Groupe De Vacances 32

GROUPE DE VACANCES 32
Ep 32 IL EST CHAUD LE FILS A JUSTINE

Le lendemain mon frère et moi passions une partie de la matinée à préparer le repas. C'est pas Bob qu'on allait manger alors ... Un poulet ferait l'affaire, et comme ça au moins je ne risquais pas de me mettre mon frère à dos !

A l'heure prévue on frappait à la porte. Luc courrait ouvrir. Comme prévu, c'était Bob … Il s'était bien habillé, il n'avait pas vraiment l'air à son aise, un peu penaud il avait apporté une bouteille de vin … Et du bon en plus ! Je le recevais avec le sourire.

Moi : Entre Bob, met toi à ton aise. Ça va toi ?
Bob : Ça va Monsieur Djé, et vous ça va ?
Moi : S'il te plaît Bob, appelle moi Djé … Personne ne dit Monsieur Djé, c'est ridicule !
Bob : Bien Monsieur … Bien Djé !

Il faisait un temps magnifique aussi on s'installait sur la terrasse. Bob commençait à se détendre, Luc nous servais un rafraîchissement et s'installait avec nous. On bavardait, je me renseignait sur notre hôte, ses projets, ses études, sa famille. Il terminait ses études secondaires, il était en avance d'une classe par rapport à mon frère mais il avait aussi un an de plus ...

On passait à table, l'ambiance se détendait totalement. Bob parvenait à me tutoyer … Non sans difficulté ! On finissait par aborder notre dernière rencontre … dans mon bain bouillonnant … Aussitôt Bob retrouvait son air embarrassé, Luc lui pausait la main sur son bras. Le premier réflexe de Bob était d'abord de retirer son bras … Mais voyant que je ne réagissais pas, là encore il se détendait …

Moi : Tu es parti bien vite hier ?
Bob : On m'avait dit tellement de chose et je ne savais que Luc était ton frère sinon ,je ne serais pas sorti avec lui …
Moi : Mais pourquoi, il ne faut pas avoir peur !
Bob : On dit beaucoup de choses sur toi .
Moi : En bien ou en mal ?
Bob : Tout le monde te présente comme un exemple de moralité, on nous dit que tu ne commets aucune faute morale …
Moi: On raconte donc surtout beaucoup de conneries ! Je n'ai rien de parfait.



Je lui racontais, bien sûr sans entrer dans les détails, la vie que j'avais mené un an plus tôt … Surtout sans entrer dans les détails … Ça le rassurait, je commençais à ne plus être un monstre de vertu à ses yeux, ce montre de vertu que certains voulaient voir en moi et montrer aussi comme un exemple … Je devenais le grand frère de son petit copain … Un grand frère sympathique, ouvert et très tolérant !

Une fois de plus je constatais que de nombreux moralistes utilisaient mon image … Sans me demander ce que j'en pensais ils faisaient de moi un exemple de vertu, de morale, de probité, une sorte de personnage idéal dépourvu de mauvaise pensée, dépourvu de tout vice ou de tout défaut … Un corps parfaitement saint avec un esprit parfaitement pure … Un saint homme … La presse et les médias m'avaient lâché la grappe et c'était les prédicateurs qui prenaient le relais … Ceux là sont largement aussi dangereux, si un jour mon image ne correspond plus à ce qui leur convient ils n’hésiteront pas à me lapider sans jugement … Ils n'hésiteront pas à me reprocher de ne pas respecter les engagements que je n'ai pas pris … Les promesses que je n'ai pas fait … Finalement ce que je craignais il y a quelques mois, la dernière fois que j'étais allé au Château, était sournoisement en train de se produire … Il faudra y mettre de l'ordre !

Je lui expliquais comme je l'avais déjà fait et comme je devais le faire souvent par la suite que je n'étais pas un exemple … Que le fait de porter ce genre de truc était un choix personnel … Qu'il ne convenait pas à tout le monde …

Un peu plus tard dans l’après midi les deux jeunes me laissaient et allaient se promener … A la rivière sûrement !

