Plan Trio Pour Un Apres Midi Trio...
Javais répondu sans trop y croire à lannonce dun couple sur un magazine spécial rencontre libertine. Il recherchait un jeune homme afin de découvrir le triolisme. Quelques semaines plus tard, ce fut la femme qui me répondit par lintermédiaire dun courrier. Ses photos à demi dénudée menchantaient. Dans sa lettre, elle mexpliquait quelle voulait que je leur écrive une aventure où nous serions tous trois réuni. Mon histoire avait dû beaucoup leur plaire car ils me fixèrent un rendez-vous. Et, à leur domicile. Nos foyers étaient séparés environ cent cinquante kilomètres. Ce fut à bord de ma vielle R5, que je fis le déplacement.
Bien trop irréelle cette aventure, me cessais-je de me lamenter en interne. Oscillant depuis mon départ entre érection et débandade, tremblotements et anxiété. Et cela jusquà ce que je frappe à la porte et que Nathalie maccueille.
Elle avait des cheveux ondulés et châtains. Elle était vêtue sagement. Jupe droite crème laissant découverts ses genoux gainés de nylon foncés. Un corsage de la même couleur avec un petit lacet au niveau de sa poitrine ronde et pulpeuse, qui se devinait sous le fin nylon.
Elle me gratifia d'un sourire coquin. Minvitant de passer le pas de sa porte. Sitôt cette dernière fermé, elle mattira à elle. Je me laissais faire. Sans quun seul mot ne soit encore prononcer, elle colla ses lèvres aux miennes. Javais à peine le temps détirer la mâchoire que je sentais glisser sa langue. Venant à la rencontre de la mienne. Javais faim de cette femme. Faim de sa bouche. De tout ce quelle cachait sous ses vêtements.
Cette présentation faite, elle me jeta un regard malicieux qui en disait long pour la suite. Sans doute ses seins durcis de plaisir. Toutes les lèvres de son corps enflammées dallégresse. Elle minvita de passer dans le salon où le mari maccueillait. Il me pria de minstaller près de lui sur le divan. Nathalie prenait place en face de nous, sur un fauteuil.
Jen étais sûr maintenant, jétais bien chez un couple qui rechercher laventure. Sans être un ménage bien sur tout rapport ils avaient leurs propres charmes et cela me suffisait pour ce que je mapprêtais de faire.
Pas de boniment, nous étions rentrés au cur du sujet. Parlant de cul, de cul et encore de cul sans aucune gêne. Comme pour nous échauffer nos sens. Nathalie de plus en plus chaude, devenait nerveuse sur son fauteuil. Au point de croiser et à décroiser ses jambes. Faisant à chaque fois remontée sa petite jupe pour le plus grand plaisir de mes rétines. Les jambes mapparaissaient. Gainées de bas très fins tenus par une ravissante porte jarretelle blanc.
- Et si nous passions à autre chose. Fit-elle, très impatiente.
- Oui ! Fit le mari, enlèves ton corsage.
Elle nattendait que ça. Constituant le meilleur des prétextes pour senvoyer librement el lair avec lapprobation totale de son époux. Pigeon. Voilà le mot qui montait direct à mon cerveau.
- Ah oui ! Fit-elle en se levant
Elle exhiba ses gros seins. Une paire denfer. Lourds et veloutés qui donnaient vraiment envie de les caresser, de les embrasser à pleine bouche.
- Retrousse ta jupe, veux-tu
montre ce que tu caches en dessous
Les cuisses apparaissaient, le slip immaculé qui soulignait le renflement du sexe. Cette Nathalie me faisait tourner la tête. Elle obsédait mon esprit didées folles. Ne tenant plus, je navais pas pu résister de me lever de ma place, et de mavancer jusquà Nathalie, dont son visage était écarlate. Mais avant de poser mes doigts sur ce corps, je devais avoir la bénédiction du mari. Que je reçus dun signe de tête. Je passais vicieusement ma main sous lélastique de la culotte. Mes doigts cheminaient dans la forêt de poils fins et doux, quils tiraient puis faisaient mine de les friser. Continuant leurs chemins, ils trouvèrent le clitoris durci, gorgé de malice, quils dégageaient de son capuchon. Mon majeur appuya dessus et le frotta de plus en plus vite.
