Rencontre Inattendue
ELLE
Quand les gens me voient dans la rue, ils pensent souvent que je suis une fille à papa, issue dune famille fortunée. Il est vrai que jai beaucoup de temps libre que jemploie à faire les boutiques de luxe et que jen ressors souvent les bras chargée de paquets. Je roule dans une belle voiture luxueuse.
Mais tout ça, je ne le dois pas à mes parents. Je viens dun milieu plutôt très modeste. Et aujourdhui, cest moi qui vient en aide à mes parents en améliorant financièrement leur quotidien. Ils pensent que je travaille dans un cabinet davocats réputé.
En réalité, je nai jamais plaidé la moindre affaire. Au bout de 6 mois détudes, jai lâché mon job dans un fast-food qui me permettait de payer mes études, au profit dun autre bien plus lucratif et me permettant de me consacrée davantage à mes révisions.
Une fois diplômée du barreau, jai totalement laissé le droit pour me consacrer à temps plein à mon activité secondaire. Mais il mest impossible de lavouer à mes parents. Parce que soyons honnête, quel parent serait heureux de savoir que sa fille est escort et pute de luxe ?
Cest une fille, Sidney, de ma promotion à la fac de droit qui est venue me trouver un jour :
- Je ne vois pas pourquoi tu te fais chier à aller bosser dans ce fast-food, à puer la frite pour un salaire de misère et risquer de rater tes études
mavait-elle dit.
- Parce que moi je nai pas Papa et Maman pour me payer mes études, avais-je marmonné pour lui répondre.
- Ce ne sont pas mes parents qui me paient mes études, je bosse, mais je me fais en une soirée ce que tu gagnes en 1 mois
Elle ma alors expliqué quelle était escort girl pour des hommes fortunés voulant avoir à leur bras de jolies filles lors de leur soirée.
- Faire la pute pour des bourges, non merci, je passe mon tour
- Je ne te parle pas de faire la pute, ça cest chacune son choix, je te parle de sortir le temps dune soirée avec des hommes riches, dans des expositions, des galas.
Jétais restée dubitative.
- Réfléchis y et si tu changes davis, viens me voir.
Et le soir, en sortant les frites de leur bain dhuile, je me suis rappelée ses paroles. Cest vrai que jen avais marre se sentir le graillon tous les soirs. Et côté notes, elles avaient chutées au fil des mois. Je bossais presque tous les soirs pour avoir assez dargent pour financer lécole et payer mon loyer. Mais du coup je navais pas beaucoup de temps pour bosser mes cours et je me plantais souvent aux exams. Sa proposition était donc alléchante.
Le lendemain, jallais la trouver. Puis les choses se sont faites très vite. Elle ma présentée à sa patronne. Elle ma demandé denfiler différentes robes et paires de chaussures, de défiler devant elle. Puis elle ma montrée comment me maquiller pour une soirée chic
- Les premières fois, tu pourras venir ici emprunter des robes et des chaussures, mais dans quelques temps tu te seras fait assez dargent pour pouvoir te payer de jolies tenues, tu ne viendras plus que pour chercher ton argent. Et dans la plus grande discrétion possible.
Elle ma prise en photo et ma demandé mon numéro de portable.
- Je te mets dans mon catalogue. Je note que tu es dispo un soir par semaine, le week-end exclusivement pour le moment. Si les clients sintéressent à toi, et que cela te convient, on pourra te rajouter des jours.
Puis Sidney ma ramenée chez moi. Jétais incapable de sortir de mon silence, trop préoccupée par ce que je venais de faire. Jessayais de mon convaincre que je ne ferais quaccompagner ces hommes. Il ny avait rien de mal à ça.
Le lendemain après-midi, en sortant de cours, Maria, la patronne, ma appelée.
- Julie, demain matin il faut que tu viennes ici, jai déjà un contrat pour toi.
Je nai pas dormi de la nuit. Tout un tas de questions de sont bousculées dans ma tête.
Elle a du le remarquer en me voyant arriver.
- Ma jolie, faut que tu dormes la nuit. Les hommes paient pour avoir de jolies filles à leur côté. Un bon maquillage devrait masquer ces signes de fatigue. Allez suis moi, je vais taider à choisir ta tenue pour ce soir.
