eus de nombreuses réponses, la plupart d’un total inintérêt, avec des gens sachant à peine écrire et d’autres avec un vocabulaire très limité.
Sans se prétendre intellectuel, nous voulions quelqu’un avec qui faire autre chose que baiser. Au fil des semaines, je finis par sélectionner quelques profils et entretenir avec eux un dialogue afin de déterminer nos envies respectives. Au final, l’heureux élu, N., réussit à me convaincre. Il avait tout ce que je recherchai : le physique, l’âge (26), une belle queue de 20 cm, un cerveau, en plus il ne baisait que des femmes de plus de 40 ans, et avait aussi une expérience qui pouvait être un bon support pour notre relation. A l’âge de 20 ans, il avait eu une aventure avec une femme mariée de 45 ans. En fait c’était sa voisine et le mari avait remarqué qu’il matait beaucoup celle-ci et il lui a alors proposé de la draguer, fantasme du mari. N. le fit et réussit à la mettre dans son lit, c’était la première fois qu’elle trompait son mari. Mais surtout, il se découvrit une âme de « cocufieur » et il réussit à l’offrir à ses amis et alla jusqu’au gang bang, à la grande joie du mari. Tout ayant une fin, ils déménagèrent, et N. se retrouva « veuf » mais il était disposé à rechercher un couple pour revivre une telle expérience. Il se proposait de dévergonder ma femme, dès qu’il avait vu une photo d’elle il avait écrit « Je veux la baiser ! », au moins c’était clair ! Le seul hic était la localisation, il habitait assez loin et venait dans notre région de temps en temps pour son travail. L’idée était qu’il la drague naturellement tout en me tenant au courant. Nous primes rendez-vous et après l’avoir vu, j’étais en confiance et nous décidâmes de lancer l’affaire. Il me proposa de venir à la maison sous un prétexte quelconque. Je le fis passer pour un coéquipier de rugby venant à peine d’arriver dans la région et n’ayant pas encore de logement. Ma femme n’y vit pas malice, donc un vendredi soir, N. arriva avec moi. Mon épouse venait de rentrer aussi de la piscine. Elle était en robe et n’avait plus de collants, les ayant enlevés à la piscine. La soirée fut assez courte, mais le courant passa bien, il me confirma qu’il était très impatient de la baiser.
Il eut l’occasion de revenir plusieurs fois et il réussit à ce qu’elle le voit nu, par « hasard », afin qu’elle puisse voir qu’il avait un bel engin à son service. D’ailleurs, ce soir là, elle m’en parla et me fit la remarque qu’il était bien membré ! Du coup, je lui demandai si elle était tentée, et elle me lança en souriant « Il faut reconnaitre qu’il a des atouts ! ». Evidemment, je m’empressai de le dire à N.
Après plusieurs semaines, il se décida à prendre un logement pas très loin de chez nous et réussit à se faire muter pas trop loin, montrant par là sa détermination. Il s’inscrit ensuite à la natation pour plus la fréquenter. Cette approche dura plusieurs mois, et un soir ma femme me raconta ce qu’elle venait de voir :
- Tu sais qu’à la piscine il y a des douches communes pour ceux qui sont en club ?
- Je ne sais pas, mais si tu le dis !
- D’habitude les hommes y vont en premier et nous ensuite.
- Peut-être oui.
- Et bien hier, croyant être seule, je vais vers la douche et je trouve N. en train de se doucher. Il me tourne le dos, il a un beau cul d’ailleurs, puis il se tourne de profil et là je vois sa queue dressée ! Le salaud, il se masturbait à moitié, mais quelle queue !
- Il t’a vu ?
- Je ne crois pas
- Ça te tente ?
- Qui sait ?
Bien sûr je profitai de cette mise en condition pour baiser ma femme qui était bien mouillée. J’informai N. que son affaire avançait bien et il décida de lancer les hostilités en invitant ma femme au restaurant après la piscine. Comme il était convenu qu’elle ne me cache rien, elle me demanda si elle devait accepter.
- Tu fais ce qui te plait !
- Je pourrais être tentée !
- Tu crois qu’il t’invite pour ça ? (l’affreux hypocrite)
- A ton avis ?