Mes doigts abandonnaient le bouton devenu trop sensible son petit bouton, pour continuer mon exploration. Ma main avait trouvé la fente et sentit les petites lèvres qui dépassaient, souvraient, puis le trou béant du vagin brûlant. Cétait dabord mon majeur qui pénétra, suivie de lindex et enfin lannulaire. Ma main opérait alors au plus profond de sa personne. Un massage lent et circulaire. Nathalie remua de plus en plus vite et de plus en plus violemment, provoquant des bruits obscènes de liquide qui mouillait le fond de la culotte. La femme se donnait à ma main. Poussa de petits cris plaintifs. Écartant ses cuisses tant quelle le pouvait alors que ma masturbation devenait de plus en plus effrénée.
Elle avait joui à plusieurs reprises, avant que je lallonge sur la table basse. En bois massif. Je profitais de sa position pour la déculotter, la déchausser. Lui massant lentement la voûte plantaire voilée dans du nylon moite de sueur. Elle agita ses orteils odorants. Je me penchais au-dessus, inspirant profondément le fumet qui sen dégageait. Tout ça sous les yeux ébahi du mari. Je crus défaillir de bonheur. Je navais pas pu mabstenir de promener ma langue sur la plante du pied. Un goût de sueur très salé emplissait ma bouche. Je lapais onctueusement ce pied nylonnée, observant la réaction de sa propriétaire, dont les yeux étaient fermés. Semblant être en transe.
Par la suite, vif, et passionné, je plaquais mon visage contre son sexe. Ma langue sinsinua entre ses lèvres. Lexplorant profondément. La léchant comme un animal. Sa fente dégoulinait. Ses cuisses souvraient. Ses orifices se dilataient. Jétais de plus en plus fougueux, aventureux. Je me défis pour me prendre en main.
Son regard avait changé. Elle était moins sage. Plus cochonne. Et je laimais comme cela. Son mari sen était aperçu et essayer dintervenir.
- Regarde, toi
je te ferai signe quand jaurai besoin de toi
Elle voulait être la maîtresse du jeu. Un sourire curieux au coin des lèvres, elle mordonna dapprocher mon pénis de ses lèvres. Cette opportuniste semblait disposée à calmer mes pulsions les plus contradictoires à laide de sa bouche. Elle commençait par donner quelques coups de langue sur mon gland avant de le recouvrir centimètre par centimètre par ses lèvres. Puis elle gara ma verge entre sa vallée mammaire. Dans le sillon de laquelle elle me masturba comme une diablesse. Avant de me reprendre en bouche. Faisant aller et venir mon gland un coup entre ses lèvres, un coup entre ses seins, tout en entourant lextrémité de ma verge entre le pouce et lindex. Malaxant habilement mes testicules. Son mari, lui était au bord de lextase.
Puis elle se mit à me sucer avec frénésie. Faisait aller et venir ma queue bien au fond de sa gorge. Gonflant et dégonflant ses joues, avant de maspirer et de me relâcher. Mon corps se contracta. Je gémissais en me vidangeant dans sa bouche. Nathalie était heureuse de me boire. Elle prit même la peine de lécher les dernières gouttes qui sortaient du méat, alors que son époux activait sa main sur sa belle queue.
Nous attendions quil jouisse pour nous accorder une petite pause. Jusquà ce que Nathalie insatiable se mette debout face à moi, elle me présentait maintenant les fesses. Elle se trémoussait un court moment avant de se retourner pour me faire face. Faisant balloter ses seins au rythme de sa cadence. Je ne résistais pas au plaisir de les prendre en main tellement ils étaient gros et soyeux. Je les caressais. Je tirai sur les tétons qui se mettaient à durcir.