Elle ma emmenée à létage, à lendroit même où elle mavait déjà fait faire des essayages. Elle ma expliqué que jallais accompagner un homme daffaires suisse à une exposition dart moderne.
- Tu as lair anxieuse ma chérie.
- Jai peur Maria
- De quoi ? Ma-t-elle demandé gentiment.
- Quil en veuille plus et que je ne le veuille pas
- Tu as peur quil te viole ?
Elle a mis le mot juste sur ma crainte. Une larme roule sur ma joue.
- Je comprends. Aucune de mes filles na jamais eu ce souci. Nos clients ne sont pas des monstres. Certains tentent leur chance, parfois ça paie. Parmi les éconduits, il y en a qui insistent, mais cela ne va jamais plus loin. Et pour ta première escorte, tu vas accompagner le meilleur de nos clients, que ce soit pour sa fidélité à nos services ou pour sa gentillesse envers les filles.
Ses mots me rassurent mais je ne peux mempêcher de me dire quon ne sait jamais.
- Dailleurs, je nai jamais vu une des filles avoir autant de succès que toi. Javais à peine mis ton profil en ligne que jai eu 5 demandes pour ce soir en 5 minutes, et 20 dans la demi-heure suivante. La nouveauté les attire toujours, mais jamais à ce point. Et cest avec lui que jai voulu te faire sortir aujourdhui parce que je sais que ça va bien se passer.
Et elle a eu raison. Il a été extrêmement gentil, na eu aucun geste déplacé, ne ma fait aucune proposition indécente.
Alors jai retenté lexpérience, et cela sest toujours bien passé. Jai même pris goût à ces soirées.
Mais un soir jai cédé à celles dun client que jaccompagnais régulièrement en soirée. Au moment de partir, il ma laissé un petit supplément. Et contrairement à ce que je pensais, cela ne ma pas gênée plus que ça. On a recommencé chaque fois quil me demandait comme escort.
Puis jai fini par accepter les avances dautres hommes, mais choisissant avec soin ceux qui pourraient me toucher.
Cétait il y a 6 ans, et aujourdhui Maria a étoffé son catalogue de services auprès de ses clients pour ses filles les plus expérimentées.
Et ce soir, cest justement à une demande particulière quelle a accédé. Depuis quelques mois, un patron offre à ses employés 2 fois par mois une soirée pleine de débauche.
Cela fait plusieurs fois que jy participe. Les types de mettent dans des états pas possibles, mais restent tout à fait correct avec nous, ne nous forçant jamais à faire ce que nous ne voulons pas. Et leur patron est bien clair avec eux sur ce point là.
Ce soir, cest avec Sydney et 4 autres filles que je me rends à cette soirée. On sest donné rendez-vous à 20h30 dans le hall de lhôtel. Quand nous sommes toutes réunies, nous nous présentons à laccueil. On nous indique une chambre où lon va pouvoir se préparer.
Lexigence de cet homme est que nous soyons totalement nues, à lexception de nos escarpins, de bijoux quil fournit et de menottes en plaqué or, composées de bracelets larges reliés par une chaîne de 60cm. Il demande que pendant la première partie de la soirée, nous servions ses employés, déambulant parmi eux avec de grands plateaux dargent sur lesquels trônent alcool et drogue.
Quand nous sommes prêtes, nous nous tenons devant la double porte du salon privé où se tient la réunion.
- Profitez de la soirée messieurs, mais noubliez pas que si vous voulez garder votre boulot, le contrat que jai passé avec la société stipule que la pénétration nest pas comprise. Pour ça, il faudra y aller de vos deniers et en suite, pas ici.
Il a dit à Maria quil ne veut pas être responsable dorgies et que si lune de nous venait à se plaindre dun de ses employés, il serait licencié sur le champ.
Sydney et deux des autres filles portent les plateaux avec la coke et les cachets dextasy. Sur le mien, deux bouteilles de whisky attendent de voir leur contenu remplir les verres de ces hommes.
Je suis en train de servir le boss quand je reçois une tape sur les fesses. En me redressant pour voir à quel mâle je la dois, japerçois Sydney penchée à loreille dun beau jeune homme.
