Tendresse D'Un Matin...
Comme ça avait été prévu la veille, oralement par mon directeur du moment, javais commencé à laube pour travailler dans de bonne condition. Sans subir les obstacles que pourrait produire les autres employés. Javais été chargé de vider dans son entier un bureau qui faisait jusquà cet instant office darchives. Il fallait faire place nette, avait dit le directeur. Il était prévu que dans la matinée du nouveau mobilier vienne occuper le lieu. Et cela pour la plus grande joie de deux secrétaires, qui viendrait occuper lespace une fois ce dernier apte à les recevoir.
Pour nettoyer la pièce une fois vidé, il mavait été alloué une femme de ménage. Martine une brune sexy dune trentaine dannées. Un visage aux traits fins, distingués, sans maquillage. Un teint hâlé, les pommettes un peu rosies. Ses cheveux, épars, lui donnaient toute sa féminité. Elle avait la trentaine. Entre nous les relations étaient bienséantes. Il marrivait de la réclamer pour lui faire des extras lors de mes vins dhonneur. Et pendant nos longues attentes quelle me parlait librement. Et moi je lécoutais.
Les derniers dossiers en mains, Martine me passa devant avec un escabeau. Jentrevis le dessin du string sous la blouse trop courte pour être honnête. Il ne men fallait pas pus pour réprimer un début dérection.
- Tu comptes faire quoi avec ça ?
- Les carreaux
- Les carreaux ! En voilà une drôle didée.
- Tu diras ça à ton directeur.
- Cest lui qui ta donné cet ordre ?
- Qui donc à par lui
il ma même dit que tu devais maider.
- Taider ! Pour quoi ?
- Pour maintenir lescabeau tiens ! Pour ne pas que je chute.
- Tu ne préfères pas mieux que je le fasse, comme ça tu pourrais doccuper à autre chose.
- Toi ! Faire les carreaux
tu rigoles là !
- Je suis parfaitement sérieux
- Tiens-moi lescabeau, cela tévitera de dire des conneries
et pour la gouverne je nai rien dautre à faire
Après avoir appliqué lescabeau près de la fenêtre, et posé son seau et chiffon, elle montait un après lautre les barreaux.
- Alors tu fais quoi ? Tu attends peut-être que je tombe
Je posais les dossiers sur le sol et allais maintenir lescabeau.
Le grand hasard cétait quelle nétait pas en pantalon ce matin là ! Javais vite compris que le hasard avait bon dos. Sous sa blouse qui ne cachait pas grand-chose, elle portait un string noir en tulle. Donc transparent. Par transparence javais un panorama imprenable sur son intimité.
La tentation était tentante.
- Eh dis-moi !
- Oui, répondit-elle en passant léponge humide sur la vitre.
- Tu aurais pu de passer un pantalon
- Ah oui ! Et pourquoi ?
- Pour mévité de regarder en dessous
- Plaint-toi
- Je nai rein dis de la sorte
répliquais-je en grimpant sur la première marche pour glisser ma tête sous sa blouse, respirant ses odeurs. Une odeur de femme excitée se répandait et me saoulais. Je bandais déjà très fort. Ses poils frisés recouvraient la ficelle du string. Je me sentais envahie par la faiblesse habituelle. Jeffleurais de mes lèvres sa cuisse. Comme elle ne réagissait pas, comme je lavais soupçonné, jy avais mis ma main. Lui caressant lintérieur des cuisses. Faisant frissonner sa peau blanche laiteuse. Puis les fesses nues, puis le tissu tiède et moite, gonflé par son sexe.
Très provocatrice, elle pliait les jambes, faisant ressortir son fessier. Ce cul ample et majestueux était à ma portée
Je sentis la ficelle du string humide céder sous mes doigts, cela senfonçait dans une crevasse chaude et gluante. Troublé, je me mis à fouiller la chair humide à travers létoffe. Des mèches de poils noirs dépassaient. Elle gémissait dune voix plaintive qui mintrigua. Son corps sagita, en proie à de violents soubresauts. Elle avait poussé un soupir daise. Javais compris que cétait ce quelle désirait. Elle avait plié les genoux davantage en me tendant son fessier. Le sang montait à ma tête, jy voyais trouble.
