Je Venais Chercher Ma Copine

Ce vendredi soir, quand j’arrive à la villa où habite ma copine Mya, je lui apporte un joli bouquet de fleurs pour mettre dans sa chambre. C’est la première fois où nous allons nous voir en tête à tête avant de sortir nous faire une toile.

Dring…

La porte s’ouvre sur la mère qui m’accueille chaleureusement.
• Entrez Jérémy… Ma fille ne va pas tarder… Elle m’a beaucoup parlé de vous.
• Enchanté de faire votre connaissance…
• Puisque Mya n’est pas là, je repasserai plus tard… je ne veux pas vous déranger !
• Mais vous ne me dérangez pas… Entrez… nous allons faire connaissance.

Madame Martin me guide jusqu’au salon et me fait m’installer sur un divan après m’avoir débarrassé de mon bouquet :
• C’est gentil de m’apporter des fleurs… MERCI !
Je n’ose pas la détromper…
Sa fille lui ressemble furieusement…
Pour une asiatique, Madame Martin est une femme relativement grande, avec de longs cheveux noirs lisses qui cascadent sur ses épaules et descendent au milieu du dos… Je sais qu’elle a 41 ans et que Lucie est son unique. Elle a de grands yeux bruns ombragés par des cils d’une longueur peu commune. Son nez, un peu épaté surplombe une bouche aux lèvres fines, fardées d’un rouge vif.
Elle porte un tailleur très chic de couleur grège dont la veste est légèrement entrouverte sur une poitrine que je devine menue. La jupe s’arrête un peu au dessus des genoux et dévoile des jambes fines gainées de bas blancs.

Nous commençons à bavarder de choses et d’autres puis Madame Martin me demande comment j’ai connu sa fille… Ce qui l’étonne, c’est que je semble un peu plus âgé que ses copains habituels.
Je lui explique que j’ai rencontré sa fille l’an passé quand j’étais pion dans son lycée et que j’avais été attiré par son look un peu exotique. Nous avions sympathisé et c’est tout à fait par hasard que nous nous étions retrouvés quelques semaines auparavant.


Je l’ai rassurée… notre relation était purement platonique… Nous parlions souvent de philosophie, matière que je souhaiterais enseigner à la fin de mes études… et Mya était très intéressée.

Brrrrrrrrrrrrrr !
C’est le portable de Madame Martin qui se manifeste.
Elle répond et je comprends que son mari est retenu par une affaire et qu’il ne sera là que vers minuit.
Moins d’une minute plus tard, le portable se manifeste à nouveau : C’est Mya qui annonce à sa mère qu’elle passe la nuit chez une copine dont c’est l’anniversaire. Elle lui dit qu’elle sera totalement disponible pour moi le samedi après-midi et le soir.
J’avoue que je suis un peu déçu mais puisque j’aurai Mya pour moi demain, pourquoi pas !

• Puisque je vais être seule, veux-tu me tenir compagnie ?
• Oui… bien sûr… puisque Mya me fait faux bond, je suis totalement libre de ma soirée. Je peux passer quekques temps avec vous.

Nous continuons à bavarder… Madame Martin me parle de l’Orient, du Vietnam dont elle est originaire et que ses parents ont fui alors qu’elle n’était encore qu’un bébé… qu’elle aimerait bien y retourner…qu’elle est fière de sa fille qui elle, au moins fait des études…
Mais sa présence à mes côtés sur le divan ne me laisse pas insensible… en plus, lorsque je la regarde, mes yeux sont irrésistiblement attirés par l’échancrure de sa veste où j’aperçois furtivement la rondeur d’un sein emprisonné de dentelle blanche.
A 25 ans, les pulsions sexuelles sont vives et cela fait pas mal de mois que je n’ai pas fait l’amour. Je bande dans mon pantalon et pour masquer mon trouble, je croise et décroise mes jambes…
Mais c’est peine perdue !
Madame Martin se tourne franchement vers moi en souriant :
• Coquin… Je te fais de l’effet…
Je ne sais plus où me mettre quand ma voisine étend sa main et la pose sur la protubérance contenue dans mon pantalon.
• Je connais le fantasme de beaucoup d’européens : faire l’amour à une asiatique ! C’est d’ailleurs ce qui a attiré mon mari et je ne compte plus les avances discrètes ou plus osées que j’ai reçues de la part de ses amis !
• Et vous y avez cédé ?
J’ai regretté ma question aussitôt…
• Oui… de temps en temps… J’aime bien entendre les arguments de mes soupirants… Mais toi, je sens que tu n’as pas besoin de parler !
• ---------------
• Ce que je sens sous le tissu parle pour toi !
En disant cela, Madame Martin ouvre mon pantalon et le fait descendre en même temps que mon boxer.