Il lui sourit poliment, semble décliner sa proposition puis me regarde en lui répondant quelque chose. Sydney me regarde à son tour. Cest alors quun des trader minterpelle :
- Hey miss Whisky, si tu venais me servir un verre ma jolie ?
Je me dirige vers lui. Il se tient dos à la table, mobligeant à me pencher au-dessus de lui pour prendre un verre sur la table. Il en profite pour poser ses mains sur mes fesses et passer sa langue sur lun de mes tétons.
Je lui sers son whisky et mapprête à me diriger vers quelquun dautre qui sera peut-être moins relou, mais il me retient par la chaîne des menottes.
- Reste là ma belle. Tu sais que tu es bonne ?
Je ne réponds rien, me contentant de jouer mon rôle : je me mets à califourchon sur lui, ondulant contre sa queue déjà dressée, plaquant mes seins contre son visage. Il les caresse, les lèche, les suce.
Il passe un bras autour de mes reins et repousse mon buste en arrière avant de faire signe à Sydney de sapprocher avec son plateau. Il att un sachet de coke, le perce et en déverse le contenu sur mon sein droit. Il sort sa carte bleue de la poche de sa veste de costard et tasse la drogue en une ligne suivant la courbe de mon sein quil vient sniffer tout en laissant glisser sa langue sur ma peau.
Quand il relève la tête de ma poitrine, il a encore le nez poudré.
Sydney att mon bras et me tire vers elle. Mon shooté ne réagit déjà plus. Ça ne devait pas être son premier sniff de la journée.
- Le type là-bas ne veut être servi que par toi
Elle me désigne lhomme qui mobservait avant. Il y a quelque chose en lui qui détonne dans ce contexte. Il na pas ce regard avide quont les autres. Il semble plus calme aussi.
- Que puis-je pour toi mon beau ? Je lui demande une fois à côté de lui.
- Je voudrais bien un double whisky sans glace, sil vous plaît.
Je pose mon plateau sur la table et prends un verre que je commence à remplir. Il est tout lopposé de ces hommes. Ça fait maintenant un paquet de fois que je viens dans ces soirées et que je le vois, et pas une seule fois je lai vu se shooter, se mettre à lenvers ou avoir des attitudes grossières avec les filles. Certes, il les touche, se laisse faire des trucs, mais sans ce regard de pervers ni cette attitude dhomme à qui tout est du.
Cest la première fois que jai à faire à lui. Il est plutôt séduisant, surtout maintenant que je le vois de près.
Je prends le verre que je viens de remplir et me mets à califourchon sur lui avant de le lui donner. Alors quil penche la tête en arrière et bois son verre cul sec, je parcours sa gorge de baisers. A mesure que je le touche, je sens quil durci.
- Quest-ce qui te ferait plaisir maintenant ?
- La nuit avec vous
- Tutoie moi
et il nest pas un peu tôt pour parler de la nuit ? Que veux tu que je te fasse, maintenant ?
- On ne se connaît pas assez pour que je vous tutoie. Et je veux être sûr que vous nayez pas à la passer avec un de ces s.
Comme il ne répond pas à ma question, jouvre doucement sa chemise, un bouton après lautre, dévoilant un torse musclé, imberbe à lexception dune ligne de poils partant de son nombril et descendant sous sa ceinture. Il pose ses mains sur ma taille, je les fais descendre sur mes fesses.
Il me colle alors un peu plus contre lui et membrasse. Pas de cette manière dégueulasse que nos clients ont généralement, cette façon dont ils essaient de nous posséder. Non, dune manière bien plus délicate mais pleine de désir.
Je me redresse et me glisse entre ses jambes. Alors que jouvre sa ceinture, il att mon menton.
- Tu nes pas obligée
- Je sais, mais jen ai envie.
Je termine douvrir son pantalon et baisse légèrement lélastique de son boxer pour libérer une belle queue bien droite. Il prend la bouteille de whisky, se ressert un double quil descend à nouveau cul sec avant de basculer sa tête en arrière en soupirant de plaisir quand je prends sa queue entre mes lèvres. Je sens quil se retient de basculer son bassin.
- Thomas ? Lui demande un blondinet en lui tendant un cachet dexta.
