Chapitre 2 : Les Prémisses De La Soumission

Chapitre 2 : Les prémisses de la soumission

Le lendemain matin, Mike se réveilla de bonne heure. Son travail commençait tôt ce matin-là. Il pensait à Rose toute la journée. Il imaginait toutes les choses qu'il pouvait faire avec elle. Soudain, son téléphone vibra, c'était Rose.
— Salut Mike. Comment ça se passe ?
— Très bien et vous, vous êtes essoufflée ?
— Je viens de sortir de mon cours de danse, c'était très intense aujourd'hui..
— Vous êtes ballerine, c'est mignon !
— Je porte un justaucorps rose et un collant blanc. Cela t'excite ?
— Évidemment.
Rose sourit.
— Bon, je te laisse, je t'attends vers dix-neuf, je vais t'envoyer mon adresse par SMS.
— D'accord à tout à l'heure, Maîtresse.
Quelques instants plus tard, son téléphone vibra de nouveau, c'était le message de Rose. Mike était extrêmement excité d'aller dans l'appartement de la Maîtresse. Cela lui faisait bander. Il imaginait Rose en tenue de danse et cela l'excitait encore plus.
Un peu avant dix-neuf Mike s'en alla en direction de l'appartement de Rose. Il s'était préparé rapidement. Il pleuvait quand il gara sa voiture dans une ruelle non loin. Mike marcha sous la pluie pendant quelques minutes avant de rentrer dans l'immeuble où habitait Rose.
Il prit l'ascenseur et s'arrêta au troisième étage. Il sonna à la troisième porte à sa droite.
Rose ouvrit avec le sourire, les boucles de ses cheveux bruns lui donnaient un air décontracté. Elle portait un chemisier à motif à fleurs, l’homme apercevait le charmant body de Rose tellement le tissu paraissait transparent.
Pour le bas, elle arborait un collant en laine avec de beaux motifs. Un short en daim lui donnait une touche chic.
— Tu es très belle !
— Mike, dois-je te le répéter combien de fois, tu dois me vouvoyer.
— Excusez-moi. Maîtresse.
Mike était hypnotisé par la beauté de Rose qu'il oublia d'admirer l'appartement.

Il était joli et beau. Le sol était recouvert d'un parquet. Il y avait très peu de pièces, mais cela semblait si grand.
— Mike déshabille-toi.
Sa voix semblait calme mais terriblement autoritaire. L'homme obéit sans faire de commentaire, il enleva son haut puis son pantalon.
— Qu'est-ce qu'il t'excite ? Contrôle-toi un peu ?
— Excusez-moi Maîtresse, votre présence m'excite.
— Enlève ton caleçon.
Mike hésita un moment.
— Dois-je vraiment le répéter !
Le caleçon de l'homme glissa entre ses cuisses et tomba à ses pieds.
— Suis-moi, je vais t'épiler.
Sans dire un mot, Mike suivit sa Maîtresse, son sexe pointait fièrement vers le haut. Rose prépara la mousse et l'étala sur toute la jambe.
— Je n'aime pas les poils, même sur les hommes cela fait trop négligé.
Mike un peu gêné ne dit pas un mot.
— Tu devras faire du sport, tes jambes sont un peu grosses. Mike, je peux comprendre que tu es timide ou gêné, mais réponds moi.
— Excusez-moi Maîtresse…
—Arrêtes de dire ça ! C'est épuisant d'attendre tout le monde quelqu'un excusé. Passes moi l'autre jambe s'il te plaît.
Mike se soumit.
— Tu vas être puni, tu vas écrire des lignes.
— Je prends cette punition avec plaisir, Maîtresse.
Rose sourit.
— J'apprécie mieux ça ! Sinon je passe du coq à l'âne, tu te branles une fois par jour, c'est ça si je me souviens bien ?
— Oui c'est bien ça, mais cela dépend des jours-là aujourd'hui, je ne me suis pas branlé. Car je savais que je serais avec vous.
— Dommage ! Mais tu ne vas pas jouir aujourd'hui. C'est un rasage un peu grossier que je te fais, la prochaine, tu vas en institut t'épiler.
— Mais pourtant tu es très douce.
Mike admira ses jambes toutes imberbes. C'était la première fois qu'il avait les jambes aussi douces malgré quelques rougeurs par-ci par-là.

Rose passa à son torse et à ses bras. Mike sentait le parfum de sa Maîtresse si près. Il ne savait pas pourquoi cela lui procurait autant de plaisir. Son sexe se dressa de nouveau.
— Mike, est-ce l'épilation qui excite autant ou est le fait de te faire humilié ?
Rose était concentrée sur son activité.
— Peut-être les deux, répondit-il d'un air moqueur.
Rose rit.
— Je le fais assez vite, pourtant. Maintenant, on va passer à ton sexe.
La femme s'accroupit à être à son sexe. Le pénis de Mike était dur et bien dressé. Elle appliqua sur la mousse sur le sexe. Elle le caressa un peu ce qui fit un bien fou pour Mike. Il échappa un peu gémissement.
— Je t'épile, retiens-toi.
— Je n'ai pas l'habitude, puis-je être puni, je le mérite.
— Oui, c'est si bien demandé.
Elle sourit et continua d'étaler la mousse sur son sexe. C'était devenu inconfortable pour Mike. Les premiers poils tombaient de son sexe, c'était très excitant mais très humiliant pour lui. Comment allait-il justifier son épilation à ses proches ? Il ne faisait même pas de cyclisme. Rose passa un petit jet d'eau froide sur son sexe.
— Un beau petit sexe ! Viens, tu vas faire ta punition pendant que je prépare à manger.
— Je ne m'habille pas ?
— Pas pour l'instant.
Mike suivit Rose comme un toutou docile. Elle l'installa sur une table dans la cuisine, elle lui donna une feuille et de quoi écrire.
— Interdiction de te masturber, et écrit « Je dois obéir à ma maîtresse, un soumis doit être puni, à chaque erreur. »
— C'est tout ?
— Tu restes assis, si tu veux me veux aller aux toilettes par exemple tu me le demandes.
— D’accord.
— Commence à écrire.