Le Mariage
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cette histoire mest arrivée il y a quelques années. Je mappelle Nathalie, javais 28 ans à lépoque. Je suis brune, et pas trop mal foutue. Pas dans le genre top model de 1,80m, mais plutôt du style brindille . Je mesure 1,55m et je pèse 46 kg, avec des formes féminines, des seins ronds et fermes pas énormes (85c) mais en rapport avec le reste, une postérieur et des abdos qui sont corrects grâce à un travail intense à la salle de sport. Je vis en couple, depuis six ans avec Pierre, mon ainé de deux ans, 1m75 de tendresse, et de muscles, des cheveux chatain coupés court et des yeux verts irrésistibles.
Pierre avait reçu une invitation pour le mariage dun de ses clients avec lequel il avait sympathisé. Ce nétait pas une obligation, bien sûr, mais Pierre me fit comprendre quêtre présent serait un plus pour lui. Comme le mariage se déroulait sur la côte dAzur, nous avions décidé de rester quelques jours pour profiter de la Riviera.
Nous venons de débarquer, et Après avoir récupéré une voiture de location. Nous nous rendons, plan en main chez les parents du marié, chez qui est prévu lapéritif. Pierre est en costume clair, chemise bleu ciel et cravatte beige. De mon côté, jai mis une petite robe de cocktail moulante, très courte, ornée de broderies et de perles, dissimulée sous mon manteau Desigual mi-long, bien utile car le temps en ce début de printemps est encore frais à Paris. A Nice, par contre, cest grand beau, et jai pu ranger le manteau dans le coffre avec notre valise. Jai prévu, une robe longue pour la soirée, un long fourreau blanc, fendu dun côté, qui fait ressortir mon hâle obtenu à grands renforts dUV.
Nous arrivons à la maison indiquée, à flanc de colline, dans un quartier, plutôt sympa où les batisses sont disséminées dans une pinède, qui les masque à la vue. La rue et les trottoirs sont encombrés par des véhicules. Nous sonnons, La porte souvre.
« Oui, oui, oui, oui ! » sexclame la dame « Pierre, Gérard ma beaucoup parlé de vous. Il dit que vous êtes un homme précieux. Et vous devez être Nathalie » dit elle en se tournant vers moi. Elle a lair de connaître par cur ses invités. Pour ma part jai rencontré ledit Gérard à quatre ou cinq reprises. Je vois mon homme se rengorger sous le compliment, pendant que je confirme mon identité, sil en était besoin.
« Allez, allez vous amuser ! ça se passe autour de la piscine. Suivez le couloir à droite, en haut des marches. Moi, je reste ici pour laccueil. »
Au bout du couloir, nous franchissons une baie ouverte. Lespace autour du bassin qui doit faire une douzaine de mêtres de long est assez vaste, avec des tables et des chaises, tout autour. Il y a plus dune cinquantaine de personnes, et lambiance est assez bruyantes. Pierre mentraine à sa suite, saluant quelques connaissances, au passage, jusquà ce quil repère les mariés. Gérard, nous fait la bise et nous présente Sylvia, sa femme épousée le matin même à la mairie. Il nous souhaite la bienvenue. Je lui demande, où se trouve notre hôtel. Il me donne une carte avec ladresse. Jexplique à Sylvia que nous souhaitons passer à lhôtel avant la soirée pour nous rafraichir, et , pour moi, me changer, car il métait difficile de prendre lavion, en robe de soirée. Elle me répond que ce ne sera pas très pratique, car lhôtel réservé pour nous est à Nice, à près de 45mn de route, et le restaurant pour la soirée, à 30mn, mais dans le sens opposé. Il faudrait donc partir immédiatement, ce qui est impossible. Mais elle ajoute que je peux me changer dans une des chambres damis de la maison, et même y prendre une douche. Rassurée, je déguste mon premier verre de champagne. Les invités continuent à arriver. Le champagne et les alcools coulent à flot.
Comme ça fait plus de deux heures que nous sommes là, à presque vingt heures, je me dis quil va falloir me préparer car nous pouvons lever le camp pour le restaurant, dans les prochaines minutes.
Sylvia me remet aux mains de sa belle-mère qui mattend à la porte pendant que je récupère létui contenant ma robe de soirée dans la voiture. Puis la brave dame, me précède dans la partie nuit, à lopposé de la piscine, et ouvre un première chambre. Le lit est encombré de vêtements.
« Ah, joubliais, ils se sont changés ici, pour se baigner. » explique telle. Elle repart dans le couloir et, au fond à droite ouvre la porte dune autre chambre.
« Dans celle-ci, il ny a personne. » me dit elle en me précédant à lintérieur. « Vous pourrez même vous rafraichir » ajoute telle en ouvrant la porte dune salle deau équipée dune grande douche à litalienne. Elle sassure quil y ait bien des serviettes de toilette, et me laisse
« Faites comme chez vous » me dit elle avant de refermer la porte.
Aussitôt seule, je sors ma robe de sa housse et létale sur le lit. Heureusement, jai mis un string blanc sous ma robe de cocktail, car toute autre couleur se serait vue sous le fourreau blanc. Je me dis que jai un peu de temps pour passer sous la douche.
La porte souvre à la volée, et un homme entre brusquement, bousculé par un deuxième, tous deux rigolant. Ils sarrêtent en me voyant. Jai aussitôt croisé mes mains sur ma poitrine nue. Le premier est un grand brun costaud qui sourit en me voyant. Le deuxième , je le connais de vue. Cest le frère du marié, un gars de 25 ans environ, très brun, un peu moins grand que son pote.
« Excuse nous » dit ce dernier « on sest trompé de chambre. »
Mais il ne fait pas mine de sen aller.Je me dis que jaurais du men douter. Quelle gourde ! avec tous ces gens dans la piscine, cétait sur quil y aurait des allées et venues. Car les deux hommes sont en maillot de bain.
Le frère du marié se rapproche.
« Je te connais. Tu es la femme de Pierre ? » demande til
Je réponds que Oui
« Ne tinquiètes pas » dit il « on cherchait des copines qui étaient avec nous à la piscine. Tu ne les a pas vues ? »
« Non, je suis seule »
Il vient sasseoir au bord du lit.
« Tu es vraiment très jolie. Tu nas pas à te cacher. Dailleurs nous ne sommes pas plus habillés que toi. »
Effectivement, je baisse les yeux sur son maillot qui est déjà bien distendu par son érection.
« Maintenant quon est là, laisse nous voir tes seins » demande t »il
Je fais non de la tête
« Tu vois bien leffet que tu me fais. » ajoute til
Il att mes mains et les décolle de mes épaules, les écartant pour avoir une vue de ma poitrine. Je suis tétanisée. Je ne mattendais pas à une telle situation. Certes les arrivants sont plutôt bien faits, mais je ne suis pas prête à me faire sauter à la va-vite juste pour éponger ces deux lourdauds.
