J'Ai Pervertie Ma Collegue -18-
Lanniversaire de Maëlle est dans 8 heures. Fannie doit être sur place pour aider sa meilleure amie au préparatif. Mais avant, ma soumise doit-être préparé et nous devons choisir la tenue pour ce soir. La préparation se résume à une inspection, vérification intime, taille du pubis et un petit coup de tondeuse pour parfaire la coupe de cheveux. La tenue que je lui choisis est un haut moulant du style Top de couleur marron, ça dessinera très bien ses seins libres, une jupe pantalon blanc légèrement transparent. Avec cette tenue, elle devrait être aguichante, surtout que nue elle sera en dessous.
Je pars rejoindre Fannie qui mattend devant la maison de Maëlle. A mon arrivée, je découvre une Fannie joliment apprêté. Nous entrons et je suis présenté aux personnes que je ne connais pas encore. Il y a au moins une trentaine de personnes pour cet anniversaire. Je fais la connaissance du conjoint de Maëlle. Très vite nous entrons dans lambiance de la soirée, alcool, mignardises, musique sont de mise. Certains invités me disent que Fannie est rayonnante depuis quelques temps, certains me disent »oh qua-t-elle dont fait à sa jolie chevelue
». Je ne prête que peu dintérêt à tous ces bavardages, Elle est ma chienne soumise, donc elle subit ce que je désire. Maëlle me demande de lui apporter de laide pour aller chercher des bouteilles à la cave, son homme est déjà bien alcoolisé, que voulez-vous, il ne sait pas ou a-t-il oublié quil avait une femme ????
Nous descendons chercher quelques bouteilles.
-quest-ce tu as fait à Fannie Fred ? Elle est différente, plus souriante, plus épanouie, je la sens mieux et en plus elle venue ce soir sans sous-tif, elle qui était plutôt strict dans sa façon de shabiller.
-si tu veux savoir, pose lui la question en remontant.
A peine remonté, Maëlle cours parler à Fannie. Cette dernière me regarde et lui glisse quelques mots à loreille. Maëlle, pose ses yeux sur moi avec un regard qui en dit long sur ce quelle entend de la bouche de ma soumise.
-juste que tu étais lhomme qui mas fait découvrir une partie de moi, celle de la femme qui aime être dominée. Que je ne portais quasiment plus de sous-vêtement, que je vivais des moments intense dans le plaisir et que je pouvais parfois être exhibée, cest tout. Déjà ça, elle était surprise et stupéfaite.
-cest bien Fannie, tu gères très bien les choses. Jespère juste quelle ne va pas nous faire chier.
-non je ne pense pas, peut-être va-t-elle me redemander de tavoir pour elle un peu, mais pour ma Maëlle, je dirais encore oui.
Je décide de bifurquer sur le lieu dexhibition de la dernière fois. Il y a peu de voiture, à priori, juste des couples. Je retire le bas de ma soumise et lexhibe dans la voiture. Personne ne bouge. Le téléphone sonne.
-non Maëlle, nous ne sommes pas encore rentré. Oui, enfin non, mais tu veux tout savoir
Je prends le téléphone des mains.
-Maëlle, je peux faire quelque chose pour toi ?
-euhhh ! Je, je voulais savoir si vous étiez bien rentré.
-pas encore, ma chère Maëlle, comme tu le sais maintenant, ta meilleure amie joue lexhibitionniste, donc nous sommes dans un endroit consacré à cela. Elle tenverra un texto quand nous serons à la maison.
Un long silence !
-bon daccord
. ! Mais si cest possible
tu aimes prendre des photos, tu pourrais me faire partager avec vous se moment que vous vivez, je suis curieuse.
-je ne sais pas on verra, à plus.
Un homme sort dun bosquet. Il sapproche de la voiture pour reluquer ma chienne soumise qui a les fesses à lair. Il sort sa queue et se branle. A ma demande, Fannie ouvre la vitre et prend le membre en main pour le branler. Un couple sort de leur voiture et sapproche.
-Nous pouvons ?
-bien sûr.
Lhomme sort également sa queue et la présente à la soumise branleuse de bite.