Je recevais un peu plus tard un appel de Justine, son fils venait d'arriver en ville, elle souhaitait me le présenter et m'invitait pour le souper. En attendant je faisais un peu de sport, footing, muscu et je passais une petite heure à la piscine … On a une rivière très praticable mais si c'est pour faire de l'entraînement la piscine c'est ce qu'il y a de mieux, et en plus avec un temps pareil il n'y a personne.
Tout le monde est à la rivière et moi j'ai mes entrées à la piscine .

Le soir venu j'arrivais chez Justine . Elle n'habitait pas très loin et quant elle m'avait proposé de loger chez elle on ne savait pas encore que je pourrais garder l'appartement pour les vacances. Je me présentais en costume, bien habillé, comme au Château … Un majordome me faisait entrer … Décidément tout le monde a son majordome dans ce milieu … Bon ça va je commence à en avoir l'habitude, c'est vrai quoi moi aussi j'en ai un majordome …

Je m'installais . Peu après un jeune homme, dans mes âge, plus vieux peut être mais à peine, arrivait … Il était plutôt mignon et je remarquais un petit air de famille avec Justine et il avait le menton d'Henri … Il venait me serrer la main avec un grand sourire !

Jessy : Djé je suppose … Ravi de faire ta connaissance …
Moi : Tout le plaisir est pour moi Jessy !
Jessy : Tu m'as reconnu ?
Moi : Tu ressemble à tes parents !
Jessy : C'est vrai que tu connais aussi mon père …

On sympathisait rapidement, il aimait faire du sport, lui aussi faisait des études, on avait presque le même âge, il était très sympathique et très beau gosse … Je savais de qui il tenait ça et s'il était aussi bien monté que son père … Wouah ! Cette idée me rappelait par une forte pression à mon entre jambe que je portais toujours ce petit truc … Jessy n'était pas timide, il me proposait de me faire visiter la maison … C'était une grande maison, grand garage au sous sol, grand salon, grande bibliothèque, grand … Tout était grand dans cette maison … Sa chambre était sous les toits, ce qui ne voulait pas dire sans confort, il y était tranquille et avait une vue superbe sur le parc et sur la ville plus loin, la nuit avec les lumière des lampadaires il devait avoir une vue magnifique …

J'admirais le paysage au moment ou d'un geste rapide, il me retournait face à lui et posait ses lèvres sur les miennes … Je le laissais faire et lui rendais son baiser … On se prenait dans nos bras … et pendant un long moment on se caressait, il me pelotait les fesses , me suçait le lobe de l'oreille .
Je sentais une bosse durcir au niveau de son entre jambe en même temps que la pression devenait forte, très forte au niveau de mon petit dispositif, presque douloureux …

Jessy : Suce moi la queue !

Il ouvrait son pantalon, je ne me faisais pas prier … Elle était belle, comme je l'avais espéré … Sa bite aussi il la tenait de son père ! Rapidement je l'avalais jusqu'à la garde … On était brusquement très tendus, excités presque hystériques. Tout allait vite comme si on avait du temps à rattr, comme si on avait du attendre des jours alors qu'on se connaissait depuis une heure … Je le suçais avec plaisir, elle était bonne, elle était belle … Il appuyait sur ma tête pour bien m'enfoncer sa bite jusqu'au fond de la gorge, je ne résistais pas, j'avalais ! J'étais à genoux devant lui, il me poussait contre le mur, je me retrouvais assis sur les fesses la tête appuyée contre le mur. Il me tenait la tête avec ses deux mains et d'un mouvement décidé de son bassin m'enfonçait sa queue fermement, la ressortait et recommençait . Je restais concentrer pour que ça passe, je bavais poussait des cris de déglutitions et des râles étouffés. C'était désagréable par moment, mais c’était tellement bon à d'autres moment … Il ne se retenait plus, il y allait bien à fond, il savourait son plaisir … Il gémissait des '' Oh , oui … '', '' C'est bon … '' … Par moment il gardait sa bite bien enfoncée au fond de ma gorge, il appuyait bien, je ne pouvais presque plus respirer, je ne pouvais plus me dégager … Mais avant que je ne manque d'air il se retirait, me laissait un instant de répits et recommençait … On ne s'était pas déshabillé, il avait sa braguette ouverte, c'est tout … Je bavais de plus en plus, c'était à la fois le paradis et l'enfer … Je n'aimais pas mais je ne voulais pas arrêter, j'adorais ça et j'aurais voulu arrêter, faire une pause … Quelques mouvements particulièrement violents que j'ai encaissé je ne sais pas comment et il éjaculait dans ma bouche … Encore un ou deux mouvements, presque une convulsion de son bassin, et une deuxième giclée puis une dernière …