« Je veux bien vous laisser voir mes seins, mais nous devons partir pour le restaurant, et nous navons que peu de temps. »
« Ne tinquiete pas pour ça, il y a encore plein de monde à la piscine. On a du temps. »
Je laisse retomber mes bras, dévoilant mes seins en poire.
« Ils sont très beaux » commente til et je sens sa main semparer dun de mes seins, puis de lautre. De son autre main, il dégage son sexe tendu du slip et se masturbe en me palpant les seins, et en pinçant leur bout.
Jaurais dû me douter, que cela ne suffirait pas. Décidée à en finir rapidement, jempoigne sa queue et commence à la masturber rapidement. Il faut dire quelle prend des proportions assez inhabituelles, et jarrive, à peine à en faire le tour avec ma main.
Le frère du marié, car cest de lui quil sagit, penche la tête et vient embrasser mes seins. Il les malaxe tout en suçant mes tétons qui ne sont pas insensibles à la caresse et se dressent fièrement . Son copain sest agenouillé au bord du lit, et palpa mes jambes, suit mes cuisses pour arriver à mon string. Il masse mon minou au travers du tissu, qui shumidifie rapidement tandis que je sens une douce chaleur simposer entre mes jambes. Je sens des doigts longer mes hanches et crocher lélastique du string, qui descend inexorablement vers mes pieds. Après mavoir délestée de ce dernier rempart, le gars écarte mes jambes, et vient coller sa bouche sur ma vulve quil entreprend de lécher, en écartant mes grandes lèvres.
La queue dans ma main est devenue énorme, et je nen ai jamais connue de si grosse elle est longue, de plus de 20cm, et large comme un poignet.Le frère du marié me pousse en arrière, mallongeant sur le dos, et vient sétendre , à mes côtés, son braquemart tourné vers moi. Jai maintenant trop accepté pour pouvoir reculer. Je prends donc lobjet en bouche, ouvrant les machoires au maximum, mais il nest pas question de lengloutir en entier. Je suce son gland turgescent, en agaçant le frein de ma langue. Il balance le bassin en avant, investissant ma bouche mais sa bite monstrueuse vien se bloquer au fond de ma gorge avant que jen aie absorbé la moitié., manquant de m.Je dois me contenter de lécher cette hampe sur sa longueur avant daller gober les testicules, elles aussi volumineuses.
Pendant que je mapplique à satisfaire le frère du marié, lautre a investi mon intimité, pointant sa langue partout, de ma cavité à mon anus, aspirant puissamment mon clito qui est maintenant largement sorti de son antre, ses doigts inquisiteurs envahissant ma chatte et mon petit trou du cul
« Elle aime ça, la salope ! » dit le frère du marié.
Lautre se coule contre moi et menfonce sa bite dun trait, puis il commence à sagiter en moi à grands coups de reins, ses deux mains malaxant mes seins. Je sens le plaisir monter en moi, mais il se retire dun coup et lache plusieurs salves de sperme sur mon ventre.
« Tu as lair daimer la bite. Je vais ten donner, moi ! » dit le frère du marié qui a balancé son slip, libérant un pénis énorme, plus long et surtout, bien plus épais que celui de Pierre.
Il présente son gland violacé devant ma chatte et ly enfonce dune poussée. Mon conduit, lubrifié par le sperme de son copain et mes sécrétions, ne lui oppose aucune résistance. Je sens ma matrice interne distendue, au fur et à mesure quil menvahit. Son mandrin énorme, vient taper au fond de mon vagin, et je ressens une douleur sourde, mais il nen a cure, et revient plusieurs fois à la charge, par à-coup rapide, jusquà ce que ses couilles tapent sur mon cul, à toute vitesse, en une percussion obscène. Je couine sous lui sans pouvoir marrêter. Cest la première fois que je me fais défoncer à ce point. Tous mes recepteurs érogènes sont au rouge, et je relève bien mes genoux écartés pour laisser cette chignolle me forer. Après la douleur des premiers instants, je prends un pied phénoménal
Mon cavalier, commence à emettre des son rauques, et sa verge grossit encore en moi, signe de sa prochaine jouissance. Moi, jai déjà, joui, plusieurs fois. Il se retire dun coup, et envoie plusieurs giclées de semence sur mon ventre et mes seins, en se relevant. Lautre me libère. Ils remettent leurs maillot de bain et sapprètent à quitter la chambre. Le frère du marié me dit en ricanant
« Tu nous as bien vidé les couilles. Tu devrais te laver, Salope. »
Je me retrouve seule sur le lit, , à poil dans un endroit inconnu, , souillée et le pire de tout, javais été trahie par mon corps et jy avais pris du plaisir. La vérité mapparut, moi qui pensais ne pas pouvoir prendre mon pied avec quelquun dautre que Pierre, je me rendais compte que cétait des histoires que je me racontais. En vérité, si je voulais être honnête, javais profité de ce moment comme une salope que jétais. A ce moment, je me rends compte quils navaient pas de préservatifs.
Je me précipite dans la douche. Sous le jet apaisant, je me calme peu à peu. Jessaie de me débarrasser au maximum de leur semence, en ouvrant ma vulve, et en y orientant le jet deau poussé au maximum. Le gel douche parfumé me fait un bien fou. Je prends garde à ne pas détruire ma coiffure, préparée spécialement pour ce jour. Cest juste un balayage savant de mes mêches blondes, mais je ne suis pas sure de pouvoir le refaire seule.
Je sors de la douche et menroule dans un drap de bain. Jouvre la porte, et je pousse un cri de surprise. Ils sont revenus. En tout cas, le frère du marié, avec un gars que je ne connais pas
« Tu as eu lair daimer ça, et mon copain Fred, est célibataire en ce moment. »
Il sapproche et marrache la serviette de bain, me laissant nue devant eux
Après tout, je nai pas vraiment le choix et le type nest pas si mal foutu.
Il commence à dégrafer son pantalon
« Tu vas lui faire une jolie pipe, ma belle. Ça lui fera un bon souvenir de ce mariage. »
Zut, moi qui naime pas sucer, tous les mecs semblent napprécier que ça !
« Pendant ce temps, je vais vous filmer pour quil aie un joli souvenir à mater. »
Là je ne suis pas daccord. Je nai pas envie de me retrouver en vedette sur internet.
« Euh, les gars, je nai rien contre une petite gaterie, mais pas si je suis filmée. Je ne tiens pas à ce que tout le monde me mate sur internet. »
« Oh, mais rassure toi, cest juste une garantie, au cas où tu sois tenté de nous faire des ennuis ensuite. » dit le frère du marié qui sappelle Franck.