• Waouh… je ne m’étais pas trompée… Tu es sacrément bien monté !
• Il parait !
J’ai à peine répondu que Madame Martin se penche et avale doucement mon sexe qu’elle a enduit de salive… Elle semble vouloir l’avaler entièrement dans une gorge profonde mais elle est obligée d’y renoncer… Elle utilise tout son savoir et mon sexe ne tarde pas à se déployer complètement et il va et vient entre ses lèvres.
D’abord timidement, j’ose avancer une main vers son décolleté et j’ouvre les boutons de sa veste sous laquelle elle ne porte que son soutien gorge.
Madame Martin retire sa veste et en bombant la poitrine, elle se débarrasse de son soutif… je peux ainsi caresser ses seins pendant qu’elle me pompe le sexe…
• Humm… c’est bon… tu me suces bien…
• Il n’y a pas que çà que je fais bien… on ne va pas s’ennuyer… Il y a une semaine que je n’ai pas baisé ! Désape-toi… on sera plus à l’aise !
D’un seul coup, le pantalon, le boxer et les chaussures se sont retrouvés en un tas infame sur le tapis… Madame Martin se dépouillant elle aussi de ses vêtements pour ne garder que ses bas tenus part un serre taille et des jarretelles. Je pense en moi-même : « quelle belle femme ! ».
Le blanc sur sa peau mate faisait un joli contraste et je me dis qu’à défaut de sortir avec sa fille, j’allais ma taper sa mère !
• Viens, je vais me mettre en levrette sur le divan et tu vas me baiser ainsi… J’aime et je suppose que tu n’as rien contre !
• Pas de soucis… J’aime aussi ! Et ton beau cul m’inspire ! Tu va s voir ce que je vais te mettre !
• Oh oui… j’ai envie d’avoir ta belle queue tout au fond de ma chatte !
• Alors… c’est parti !
• Mon prénom c’est SOVANDARY mais appelle moi SO !
A partir de ce moment t là, je suis passé au tutoiement et lorsque je me suis placé entre les jambes de So, ce n’était plus la mère d’une amie qui était devant moi, mais n’importe quelle jolie femme à qui j’aurais fait la cour et qui ne cèderait !
J’ai fait aller et venir le bout de mon sexe entre les lèvres vaginales qui étaient très humides et je me suis introduit da la chatte, progressant lentement car je savais que beaucoup de femmes n’étaient pas prêtes à recevoir mon calibre en force…
Quand mon pubis a été au contact des fesses de So, j’ai mis mes mains de chaque côté de sa taille et j’ai commencé à aller et venir dans sa gaine…
Waouh… que j’étais bien ! Je me retenais pour ne pas jouir trop vite car je voulais profiter à maximum de cette chance incroyable que j’avais ce soir.
Je savais qua ma bite distendait les chairs de So mais celle-ci ronronnait comme une chatte en chaleur, poussant de petits cris quand mon gland venait frapper sa matrice et des soupirs de plus en plus forts.
En plus, cette coquine m’encourageait en faisant tournoyer sa tête et ses cheveux longs :
• Vas-y, défonce moi, vas plus fort…
Je ne demandais pas mieux… peu à peu j’accélérais mon va et vient dans le sexe de So, depuis plus en plus humide… Il me serrait bien et si je sentais mon plaisir arriver, celui de So n’était pas très loin non plus…
C’est dans un éblouissement total que nous avons joui en même temps… je giclai au fond de son vagin en poussant un grand cri auquel elle répondit par un feulement prolongé !
Emboités l’un dans l’autre nous avons basculé sur le côté, ma bite logée entre les globes de ses fesses.


Après quelques temps So s’est dégagé de mon étreinte et en se retournant vers moi elle s’est penchée à nouveau sur mon sexe qui était tout gluant de nos sécrétions. Quelques coups de langues plus tard, ma bite était nettoyée et je bandais à nouveau… j’avais encore envie de cette jolie asiatique qui semblait aimer le sexe pour le sexe.

Elle s’est allongée sur l’épais tapis et en me tendant les bras, elle m’a dit :
• Viens, baise moi encore mais j’ai envie de voir ton visage quand tu jouis !
Comment résister… So était là, allongée, les cuisses ouvertes, des filets de mouille englués dans les poils de son pubis, se serre taille et se bas un peu en désordre, ses seins fièrement dressés sur sa poitrine et se longs cheveux étendus autour de sa tête. Elle avait les yeux brillants et ne cessait de passer sa langue entre ses lèvres comme pour mieux m’exciter.
Quelle salope ! S’offrir ainsi à moi, un jeunot par rapport à elle… mais elle allait voir ce que le jeunot allait lui mettre…
Je ne suis agenouillé entre ses cuisses et pour la narguer un peu, j’ai promené ma queue bandée au dessus de son bas ventre avant de redescendre et loger mon gland à l’entrée de son vagin.
Quand j’ai été sur de mon coup, j’ai enfoncé ma bite d’un seul coup dans son sexe en faisant claquer mon pubis contre le sien !
• Tiens… Tu la voulais encore !
• Oouuiii ! Baise-moi bien ! Je veux te sentir cracher au fond de moi encore une fois !

J’ai pris So sous les genoux que j’ai remonté un peu puis j’ai commencé à la baiser, je sortais presque à chaque fois de sa chatte avant d’y entrer à nouveau en force… une baise rageuse, un peu comme j’imaginais un viol où l’homme ne pense qu’à sa plaisir…
Mais je savais que So aimait bien que je la baise ainsi. La preuve, je l’ai eue quelques instants plus tard quand c’est elle qui a remonté ses jambes repliées long de son buste, m’offrant son sexe dans une pose d’une impudeur totale… Et c’est elle qui désormais allait au devant de ma pénétration lorsqu’elle trouvait que j’étais sorti de sa chatte trop longtemps…

Nous avons joui presque simultanément et une nouvelle fois, je me suis répandu au fond de son vagin. Je ne m’étais même pas posé la question du préservatif ! Mais c’est tellement meilleur !

Après une douche prise en commun, j’ai quitté So… Son mari allait rentrer dans une petite heure.
Quand je l’embrassai pour prendre congé, elle me dit à l’oreille :
• MERCI… je sens qu’on va se revoir !

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