Il restait encore un petit moment dans cette position sa queue bien enfoncée dans ma bouche, j'avais du mal à respirer, je ne bougeais pas, j'avalais … Il débandait, je bandais plus fort encore dans mon dispositif, il me donnait une petite claque sur la joue avant de ma caresser les cheveux et de se retirer … J’étais hagard … J'étais content mais j'avais une drôle de tête comme je pouvais le constater quelques instants plus tard devant un miroir … On s'essuyait, le me passais de l'eau sur la figure et reprenait forme humaine … Devant le miroir, l'air ravis, il me donnait un dernier baiser dans le coup … On descendait pour passer à table .


Ce soir là à table, je ne sais pas si Justine a remarque quelque chose, elle me connaît et elle connaît son fils, elle s'en moque un peu aussi  !

On discutait de tout et de rien, de mon stage, de mes projets, de ceux de Jessy, de Greg et de sa sœur et aussi du procès . Monsieur Le Conte avait décidé de ne pas en rester là, pour ce qui est du scandale et des accusations de dopage dont j'avais été victime. Un procès était en cours, et l'affaire commençait enfin à avancer. L'équipe adverse était en cause … Le directeur de l'autre école était directement impliqué … Justine m'expliquait que Mr Le Conte était particulièrement en colère et que elle-même et plusieurs de ses collègues négociaient un dédommagement … J'étais le principal intéressé et je risquais de recevoir un de ces jour un chèque d'un montant non négligeable …

Oué, c'est super, je vais être riche ! Je pourrais même rouler en voiture de luxe avec ça ! Bon c'est vrai que c'est déjà fait ça … Je profite de ce moment pour vous confirmer que ça fait déjà un bon moment que je ne comprends plus rien dans cette histoire … Franchement il n'y a pas deux ans je rentrais dans cette école, en colocation. Ben oui en colocation le budget était serré … Je ne connaissais personne … J'étais puceau et à ce sujet j'ai pas oublié ceux qui se sont bidonnés joyeusement devant leur écran quand j'ai eu la maladresse de l'avouer … J'ai les noms … Aujourd'hui je vis une vie de débauche … Ben si quand même un peu, j'ai peut être un dispositif de chasteté mais je me fais défoncer le cul régulièrement et pas plus tard qu'aujourd'hui j'ai sucé une grosse queue … Si ça c'est pas de la débauche … Il m'arrive de rouler en Rolls et je conduis régulièrement des Mercedes. Tout le monde me connaît dans la ville et me traite comme un véritable prince … J'habite une appartement de grand bourgeois avec un majordome, en ce moment il est en vacance mais ça va pas durer, et je vais bientôt recevoir une petite fortune … Là j'ai pas l'impression d'avoir loupé un épisode, j'ai l'impression loupé la moitié de la série …

Mais, comment dire … C'est génial, j'adore cette vie, c'est le pied !

