Cercle Vicieux...

Je profitais d’être dans la même chambre que ma grand-mère pour en apprendre un peu plus sur elle. Pour comprendre son environnement, son veuvage, sa vie et ses difficultés. Sans oublier sa vie sexuelle. Surtout la vie sexuelle. Elle voulait bien mais à une condition : que j’en fasse autant. Alors sans trop entrer dans les détails. Et par touches, subtiles, je lui avais confessé deux ou trois relations avec mes voisines, Bernadette et Brigitte. Évitant de lui préciser leurs âges et leurs situations familiales.
Il m’en fallait pas plus d’être pris d’un désir profond et réel. Dans le noir, mon sexe était tendu, mes bourses gonflées et très lourdes. Dans le noir j’écoutais les confessions de ma grand-mère tout en me masturbant lentement.
À un moment, elle m’expliquait qu’elle devait se levé pour se rendre aux toilettes. À l’aide de sa pile électrique elle s’éclaira le chemin.
J’attendais qu’elle sorte de la pièce pour lui emboiter le pas. Alors que je la vis investir les toilettes, moi, j’entrais dans la salle de bains. Une cloison seulement nous séparait. Pour rejoindre mon poste d’observation, je me glisser sous la baignoire.
Putain ! Que le carrelage était froid. Je dirai même gelé. Je m’approchais au plus près de la bouche d’aération. La distance entre nous été de seulement quelques centimètres. La première chose que je vis entre les lamelles de la grille, ce fus mamie assise sur le bidet. Sa culotte blanche à la cheville. Sa chemise de nuit retroussée très haut sur son ventre. Je sortais ma verge bien raide du pyjama et la décalottant avec soin. Je commençais à la caresser avec affection. Très vite je fus alerté par les premières gouttes chaudes frappant l‘eau de la cuvette. Puis s’en suivait un déluge. La cochonne se soulageait abondamment. Puis ce fut le silence. Seulement entrecoupé par le bruit du papier qu’en déchire et avec lequel en s’essuie.
Soudain, j’entendais la chasse, puis je vis mamie se pencher pour se saisir de sa culotte et la tirer vers le haut de ses jambes.

Il était temps pour moi de prendre congé, et retourner au plus vite dans mon lit.
J’étais déjà allongé quand elle fit son apparition. Par la lueur de sa pile je ne vis aucune expression sur son visage. J’avais attendu qu’elle soit sous les draps pour reprendre nos confessions.
Ce scénario s’était répété à plusieurs reprises. Durant ces séances, il m’était arrivé de jouir, bruyamment. Quand ma grand-mère me posa la question, honnêtement je lui fis part de mes méfaits.
- Tu es un gros cochon Alain ! Je mériterais que j’en parle à ta mère…
- Pourquoi tu dis ça mamie. Tu sais aussi bien que moi que tu ne le feras pas.
- Ah ! Oui et pourquoi…
- Tout simplement par que tu es une petite vicieuse. Et que tu aimes le sexe.
Elle se mit à rire.
- Bon mon petit fils, il est temps de dormir…
Un jour, elle s’était préparée pour aller avec ma mère, rendre une visite à sa belle-sœur. Pour se faire elle s’était perchait sur ses escarpins qui lui donnaient à ses jambes du galbe. Je jurais qu’elle portait des bas. Il m’en fallait pas plus pour imaginer ses cuisses grasses tendres le nylon à craquer. Et par la suite de me poser la question sur sa chatte. Poils ou pas poils ? Rousse ou poils et sel ?
Échauffer par cette question, je profitais de leurs absence pour aller fouiller la valise à mamie, poser sur mon bureau. Mon regard fut attiré par un collant de couleur chair. Je l’enfilai sur ma main, puis guidais la pointe du pied sous mes narines inhalant les relents. L’odeur dense, vinaigrée, qui avait imprégné le nylon m’envahissait. Histoire de bien m’imprégner de ses sucs. Me procurant aussi, une puissante érection. J’étais en transe.