- Dylan, je te lai déjà dit, cest pas mon truc
- Par contre, je vois que tu aimes bien les putes rousses à gros seins. Javoue quelle est plutôt bonne
quand elle aura fini avec toi, envoie la moi, je la voudrais bien pour la nuit, à moins que tu aies déjà une option dessus, dans ce cas on peut se la partager peut être
Il ne lui répond rien et le blondinet sen va.
Après quelques minutes, il pose sa main sur mon épaule.
- Arrête, jai pas envie de jouir ici
Je me relève et il se rhabille. Je prends mon plateau pour continuer mon service.
- Non, viens, on va dans une chambre.
- Je ne peux pas encore, ton patron paie pour quon reste dans le salon privé au moins jusquà minuit, il nest que 23h00.
- Je te paie 3 fois le prix de la nuit. Je suis sûr que ta maquerelle saura fermer les yeux et trouver un truc à lui dire pour lui rabattre le caquet.
Il a raison, si Maria apprend que jai refusé une telle somme, je vais me faire passer un savon.
- Je vais juste prévenir une de mes copine.
Je pose mon plateau et me dirige vers Sydney. Elle est à genoux entre les jambes dun mec en train de sniffer un rail de coke sur sa bite, pendant quun autre, couché à même le sol, lui lèche la chatte et lui enfonce un doigt dans le cul.
- Je pars en solo.
- OK, fais gaffe à toi.
Quand je vois sa situation, je pense que cest plutôt elle qui devrait faire attention à elle. Contrairement à moi, elle se livre à toutes sortes de débauches. Elle suit volontiers les clients dans leur consommation de drogue et dalcool.
LUI
Quand je rentre ce soir là, je suis exténué. Le cours de la bourse a encore joué avec mon palpitant. Je nai rien avalé de la journée si ce nest mon litre quotidien de café. Depuis que jai commencé à ce poste de trader dans cette agence, jai perdu 17 kilos. 17 kilos en 6 mois à force de stresser et de ne manger quun repas par jour.
Je me suis retrouvé trader après avoir démissionné de mon poste de banquier. Mon boulot consistait à endetter les gens. Aujourdhui je menrichis en les enrichissant. Ce qui ma permis de changer de voiture et dacheter une maison dans les beaux quartiers.
Mais ce job a ses revers. Le stress permanent est le plus gros et celui qui amène aux autres : lalcool, lénervement, la drogue. Sans être alcoolique, je dois reconnaître quil marrive de boire davantage quavant. Javoue également être plus enclin à ménerver. Mais il y a une chose sur laquelle jai toujours été catégorique : je ne touche pas à la drogue. Certains de mes collègues ne le comprennent pas et ont tendance à insister dans leurs propositions.
Et il y a un moment dans mon boulot où il y en a à revendre : les soirées du patron. Deux fois par mois, notre boss organise une soirée pour faire le point. Cela commence sous forme de réunion pour parler chiffres et objectif puis cela finit par ressembler à des soirées de débauche, où les filles se promènent nue, les collaborateurs se retrouvent ivres et défoncés, le tout fourni et financé par le boss.
Je napprécie pas beaucoup ces réunions, mais notre présence y est obligatoire. Pour fédérer lesprit déquipe, dit-il. Je narrive pas à concevoir que lon puisse se mettre dans de tels états. La présence des filles me choquait au début, mais je dois reconnaître que cest finalement ce que je trouve de plus plaisant. Jai fini par prendre goût de les voir déambuler nues avec leur plateau autour de la table, aguicher les collègues. Jai pris goût à ce comportement qui me gênait terriblement de la part de mes collègues : les toucher et leur demander de me faire plaisir, et ce en pleine réunion.
Il faut dire quavec ce boulot, on na plus vraiment le temps de sortir et de rencontrer du monde. Et je dois reconnaître que de les voir glousser sous les fessées, gémir sous les coups de langue ou sucer les queues de mes collègues a fini par devenir très excitant. Dautant que certaines dentre elles sont très convaincantes.
Il les fait venir grâce à une agence descort girls assez réputée dans les coulisses des gens de la haute société. La patronne est devenue une sorte de maquerelle de putes de luxe. Si lon y met le prix, tous nos désirs peuvent être réalisables.