Un peu plus tard dans la soirée, Jessy et moi faisions une petite sortie … Je l’emmenais dans mon bar habituel … A l'entrée, tout le monde me saluait … Comme d'habitude ! On me laissait la meilleur place … Comme d'habitude ! On nous servait en premier … Comme d'habitude ... !

Jessy : Ben dis donc, ma mère m'avait dit que tu étais populaire, mais à ce point … Là tu m'épates !
Moi : (prenant un air faussement désabusé) Oui, je sais, c'est pas une vie, c'est toujours comme ça ! Tu n'imagines pas … Et en plus ta mère me dit que je vais recevoir un gros chèque et que je vais être riche … Tu te rends compte ? C'est pas une vie !

Il éclatait de rire .

Jessy : Tu es sérieux ?
Moi : NON ! J'adore cette vie ! Il y a juste un petit truc qui me tracasse ..
Jessy : Oui , mais encore !
Moi : Le regard de tous ces gens, certains sont en train de me déifier, ils attendent de moi des choses que je n'ai pas envie de leur donner et de plus je n'ai fait aucune promesse. Si un jour je venais à les décevoir ils n’hésiteront pas à me lapider !
Jessy : Il faut que tu casses cette image de toi, sans tout casser, ce sera délicat mais d'après ma mère tu sais gérer ce genre de situation … Le jour de la compétition tu avais été bluffant devant les journalistes …

Jessy avait raison. Ces gens qui parlaient de moi il me faudrait les faire taire en parlant à leur place. Si c'est de moi qu'on parle, c'est à moi d'en parler … On m'avait déjà à de nombreuses reprises demandé de faire des conférences … Je pense que je vais en parler à Monsieur Le Conte, il saura m'indiquer quelques personnes de bons conseil !

On passait une soirée décontractée, beaucoup de personnes venaient me saluer je les présentais à Jessy. Il constatait à chaque instant ma popularité et ne cachait pas son étonnement … On était une veille de week-end aussi on traînait, après le bar une boite de nuit … Les fille me tombaient dans les bras, plusieurs ne négligeaient pas mon camarade Jessy, d'abord il était très beau garçon et ensuite il était en ma compagnie …

On rentrait tard, Jessy me raccompagnait jusque chez moi . Arrivé chez moi …

Moi : Dis mois Jessy , je crois que je vais te faire le coup du dernier verre !
Jessy : Le coup du dernier verre ?
Moi : Je peux te proposer un dernier verre avant que tu ne rentres ?

Il éclatait de rire .

Jessy : Ça va j'ai compris !

Puis prenant un air très sérieux !

Jessy : Ce n'est pas de refus, un dernier verre, oui mais rien qu'un, il faut savoir rester raisonnable, après je rentre …
Moi : On va être sage !

Nos lèvres se rapprochaient … Nos lèvres se touchaient … On se ressaisissait et on entrait … On n'avait à peine franchi la porte de mon appartement qu'on s'était déjà sauté l'un dessus l'autre … On s'embrassait, il glissait une main sous ma chemise, j'avais passé mes bras sous sa veste … Rapidement je l'entraînais dans ma chambre … D'un œil rapide je m'assurais qu'il n'y avait personne dans ma baignoire (on ne sait jamais) … et je commençais à le déshabiller …

Rapidement je lui retirais sa veste et glissait mes mains sous sa chemise … Sa peau était chaude et douce, il me répondait par un sourire et des baisers sur les yeux, le front, les lèvres … Ma veste tombait et ma chemise suivait … Il se retrouvait, chemise ouverte et le pantalon sur les cheville, suivait son caleçon … Je commençais à lui sucer la bite … Il bandait ferme … De ses deux mains il me dirigeait, d'un mouvement régulier de son bassin il m'enfonçait sa queue dans la bouche et la retirait … Quand je me relevais, il dégageait ses pieds et en quelques instants il était nu devant moi … Rapidement mon pantalon tombait à son tour puis le reste, je me retrouvais nu également devant lui, sa peau était douce, son étreinte était chaude, ma cage était prête à exploser et me faisait un peu mal …