Comme vous le savez, vous lecteurs, qui lisser mes aventures j’aime depuis toujours l’odeur de femme.
Lors d’une autre absence, ce fut au tour d’une culotte d‘être scruté. En dentelle de couleur champagne. Je l’avais retourné pour en inspecter le fond. Celui-ci était vraiment sale.
Ce qui suscitait mon admiration. Toute la fourche était souillée par une impressionnante couche de sécrétion vaginale. Blanchâtre comme du lait Nestlé séché. La preuve qu’il n’a pas d’âge pour mouiller ! Je la reniflais. La fourche qui dégageait une odeur iodée, capiteuse, toute féminine. Puis glissais sur la partie la plus fine de la culotte. Là où elle avait été en contact avec le trou du cul. Le parfum était plus dense musqué et douceâtre. Je lapais toute la fourche du slip. Passage après passage le ma langue, la mouille séchée redevenait visqueuse au contact de ma salive.
Je mettais à ce moment là, interdit de me toucher. J’étais dans un tel état d’excitation que j‘aurais baisé une chèvre.
L’excitation m’avait suivi tout le long de la soirée. À la fin du film, après mettre laver les dents je m’étais précipité jusqu’à ma chambre. Suivis de ma grand-mère. Qui elle aussi était passée par la case salle de bains pour enduire la figure de crème miracle, qui faisait rajeunir.
- Tu permets mamie que je laisse un peu la lumière pour lire ?
- Oui… je vais en profiter pour me refaire les ongles…
Elle ne savait pas à tel point cela me réjouissait de la savoir active. Cela additionné au projet que j’avais en tête, il n’en fallait pas plus pour avoir une érection naissante. Alors pourquoi attendre. Tout était réuni pour que je passe à l’action. Pour ça, je baissais mon pantalon de pyjama aux chevilles. Mon cœur battait à tout rompre. Ma bite mouillait. Je tirais ensuite le slip vers le bas. Mon sexe raide était plaqué contre son ventre. Une fraction de seconde cette exhibition me parut odieuse.
Désarçonné par mon audace, mamie resta bouché bée. Le pinceau en l’air. Sans toutefois protester. Je décelais même du désir dans ses yeux. Ceux qui m’encourager de poursuivre. J’étais nerveux tout de même. Faufilant ma main, j’encerclai la pine de mes doigts et dégageais le gland. De mon pouce replié, je massai le bout que l’humidité rendait soyeux.
J’empaumai ses couilles et fit mine de les serrer très fort, me déclenchant un hoquet. Je frissonnais. Mamie était stupéfaite par mon effronterie. Faisant preuve d’un self contrôle tout à fait étonnant. Après quelques minutes de ce traitement je conclus. Mon sperme se ruait hors de ma verge comme de la lave d‘un volcan. S‘éleva à la verticale, retombant ensuite en cracha sur mon ventre. Jamais encore je n'avais joui aussi fort avec ma main. Pas un trait du visage de mamie n’avait changé.
Et pourtant je savourais déjà le contraste troublante entre la honte que j’éprouvé et l’excitation déclenchée par l’équivoque malsaine de la situation. Une bouffée de chaleur m’envahit alors que je m’essuyais. Je refermais le chapitre en éteignant la lumière.
Le lendemain, mamie m’avait complètement ignoré ce qui était rare venant de sa part. D’ailleurs cela avait inquiété ma mère. Elle m’avait même posé la question :
- Tu t’es disputé avec ta grand-mère ?
- Non, pas du tout ! Fut ma réponse.
Le soir elle n’avait pas attendu la fin du film pour prendre le chemin de la chambre. Une ou deux heures plus tard. Je ne sais plus. J’avais pénétré la chambre dans le noir, sur la pointe des pieds pour ne pas la réveiller. À tâtant j’arrivais jusqu’à mon lit. Et alors que je rabattais le drap la lumière se fit dans la pièce.
- Je te remercie mais ce n’était pas la peine d’allumer. Je…
- Tu ne lis pas ce soir ? Me coupa-t-elle. Changeant de sujet.
