Beaute Cachee...
Alors que jétais en train de débarrasser la table, jentendais Ginette dire à ses copines, quelle devait chercher quelquun pour laider à aller chercher une armoire. Mais cela nétait pas le souci de lassemblée, et très la question resta sans réponse.
Ginette avait la soixantaine passée. Refusait de se mettre en valeur à cause de son physique. Un embonpoint qui la complexait. Quelle navait jamais pu venir à bout, malgré les régimes. Je trouvais ça dommage pour elle. Car elle avait un beau visage. Avec peu de rides malgré son âge.
Javais attendu dêtre seul avec elle pour lui proposer mon aide. Quelle avait accepté avec plaisir. Ensemble, nous avions été jusquau magasin. Alors que je maffairais de rabaisser les sièges arrière pour convertir ma voiture en break, Ginette sen alla à la réception pour sacquérir de son colis.
Sitôt elle ressortit avec un agent qui tirait un chariot contenant trois cartons long et plat. Tellement long que je dus laisser le coffre entrouvert. Pour ne pas quil souvre en roulant je lavais attaché avec une sangle.
Ginette habitait un bâtiment sans ascenseur. Plus est au troisième. Je métais tapé trois fois étages. Au dernier je transpirais comme si javais fait un marathon.
Pour me remercier de mon amabilité, Ginette me proposa de prendre un verre.
- Je veux bien, mais si je peux avoir avant un verre deau
je meurs de soif
- Bien sûr, fit-elle en se précipitant pour combler ma demande.
Cela me fit un grand bien. Au point den prendre un second. Confortablement assis, elle me servait un Pineau avec quelques cacahuètes.
- Dis-moi, Ginette tu as quelquun pour la monter ?
- Oui.
- Cest sûr ! Par ce que cela ne me dérange de te la monter.
- Non
Non ! Jai ma fille Dalida qui va se faire un plaisir de la monter. Nest-ce pas ma chérie ?
Quelques secondes plus tard jentendais une porte souvrir et des pas se rapprocher.
- Elle habite avec moi. Fit sa mère me faisant revenir à moi.
- Je ne savais pas que tu avais une fille
Je comprenais pourquoi elle la garder secret. Un deuxième verre de Pineau plus tard, Ginette assista pour que je reste dîner. Nétant pas attendu du côté de chez, jacceptais volontiers linvitation. À plusieurs reprises, je métais à table retrouvé seul avec sa fille, alors que sa mère saffairait en cuisine. Jessayais alors dengager la conversation, avec Dalida. Peu à peu elle riait, minaudait comme une collégienne.
Le dîner était excellent et Ginette était très enjouée, visiblement heureuse davoir un homme à la maison, ce qui la changeait du quotidien. Après le repas, je lavais accompagné jusquà la cuisine. Alors quelle faisait la vaisselle moi je lessuyais.
- Entre nous, murmura-t-elle, ma fille tu la trouves comment ?
- Je te mentirai en te disant que je la verrai bien sur un catalogue de mode.
- Elle ne serait pas contre avoir un copain. Surtout à son âge elle a besoin
enfin tu vois, me confiait-elle. Mais elle sent bien que ce nest pas possible. Et ces derniers temps dans sa tête ça ne va vraiment pas fort. Et puis, je reconnais que ce nest pas une vie de vivre toujours comme ça avec une vieille femme
- Mais que dis-tu là ? Tu es encore très désirable
- Tu es gentil ! Cest dailleurs pour cela que je voudrais te demander un petit service.
- Encore un ?
- Oui fit-elle en riant. Celui que je te demande est un gros investissement. Et là
tu vois, je ne sais pas comment te demander ça.
- Tu fermes les yeux et tu te lance.
- Ce qui me gêne, vois-tu
cest ce que tu vas penser de moi après...
- Après quoi ?
- Jy viens
- Je suis ouvert à tout.
- Comme tu es gentil.
- A force de le dire, je vais le croire
- Bon, alors jy vais. Mais surtout, je ten supplie, ne me coupe, ce serait trop dur pour moi de reprendre le fil de la discussion. Voilà !
Serais-tu daccord pour coucher une fois avec ma fille.