- Tu es un peu vieille pour lui non ?
- Il m’a déjà dit qu’il aimait les « vieilles » et que j’avais un beau cul !
- Ah bon, le cachottier !
N. m’avait bien sûr tenu au courant et aussi du fait qu’il avait réservé une chambre d’hôtel car il habitait à une cinquantaine de km de la piscine, ce que ma femme ignorait.
Il était sûr de lui et m’avait crûment écrit qu’il baiserait ma femme ce vendredi et qu’il allait la faire crier !
Donc ce fameux vendredi, je pars au boulot sans presque voir ma femme, ne sachant pas comment elle allait s’habiller et comme elle partait directement à la piscine, je resterai dans l’expectative jusqu’à ce qu’elle rentre, mais j’avais un complice qui pourrait m’informer !
Le soir, après le rugby, je me jette sur mon portable et je commence à recevoir des news. Au niveau vestimentaire, madame l’avait joué sexy, très belle robe pull moulante blanche et surtout courte, cuissardes. Je me disais que si elle avait été au boulot comme ça, ça allait jaser dans le canton. Pour les dessous, surprise ! Mais quelques minutes plus tard, photo prise sous la table, madame écartant un peu les jambes, bas plus visiblement culotte transparente, difficile de voir plus, mais après avoir vu tout ça, mon complice m’envoya un message très simple « tu vas être cocu ce soir ! ». Il ne me restait plus qu’à attendre. Vers 23 heures, message de ma femme cette fois « ne m’attends pas, N. m’emmène dans un bar de nuit, à toute. » Donc je vais me coucher avec une belle érection, j’hésite à me soulager, mais je résiste. Vers 2 heures, mon téléphone vibre, je regarde, deux messages « je rentre ! ». Deuxième message de N « elle est pleine, baise la dès qu’elle rentre, je lui ai demandé de se faire prendre ! Tu me raconteras ! Sinon, je pense que je vais en faire une bonne salope, elle est vraiment bandante, elle doit encore apprendre, mais elle me plait beaucoup, merci ! »
Quelques minutes plus tard, ma femme arrive et elle qui d’habitude va se déshabiller dans la salle de bain vient directement dans la chambre et se déshabille dans l’obscurité. Je bouge afin de lui faire comprendre que je suis réveillé, elle allume une veilleuse et je la vois en dessous, bas effectivement et string transparent.
- Ouah, et bien, tu es allée en club échangiste ou au resto ?
- Je dois bien utiliser des artifices pour ne pas faire trop décatie au resto avec un jeune homme !
- Tu ne montres pas tes dessus au resto me semble-t-il !
- C’est vrai !
- Et N., il les a vu ?
- Ça aurait dommage de les cacher non ?
- En effet !
- Il a trouvé que tu avais très bon goût puisque c’est toi qui me les as offerts !
- Tu me donnes envie, garde ton string et viens ! (je savais qu’elle devait le faire)
Elle se glissa au lit, s’installa au dessus de moi, écarta son string et glissa ma queue dans sa chatte poisseuse.
- Tu es trempée !
- Un peu oui, il est sexy ton copain !
- Mais ta chatte est pleine ? Tu as craqué, il t’a baisée !
- Oui, tu devais bien t’en douter non ?
- Un peu oui c’est vrai, quel salaud, il t’a rempli, ça coule autour de ma queue !
- Je sais que ça t’excite et oui, il m’a bien remplie.
- L’enfoiré ! Racontes moi !
- Je sais que tu aimes ça, il a une grosse queue et il sait s’en servir ! Désolé mon chéri, mais je crois que je n’ai jamais été baisée comme ça, il m’a fait jouir comme une folle, il m’a pris comme ça très longtemps, même quand il jouissait, il restait dur et continuait !
- Super ça alors ! Tu vas le revoir ?
- La tête dit non, mais mon ventre dit oui.
- Pourquoi la tête dirait non ?
- Je ne sais pas, je me suis faite peur, d’habitude, je contrôle, mais là je me disais que c’était tellement fort que …je ne sais pas, je n’ai jamais eu autant de plaisir, je dois m’habi.
- Donc tu vas le revoir, il faut confirmer ça si il est si doué avec sa bite ! humm, moi je vais jouir aussi, tiens prends ça ma salope oui….