« Ecoute, lui dis-je, je nai pas lintention de parler de ce qui se passe ici à qui que ce soit.Je nai pas envie que mon fiancé ou quelquun que je connais apprenne ce que jai fait ici avec vous. »
« Je te crois » me dit Franck « mais je ne te connais pas et jignore si je peux te faire confiance. Ce nest quune garantie, et je te promets que personne ne verra cette vidéo si tu ne le souhaites pas. »
Evidemment, ce nest pas comme si nous discutions dans un café. Je suis nue, devant deux hommes, dont lun a déjà sorti sa queue, et, bien sur, il est un peu tard pour me mettre à crier au secours.
Je magenouille. Le gland vient buter contre mes lèvres, et je nai dautre choix que de mexécuter .Je le prends en bouche, et commence à le pomper. Jai envie que ça aille vite. Je le suce en calant ma langue sous la verge, pour bien exciter le frein, à chaque passage, et je mactive à parcourir de plus en plus vite, sa tige dressée, serrant bien les lèvres autour, en faisant attention à ne pas légratigner avec mes dents. Je sens son sexe gonfler sous ma langue. Jessaie de me dégager mais il plaque ma tête contre lui et menvoie plusieurs giclées dun sperme épais et amer . Je déglutis et avale pour ne pas metouffer. Son engin ramollit, et il le sort de ma bouche. Des main, me forcent à relever mes fesses et je me retrouve à quatre pattes sur la moquette. Des doigts sinsinuent dans mon sexe, et mon anus. Je sens un sexe qui pointe contre ma chatte et la perfore sans ménagement. A la taille, jai reconnu Franck. Il me lime la chatte, et je commence rapidement à prendre du plaisir. mes gémissements, samplifient sans que je puisse les contrôler. Franck se démène toujours en moi. En plus de son vit énorme, il a englouti son pouce dans mon cul, ce qui provoque un cri de douleur. Je suis balottée davant en arrière, mes seins pendant sous moi comme les pis dune vache, la bouche ouverte sur des gémissements dont je ne sais plus sils sont de douleur ou de plaisir, le sperme dégoulinant aux commissures de ma bouche sur mon menton.
Franck se détache de moi, il sassied sur le lit, et me dit
« tu as lair dune bonne suceuse, viens par ici ! » Il croche mon bras et me fait tourner face à lui. Vaincue, je prends son gland entre mes lèvres, mais la taille de sa bite est vraiment impressionnante,. Jécarte les machoires au maximum pour recevoir cet énorme boudin de chair. Sans états dâme, il me tire par les cheveux et me force à le gober de plus en plus. Il se lève et sincline vers moi pour faire coulisser sa matraque le plus loin possible dans ma gorge, provoquant des hauts-le-cur, vite réprimés par des pincements très douloureux de mes seins.
Toujours à quatre pattes devant lui, je sens une queue sinsérer dans ma cavité . Cest Fred, qui apparemment a récupéré et qui vient à son tour me pilonner. Je le sens prendre de la vigueur en moi, et malgré tout, en conçois un certain plaisir. Franck me relève et mattire sur lui, me délivrant de la queue de Fred. Il me positionne au dessus de lui, me tenant par la taille, ajuste son gland à lentrée de ma cavité encore béante, et membroche dun coup jusquà la garde, en me tirant violemment vers le bas. Je pousse un râle rauque, mais jai moins mal que la première fois. Mon vagin a pris la mesure de son mandrin. Il me fait rebondir sur sa queue comme un pantin désarticulé, les jambes ouvertes, mon sexe venant claquer sur son ventre à chaque fois quil vient au devant de moi.
Le mouvement sadoucit un peu, et il mattire à lui, minclinant sur sa poitrine. Je ne sais pas trop ce quil veut, mais je surprends un mouvement de tête quand il regarde derrière moi. Je sens alors, le sexe de Fred sappuyer sur mon anus. Jai beau protester, il me perfore le cul. Une brûlure intense accompagne son mouvement, et je me remets à couiner. Plus il senfonce, et plus ça fait mal. Il avance jusquà ce que ses couilles viennent le stopper, contre mes fesses. Il commence alors à me limer, marrachant des cris de douleur. Je ne sais plus où jen suis. Entre la grosse queue de Franck qui me bourre comme jamais, en me faisant du bien, et celle de Fred qui me défonce le cul et me laboure les tripes, jai limpression quils vont mouvrir en deux, et que je vais mourir sur place.
. Fred finit par décharger dans mes intestins et se retire,. Franck, me fait alors redresser et me pistonne durement, Jusquà exploser en râlant. Je sens les geysers de foutre frapper contre ma chair. Il se dégage enfin, et me laisse désarticulée, comme une poupée de chiffon. Lautre est déjà dans la douche.
Lun après lautre ils sortent et se rhabillent. Franck est le dernier. Pendant quil se lave, Fred sapproche de moi et me montre son I-Phone.
« Regardes. Si tu dis le moindre mot, je mettrais ces petits souvenirs sur internet, après les avoir envoyés à ton mari. »
Sur les vidéo, on ne voit que moi : à genoux sur la moquette, une queue dans la bouche, à quatre pattes avec une queue dans chaque orifice, ou encore à cheval sur la queue monumentale de Frank. Le pire est encore le son qui malgré ce que je pensais, montre bien que ces actes nont pas été que des s. Bien entendu, à aucun moment on ne voit la tête des deux autres protagonistes. Je suis effondrée.
Après le départ des deux types sur des commentaires égrillards, je passe un bon moment sous la douche, pour me laver de toutes ces turpitudes.
Malheureusement, je nai plus de culotte. Jenfile donc ma robe de soirée sans rien. Un rapide coup dil au miroir en pied sur le mur, et je me rends compte quon voit parfaitement mon ticket de métro sous le tissu. Je me deshabille et passe dans la salle deau ou je trouve un rasoir et de la mousse. Tant pis, ça repoussera. Je fais disparaître toute trace de ma pilosité, et vais essayer la robe. Cest beaucoup mieux. Certes, en y regardant de près, on peut deviner le début de ma fente, mais personne ne viendra minspecter.
Je retape ma coiffure et refait mon maquillage qui avait bavé copieusement en longues trainées noires sur mon visage. Je remets mes stilettos, et prends mon petit sac à main après y avoir glissé ce qui reste de mon string. Ce quil y a de bien avec la baise cest que ça ne laisse pas de trace
Quelques minutes plus tard, je rejoins les invités au bord de la piscine. Je croise dans le couloir une bimbo, complètement à poil poursuivie par un mec qui lui pelote les fesses.
