Collection Cocu. La Lectrice De H.D.S. Je Craque (1/1)

Quarante-deux ans, je suis fidèle depuis l’âge de dix-huit ans à Gérémy mon mari, nous nous sommes mariés, car j’attendais Joséphine qui depuis deux semaines à elle aussi épousée John jeune américain venu faire ses études à Paris et est partie vivre à Houston au Texas.
Comme les ennuis, car je considère ce départ comme tel, même si John est un garçon charmant et qu’ils auront de bons revenus dans l’entreprise de son père, les ennuis donc, car je suis remerciée de mon boulot, le magasin de chaussures pour lequel je travaillais ferme pour démolition de l’immeuble où il se trouvait.
Gérémy est banquier et entre mes indemnités de licenciement, son salaire et nos biens au soleil depuis le décès de mes parents et beaux-parents, je décide de prendre un peu de temps avant de rechercher un travail.
Je suis une belle femme malgré mon âge avançant inexorablement, afin de le rester pendant une heure, tous les matins, je vais dans une salle de sport tenue par Alain beau mec qui essaye de me draguer comme il drague toutes les chattes qui passent à sa portée.
Pardon, je dis les chattes mot populaire qui jusqu’à huit jours était absent dans ma bouche, mais mon temps libre surtout l’après-midi a fait que je suis devenue une lectrice de texte sur ma tablette.
Les deux premiers jours, j’ai lu un e-book acheté sur le site de la Fnac, jusqu’à aujourd’hui où je suis tombée sur le site Histoire de sexe qui publie des histoires gratuites de sexe bien sûr.

Je suis dans les jardins des plantes à cent mètres de chez moi assis sur un banc quand je lis la dernière histoire publiée à douze heures écrites par un auteur dont j’ai oublié le nom.
La femme que je qualifierai d’héroïne dans cette histoire est comme moi dans un parc et je suis obnubilé par ce qu’il lui arrive et surtout ce qu’elle fait.

• Excusez de vous déranger dans votre lecture, j’ai moi-même lu cette histoire sur ce site érotique avant de venir, j’espère que vous vous reconnaissez dans l’héroïne.


• Comment pourrais-je avoir envie de faire ce qu’elle fait même si nous sommes dans un parc.
• Suis-moi !

Son ton, son assurance, sa belle gueule quand je le regarde mieux semble annihiler toutes mes défenses, je franchis les quelques mètres qui nous mènent aux latrines publiques qui sont derrière les buissons face à nous.
L’homme ouvre sa braguette et je me retrouve avec sa verge dans la bouche.
Pour être à la hauteur, je tombe à genoux sentant l’urine au sol maculer ma jupe, mais peu m’importe, ce pieu noueux qui entre et sort de ma bouche tenue par l’arrière de ma tête m’est très agréable.
C’est la première fois que je suce une bite, comme l’héroïne de l’histoire de H.D.S et quand je lève les yeux, je vois qu’il va éjaculer, je devrais battre en retraite, mais je le pompe plus goulûment attendant avec envie le moment où son sperme giclera dans ma bouche.
Une deux trois, c’est ce que son pieu me propulse sur mes amygdales, trois longs jets que je sens descendre tout au long de ma gorge.
Il se retire s’essuie sur ma joue et avant que je comprenne ce qui arrive une autre bite vient, elle aussi dans ma bouche.
Tous les vicieux du jardin des plantes ont dû se donner le mot, car après qu’elle aussi m’eut empli l’estomac une autre la remplacent et me décharge sur la figure quand je le masturbe.
Mes genoux me font mal sur cette terre trempée d’urine, mais tant qu’une nouvelle bite se présente, je la suce où la masturbe.
J’ai du sperme dans les yeux, mon corsage et ma veste de tailleur sont maculés, mais jusqu’à la dernière goutte et le moment où je comprends qu’ils se sont tous vidés les couilles sur moi ou en moi, je me relève, passe ma main sur mon visage pour enlever le plus gros des salissures.
Je récupère ma tablette que j’avais posée à mon côté et qui a ramassé, elle aussi sa dose de foutre pour retourner tant bien que mal chez moi sans revoir l’homme qui m’avait attiré dans ce piège.
Coup de chance, je ne croise personne de connu, les quelques personnes doivent me prendre pour une folle, car je marche rapidement malgré mes talons aiguilles serrant ma tablette sur mon coeur.

