Rencontre Avec Un Couple Candauliste Dans Un Bar Parisien
Ainsi donc je saute le pas. Les histoires de ce site m'ont donné beaucoup de plaisir. Les divers commentaires aussi.
Je repense souvent à cette histoire. Je vous la propose car elle représente bien la domination que j'aime: cérébrale avant physique.
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## L'annonce ##
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Début février, je me décide à passer une annonce sur un site pour trouver des candidates.
Par expérience, parmi celles qui répondront, certaines resteront dans le fantasme, peut-être une basculera de la discussion vers la rencontre.
Quelques jours plus tard, j'ai une réponse. Surprise, il s'agit d'un homme qui vante les mérites de sa compagne. Avec un numéro de téléphone.
Soucieux d'éviter l'arnaque, j'appelle le numéro en masqué. L'homme décroche, dans l'échange qui suit, il me décrit sa compagne, son plaisir à la voir à la merci d'autres hommes.
Je lui propose d'affiner sa recherche dans des échanges de mails. Il se dit candauliste, m'envoie des photos.
J'essaie de voir la nature de ses sentiments, de rechercher ces aspérités dans lesquelles j'aime m'engouffrer. Connaître leurs expériences marquantes, leurs pratiques habituelles, ce qu'il imagine de la domination.
Echec. Ses mails bouclent autour des mots "baiser", "fais d'elle ce que tu veux, habille là comme tu veux".Il n'a même pas vu mon rappel de vouvoiement (j'y tiens).
Absence de sentiment, le nom de sa compagne ne ressort pas. Aucune cérébralité, il voit la chose comme baiser puis dominer. Au vu de certaines photos, je me demande ce que je peux bien apporter.
Je prends 24H de réflexion, puis je me décide à un échange de mails plus direct:
- Choix d'un bar parisien comme lieu de premier RDV: "Vous choisissez, je vous demande de vous installer avant moi, à l'écart";
- Puis que je peux l'habiller comme je veux: "J'aime les filles bien maquillées, avec de super sous-vêtements colorés et bien habillés.
- Pour les accessoires: "Tu m'as dit que ta compagne portait en exhib un rosebud, je veux qu'elle le porte. Elle porte des lunettes, je n'en veux pas. Cheveux en queue de cheval."
- Pour l'heure de RDV 15h: "Je serai à l'heure. Si vous me posez un lapin, il n'y aura pas de seconde chance; je prends une photo avec mon téléphone du lieu, tu verras l'heure de prise, et c'est terminé".
- Pour le scénario: "Je cherche un hotel pas loin. Si on se plaît, je la baise devant toi"
- Pour la seule consigne: "Je te dis ce que je veux d'elle, et tu lui dis de faire; si elle refuse, c'est terminé".
Quelques heures plus tard, l'homme me répond: "Ouais, tout ce que tu veux, je veux te voir lui mettre une misère; elle est très exhib, tu vas pouvoir la baiser, et lui gicler dessus, tu va pas le regretter".
Toujours aussi cérébral.
J'ai menti. Les habits je m'en fous; j'ai un RDV en fin d'après-midi, je n'ai pas l'intention de payer une chambre d'hôtel.
Je réfléchis à ce que je veux faire s'ils sont là. Au fait d'être persuasif sur ce que je veux. Comme si j'allais jouer une pièce de théâtre
Rencontrer des gens très concentrés sur l'acte physique ne m'mpêche pas de tenter d'avoir un effet cérébral...
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## Le RDV phase 1: j'entre, je m'assois, je quitte la table, je me rassois
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Ma journée est assez simple: transports franciliens, bureau, transports, bar, transports RDV, transports maison.
Avant de partir, je glisse un masque opaque et des pinces tétons dans ma poche intérieur de costume.
Matinée dense, je ressens une intense excitation. Repense à ce que je dois faire. Repas entre collègues la tête ailleurs. 14H, départ.
14h50, je suis pas loin du bar. Je me mets à un point où j'ai vue sur l'entrée du bar. Ils ne m'ont pas jamais vu.
Je trouve le temps long , et peu après 15h, mon téléphone et ses applications ne masquent plus mon inquiétude d'avoir été eu.
Pourtant, quelques minutes plus tard, un couple entre avec une femme en talons hauts et les cheveux tirés en arrière.La fille n'a pas ses lunettes, mais je pense que c'est elle.
J'attends à peine, et m'engouffre dans le bar. je vois le couple s'installer à une table avec une banquette d'un côté et des chaises de l'autre. Ils se sont mis côte à côte, l'homme dans le coin de la banquette.