Jai bien peur davoir été la victime dune confusion avec ces filles faciles. Autour du bassin déserté , les gens discutent et sirotent leurs verres Je retrouve Pierre qui me dit.
« Tu en as mis un temps. Heureusement pour toi, nous attendons que les baigneurs soient prêts pour partir. »
Je ne lui racontes pas ce que lesdits baigneurs, viennent de me faire subir, ni à quel point jai mal au cul, sans parler de mes machoires endolories.
« Cela valait le coup dattendre, vous êtes ravissante ; » me complimente son interlocuteur,
un vieux monsieur qui vend des instruments de musique.
« cest vrai que tu es à croquer » renchérit Pierre. Il nimagine pas à quel point.
Nous nous éloignons un peu, et il me questionne.
« Quest ce qui ta pris si longtemps ? Je me demandais où tu étais. »
« Jai voulu prendre une douche, et jai eu un petit problème technique. Je texpliquerais. »
La maitresse de maison bat le rappel des troupes. Nous partons pour le restaurant où a lieu la soirée.
« Pierre, jai oublié ma robe de cocktail dans la chambre où je me suis changée. Tu veux être chou et aller me la chercher ? »
« Pourquoi ny vas tu pas, je ne sais même pas où cest. »
« Cest la dernière chambre, au bout du couloir, sois chic »
Jai surtout peur de retomber sur un de mes amants dun soir
Nous sommes interrompus par la maitresse de maison qui arrive avec ma housse à vêtements.
« Vous avez oublié ceci, ma chère, et mes garçons nen auront pas lutilité. » plaisant telle
« Je men doute » reponds-je sans sourire
Une fois dans la voiture, je dois subir les questions de Jean-Pierre.
« Tu as été absente près dune heure. Il ne faut pas exagérer. On te prête une chambre pour te changer, mais tu nes pas toute seule. Tu s un peu. »
Euh, si quelquun , ce nest pas moi.
« Je me suis douchée, comme me la offert la mère du marié, mais en voulant me rhabiller, jai tiré mon string que javais accroché à la poignée de la porte de la salle de bain, et il sest déchiré. Comme, à travers ma robe on voyait tout, jai dû retourner à la douche pour me raser la foufoune, ce qui ma pris du temps. »
« Cest ridicule comme excuse ; » ricana Pierre
Je sors le string déchiré et lui mis sous le nez.
« Et ça ? » Il regarda lobjet étonné.
« Bon, bon, excuse moi, mais tu avoueras que ton histoire nest pas banale. »
Je me dis que la vraie létait encore moins.
Je lavais émoustillé et il glisse sa main jusquà mon sexe rasé me faisant sursauter.
« Cest le rasage. Ça irrite » expliquai-je. « Je ne le sens pas ce mariage. En plus je ne connais personne. »
Pierre me regarda en hochant la tête.
« Tu étais daccord pour venir » me rappela til
« Je sais, mais je mennuie. On pourrait rentrer à lhôtel. Ils ne se rendront même pas compte quon est pas là. »
« Tu sais bien que ce nest pas possible. Dabord Gérard est un client important, et je ne peux pas méclipser comme ça. En plus il va me présenter dautres clients potentiels qui sont invités. Fais un effort ; essaie de tamuser. Parles avec les gens. Tu verras, tu vas pouvoir danser, tu adores ça. »
Le silence retomba dans lhabitacle. Au fond de moi, jen voulais à Pierre. Cest à cause de lui si on est venus. En fait jai un peu honte. Je nose pas dire la vérité à Pierre. Dailleurs, me croirait il ? Si encore je navais pas pris de plaisir à cette étreinte, ce serait différent. Quand même , le frère de son copain mériterait une correction. Ce nest pas du côté de Pierre que je trouverais du réconfort.
Il me dirait quil faut faire profil bas, que jexagère , ou encore que je risque de ternir ses relations avec Gérard. Je suis vraiment énervée, et dans ces cas là, il vaut mieux que je ne dise rien.
Nous arrivons finalement au restaurant, pratiquement dans les derniers, et je peux constater que le groupe dinvités sest agrandi. On doit être, au bas mot deux cent cinquante. Nous sommes reçus sur la terrasse, un immense espace couvert par des toiles tendues, avec du mobilier en rotin, du plus pur style colonial, La plupart des convives sont debout, et discutent. Des serveurs se faufilent entre les groupes avec des plateaux chargés damuses-gueules ou de champagne. Pierre salue diverses connaissances ou amis, et me présente. Les compliments sur ma tenue, me rendent le sourire. Il faut dire que cette robe en soie écrue, très pâle, met en valeur mon bronzage. Ce fourreau, très près du corps, tenu par deux bretelles fines dévoile une partie de mon dos et devant les bretelles sélargissent en deux triangles qui viennent couvrir mes seins, en laissant libre le sillon qui les sépare, presque jusquà mon nombril. Le bas est étroit, mais fendu dun côté jusquà laine, qui se découvre à chaque pas, empèchant le port dune culotte., doù lutilité du string (que je nai plus) dont la ficelle remonte haut sur les hanches.
Le diner est servi dans une grande salle, sur des tables rondes dune douzaine de couverts, disposées en U autour dune piste de danse derrière laquelle un DJ a installé ses platines. Notre table est un peu à lécart, dans un coin, ce qui est normal vu que nous ne sommes pas de la famille. Seule la table des mariés, avec leurs parents et leurs témoins est recyangulaire, placée devant la piste de danse. Les convives de notre table sont des relations de travail du marié, venus en couple, comme nous. La plupart sont plus agés que moi, je dirais entre 40 et 55 ans. Les conversations sengagent rapidement. Je suis placée entre un homme dune cinquantaine dannées et Pierre. Le monsieur est venu avec sa moitié, qui est de vingt ans sa cadette, une jolie blonde piquante et drôle avec laquelle je mentends tout de suite. Je dois, mabsenter , et je sors de la salle pour trouver un serveur qui mindique les toilettes. Au dehors, deux vigiles, interdisent laccès à ceux qui nauraient pas montré patte blanche. Je sors dehors pour fumer une cigarette, et causer un peu avec eux. Ce sont deux costauds, pas très engageants au départ, mais je me montre enjouée, et jarrive à les dérider. Jaurais bien aimé compter sur eux pour me protéger, mais leur service sarrête à 23 heures , plus personne ne venant après. Je les félicite pour leur travail bien utile, et les questionne sur lendroit où nous sommes. Jentends tout à coup, une voix dans les hauts parleurs de la salle. Cest le père de la mariée, qui fait son discours avant le repas. Je mexcuse auprès des deux cerbères, et je rejoins ma place, le plus discrètement possible. Le repas est plutôt standard, sans grande originalité, Pierre semble avoir noué des contacts pour sa boite,, et moi, je ris aux plaisanteries de mes voisins, et je bois, sans trop me détendre, car je ne veux pas perdre la maitrise, et jai une idée en tête.