Il me repoussait sur le lit et se laissait tomber sur moi, tout en douceur, tout en chaleur, tout en tendresse, il me prenait dans ses bras et je refermais les miens sur lui … On roulait l'un sur l'autre , je me retrouvais au dessus, il me caressait le dos, les fesses, les cheveux. Il se retrouvait au dessus de moi, et à mon tour je lui caressais les cheveux, les fesses, le dos, je l'embrassais dans le coup, il m'embrassait les épaules …

Je lui mordillais les tétons et lui arrachais quelques discrets gémissements de plaisir. Il me répondait par des baisers dans le coups et descendait le long de mon corps, mes tétons, mon ventre, des caresses, des baisers, il me mordillait doucement au niveau de mon nombril, continuait à descendre pour ne s'arrêter que juste au dessus de ma cage, il semblait le contempler un moment …

Jessy : Tu porte ça depuis longtemps …
Moi : Quelques mois !
Jessy : Et tu n'as jamais envie de …
Moi : Non j'ai pas envie de parler en ce moment !

Je le retournais sur le dos, le chevauchais, et je lui rendais ces câlins qu'ils venait de me donner … Je ne m'arrêtais pas juste au dessus son sexe . Arrivé là, j'avalais son pénis, il ne cachait pas que ça lui plaisait … Nous étions resté jusque là d'une extrême douceur mais là le rythme s'accélérait … Il appuyait sur ma tête, doucement tout d'abord puis plus fermement. Il soulevait son bassin imperceptiblement pour commencer suivaient des mouvements plus amples plus rapides … J'avais mal au niveau de ma cage, la base de mon pénis me faisait mal … Comme aux premiers jours !

Il me retournait sur le dos et me chevauchait … Il me chevauchait la tête, les jambes repliées, mes bras coincés sous ses jambes, sa queue bien enfoncée dans ma gorge … Ses testicules s’écrasaient mollement sur mon nez et je pouvais contempler son cul . Il avait de très jolie fesses ! On était en position de 69, il me caressait les cuisses et me gobait les couilles … Il se relevait par intermittence, sa queue ressortait de ma gorge ce qui me soulageait puis il se laissait retomber et me replissait la bouche de nouveau jusqu'à la gorge … par réflexe j'essayais de me dégager, je ne pouvais pas bouger, bien sûr si j'avais vraiment voulu, j'avais la force de le soulever et de basculer sur le coté mais … C'était désagréable mais je ne voulais pas qu'il s'arrête, pas encore !

Il se retirait brusquement, me relevait les jambes, plaçait les chevilles sur ses épaules, c'est la position que je préfère, et sans prévenir me pénétrait rapidement … Je râlais de plaisir … Il était bien monté tout comme son père … Je n'avais pas eu le père mais je me faisais défoncer par le fils … Il me faisait un peu mal, mais sans plus, et j'aimais ça … J'aime sentir chaque centimètre s'introduire et me dilater l’extrémité les intestins . J'aime sentir mon anus se dilater sous la pression que procure un pénis de près de cinq centimètre de diamètre … Il était vraiment bien monté et j'aime ça !

Il accélérait le mouvement, ses va et viens dans mon cul devenait rapide. Je ressentais une chaleur, un plaisir qui montait en moi, rapidement je perdais le contrôle de mes sensations, j'éjaculais, je jouissais, c'était bon, Jessy ne ralentissait pas, je jouissais encore plus, Jessy continuait, je jouissais par mon anus et ce plaisir durait encore et durait encore quand Jessy éjaculait à son tour et jouissait en moi !

Sans prendre la peine de se retirer il me lâchait les jambes et se laissait retomber sur moi … Son contact était chaud et doux . On s'assoupissait un long moment … On ne se relevait que pour se prendre une douche rapide avant de se mettre au lit. J'avais toujours un peu mal à la base de mon pénis …


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