Je les vois bien à présent. Malgré son maquillage, je lui donne la vingtaine, lui est plus âgé, au moins la trentaine.
Ils m'ont vu arriver, prestement, je m'assois sur la chaise en face, dépose mon manteau sur le dossier; je fais en sorte de ne regarder que lui, sans sourire.
Après un "salut" de politesse, j'engage la conversation:
- "Les conditions du mail semblent réunis; tu acceptes toujours de lui dire ce que je veux d'elle"?
- "Ouais, on se boit un verre quand même avant de filer à l'hôtel"?
Je prends une respiration, et je place ma voix, et le regarde intensément:
- "Je veux d'elle qu'elle aille aux toilettes, et qu'elle m'y attende nue".
L'homme a un mouvement étrange de la lèvre, semble hésiter. Je garde le silence. Puis il articule:
- (à moi) OK, c'est le contrat;
- (à elle) fais ce qu'il t'a dit.
Je vois l'avantage que j'ai pris, j'en joue:
- c'est toi qui lui demande ce que je t'ai dit. Et dit lui d'envoyer un sms quand elle est prête.
- Va aux toilettes, fous toi à poil, et envoie moi un SMS.
La fille se lève, je ne la regarde pas. Je lui dit de commander et que la tournée est pour moi. L'hommeregarde son téléphone plusieurs fois, puis finit par lacher un "C'est bon".
Je me lève, excité et bandant bien dur.
Je vois le petit panneau qui indique la direction des toilettes, descend un étage, et tombe sur la pièce. Un urinoir avec une porte battante, la porte avec un homme dessus est ouverte, l'autre fermée.
Je tape à la porte, elle ouvre, et dans l'endroit exigu, je la découvre nue, le tas de linge posé le plus loin de la cuvette.
Elle a ce réflexe de masquer son sexe. Ticket de métro. Petits seins. Fine.
- "baisse les yeux". Elle le fait sans rien dire.
J'aime cette sensation de domination.Tellement. L'excitation fait battre mes tempes.
- "tourne toi".
Je sors mon masque, et le lui passe. Je m'attache à ne pas la toucher plus que nécessaire.
- "mains sur le mur, fesses tendues". La position n'est pas parfaite, mais je vois qu'elle cherche à se frotter à moi. Pas encore.
Je passe un doigt le long de sa colonne, pour tester sa réaction. Elle tend les fesses pour que je descende ma main plus bas que nécessaire.
Nouvelle vague de plaisir pour moi, la surprise la rend réceptive. Elle s'est pouponnée pour un homme qui ne la veut que nue, soumise. J'adore.
Toujours dans le silence des voix, j'enlève mon pantalon et mon boxer. Nouveau doigt le long de la colonne. Nouveau mouvement de fessier. L'attente est un moment délicieux.
Je sors un préservatif, m'arrange pour avoir un bruit de déchirement. J'espère que cela a accentué son excitation.Je le place
Puis je sors mes pinces. En regardant sur le côté, bien que ses seins soient petits, leurs tétons sont magnifiquement dressés. Cible facile.
A gauche puis à droite, avec une main de sécurité sur ses mains (je ne veux pas qu'elle cherche à les enlever) sur le mur je place les pinces.
Elle gémit de douleur. Vu ma position, mon sexe capoté est posé entre ses fesses. Elle ondule du bassin, essaie de frotter le plus possible.
J'accepte le jeu le temps d'être convaincu qu'elle ne cherchera pas à enlever les pinces. Et c'est une caresse divine.Mon érection est encore plus forte.
- "ton portable est où, ton mec veut que je filme".
- "Dans mon sac"
- "Le code"
Je déverrouille son téléphone, et je fais quelques photos de la position.
Je la touche enfin. Plus exactement, j'appuie et relache le rosebudGémissement. Petit film, je tire lentement sur le rosebud, de plus en plus fort.
Au passage de la section la plus large, nouveau gémissement.Il est à présent sorti.
Je suis assez prêt pour poser le téléphone sur la cuvette des toilettes.
J'ai mis le rosbud dans ma main gauche, je positionne mon gland sur sa rosette, et une main sur sa hanche.
Instinct magique avant la pénétration. J'attends qqes secondes, puis je tire sur la hanche en poussant mon sexe.
Le rosebud a assoupli l'ensemble: j'entre toute la longueur de mon sexe. Elle gémit et instinctivement fait des allers-retour.
Je passe ma main droite de sa hanche à sa queue de cheval. Je tourne sa tête pour que sa joue soit contre la paroi. J'associe un son à une image.