Bien plus tard, alors quon a découpé la pièce montée, et servi le café, le DJ lance le bal.
La piste se remplit au son des derniers titres à la mode. Ma voisine de table blonde se lève et minvite à me joindre à elle sur le dance-floor, pendant que nos compagnons respectifs discutent en sirotant leur café . Peu à peu, je me libère. Il faut dire quil y a un groupe de jeunes de mon âge qui chahutent sur la piste, et nous ont rapidement intégrées, toutes les deux. Nous nous agitons en mesure, mîmant les pas de danse de films musicaux célèbres, reprenant en chur les refrains. De temps en temps, un des garçons présents me prend par les hanches, une main sur ma peau nue. Après avoir sursauté, une première fois, je me suis reprise et supporte le contact sans sursauter, dautant quil est innocent. Inévitablement, une série de slows arrive. Un homme dune trentaine dannée, juste à côté de moi minvite. Il est plutôt bel homme, et je me laisse embarquer dans ses bras. Il me complimente et me dit que je suis assurément une des plus jolies femme de la soirée. Il danse très près de moi, et ses mains caressent mon dos. Sa façon de danser, façon tango amène régulièrement une de ses jambes entre les miennes, repoussant ma robe et dévoilant ma cuisse jusquà la hanche, et le bas de ma fesse. Le tissu vient frotter contre mon sexe fraichement épilé, et je sens ma fleur réceptive à cette caresse involontaire. Ses mains glissent sur mes fesses. Il ne peut ignorer que je ne porte rien sous ma robe, mais il ne manifeste aucune réaction particulière. La fin du slow est là.Nous nous séparons et il me murmure
« Votre beauté na dégale que votre audace. Je suis accompagné, malheureusement, car sinon, jaurais aimé caresser cette poitrine qui tend le tissu de votre robe, et bien plus encore. »
En effet, les pointes de mes seins sont bandées, et pointent à travers le fin tissu leur tétons, dont la couleur plus sombre se devine sans peine.
« Je suis flattée de votre offre, mais je suis, moi aussi accompagnée . » répond-je
« Dans ce cas, Mademoiselle, jespère que lheureux élu est conscient de sa chance et soccupe de vous passionnément. » me dit il avant de séloigner.
Allons, il ny a pas que des salauds dans cette assemblée. Justement, japerçois Pierre qui me cherche des yeux. Je lève la main et il se faufile jusquà moi. Je me blottis dans ses bras, et pose ma tête sur son large torse, mes bras accrochés autour de son cou, et il passe ses bras autour de ma taille. «
« tu as les seins qui pointent, Nath « chucote til à mon oreille
« Cest que tu me fais de leffet »
Sa main vient se poser sur un sein, à travers le tissu.
« Ce nest pas très discret »emet il.
« Tu as choisi cette robe avec moi, mon amour, parce quelle était très « sexe ». Elle na pas changé depuis. »
Cest vrai que cette robe me dévoile autant quelle me cache.
« Il ne manque quun panneau « baise moi » qui clignote » murmure til avec un sourire
Je sens ses mains qui descendent petit à petit, au creux de mon dos. Décidément, les hommes sont tous les mêmes ! Quand il passe de mon dos à mon postérieur, je le sens chercher , du bout des doigts, quelque chose quil ne peut pas trouver.
« tu nas pas de culotte ? » sétonne til
« Je tai expliqué ce qui sest passé ; je ne me balade pas avec des culottes en pagaille sur moi. »je murmure énervée
Il passe la main sur ma cuisse découverte et remonte jusquà la hanche, pour vérifier
« Oui mais là, il ne faut pas t étonner davoir des problèmes, si tu provoques. Cest du pousse au crime ta tenue. »
Pas métonner ? Du pousse au crime ? Non mais je vais le planter là.
Je me détache de lui, et fends la foule pour méloigner. Jai, à peine fait quelques pas que je suis attrapée par un bras. Je me retourne pour rembarrer Pierre, mais cest Franck qui me sourit dun air narquois
« Vous dansez Mademoiselle ? » demande til en menlaçant dautorité.
Je cherche Pierre des yeux mais il a disparu.
Franck me plaque contre lui, et, profiant de lespace réduit entre les danseurs, me malaxe les fesses.
« Oh, oh ! » dit il tout bas « Je vois que tu es encore cul nu. »
Sa main longe ma cuisse et sinsinue sous ma robe jusquà mon sexe, quil flatte .
« Tu tes rasée ! jadore ! « murmure til en introduisant un doigt dans ma chatte.
Jai limpression que tout le monde nous regarde. Je suis morte de honte.
« Quest ce que tu veux ? Tu as eu ce que tu voulais, non » je le regarde maintenant.
« Oui mais tu es encore plus bandante dans cette robe. On va faire un tour ?. »
« ça ne va pas non ? pas question ! » Jai haussé un peu la voix et des danseurs se sont retournés, nous dévisageant, mais ils se détournent croyant à une dispute damoureux
« Tu nas pas vraiment le choix, » me dit Franck dun ton doucereux. « A moins que tu ne veuille voir tes exploits, en ligne sur FB. »
A ce moment, il me tient, je le sais. Je continue à danser en tâchant de faire abstraction de ses mains sur mes fesses. Et tout dun coup, la lumière mapparaît. Pourquoi résister ? Pierre trouve que jexagère, que je provoque ? Soit, je vais le prendre au mot.
Je me rapproche de Franck et lui murmure à loreille
« Cest daccord, mais ça sera, où je veux. Laisse moi un quart dheure pour trouver une excuse auprès de mon fiancé et jarrive. Amènes ton copain aussi, en espérant que vous serez plus performants que cet après-midi. Parce que question de me faire jouir, vous avez été plutôt nuls. Tu veux me baiser ? Ok, mais cest moi qui commande. »
Jai débité tout ça dun trait. Je le sens destabilisé, mais il ne veut pas perdre la face
« OK , dans quinze minutes sur la terrasse ; tu ne seras pas déçue. »
Il me plante là. Je nai pas de temps à perdre. Je pars vers les toilettes. Pas une minute à perdre.
Quinze minutes plus tard, je sors de la salle de restaurant, et me retrouve à lextérieur. Sur un grand patio, dallé qui donne sur un parc, à lopposé de lentrée.
Plusieurs personnes fument en discutant. Quelques couples flirtent gentiment. Je mavance vers le parc, et je les vois. Mes deux gaillards sont là, dans un coin dombre. Ils sont en costumes sombres, et chemises blanches, mais leurs cravates sont absentes.. Franck qui est le meneur, me fait un signe. Je mapproche mais reste dans la lumière. Il vient vers moi.