-puisque tu as été parfaite ce soir, tu as le droit de bien jouir, ma petite salope.
Tout en la prenant par son intimité, deux doigts ouvrent sa rondelle, je salive un peu et rapidement la rondelle se dilate. Je la prends par les deux trous.
-ahhh oui Fred jadore
-tu aimes petite salope, tu es mienne, tu entends, tu es moi et je vais te remplir la chatte de mon jus.
-je suis
ta salope, oui baise moi, fais-moi jouir, jen ai trop envie depuis ce soir. Jai fait tous ce que tu mas demandé, fais-moi râler de plaisir, encore ouuuii
Excité comme je le suis, je ne tarde pas à me libérer dans sa chatte, tout en continuant à la ramoner. Mes doigts, eux la prennent profond, je sais quelle est au bord du plaisir.
-oui ton jus encore, donne le
.ahhhhhh, arrhhhhh je jouiiiiis
Fannie explose, lexcitation est monté depuis hier soir, elle a dû tenir sans se toucher jusquà cet instant présent. Nous dormons dans le même lit.
Le lendemain matin, cers 11h00, Fannie me montre un texto de Maëlle. « Jaimerais voir Fred stp » avec une photo de son intimité et un doigt posé sur son bouton.
-tu vois elle ne va pas nous lâcher celle-là, je te lavais dit.
-oui je pensais pas. Si son mec tenait son rôle dhomme, elle nen serait pas à ce point.
-bon écoute moi bien. Il y a deux alternatives. Nous la laissons sans réponde et ça lui passera. Tu acceptes que je la baise et là je pose mes conditions et seulement ça.
-euh cest quoi les conditions ?
-elle les refusera de toute façon.
-cest quoi dit moi ?
-tu lui réponds ceci : Fred à dit ok, mais tu dois venir à poil sous un manteau, je serais présente pour vous regarder, prendre des photos et nous devrons exécuter les ordres »
Deux minutes plus tard : « ah non ! Je peux pas faire ça, toi en plus et ces ordres, non je veux juste un moment avec lui, cest tout ».
« il a dit non, tu acceptes ou tu refuses ».
« je refuses ma chérie, je peux pas »
-Tu vois, je savais, elle refuse, cétait certain.
Ce dimanche, jen profite pour laisser Fannie tranquille chez elle et je passe chez moi, me poser. Vers 13h00 je reçois un texto : « je passe chez toi, je sais que tu y es, mes deux hommes sont au foot pour quelques heures, jarrive ». Elle est collante cette Maëlle, la pression commence à me monter au nez. Très bien, elle veut venir, je pense quelle va regretter. Je ne réponds pas. Une trentaine de minute plus tard sa sonne, cest ment elle. Jouvre normalement.
-je peux faire quelque chose pour toi Maëlle ?
-oui jai besoin que tu me prennes, depuis hier, jai trop envie et tu fais ça bien.
-ok, je vois, mais jai posé mes conditions.
-arrête avec ça, jai compris que cétait pour éloigner ma Fannie.
-ah oui, tu as compris. Ecoute Maëlle, on va sarrêter là, ça nira pas plus loin pour aujourdhui. Rentre chez toi, repose toi et ça iras mieux demain.
-déconne pas Fred, tu ne vas pas me faire ça ? Je veux bien faire un petit effort, mais je suis pas comme Fannie, je pourrais pas.
Je la raccompagne en bas et bye bye. 15 minutes plus tard ; ca resonne. Jouvre, cest encore Maëlle. Elle ouvre son manteau, sous lequel elle est nue.
-voilà, jai fait un effort, ça te plait ?
-cest bien, mais les conditions ne sont pas réunis.
-ah tu es chiant. Bon tu feras ce que tu veux, cest bon, mais occupes-toi de moi et sans Fannie.
-non, cest avec elle ou pas.
-bon tu as gagné, je laisse tomber Fred.
Elle part, mécontente, déçue et que sais-je encore.
