Pour Cinq Cents Balles.

Depuis dix minutes, Mélisande se pliait à mes exigences. Elle était grande avec un corps bien proportionné et des seins en poires déjà bien marqués, et cela depuis qu’elle avait vue la somme en liquide que je me proposais de lui donner si elle faisait ce que je désirais d’elle. Et comme beaucoup de jeune, elle avait un grand besoin de fric pour satisfaire ses caprices, alors elle marcha.
Elle se tenait alors, devant moi, me montrant tout, se prêtant à tous mes caprices, même les plus vicieux. Sur mon ordre, elle se tenait debout gesticulant sur la musique. La même où elle dansait sur scène dans son spectacle. Je n’avais d’yeux que sur sa chatte, et alors que Mélisande oscillait comme j’aimais, intégralement nue. Elle tournait sur elle-même jusqu’à me faire face, je pus juger qu’elle avait les pointes sombres se dardaient. Puis elle se cambra, faisant tressauter ses fesses en cadence. Elle transpirait légèrement. Je la dévorais du regard. Pas mécontent de lui avoir proposer ce jeu. Même si je devais perdre une belle somme dans l’affaire.
Ne tenant plus, je quittais ma chaise pour m’approchais d’elle, avançant mes mains pour se refermer autour de sa taille. Je me mis à loucher sur les mamelons épais et longs tendus vers moi, au milieu de larges aréoles mauves. De ma bouche j’engloutis la pointe du sein, puis je me mis à la téter goulûment. Aspirant la chair tendre, la mâchonnant entre mes lèvres. Je tirais, je tirais comme pour allonger encore les mamelons érigés par l’excitation. Passant du droit au gauche, du gauche au droit. Mélisande tremblait, alors qu’hormis ma bouche, mes mains s’activaient sur elle. Mes doigts faisant palpiter la chair tendre qui cédait doucement sous la pression.
Une idée me vint alors, au point de l’abandonner quelques instant. Je lus de la surprise chez elle, voir presque de la déception. Alors que je m’éloignais, elle écarquilla les yeux se demandant ce que je foutais. J’allais jusqu’au réfrigérateur et revins quelques instants après avec une bouteille de champagne en main.