« Jai failli attendre » dit il
« Ne tinquiète pas, tu veux du sexe, tu ne vas pas être déçu » répond-je « mais on ne va pas faire ça ici, devant tout le monde. Cest moi qui choisis lendroit. »
Je fais demi tour, et, pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir, je méloigne, le plus rapidement possible, et traversant tout lespace éclairé, en courant presque. Franck me suit immédiatement, et Fred réagit avec un temps de retard. Jai déjà tourné le coin du batiment quand il matt par un bras
« Eh ! où tu vas ? »
« Suis moi, on va dans un coin plus tranquille » lui dis-je
Je repars dans lobscurité et trébuche plusieurs fois sur le sol inégal je passe encore un coin pour me retrouver sur la terrasse ou nous avons pris lapéro un peu plus tôt. Les tables ont été nettoyées, tout est rangé et remis en place. Le portillon daccès, à lopposé est fermé, mais les gros projecteurs du parking tout proche éclairent assez largement lespace.
« Me saisissant par le poignet, Franck me fait retourner, et mexpédie une baffe
« Tu voulais nous emmener vers les vigiles, cest çà, ? »me lance til « Cest raté, ils sont partis »
« Je croyais que je vous faisais envie », dis-je en mallongeant sur une banquette, et je replie ma jambe. Le tissu de la robe glisse à lintérieur, et dévoile ma cuisse jusquà la hanche, et ma fesse. Il se penche et fait glisser sa paume sur la chair découverte.
« Jai besoin dun minimum de confort »
« Je vais ten donner du confort . » repond il
Il me fait lever et vient se positionner derrière moi
« Viens Fred, on va lui montrer à cette salope. » en même temps, il fait tomber les bretelles de ma robe, et je me retrouve topless avec ses mains qui maltraitent mes seins. Fred vient devant moi et remonte sa main sur ma cuisse découverte. Trouvant le passage peu pratique il tire sur le pan avant de ma robe, et la déchire, augmentant le fente latérale jusquà ma taille. Il écarte le tissu et vient enfoncer deux doigts dans ma chatte
« Bordel, elle est déjà trempée ! » sexclame til.
Il déboucle son pantalon, et le fait descendre en même temps que son slip. Son membre bandé sort comme un diable de sa boite.
« Avance là vers moi, Franck »
Lintéressé me pousse en avant vers son copain jusquà le toucher. Celui-ci, me soulève en passant ses mains sous mes fesses, et mempale sur son mandrin, tandis que Franck me soutien sous les aisselles. Je sens son dard me remplir, et commencer à me ramoner lintérieur.. Après quelques minutes, la position étant inconfortable, ils me laissent reposer pied à terre. Lucide, je leur dis quil serait mieux de menlever la robe, épargnant ainsi ce qui reste de mon vêtement. Ils la font passer par dessus ma tête et la jettent au loin. Franck me met alors, à quatre pattes sur une table basse, et vient présenter son sexe pour que je le suce. Pendant ce temps, Fred sest approché de moi, par derrière et il entre dans mon sexe, effectuant deux ou trois allers retours, avant daller directement senfoncer dans mon cul. Après la douleur du début son sexe long et fin qui explore mes intestins, me procure une jouissance que je ne peux manifester, ayant la bouche pleine. Des deux, la queue de Franck est celle que jai le plus de mal à sucer. Jai les machoires distendues qui me font mal et je manque plusieurs fois de m. Je le sens enfler encore sous ma langue, et il jaillit soudain dans ma bouche, il sort et menvoie plusieurs giclées sur le visage. Pas le temps de respirer.
La bite de Fred vient prendre la place laissée libre, et, comme un métronome bien rêglé, je le pompe avidement, lexpulsant de temps en temps pour lécher son gland et redescendre jusquà ses couilles que jaspire, gobant ses boule de mes lèvres et les serrant avant de les relacher. A ce rythme, je sens bientôt palpiter les veines de sa queue, sous ma langue, et la sève monter en lui pour inonder mon palais. Franck est passé derrière moi et me lèche la vulve. Enfin une vraie caresse, sa langue se glisse sur mes lèvres et les écarte. Il tête mon clitoris, qui durcit, et le mordille.Je ne peux réprimer quelques gémissements de plaisir. Continuant son travail sur mon bouton, il me branle avec deux puis trois doigts.. Fred me saisit aux épaules, il me redresse. Je suis maintenant à genoux sur la table, la tête de Franck entre mes jambes, et lautre vient, se positionner face à moi, pour poser son long sexe entre mes seins quil serre autour de sa queue, entamant une branlette espagnole. Son chibre coulisse entre mes deux globes les maculant de sperme mais je nen ai cure. Sous la langue de Franck, ma chatte est en feu, et jattends le moment où il va me pénétrer avec son gourdin.
Je profite dêtre en position quasi verticale pour me servir de mes mains. Je masse les couilles de Fred qui continue à sastiquer entre mes seins, puis je passe mes mains sur ses fesses, et vient enfoncer un doigt dans son anus, provoquant une éjaculation, presque immédiate. Une fois débarrassée de limportun, je me remets à quatre pattes,
« ahh, ouiii, viens, prends moi ! » cest moi qui ai crié. Il se dégage, mais continue à me branler, pinçant mon clito avec ses doigts le tirant , pendant que Fred vient me prendre par le fin, ajoutant à mon plaisir.
Cest marrant, la libido des hommes. Ils sont souvent incapables de rebander après un coup, mais tu leur présente un cul, et la machine repart !
Il me pistonne avec force jusquà se vider en moi avec un cri long et rauque. Du coin de lil, je devine Fred en train de se rhabiller.
Ils me relever. Franck sest allongé sur le dos, et, ils me soulève, me faisant écarter les jambes, et me guidant pour que je mempale sur lui. Jai beau être préparée, ma cavité nest pas habituée à des engins de ce calibre. Il me pourfend, petit à petit, en ma chair se tend pour laccueillir. Il faut plusieurs minutes pour que jarrive à lemmancher jusquau fond de mon vagin. Les parois sassouplissent et je peux commencer un rodéo digne des meilleurs western, empalée sur ce pieu, qui tape au fond de mon antre, et donne des décharges électriques. Maintenant, Franck me tient sous les fesses et me fait monter et descendre à toute vitesse sur sa grosse queue. Je ne suis plus quun sexe, un vagin géant qui dégouline de plaisir et gémit des mots obscènes. Jai du jouir déjà trois fois quand je sombre dans linconscience.
Je refais surface sous les caresses de Franck qui pince mes tétons. Je fais très vite le point et me resitue.