Demain soir est justement celui de la deuxième réunion du mois. Et il paraît que le boss est hyper satisfait des chiffres des 15 derniers jours. Les collègues sont aux anges : quand il est satisfait, il regarde encore moins à la dépense pour faire plaisir à ses employés. Ce qui veut dire alcool, drogue, filles à gogo
jen connais qui ne vont plus retrouver leur chemin pour rentrer.
La journée sannonce longue demain. Je vais faire un jogging de 10km avant daller me coucher.
Le lendemain, les marchés boursiers saffolent suite à lannonce dune grande société dentrer en bourse. Nos clients se ruent pour tenter dacheter des parts. Nous clôturons en hausse.
Je rentre chez moi me doucher et me changer. Nous avons rendez-vous à 20h dans un grand hôtel.
Le boss y réserve toujours un salon privé et quelques suites.
Jarrive en même temps que dautres collaborateurs.
- Hey Thomas ! Prêt pour passer une soirée de débauche ? Une telle réussite, ce serait loccasion de sniffer un peu
me lance Dylan.
- Je compte bien passer une bonne soirée, mais toujours pas de poudre pour moi. Jai pas besoin de ça pour méclater.
On entre dans le salon et on sinstalle autour de la table ronde. Nous sommes une quinzaine de traders, plus le boss. Ce dernier se tient en bout de table devant un écran blanc. Le rétroprojecteur accroché au plafond y fera apparaître les chiffres de la société.
Sur la table, il a des verres, des amuses gueules, des pains surprises, des cigares, des cendriers et des capotes.
La première fois que jai mis les pieds à ces réunions, je me demandais où jétais tombé. Maintenant, rien ne me choque.
Le boss nous fait son laïus, nous félicite des chiffres et pour la troisième fois consécutive je me trouve être le meilleur trader de la boîte. Et pour la troisième fois, il moffre un paquet contenant du champagne, du whisky, du vin et de la coke. Celle-ci finira au fond de mes chiottes encore une fois.
- Et maintenant, passons aux choses plus plaisantes.
Il met la musique en route et les portes souvrent sur des femmes magnifiques.
Elles sont 6, nues, aux formes parfaites. 3 dentre elles portent des plateaux avec des bouteilles dalcool. Jai déjà repéré celle qui soccupe du whisky. Les 3 autres se chargent de la coke et de lextasy.
La rouquine, la plus jolie dailleurs, qui porte le plateau de whisky se dirige vers le boss. Il la reluque comme un chien aux abois. Pendant quelle lui sert un verre, il gobe un cacheton dexta.
Au même moment, un gros porc lui donne une claque sur la fesse droite. Alors quelle se tourne pour jeter un il à celui qui vient de la toucher, une de ses copines se penche vers moi.
- Un petit rail de coke pour vous détendre monsieur, vous semblez tendu
me chuchote-t-elle à loreille en frôlant mon bras de ses seins.
- Non merci, je lui réponds gentiment sans quitter la petite rousse des yeux.
Je lui dis que je naurais rien contre le fait que son amie vienne me servir un whisky quand cette dernière tourne la tête vers moi et nos regards se croisent. Plus un mot ne sort alors de ma bouche.
- Je vais lui dire de venir vous voir, Julie est un très bon choix, me répond miss coke.
Elle séloigne de moi et mon regard suis Julie de lautre côté de la table. Un de mes collègues déjà plus que défoncé la hèle pour se faire servir. Il joue de sa position de supériorité pour la faire se mettre sur elle. Le voilà en train de gober un téton. Quand il perce un sachet de coke sur ses seins, cest le summum pour moi. Je préfère ne plus les regarder pour ne pas ménerver de le voir la traiter ainsi.
Dailleurs je ne sais pas ce qui me prends de réagir comme ça. Cest pas la première fois que mes abrutis de collègues se comportent comme ça avec ces filles. Et ce nest pas la première fois que Julie sert ici. Pourtant aujourdhui elle a un effet sur moi auquel je ne mattendais pas.
Jose leur jeter un coup dil. Son amie la tire des griffes de ce malotru et me désigne du regard.
La jolie rousse me rejoint alors de lautre côté de la table.
- Que puis-je pour toi mon beau ?
- Je voudrais bien un double whisky sans glace, sil vous plaît, je lui demande poliment.