- Cela ne te dérange pas…
- Au contraire… je n’attendais que ça…
Comme ça la coquine voulait jouer ! Et bien, elle allait être servie. Je me levais et sans aucune gêne je repoussais le couvercle de sa valise. De son lit elle me sondait de son regard. Très vite je trouvais ce que j’étais venu chercher. Une belle culotte en coton dont je plaquais l’entrejambe à mes narines. Les yeux clos. Je couinais de bonheur. Cet agissement me donnait une trique d’enfer. Après plusieurs contractions, elle était d’elle-même sortie de mes pyjamas se faufilant par la braguette ouverte.

Un tel fait, démolissait les meilleures explications. Les convictions les mieux établies. Je me sentais vaciller. J'entrevis une lueur libidineuse dans les yeux de mamie. J’étais à un tel point d’excitation que j’avais éjaculais sans avoir eu besoin de me toucher. Un spectacle qui lui plaisait. Acquis qu’elle était, à cette jouissance inédit.
Elle faisait mine de ne rien ressentir. Enfin je le supposais. J’avais répété ce scénario une demi douzaine de fois et à chaque fois, sa réaction était identique. Un peu de rose aux joues, mais jamais une remarque.
Mamie était devenue pour moi comme une obsession. Je me gênais pas quand le la situation me l’autorisé d’entrouvrir la porte de la chambre pour la regarder se dévêtir. Un soir alors que je me trouvais une fois de plus seul avec elle devant la tété, je m’étais surpris en lui proposant de me masturber. Bien sûr elle avait décliné l‘offre. Les jours suivant fut pour moi un plein de fantasme. Je me masturbais en m‘imaginant faire des choses tabou. Comme celui de lécher la chatte de ma grand-mère.
Je ne manquais pas une occasion de lui exhiber ma queue, bander ou pas. Mamie semblait soit s’en blaser soit s’habi à mes exhibitions. Je me disais que peut-être l’excitation était inversement proportionnelle. Fallait-il que je trouve autre chose. Aller plus loin. Mais il n’était pas question pour moi de la sauter.
La nuit même, j’avais eu du mal à trouver le sommeil, alors que du côté de ma grand-mère ça ronflait. Ce qui expliquer que le lendemain j’avais eu du mal à me lever. D’un coup d’œil je m’aperçus que ma grand-mère avait déserté son lit. J’étais dans le brouillard. Et dans ces instants il n’y avait pas mieux que de prendre une bonne douche froide. J’avais passé un short et j’étais sorti de la pièce. J’avais l’ouvert la porte pour me retrouver nez à nez avec mamie.
De stupéfaction, elle en laissa tomber sa serviette, dévoilant ses seins plantureux aux aréoles larges et très pigmentées. Mais elle la rattrapa avant de dévoiler sa toison pubienne. Je m’avançais à la toucher.
- Sort de là… ta mère ne va pas tarder…
En quelques secondes, le brouillard s’était dissipé, laissant place à un accro au sexe. Je m’étais saisis de la serviette et la déviais pour apercevoir sa toison dissimulée. Comme médusée par mon attitude, elle n’opposa pas de résistance.
- Ta mère… Alain…
J’étais dans un tel phénomène d’excitation incontrôlable, que rien ne m‘était interdit. Sans hésiter, j’avais prit un sein dans chaque main. Je les comprimais, les massais. Je commençais même à jouer avec les tétons qui étaient durs comme des épines. Elle ferma ses yeux. Elle semblait apprécier que je lui titille les mamelons doucement.
- Bien ! Stop ! dit-elle sans ouvrir les yeux.
- Encore un peu, encore un peu ! Répondis-je sans retirer mes mains de ses globes.
Elle respirait à chaque fois plus fort. Je commençais à approcher ma bouche. Il fallait que je goûte à ces seins.
- Allez Alain, arrête ! Susurra-t-elle, juste au moment où je lui léchais un téton.
Et j’enfouis ma tête entre ses seins. Je les léchais, suçais les mamelons. Ma langue parcourait toute cette chair.