« Tu tes évanouie » me dit il « ça va ? »
Je reprends mes esprits, pendant quil me met à genoux sur la table basse. Il pique quelques coussins sur les fauteuil et les glisse sous mon ventre. Jai maintenant, la tête contre la table, les fesses en lair, au dessus de mes genoux écartés, et je dois ressembler à une pauvre grenouille ridicule. Franck a planté un doigt dans mon cul et en assouplit les muscles. Un second vient compléter sa sodomie digitale. Il vient maintenant entrer sa queue dans ma chatte, et va et vient doucement avant de ressortir. Il présente son sexe à lentrée de mon cul.
« Non, cest trop gros ! tu vas me déchirer ! »
« Désolé chérie, mais ton cul est beaucoup trop tentant !»
Là, jai vraiment peur. Il appuie son gland sur mon anus, et pousse, Mes sphincter sétirent et brûlent. Je crie de douleur, mais il sen fout. Il recule un peu et menvoie un grand coup de rein qui le fait avancer un peu, et marrache un sourd gémissement. Son gland passe la barrière, mais contrairement aux deux autres je néprouve aucun soulagement. En procédant par a-coups, il me pénêtre jusquà ce que ses couilles viennent taper sur mon cul.
Jai le souffle coupé. Il commence à me limer, avec de longs mouvements amples, et je me sens dévorée de lintérieur par ce serpent fouisseur. Jai parfois limpression quil va ressortir par la bouche. Il accélère le mouvement et se lance dans une cavalcade sauvage, les doigt crochés dans mes hanches, son métro fou déchirant mon tunnel à chaque passage,,jusquà ce quil explose et lâche un torrent de lave dans mes boyaux, dans un râle rauque et profond.
Je me retourne ; il est en train de se rajuster
« Cest quand tu veux pour recommencer, ma belle salope » lance til en rebouclant sa ceinture
Je reste un moment étendue sur la banquette, pour récupérer après son départ
Je me relève, titubante. Jai mal au cul, et jai du sperme qui dégouline de mes orifices, jen ai aussi sur le visage, les seins, et le dos. Je récupère un de mes stilettos que javais perdu, et me mets à la recherche de ma robe. Je finis par la retrouver entre deux fauteuils., et lenfile. Le haut, ça va encore, mais la fente latérale est déchirée, et, à chaque pas, jai carrément le sexe à lair. Je ne peux pas repasser par le restaurant, dont jentends la musique. Je me dirige du côté du parking. Le portillon daccès est fermé, mais je dois pouvoir lescalader.
Evidemment, je ne suis pas équipée pour ce genre de sport. Jenlève de nouveau ma robe et mes chaussures et les balance au dessus du portail métallique. Puis je grimpe sur un fauteuil que jai approché, et me hisse sur le haut du portail, avant de me laisser glisser de lautre côté. Je suis assise nue comme un ver, en train de remettre mes chaussures quand japerçois un bonhomme, immobile au milieu du parking, qui regarde vers moi. Je remets ma robe , et en essayant de tenir les pans pour dissimuler mon anatomie, je prends le chemin de lentrée, qui malheureusement passe devant le type. En avançant vers lui, je me rends compte que cest un vieux bonhomme. Il est en smoking, avec un nud papillon, et fume un cigare. Quand je passe à sa portée, il me questionne dune voix avinée.
« Cest quoi, ce sport là, que vous faites ? »
« Cest la course dobstacle pour les jeux olympiques naturistes » lui dis-je sans réfléchir
« Ah ! cest nouveau alors ? »
« très nouveau. Jy vais, cest chronomêtré ! »
Je passe mon chemin sans demander mon reste. Je suis maintenant à lentrée de létablissement. Je me faufile dans le couloir qui mêne au toilettes et croise une femme en robe longue brillante, qui me détaille dun air choqué. Je passe les toilettes des hommes, celles des femmes, et je pousse une porte, qui commande laccès au vestiaire. Il ny a personne derrière le comptoir. Je cherche parmi les manteaux et vestes, et trouve facilement la housse qui contient mon autre robe. Je ressors, et vais vers une porte marquée privé qui est celle des vestiaires du personnel. Cest là quun peu plus tôt, je suis venue discuter avec un serveur, à qui jai confié les clés de notre voiture de loc, pour quil ramène ma robe au vestiaire, au cas où. Il me semble que jai vu tout à lheure que cet endroit avait une douche. Au fond du local, il y a une cabine de douche ; un rève pour moi. Je me défais de ma robe et de mes chaussures , et je me jette sous leau tiède. Jutilise un morceau de savon trouvé sur place pour me récurer. Leau détend mes muscles, et apaise un peu les brulures. Je nai pas de dentifrice, et je me contente de rincer ma bouche à grande eau. Un whisky bien tassé désinfectera tout ça. Tout à coup le rideau de la douche sécarte
« Cest toi viviane ? » le serveur stoppe net en me reconnaissant
« Non, ce nest pas Viviane » lui repond-je avec un sourire
« Mais quest-ce que vous faîtes là ? Vous deviez juste récupérer votre robe au vestiaire. Ici cest interdit. »
« Je sais, malheureusement, jai eu un petit accident, et javais besoin dune douche. Il y en dautres ici ? »
« Euh, non, enfin.Un accident ? »
« Oui ce serait trop long à vous expliquer. Vous tombez bien dailleurs, jai un service à vous demander. Il faudrait
»
Je me rends compte quil ne mécoute pas. Il a les yeux qui courent de mes seins à mon sexe et nest réceptif à rien dautre.
Je capte son attention en mettant un bras sur mes seins, et une main sur ma chatte
« Vous auriez une serviette ? »
Il disparaît, et jentends des bruits de placard. Il revient et me tend une serviette de toilette propre. Je commence à messuyer. Il reste là à me regarder.
« Vous pouvez vous en aller ? »
Il se recule, le rideau se rabat, puis il se reouvre
« Vous avez un corps splendide » glisse til avant de disparaître de nouveau
Il est encore là quand je sors de la douche, et se rince lil quand jenfile ma robe. Je masseois sur une chaise pour remettre mes stilettos, quand je croise son regard exhorbité.
« Vous êtes un type sympa, mais je ne suis pas libre. Evitez donc de mater mon cul »
Il rougit et détourne le regard. Je vais me regarder dans la glace. Mon maquillage a encore morflé. Heureusement, la copine de mon serveur a une trousse quil sempresse de mapporter. Un peu de ricil, une touche deye liner, un peu de fond de teint pour atténuer la marque de la beigne que jai prise, et je finis avec un peu de gloss sur les lèvres.
Je suis prête. Je demande au gars de bien vouloir remettre la housse dans la voiture et de me ramener les clés à ma table. Il commence à protester mais je plante mes lèvres sur ses siennes. Je le laisse me tripoter les seins pendant quil membrasse. Il est remotivé !