Elle pose son plateau, prend un verre à whisky et le remplit de liquide ambré. Jen profite pour la reluquer.
Elle a un corps de rêve : des seins bien portés, ronds, des tétons qui donnent envie de les croquer, une taille fine et marquée, et des fesses légèrement rebondies. Sa peau semble sans imperfection, finement velouté. Ses gestes sont plein de grâce.
Jai une folle envie de la retourner, la prendre contre moi et denvahir sa bouche de ma langue. De limaginer entre mes bras, je commence à me sentir serré dans mon pantalon.
Cest à ce moment là quelle se tourne vers moi, mon verre à la main. Elle se met à califourchon sur mes genoux et me donne le verre. Je le porte à mes lèvres et penche la tête en arrière pour boire le breuvage cul-sec.
Je sens alors ses lèvres contre la peau de mon cou. Elle les dépose à plusieurs endroits, me faisant frissonner. Et bander un peu plus.
- Quest-ce qui te ferait plaisir maintenant ?
- La nuit avec vous
- Tutoie moi
et il nest pas un peu tôt pour parler de la nuit ? Que veux tu que je te fasse, maintenant ?
- On ne se connaît pas assez pour que je vous tutoie. Et je veux être sûr que vous nayez pas à la passer avec un de ces s.
Une nouvelle fois, je ne sais pas pourquoi je réagis ainsi. Mais limaginer sous un de ces porcs me donne la gerbe. Je serais même prêt à la payer sans quil ne se passe rien juste pour lui éviter ça.
Mais je compte bien profiter du temps avec elle pour prendre mon pied. Jai follement envie tout de suite.
Elle me fixe de ses magnifiques yeux verts, attendant une réponse autre que celle que je viens de lui donner. Mais la seule chose qui vient cest « jai envie de toi, ici et maintenant ». Sachant que ce nest pas possible, je me contente de plonger mon regard dans le sien.
Elle ouvre alors les boutons de ma chemise. Le contact de ses doigts sur mon torse me donne lenvie de sentir davantage de sa peau contre mon corps. Elle écarte les pans de ma chemise, dévoilant complètement mon buste.
Je pose mes mains sur sa taille, elle les fait descendre sur des fesses. Je me retiens de les empoigner fermement. Je la colle un peu plus contre moi. Ses seins se plaquent contre mes pecs. Je sens ses tétons pointer contre ma peau.
Je pose doucement mes lèvres sur les siennes, ma langue les frôlent et elle entrouvre la bouche. Donc langue vient à la rencontre de la mienne. Jaimerais que ce baiser dure encore et encore.
Elle quitte mes genoux pour se mettre entre mes jambes. Elle ouvre mon pantalon et fait sortir ma queue de mon boxer.
- Tu nes pas obligée, lui dis-je en plaçant mes doigts sous son menton.
- Je sais, mais jen ai envie
Elle fait alors glisser ses lèvres très lentement le long de mon membre. Sa langue tourne autour de mon gland, ses lèvres laspirent. Je me sers un second whisky que javale dun trait puis je laisse ma tête aller en arrière tant ce quelle me fait avec sa bouche est bon.
Je suis si excité quil faut que je me retienne de donner des petits coups de reins.
- Thomas ?
Je tourne légèrement la tête pour voir Dylan qui minterpelle en me tendant un cachet dexta. Il ne veut décidément pas comprendre que ça ne mintéresse pas.
- Dylan, je te lai déjà dit, cest pas mon truc
- Par contre, je vois que tu aimes bien les putes rousses à gros seins. Javoue quelle est plutôt bonne
quand elle aura fini avec toi, envoie la moi, je la voudrais bien pour la nuit, à moins que tu aies déjà une option dessus, dans ce cas on peut se la partager peut être
Jai envie de lui péter la gueule à ce connard. Plutôt que de ménerver, je préfère lignorer et il finit par partir.
Après quelques minutes, je sens que je suis à 2 doigts de jouir.
- Arrête, jai pas envie de jouir ici
Elle se relève et je me rhabille. Elle reprend son plateau, mais je ne veux pas voir repartir auprès de ces shootés qui me servent de collègues.
- Non, viens, on va dans une chambre.