L’odeur que je dégage doit leur arriver jusqu’aux narines tellement l’urine à pénétrer ma jupe, je monte dans l’ascenseur avec la chance, là encore de ne rencontrer personne.
Dès ma porte franchie, je me précipite dans ma salle de bains, jetant mes vêtements au sol, je me plonge dans un bain que j’espère réparateur.
La honte et l’urine sont tellement imprégnées en moi que pendant une heure, je fais couler de l’eau froide sur moi par le pommeau de la douche pour me punir.
Je prends conscience que j’ai trompé Gérémy, mais je me trouve des circonstances atténuantes, étant parti pour trois jours pour signer un gros contrat, il a oublié de me baiser avant de partir.
C’est à ce moment que le téléphone fixe sonne.

• Florence, c’est l’homme du parc, tu as aimé te substi à l’héroïne de l’histoire d’Histoire de sexe, attention si tu raccroches les photos que j’ai prises quand les hommes après moi se sont défoulés sur toi arriveront chez ton mari d’une manière ou d’une autre.
Tiens, donne-moi vos 06 à l’un et à l’autre, je pourrais te joindre ou le joindre si tu es réticente à continuer notre petit jeu, je me présente Tanguy, je vais devenir ton ange noir, mais tu vas voir, tu vas aimer.
Vas-y, je vais les mettre dans mes contacts.
• 06 07… et 06 02… le deuxième étant le mien.
• Parfait, je vais te laisser digérer tout le sperme que tu as ingurgité, je raccroche, je vais dîner en pensant à la salope que je vais faire de toi, au fait, j’ai eu facile à te retrouver, votre nom sur la boîte aux lettres et l’annuaire pages jaunes m’a donné ton numéro, tu aurais dû te faire mettre sur la liste rouge.
Si tu rencontres les deux petits vieux que j’ai dérangé avant de t’avoir, excuse-moi auprès d’eux.
Je serai mardi prochain sur notre banc à 14 heures, nous lirons l’histoire de 12 heures, elle nous apportera des éléments pour notre jeu de l’après-midi.

Il raccroche, me laissant pantoise, entre le moment où je repose le combiné et le moment où Gérémy revient, je change de position dix fois même plus sur la conduite à tenir.

Tous lui dire, être pardonnée et reprendre ma vie normale, un point me tarabuste, chaque fois que je pense aux bites que j’ai sucées, je ne ressens aucun remords tellement, j’ai aimé, mais immanquablement l’odeur d’urine remonte à mes narines.

Quand Gérémy arrive, la balance penche pour tout lui dire, mais il me prend dans ses bras en m’embrassant, me pose sur notre lit et ouvrant mon peignoir, car sortant de ma douche, je sens sa verge me pénétrer.
Je deviens folle, car pendant les dix minutes où il me pilonne, j’ai l’impression d’une ronde de verge qui m’apporte un orgasme jamais atteint.

• J’espère que tu as été sage pendant mon absence, tu sais nos amis Colette et Jean divorce, j’ai rencontré Jean dans le train, sa salope se tapait le fils des voisins.
• Je suis sage, tu le sais !
• Évidemment, sinon je serais capable de te quitter malgré l’amour que j’ai pour toi.

C’est ainsi que je rentre dans le péché comme l’on dit, j’ai cumulé tellement de bêtises en peu de temps que je deviens une femme infidèle à la merci de son suborneur surtout quand le mardi suivant je me dirige vers le jardin des plantes.
Je suis la première à moins que tout cela soit irréel, je prends ma tablette pour commencer à regarder l’histoire de 12 heures, elle est écrite par « Florence », je vois sur le côté que c’est son second texte, le premier qu’elle a écrit avait pour titre « La lectrice de H.D.S » avec en sous-titre « Je craque. »
Aujourd’hui, toujours « La lectrice de H.D.S. » Sous-titré « Pigalle. »

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