Je me penchais, le visage au plus près au ras des poils pour le sentir. Je dirigeais ma bouche entre ses fesses et passais ma langue sur sa fente très humide. Je la léchais méthodiquement, de bas en haut et de haut en bas. Plusieurs fois de suite avec la même lenteur. Comme si je voulais être certain de ne négliger aucun interstice, aucun repli. Les lèvres étaient brûlantes. Je plaquais ma langue dans toute sa largeur dans toute sa longueur. Jintroduisais le bout de ma langue dans son puits damour et le remontais vers laspérité sensible que je titillais avec une frénésie contenue. Théoriquement, lexplosion de jouissance ne devrait pas être loin.
Le simulacre de coït engendrait les plaintes de Martine. Ma langue entrait et sortait à un rythme soutenu. Mon nez palpitait dans les poils. La vulve dégorgeait de bave que javalais. Je faisais des bruits obscène en aspirant et mâchouillant les chairs tendes des nymphes et les grandes lèvres. Puis en me retournant, la tête plaquait contre les marches, je lui suçais le clitoris. Comme si jaurais tété un mamelon. Aspirant lorgane entre mes lèvres. Le mordillant, le mâchonnant, le titillant. Mais linconfort de ma position mobligea dabandonner ma caresse, pour poser lindex sur lillet. Je sentis la chair molle tressaillir. Le contact lavait fait presque jouir. Un pet avait accompagné lintromission du deuxième doigt.
- Tu aimes ? Fis-je
- Oui, cest bon, tu mencules bien.
Elle levait et abaissait vivement ses fesses sur mes doigts.
- Tu aimerais te faire enculer par une queue ?
- Oh oui ! Oui jen rêve. Ça depuis que je regarde les films de cul. Mais mon mari nest pas chaud. Il dit que ça pus.
Javais retiré mes doigts pour son plus désarroi pour y fourrer ma langue. Cétait amer. Son odeur musquée mexcitait terriblement. Je salivais tant que je le pouvais, lubrifiant le conduit. Et cela jusquà je puisse faire coulisser deux doigts sans encombre.
- Je vais tenculé maintenant.
- Oui
oui
oui, je veux me faire enculer
je ten supplie encule-moi, je jouis
je jouis
Je continuais de lui branler le cul avec mes deux doigts, tout en lui caressant ses seins. Elle gémissait en cadence.
Alors quelle était toujours perchée sur lescabeau, je guidais mon gland contre la rondelle enduite de salive. Le bout de ma queue avait écarté lentement les chairs plissées. Puis sous la pression, lanneau lâcha dun coup, laissant mon gland sengouffrer dans le rectum. Formant autour une bague rosée. Je procédais avec douceur, plongeant graduellement plus avant dans lorifice. Elle respirait bruyamment.
Javais accentué ma pression pesant sur les reins, tandis que je creusais les miens pour menfoncer davantage. Elle avait poussé un cri.
- Ah, cest bon. Ta queue me remplit. Cest comme si je faisais caca.
Les deux pieds joints sur la deuxième marche de lescabeau, elle poussait ses fesses pour mavaler. Faisant disparaître une bonne partie de ma queue. La tenant aux hanches, je me mis à onduler. La limant lentement pour ne pas sortir de son cul. Cétait délicieux. Après quelques oscillations, son anus dégoulinait tellement, quil émettait des bruits de suintements indécents. Javais envie que cette enculade dure un peu plus longtemps. Je sentais bien mon gland se faire masser par ses parois.
Tout son corps frémissait. Elle était au bord de lorgasme. Ses narines évasées battaient la cadence sous sa respiration saccadée.
Tout à coup, son orgasme explosa. Son corps se raidissait. Son anneau culier étranglait ma bite par des spasmes continus.
Elle sexprimait maintenant par des cris pendant que je maintenais sa jouissance en continuant de la forer à fond. Sa jouissance décupla mes désirs érotiques. Jaccélérais le mouvement de va-et-vient de mon bassin. Bientôt je fus submergé par des soubresauts annonciateurs dune proche éjaculation. Encore quelques pompages et jobtins la juste récompense de mon acharnement.
- Eh
tu ne fais pas les carreaux
- Pourquoi les ferais-je ? Jai eu ce que je voulais
fit-elle en me faisant un clin dil
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