Maintenant, cétait à mon tour de diriger la manuvre. Et pour cela je lui demandais de prendre place sur la table basse. Je me plaçais à genoux derrière elle pour la prendre en levrette. Je pointais mon gland à lentrée de sa vulve béante.
Jattendais quelle reprenne ses esprits pour me retirer de son intimité, ma queue luisante de mouille. Mais cétait sans compter sur la voracité de madame Nathalie, quelle avait pour le sexe. Profitant de ma proximité pour semparer de mon gland et le diriger vers sa rosette. Son mari assis sur le divan, me fit comprendre quil ne souhaitait pas que je sodomise sa femme. Qui de son côté, lui ordonna de soccuper de son cul.
Mon engin senfonçait dans son anus dilaté. Fouillant très vite ses intestins à un rythme lascif, mais soutenu. Après un long moment de cette cadence, Nathalie ne tarda pas à hurler son plaisir. Sentant que jétais sur le point moi-aussi de conclure, elle se mettait à pousser en sens contraire, et cela jusquà ce que je me répande dans ses reins. À ma grande surprise ma troisième jouissance était égale à la première. Aussi forte.
Je labandonnais sur la table, allant me laisser tomber dans le fauteuil. Un grand besoin de me refaire une santé. Cette femme était affamée. Mon sperme séchappait de sa rosette. Coulant le long de sa raie. Elle sallongea sur la table et ordonna alors à son mari de la nettoyer avec sa langue.
Le tableau était jouissif. Et une nouvelle envie de foutre menvahissait. À me faire me lever pour me placer debout devant Nathalie. Exigeant delle, quelle me reprenne en bouche. Elle hérita dun sexe mou, quelle avala pour le faire devenir fonctionnel. Avec autant dattention je ne pouvais que retrouver de la vigueur. Jentrepris une nouvelle fois de la baiser. Pour ce faire, le mari seffaça, me laissant sa place chaude. Heureux de reposer sa langue endolorie. Jorientais entre ses lèvres intimes ma queue turgescente et rouge. Elle me regardait faire, de tous ses yeux.
- Tu es vraiment une bonne petite salope. Disais-je. Nest-ce
Pas ?
- Oui
si tu le dis
- Répète : Je suis une bonne petite salope.
Docile, elle répéta.
Je sentais que la fente glissait sous ma verge. Le jus de la chatte chuintait sur dessus. Elle appréciait cette nouvelle pénétration. Pour la première fois, elle décidait de gâter son mari en le pompant. Chacun de mes coups de riens imprimait le tempo et ses succions sur sa queue.
Le visage en feu, les lèvres rouges, meurtries, et dune voix étouffé, elle nous invita à la prendre en sandwich. Je mallongeais donc sur le dos, à même la moquette pour quelle puisse sempaler sur ma verge. Ses jolis seins me faisant face. Le mari attendait patiemment linstant où il pourra prendre possession du cul de sa femme. Le visage quil affichait témoignait de son bonheur.
Un peu plus tard, sous nos coups de bites respectifs, Nathalie jouissait. Le mari prit le relai tout de suite après. Grognant son plaisir, alors que Nathalie gigotait de plus belle sur ma verge maintenant à vif. Au point de devenir très douloureuse pour moi. La suppliant de descendre le ma monture.
Complètement essoufflés et épuisés, nous nous affalions sur la moquette et nous nous endormions. Une heure plus tard je me réveillais et la vue du corps fin et imberbe du mari me redonnait une nouvelle et forte érection tout de fois douloureuse. Je posais doucement ma main sur ses fesses et je commençais à le caresser. Après avoir enduit mon sexe de beurre, je plaçais mon gland à lentrée de son sphincter et menfonçais lentement en lui. Constatant quil se dilatait, jentreprenais de le branler de toute ma longueur. Au bout de quelques minutes, sans quil est besoin de se toucher il jouissait. Jutant à tout va. Nathalie se réveilla au moment où je déchargeais dans les entrailles de son époux.
La suite ce fut quinze jours sans utiliser ma verge, sauf pour aller pisser
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