Jappelle ma chienne et lui raconte, prétextant ce problème pour lui dire quà cause delle, Maëva me gonfle. De là je démarre une petite séance à distance. Elle a ordre de se donner du plaisir au téléphone, je veux lentendre glousser en se masturbant, en triturant ces seins. Pour vérifier tout ça, elle allume son ordinateur en cam, coupe le son de ce dernier, et sexprime au téléphone. Je lui dicte les ordres. Elle commence par lintroduction de luf et se stimule avec. Je la voie sur mon écran actionner au grès de mes souhaits passer de la vitesse une à deux puis à trois, comme cela pendant exactement 20 minutes, chrono en main. Ensuite, ma soumise se travaille les seins avec un gode vibrant. Les mamelons sont bien érigés, ça se présente bien, nous allons pouvoir continuer.
-Fannie la soumise, tu arrêtes tout, tu thabilles rapidement et tu vas à lépicerie du quartier, tu sais celle de lautre fois. Elle ne va pas tarder à fermer, il aura tout le temps de soccuper de toi
-oh non, pas ça, pas maintenant
-aller aller, une fois sur place tu me téléphone, je veux tout entendre, compris
Ma chienne, part direction la boutique. Le téléphone sonne et jécoute
-ah ma petite dame vous voilà, je vais fermer, alors dépêcher vous
-oui je sais, cest pour ça que je suis ici, je peux peut-être vous aider
-ah maider, oui je comprends, va dans la réserve jarrive
-cest ton mari qui tenvoi encore ? Il fait bien, il a raison
Jentends des bruits de porte qui se ferme.
-ici, on sera tranquille, ma femme est au-dessus, elle entendra rien
Jentends un zip glisser, et ma chienne qui commence à sucer.
-ta les mamelles bien dur, tétais déjà exciter avant de venir ou quoi, et le reste, mais cest complètement mouiller, aller suce bien Rachid. Quelle suceuse de bite, oh oui, rien à voir avec ma femme, toi tes une salope.
Les bruits de sucions sont clair, Fannie respire rapidement. Lhomme se fait déguster la queue, il apprécie.
-attend salope, je vais
-tenez mettez ça
-tu avais tout prévu, même la capote
Des bruits de fond se font entendre. Cette homme à due déjà la pénétrer, jentends des clapotis correspondant au bruit de sa chatte qui doit mouiller lors des allers retours de Rachid.
-mais tes trop mouillé, trop ouverte, je sens rien, tes une grosse salope, tes une eiharia..jvais te prendre par le hamar il sera plus étroit
-je sais pas si
.aahhh, doucement
-rahhh ! ca va mieux par la sale eihara, tu la sens bien au fond, hein !
-oh oui,oh oui
continuez
Ma chienne se fait prendre la rondelle par cet homme, elle se fait ramoner le conduit par Rachid. Ce dernier parle en arabe, certainement des insultes, jentends les couinements de cette bourgeoise se faisant sodomiser.
-oh oui oh oui, encore, cest bon, oui ah, ahh, oui je vais jouir, je
-eihara, je vais te défoncer
-je jouis, encore, encore, aaaaaahhhhhhhh
Fannie jouis, mais lhomme pas encore, jentends son pubis claquer sur les fesses de cette soumise goulue de sexe, sa tape, sa tape fort. Il marmonne des mots arabes et part dans un cri roque.
-jouis vas-y, crache ton jus dans mon cul
Un long silence.
-tes une grosse alkaliba de blanche, tiens mon jus sur ton cul de salope. Quand tu veux tu reviens. Et monsieur, le mari au téléphone, quand tu veux tu me renvois ta salope et je la baiserais encore mieux.
Des bruits de porte, une voie de femme parlant arabe et des cris.
Quelques minutes plus tard, Fannie me raconte.
-sa femme est arrivée, je mapprêtais à partir, mais je crois quelle a compris, elle ma jeté un regard noir, je nai pas intérêt à la croiser. Je rentre maintenant.
-non, va voir ce quil se passe au magasin
-ah non Fred, je suis pas folle, je rentre je suis crade avec le jus lorsquil a vidé la capote sur mes fesses, cest encore tout poisseux, ça colle, jai besoin de la douche.
-bon très bien, comme tu veux.
-sil te plaît Fred, moblige pas à retourner.
-non tu as raison, j peut-être un peu.
Je reste en ligne jusquà ce que Fannie soit rentrée chez elle.
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