Je rejoins ma table où Pierre est en grande discussion avec deux autres couples
«Te voilà ma chérie, viens que je te présente.. »
Un peu plus tard, dans la voiture qui nous ramenait à lhôtel
« tu as bien fait de changer de robe. Lautre était un peu trop provocante. Pour moi seul, ça va, mais en public elle est un peu osée. »
Il nimagine pas à quel point.
« Tu as raison. Dailleurs je ne vais pas la garder. De toute façon, à partir de demain, cest maillot de bain, et robes de plage ! ».
Quinze jours plus tard, nous sommes revenus sur Paris après des vacances reposantes, et sensuelles. Pierre a découvert avec moi des plaisirs insoupçonnés jusqualors. Nous prenons notre petit déjeuner quand il mannonce
« Ma chérie, je viens de passer un accord avec Gérard, qui me confie, un budget presque le triple de ce que nous faisions ensemble avant. »
Japplaudis, et le félicite
« Tu vois que ça valait le coup de passer une soirée, un peu rasoir. » complète til
Ce qui sest passé réellement, il ne le saura jamais, bien sûr, et mes vacancees nont pas été si détendues que ça.
Le lendemain du mariage, je me suis levée de bonne heure, et je suis retournée au restaurant, où jai demandé à rencontrer le propriétaire. Il a été très surpris quand je lui ai demandé les enregistrements de ses caméras de sécurité. En effet, javais repéré quil y en avait une qui filmait la terrasse. Quand il a refusé, je lui ai expliqué que je métais faite violer dans son établissement, et que je pouvais revenir avec les flics, quand jaurais porté plainte. Il ne me fallut pas longtemps pour le convaincre de me remettre les cassettes de la caméra en question.
Le lundi, je suis allée en ville, à Nice, pour un peu de shopping, et jen ai profité pour trouver un photographe, qui accepta, moyennant finance de monter la partie de la bande qui mintéressait, et de men faire ensuite quatre copies, que je camouflais au fond du coffre dans un sac où je range les chaussures. Les après-midi se passaient à la plage avec Pierre, et les soirées à diverses manifestations estivales sur le littoral. Après quelques jours de récupération, javais de nouveau fait lamour avec Pierre, à la première fellation apprécia que je le garde dans ma bouche pour avaler sa semence, ce que je lui avais toujours refusé auparavant. Je navais toujours pas un goût particulier pour le sperme, mais, je pouvais bien lui faire ce plaisir.
Le jeudi, je me présentai chez les parents du marié et fus reçue par la mère de celui-ci, toujours avenante, mais un peu surprise. Je lui demandais où joindre Gérard, pour une affaire importante, et elle me dit quil était là avec sa nouvelle femme, et quil partait pour la Corse, le samedi. Elle maccompagna au bord de la piscine, où je le trouvais, effectivement, en train de se prélasser au soleil, sa femme étant allongée nue sur lautre transat. Ils me saluent tous les deux, se demandant ce que je fais là et Sylvia me demande où est Pierre ? Je lui dis que Pierre est occupé ailleurs et que je suis venue voir Gérard, pour une affaire importante. Il me questionne, mais jinsiste pour le voir en privé. Il se lève donc, et minvite à le suivre à lintérieur. Ayant déjà eu des soucis avec son frère, je demande à Sylvia de nous accompagner. Elle enfile un short et un débardeur, et nous suivons Gérard, qui nous guide jusquà un bureau ? Une fois dedans, il referme la porte et me dit
« Tu es bien mystérieuse. Quest ce qui tamène exactement ? »
Pour toute réponse je sors le DVD de ma poche,
« Vous êtes proche de votre frère, Gérard ? »
« Ce nest pas mon frère, mais mon demi-frère, en fait. »
« Votre demi-frère et un de ses copains, ont abusé de moi lors de votre mariage. Je nai pas osé résister , quand il est venu dans la chambre où je me changeais, dans cette maison. »
« ici ? »
« Ici même. Jai dû me prêter à ses désirs ainsi que ceux dun de ses amis »
« Vous exagérez, sans doute » essaie til, mais il sent bien que je ne plaisante pas
« Je vous invite à voir la vidéo de la suite, qui sest passée au restaurant, où il ma poursuivie de ses assiduités. »
Il enclenche le DVD pris par une camera de nuit, et sans le son, mais ce quon voit est édifiant, et cette partie de baise peut-être interprètée différemment.
« cest ignoble ! » crie Sylvia « Tu vois ce quils ont fait ? Je te lavais dit . Il a déjà essayé de me tourner autour. »
« Je ne sais comment mexcuser, où vous dédommager. »
« Moi, je sais. Il ny a que deux solutions. La première, cest que je porte plainte. Avec la vidéo et les témoignages, votre frère va en taule, et ses amis aussi. Quand à vous, puisque ça sest passé chez vous et à votre mariage, vous pouvez être accusé de complicité. Entre nous, ça métonnerait que vos relations daffaire ne vous tournent pas le dos. Dun autre côté, vous avez vu la vidéo. En plus Fred, le copain de Franck en a une prise dans cette maison sur son portable»
« Mais je nétais pas au courant ! »
« ça, je veux bien le croire. De mon côté, je nai pas très envie de porter plainte et de voir ces films étalés sur la place publique. Je veux, les noms et adresses de votre frère et de ses copains, pour commencer.
Pour ce qui est de Pierre, il a répondu à votre invitation, surtout par rapport à vos relations de travail,. Vous imaginez si il apprenait ce qui sest passé.
« Je comprends, et je vous garantis que Pierre naura pas de soucis daffaires avec nous. Je ferais en sorte que notre collaboration lui soit bénéfique, ce qui ne sera pas un effort considérable, car nos relations vont au delà de simples relations daffaires. »
Gérard résigné, sortit une feuille de papier à lettre quil remplit avant de me la tendre. Javais les noms et les adresses. Heureusement que les vidéos de surveillance, navaient pas le son. Je les quittai avec un conseil
« Faites attention à Sylvia. Elle nest pas en sécurité avec un type comme ça. »
« Merci » murmura cette dernière. Elle me ratttrapa dans lentrée, et me précisa que les trois hommes étaient mariés, ce que je savais déjà.et mindiqua comment les joindre.
La femme de Franck reçut quelques jours plus tard un courrier contenant un DVD accompagné dune lettre expliquant ce qui sétait passé. Idem pour celle de Fred, Celle de Loic le reçut sur son lieu de travail. Pour achever le travail, elles retrouvèrent sur les téléphones de leurs maris, les vidéos prises à la villa, ce qui acheva de les convaincre . Je neus plus jamais de nouvelles de ces messieurs.
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