Après en avoir fait sauter le bouchon j’en vidais la moitié sur elle. Le liquide pétillant lui coulait sur le dos, entre les omoplates, jusqu’à atteindre la raie de ses fesses.
Je m’emparai de ses seins que le liquide froid avait fait darder, j’en profitais pour tirer sur les nichons. Le champagne coulait goute à goute des pointes dressées, sur le carrelage. Je lâchais ses seins et me mis à agacer du doigt son anus mouillé du précieux breuvage. Ma main glissa vers le bas, sur son ventre à peine bombé de Mélisande, ornée d’un léger duvet crépu. J’effleurai la vulve. Sous la caresse Mélisande se raidit. Les lèvres du sexe se détachaient nettement au milieu. Elles étaient aussi larges que celles d’une femme mûre. Je les écartais, dévoilant une vulve rose qui par contraste paraissait très juvénile. Les nymphes rose nacré étaient courtes.
Mélisande se laissait docilement manipuler la chatte avec un sourire rêveur. Je la fis gémir en effleurant son bouton. Peu à peu mes caresses devenaient plus insistantes, perdant son apathie. Elle remuait ses fesses et gémissait, alors que je bandais comme un cerf en rut.
Je badigeonnais avec application les moindres replis de sa vulve avec son jus. Je trempais mon index de sécrétions pour lubrifier l’anneau froncé, alors que mon autre main passa sous son ventre. Simultanément, je pesais sur l’anus pour le pénétrer, tandis que je stimulais le bouton tendu. Très vite, je me mis à la fouiller. Mélisande se tortilla un peu des fesses tout en se cambrant davantage. Elle mouillait comme une salope, d’être prise en tenaille entre mes deux mains.
Mélisande ouvrit la bouche et gémit. J’avais envie de la prendre là et tout de suite, mais mon esprit me fit dire de patienter que mon plaisir sera encore plus grand. Les reins creusés et les cuisses ouvertes, elle se laissait branler. Je sentais qu’elle n’allait pas tarder à jouir sous mes caresses. Elle leva vers moi un visage de satisfaction.
De nouveau j’interrompis ma caresse.
Sa bouche émit un petit sanglot de dépit, alors que je m’agenouillais devant son sexe. Je sentais son odeur, douce et âcre à la fois, un mélange de l’odeur de l’urine et de celle son intimité, maintenant à portée de langue. Fermant les yeux pour mieux goûter ce moment, je posais le bout de ma langue sur la dernière goutte qui perlait d’une de ses lèvres puis toute la langue, enfermant ainsi tous les replis de ses lèvres dans ma bouche, glissant de haut en bas et de bas en haut tout en m’introduisant à l’intérieur au passage. Sa chatte devenait toute juteuse et délicieuse à lécher. Ses poils mouillés étaient plaqués contre ses grandes lèvres, ce qui me permit de passer ma langue sur toute la surface de cette vulve délicieusement aromatisée de plaisir et de désir.
Elle gémissait, m’affirmant qu’elle aimait la caresse et que je devais continuer dans cette voie, que le plaisir était proche. Ajoutant au passage une pression du bout du nez sur son bouton sorti de sa cachette, et il n’en fallait pas plus pour qu’elle se mette à trembler et à gémir avec plus de force. Prenant ma tête entre ses mains pour mieux plaquer ma bouche sur sa vulve, je sentais alors ses cuisses se contracter de chaque côté de ma tête et son bassin venir à la rencontre de ma langue.
En gémissant de plus en plus bruyamment, elle se mit à onduler de la croupe de plus en plus vite, soudant ainsi mes lèvres à son sexe. Pensant bien faire en enfournant ma langue au fond de son vagin, je ne m’attendais aucunement à une telle vague de plaisir de sa part. D’une dernière pression de son bassin sur ma bouche, émettant un cri rauque, elle se mit à jouir brutalement, se déhanchant de tous côtés.
Il était temps pour moi de me donner du plaisir. Je lui donnais alors une claque formidable sur les fesses, qui la projeta sur le vieux divan, à quatre pattes. Ses fesses blanches s’agitaient devant moi. La raie profonde mais largement évasée, s’ouvrait et se refermait sur la tache foncée de l‘anus. Je ne résistai pas longtemps à la tentation.
J’étais trop excité pour décliner l’offre qui m’était proposée. Je déboutonnais pour ça mon pantalon qui fila le long de mes jambes. Mélisande du côté du divan, se cambra en sentant ma queue frôler son derrière. Elle prit ses deux lobes à pleines mains et les écarta.
-Excuse-moi je préfère ce côté à l’autre, moins risquer ! lâcha-t-elle.
Je fus surpris quand ma verge pénétra lentement mais sans vraiment forcer entre ses fesses. Celle-ci m’aidait en crispant ses muscles qui aspiraient ma verge comme il l’aurait fait avec un suppositoire. Entre deux soupirs elle m’encourageait.
-C’est bon ! oui continu !
Décidément, ce n’était pas une débutante. Quand mes couilles heurtèrent son entrejambe, elle me demanda de marquer un temps d’arrêt, que je n’allais pas le regretter. Les contractions de l’anus sur ma queue me rendaient fou. Suite à cela, j’entamais un va-et-vient de plus en plus rapide. J’avais toujours trouvé ça excitant d’enculer une femme, plus encore que de la baiser. Quand mon ventre entrait en contact avec les fesses de Mélisande, j’avais l’impression de me heurter à coussin d’air. Tout à mon plaisir, j’entendais vaguement les plaintes de jouissance de ma partenaire. Jouissant de la chaleur de son corps, goûtant à la douceur de son antre des plus accueillant.
Après plusieurs aller et retour, enivré, je sentais bien ma verge glisser au fond de son cul juteux de Mélisande. Elle qui s’agitait doucement.
L’orgasme qui nous souleva, fut d’une violence inouïe. Nous transportons bien au-delà du simple plaisir.
Cinq cents balles en main, elle partit rejoindre ses copines dans la salle, alors que j’allais toiletté ma verge souillée.

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