Je mattendais à tout
mais à cela ! Javais du mal à déglutir ma salive.
- Faire lamour, vois-tu, elle adore cela. Et elle reste plusieurs jours sans quelle soit touché par un homme. Et ça la rend malade, elle en devient comme folle.
Si javais bien compris les paroles de sa mère, elle avait tout de même des partenaires. Jinspirais un bon coup, avant de dire :
- Mais pourquoi me demander ça à moi ?
- Parce que jai vu dans son regard que tu lui plais. Quand un homme vient à la maison, je sais tout de suite ce quelle en pense et sil lui plaît. Mais rien ne toblige à accepter. Si tu refuse, je comprendrai très bien. Elle nest pas jolie à voir et sans doute pas bien attirante pour un homme comme toi.
Je crus un moment que je rêvais. Quelle histoire ! Ginette ajouta en me tendant une casserole :
- Ma fille sait se montrer très convaincante avec un partenaire dans une relation. Elle aime tout
À entendre Ginette, cétait comme si laffaire allait se faire. Prenant sur moi, mais surtout pour rendre service à cette pauvre Ginette, jacceptais.
- Mais juste une fois
- Je ten remercie, fit-elle en posant ses lèvres sur ma joue.
La vaisselle rangée, nous retournions dans le salon, là se trouvait déjà Dalida. Javais du mal à rester naturel. Un peu plus tard, Ginette décida de prendre congé.
- Je tombe de sommeil. Je vais aller me coucher...
La fille navait pas vraiment lair surprise de la voir partir sa mère. Elle attendait un bon moment avant de couper la télévision.
- Elle te la demandait ?
- Oui
- Tu nes pas obligé, me dit-elle alors. Si tu nen as pas envie, tu peux encore ten aller. Il ny a pas de problème, je ne ten voudrai pas.
- Quand je promets quelque chose chez moi, je lexécute.
Elle se leva, me prit par la main et mentraîna doucement dans sa chambre. Devant la porte une idée me venait.
- Cela te dérange si je vais faire une petite toilette.
- Pas du tout. La salle de bains se trouve au bout du couloir la porte à droite. Je tattends dans mon lit.
Une fois enfermé dans la salle de bains, je cherchais le panier de linge sale. Très vite je repérais ce que jétais venue chercher. Une culotte de Ginette. Un parfum capiteux sen dégager. Ma drogue, mon Popper à moi. Et ce soir jen avais un grand besoin.
À mon retour dans la chambre, la pièce était plongeait dans une obscurité la plus totale. Ce qui marranger bien soit dit en passant. Tout de suite je sentais une main me farfouillant à la hauteur de mon sexe. La main senhardissait, faisait glisser la fermeture de ma braguette et sintroduisait dans louverture. Dune main elle me caressa les couilles, les soupesa. Comme je ne protestais pas, et pourquoi laurais-je fais, elle caressait le sexe. Je portais la culotte à Ginette à mes narines, alors que plus bas, Dalida me soutira pantalon et slip. Elle se saisit de mes couilles, les soupesait de nouveau. Je sentais quelle était une experte en la matière tant sa palpation était agréable. Fière du résultat, Dalida encercla mon gland avec son pouce et son index comme pour en apprécier sa dureté. Puis me branla. De temps en temps, un doigt me caressait le frein. La coquine savait y faire. Le précepte qui disait que les plus défavorisé par la beauté étaient à même de faire plus jouir un homme était fondé là, dans cette chambre.
Me prenant dans sa bouche. Elle pompait en connaisseuse. Sans trop saliver, elle serra ma hampe avec ses lèvres, donnant quelques coups de langue sur le frein. Malaxant avec avidité mes bourses. Cétait sublime. Du grand art
Sa langue cherchait quà me faire du bien. Je fus étonné de lappétit avec lequel elle me dévorait.
Elle devait être très langue pour me faire tant de bien. Elle se fit ensuite ventouse, en aspirant ma queue. Il y avait chez elle une vraie frénésie sur le sexe, savant ce quelle cherchait. Son empressement eut raison sur mon excitation. Et je jutais dans sa bouche. Mon grognement de satisfaction coupait le silence de la pièce. Jamais jusqualors, je navais été pompait avec autant denvie.