- Non… Non… Arrête ! répéta-t-elle.
Mais elle coinçait ma tête encore plus profondément entre ses seins. Je ne pouvais pas arrêter de les sucer. Passant d’un téton à l’autre. Elle gémissait, continuant à susurrer, me demandant sans cesse d’arrêter. Seul le bruit de la porte d’entrée me fit récupérer la raison.
Je n’avais pas pu ce jour là, résisté d’aller rendre une petite visite à Brigitte. Ma voisine du bas, pour calmer mon trop plein d’excitation. Ma folie calmée, j’étais remonté chez moi.
Cela me faisait drôle de revoir la poitrine de ma grand-mère dissimulé. L’après midi maman avait prévu de rendre visite à sa belle-sœur. Elle avait demandé à sa mère de l’accompagner. Mais cette dernière déclina l’invitation. Ce qui avait l’air de réjouir ma mère. D’ailleurs elle n’avait pas insisté, pour la sortir. Lui demandant même d’aller faire une sieste.
- Oui… je crois tu as raison. J’y vais sur le champ.
Je crus dans un premier temps être la cause de la mauvaise forme de mamie. Un livre en main je m’étais posé devant la télé. Peu de temps après le départ de ma mère, ma grand-mère m’interpela de la chambre, me priant de venir. Je m’attendais à la découvrir allongée, souffrante, demandant de l’aide. Mais ce fut du le contraire. Je la vis debout, en sous-vêtement. Culotte et soutien-gorge blanc, en tulle.
- Retire ton pantalon et assoie toi sur la chaise.
J’étais dans une telle spirale de démence qu’elle pouvait me demander n’importe quoi, je m’exécutais. Elle prit place sur mes genoux. Très vite, je sentais ma queue nue et bander prit en sandwich entre ses lèves à travers les mailles de sa culotte. Je poussais un gémissement et la prit par la taille. La sensation était indescriptible. Et lentement, elle commença à onduler. Massant ma queue avec son sexe. Elle allait et venait lentement. Je nageais dans le pur bonheur.
D’un soupir d’aise, elle me chevauchait à son rythme. Faisant danser ses hanches. Se frottant toujours contre mon pénis. J’étais son jouet. Elle faisait ce qu’elle voulait de moi. Et j’adorais cela. Elle mouillait de plus en plus abondamment. Ses mouvements devenant plus saccadés, son souffle plus court.
Elle finit par se pencher afin que je puisse de nouveau me régaler de ses seins. Alors qu’elle se lustrait avec moins de ménagement sur mon phallus bien dur, je lui décrochais son soutien-gorge.
Ma succion plus empressée fut un témoignage de mon émotion dont elle me récompensa d’un gémissement fervent. Je l’entendis lutter contre une envie de crier. Une chaleur humide se répandit sur ma verge, trouant les mailles de sa culotte. Dégoulinant sur mes testicules, puis le long de mes cuisses. Je délaissai son téton devenu plus dur et saillant pour la regarder jouir. Ses traits bouleversés trahissaient une fragilité que je n’avais pas soupçonnée jusque-là.
Je voulais qu’elle jouisse encore. Pour cela je soulevai mon bassin et accompagnai sa danse lascive de coups de reins plus virulents. Pour ne pas perdre l’équilibre elle se cramponna à mes épaules.
- Plus fort ! Supplia-t-elle d’une voix un peu éraillée… Suce-moi les seins comme ce matin ! Aaahh !
J’emprisonnais un téton dans ma bouche et le suçais comme elle me l’avait demandé. Mamie se frictionnait toujours sa chatte sur ma verge. Profitant de chaque impulsion pour nous branler mutuellement. Mes mains massaient ses fesses parfaites et rondes, l’aidant dans ses mouvements. Elle terminait sa danse sur un incroyable orgasme. Puis, elle continua à me chevaucher jusqu‘à ce que je succombe à mon tour…
- Je jouis mamie… Je jouis… Aaahhh ! Oui… balbutiais-je.
Je garde encore maintenant un souvenir très agréable de cette après-midi…

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