Elle ouvre la bouche de plaisir. Je lui offre son rosebud à sucer. Aucun mouvement de recul. Elle s'abandonne à l'instant.
Elle essaie d'accélérer le mouvement, ses gémissements sont devenus succion. Je suis au bord de l'orgasme, j'essaie de me retenir.
Peine perdue: je m'enfonce le plus profond en elle pour jouir. Pour qu'elle continue encore à se faire du bien.
Plaisir pour moi et pour elle, elle jouit.
- "je n'en ai pas fini avec toi, interdiction de bouger"
Je fouille dans son tas d'affaire, et trouve sa culotte bleue, je la pose ouverte par terre.
J'enlève la capote, la retiens pincée entre mes doigts. Je rédéverrouille le téléphone.
Avec un peu d'adresse, j'arrive à pas trop mal cadrer le fait que je vide le préservatif sur la culotte.
En plan continu, je m'adresse à la fille
- "A genoux". En se répérant par rapport au mur, elle se met à genoux.
Je place la culotte souillée devant sa bouche.
- "Ouvre la bouche & tire la langue".
Contact entre sa langue et la culotte.
- "nettoie". J'enregistre la scène, elle les yeux masqués, les tétons pincés, léchant sa culotte souillée.
- "stop". Je jette la culotte, l'att par sa queue de cheval, et lui mets mon sexe perdant de sa vigueur dans la bouche.
- "nettoie". Je la filme. Dans cette tenue, je la trouve sexy.
Je lui retire mon sexe, coupe le téléphone.
- "tant que je ne suis pas sorti, tu gardes ton masque".
Je me rhabille, vérifier l'absence de tâches sur mon costume.
- "tu retournes avec nous et tu gardes tes pinces. Pas de soutien-gorge".
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## Le RDV phase 2: équilibrer le débat
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Je suis retourné à table. Un verre vide et un à moitié plein devant l'homme.Un devant mon manteau, un autre à la place de la compagne. Il me toise.
- "Alors, tu l'as bien baisé? Elle est bonne hein? Le serveur m'a demandé si elle m'avait quitté pour toi"
Je retiens un sourire. J'en ai pas tout à fait terminé.
- "Oui, très bien".
Quelques minutes plus tard, la fille revient. Son haut est à peine déformé par les pinces.Je vois qu'elle sourit.Elle a un visage gracieux.
Elle me rend le masque qu'elle a plié: on dirait un mouchoir noir.Je m'adresse de nouveau à l'homme.
- "le jeu continue?"
- "T pas rassasié, on va à l'hôtel?"
Je ne réponds pas.
- "Demande lui si tu bandes"
- "Pardon?"
- "Demande lui"
- "Je bande?"
Elle se penche sur lui, et appuie la paume de sa main sur son entrejambes
- "A moitié"
- "demande lui de caresser ton entrejambes jusqu'à qu'elle dise que tu bandes"
- "Ca devient n'importe quoi ton jeu"
- "Je peux m'en aller"
- "OK OK - caresse moi l'entrejambe"
Je vois dans le regard de la fille que ce je lui plaît.Quelques mouvements plus tard, elle annonce qu'il est bien dur.
- "maitenant, tu lui demandes de continuer. Elle n'a pas le droit de s'arrêter sauf si je le demande."
Il transmet l'ordre, je sens l'agacement chez lui. Elle est toujours joueuse.
- "maintenant, tu lui demandes de te montrer les vidéos". Le gars change d'attitude. Je ressens une envie de savoir ce qu'il s'est passé. Candaulisme...
Le manège dure quelques minutes, et le gars lance un "allez, stoppe cela, je vais juter dans mon boxer". Je regarde la fille. Je sens qu'elle veut aller au bout.
- "demande lui de te faire jouir". Elle a accentué sa caresse. Le gars souille son boxer. Plaisir de l'orgasme et déplaisir de la situation.
- "le jeu est terminé. Rend moi les pinces". Un geste élégant sous son haut, elle me les rend. retour dans ma poche intérieur.
Je me lève, un "au revoir", j'enfile mon manteau, je vais payer l'addition, et autant que possible je sors sans me retourner. Je ne sais pas la tête qu'il faisait l'un et l'autre.
Il est 15h50. Un peu plus d'1H pour mon prochain RDV.
Je trouvais plus juste que l'un et l'autre soient souillés. Je ne sais pas comment ils s'appellent l'un et l'autre. Et je n'ai pas (encore?) eu de nouvelles.
Maître F.
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