Elle ne me laissa le temps de récupérer que déjà elle me suppliait de la doigter. Sans forcer, tant elle ruisselait de désir, mon majeur glissa le long de la fente sexuelle béante, et senfonça entièrement dans une profondeur moite et velouté. Jexplorais avec curiosité la vulve profonde et moelleuse. Une chaude liqueur me poissa aussitôt la main.
- Oui comme ça
. Que ce soit bon
mencourageait-elle.
La gorge nouée par lintense désir qui menveloppait, jagitai mon doigt raidi dans une onctuosité aqueuse. Avec ivresse, je le fis longuement aller et venir le long des parois juteuses.
- Continue
cest bon
tu me branles bien, jaime ça.
Elle haletait. Elle aimait cela. Elle criait. Se taisait
criait encore. Ma soif de découverte, fit glisser le même doigt jusquau son anus. My enfonçais lentement. Dès la première phalange enfonçait, il me semblait que celui-ci souvrait. Sécartait de lui-même comme sil acceptait mon intrusion. Tout mon doigt fut engloutit dans le cul de Dalida. Je le fis coulisser dans le mignon petit trou. Sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
- Oh oui, cest bon gémit-elle. Branle-moi bien le cul
Ohhh oouuii
Ouiii
Étonné quelle puisse ressentir un tel plaisir par ce trou, jen enfouis un deuxième doigt, puis jaccélérais mon pistonnage.
- Oh oui, cest encore meilleur, grogna-t-elle.
Aussitôt, elle lança furieusement son derrière au-devant de mes doigts
- Viens maintenant mexhorta-t-elle ! Je veux sentir ta queue dans sa chatte !
Mets-la-moi ! me supplia-t-elle, telle une furie.
Elle sétait positionnée pour me recevoir dans sa bouche vaginale. Après avoir tâtonné pour me placer au centre de la cible, je fus aspirée avec gourmandise, avec un bruit de succion. Dalida se mit à gémir à chacun de mes coups de bite. Peu importait que sa mère dormait de lautre côté de la cloison. Comme si elle voulait partager avec elle ce moment fantastique.
Elle sexprimait de la plus belle. Mincitant à y aller plus fort. Vraiment, elle aimait le cul. Ma queue était immergée dans un bain poisseux. Sen suivait un long grognement de femme en rut qui prenait un pied denfer. Je ne pus mempêcher de gicler avec des spasmes. Elle jouit encore, alors que je maffaissais sur elle, le souffle rapide et court.
Javais comme un besoin de reprendre mon souffle. Je me laissais tomber le dos sur le matelas. Mais cétait sans compter su Dalida. Me reprenant en bouche. Me redonnant très vite lenvie de remettre le couvert.
- Mets moi là dans le cul
tu las déjà fait ?
- Oui
- Tu aimes ?
- Non
jadore
- Ça tombe bien, moi aussi
Elle se positionna pour avoir le bout arrondi de mon gland, appuyait sur son illet. Puis elle sempala, poussant un petit gémissement. Je me retrouvais fiché jusquaux couilles dans le cul.
- Oui, oui, ça y est grogna-t-elle.
Je sentais ma verge gonflé à lintérieur des intestins. Elle se souleva un peu, je profitais de ma position allongé pour magiter sous-elle. Imprimant un violent va-et-vient.
- Oh oui ! Oui, encules-moi bien à fond, défonce moi
Jaccélérais peu à peu mon mouvement de pompage. Pistonnant à tous va le cul accueillant, de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Elle soufflait, elle gémissait, elle hurlait sa jouissance. Pour ma plus grande surprise, javais une nouvelle fois éjaculé. Une éjaculation que je dirai moins jouissif que les précédentes.
Alors que je mapprêtais de quitter les lieux, je fus rattrapé par Ginette, en robe de chambre.
- Merci, me lança-t-elle, les yeux brillants de larmes. Un très grand merci pour elle.
Voyez-vous, chers lecteur, je persiste et signe, les moins gâtées par la nature ne compte vraiment pas pour du beurre
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