- Remplis moi aussi, je t’aime…
Autant dire que le matin fut difficile, je devais aller au rugby pour les petits et je sentais ma femme confuse par rapport à la veille. Nous fîmes le point le soir.
- Ecoute, fais le une seconde fois, ce serait dommage de ne pas réessayer ! A moins qu’il ne veuille pas !
- T’inquiètes pas, il me demande déjà pour lundi soir !
- Ah oui, ça lui a plu alors (je le savais déjà)
- Bon, je dis oui pour lundi ?
- Si tu as envie bien sûr !
- J’ai envie, j’ai très envie, regarde !
Et elle pose ma main sur son sexe, effectivement, elle a très envie !
- Ouah, il te fait de l’effet le salaud !
- Justement, je n’ai jamais ressenti un tel manque, ça m’inquiète.
- Profite !
- Bon, je dis oui pour lundi, tant pis pour toi !
Lundi soir : j’attends ma femme, elle m’indique qu’elle sera là autour de 23 heures. N. m’a informé qu’il comptait lui faire faire des cochonneries à la piscine et qu’ensuite il la baiserait dans sa voiture. Je l’avais prévenu qu’elle avait toujours refusé de faire ça dans une voiture, mais il avait l’air sûr de lui. Toujours est-il qu’avant que ma femme n’arrive, j’avais déjà reçu plusieurs messages me confirmant, preuves à l’appui, qu’il avait réussi ! Elle l’avait sucé dans une cabine à la piscine, en plus photo avec visage, et ensuite il l’avait baisé dans la voiture, en fait plutôt sur le capot de la voiture, je reconnaissais bien son cul avec cette grosse queue qui était posée dessus. Il était très content et très confiant pour la suite de leur relation. Je savais ce qu’il voulait et j’étais d’accord, même si avec le recul je pense que j’ai joué avec le feu. Madame raconte !
- Je dois arrêter cette relation !
- Aïe ! Pourquoi ?
- Je ne sais pas, un sentiment bizarre !
- Ce n’était pas bien ?
- Si justement, c’était encore très bien ! Trop bien !
- Tu as trop bien joui ? C’est étrange comme reproche, d’habitude une femme reproche plutôt à son partenaire de ne pas lui donner de plaisir !
- Et bien ce n’est pas le cas ! C’est comme si j’étais en totale osmose avec sa queue, je n’ai jamais ressenti un truc pareil ! Dès qu’il me pénètre, je me sens comme folle, les sensations que me procurent sa queue sont extraordinaires, c’est comme si elle était faite pour mon vagin, difficile à décrire, mais c’est la bonne clé pour la bonne serrure ! Tu sais que j’ai mis des années à oser faire des fellations et là, à la piscine, il m’a emmené dans une cabine, il a sorti sa queue et m’a dit : suce ! Et je l’ai sucé comme si c’était totalement naturel, sa queue était comme à sa place dans ma bouche, je ne sais pas t’expliquer ça. D’ailleurs, il m’a demandé de me faire jouir en même temps, d’habitude je n’aime pas trop, et là je l’ai fait sans problème, et même avec plaisir. Et ce cochon m’a tenu la tête pendant qu’il éjaculait afin que j’avale tout, je n’ai rien dit et j’ai pris beaucoup de plaisir à nettoyer sa queue, je me surprends.
- Tu as peur de devenir une « salope » ?
- Un peu oui !
- Entre adulte consentant, il n’y a pas de salope, il n’y a que du plaisir !
- Dans ce cas il m’en a donné !
- Il ne t’a pas baisé ?
- Bien sûr que si, mais pas à la piscine, dans un bois, sur la voiture, j’ai honte !
- Et c’était bon ?
- Oh oui, c’est surtout de ça dont j’ai honte, quel pied ! Il a une queue magique, à chaque fois je vois 36 chandelles ! Il a éjaculé deux fois en moi !
- Donc j’imagine que tu es fatiguée !
- Oui, je veux bien te sucer si tu as envie !
- Et bien suce ma belle !
Ce fut le début d’une relation torride pour ma femme, excitante et frustrante pour moi, mais c’est une autre histoire !

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