- Je ne peux pas encore, ton patron paie pour quon reste dans le salon privé au moins jusquà minuit, il nest que 23h00.
- Je te paie 3 fois le prix de la nuit. Je suis sûr que ta maquerelle saura fermer les yeux et trouver un truc à lui dire pour lui rabattre le caquet.
Mon argument semble la convaincre.
- Je vais juste prévenir une de mes copines.
ELLE
Je rejoins le fameux Thomas près de la porte. Il memmène dans lune des suites réservées par son boss. Il ferme la porte derrière lui et la verrouille.
- Cest combien la nuit complète ? Me demande-t-il.
- 1200. Mais tu peux payer plus tard. Et tu ne devrais jamais garder ton portefeuille sur toi quand tu passes du temps avec une pute
- Je te dois donc 3600. Et je veux te payer maintenant comme ça quand tu veux partir, tu pars. Et je pense que tu nes pas le genre de fille à te barrer avec mes papiers, me répond-il en posant une liasse de billets sur la commode pendant que je me frotte à lui.
Je fais glisser sa veste le long de son dos. Il défait les boutons de manchettes de sa chemise et se tourne vers moi. Il att mes poignets et retire les bracelets de menottes qui les entourent.
Alors que je commence à ouvrir sa chemise, il me stoppe.
- Jaimerais que tu te douches dabord
dit-il un peu timidement.
- Merci, je sais pas comment je le dois prendre. Cest parce que tes potes ont posé les mains sur moi ou tu me trouves sale ?
- Ça na rien à voir avec les mains de ces porcs
cest juste que tu as encore plein de coke sur les seins, et cest pas mon truc
Je me sens bête dun coup.
- Viens avec dans la salle de bains, tu pourras te rincer lil un peu
Jen prends la direction et allume leau dans la cabine immense. Les parois de verre sembuent presque aussitôt. Il me rejoint rapidement, un nouveau whisky à la main, la chemise ouverte, les pieds nus. Il se met assis sur le bord de la baignoire alors que jentre dans la douche.
- Cest peut-être pas ton truc la coke mais le whisky
- On a tous nos vices. Et je ne bois autant que lors de ces soirées. Je naime pas me mettre dans de sales états. Je ne comprends pas le plaisir quils ont à se défoncer. Ils disent que cest pour tenir le coup. Je pense quil y a dautres moyens.
Je termine de me rincer en lobservant à travers la buée. Il vide son vers et le pose sur le bord du lavabo. Il frotte sa barbe naissante.
Je me tourne pour fermer le robinet et ouvre la porte. Il mattend avec un peignoir ouvert. Quand je pose le pied au sol, il menveloppe dedans et me sèche doucement.
- Jai plutôt lhabitude quon se jette sur moi quand je suis nue devant un homme.
- Et moi je pense que ça fait longtemps quun mec na pas pris soin de toi au lieu de te baiser comme une chienne. Cest pas parce que cest ton boulot de tenvoyer en lair quon doit te traiter comme un morceau de viande.
Il termine de me sécher et je lentraîne dans la chambre. Je le pousse pour quil se couche sur le lit et me mets au-dessus de lui.
- Alors maintenant tu vas me dire ce qui te ferait plaisir beau gosse ?!?
- Dis moi ce qui te ferait plaisir que je te fasse
- Cest toi qui paies et cest moi qui choisis ? La blague. Allez dis moi
- Ce qui me ferait plaisir cest de te faire plaisir à toi.
LUI
Elle pose son plateau et va voir miss coke. Jen profite pour me servir un nouveau verre que je vois rapidement. Je me dirige doucement vers la porte, attrapant quelques capotes au passage.
Quand elle me rejoint près de la porte, mon boss me regarde fixement puis me sourit comme pour me donner son approbation. Il semblerait quêtre le meilleur trader de la société me donne certains privilèges.
Alors que je sors mon portefeuille de ma poche, elle se colle à mon dos.
- Cest combien la nuit complète ?
- 1200. Mais tu peux payer plus tard. Et tu ne devrais jamais garder ton portefeuille sur toi quand tu passes du temps avec une pute
- Je te dois donc 3600. Et je veux te payer maintenant comme ça quand tu veux partir, tu pars. Et je pense que tu nes pas le genre de fille à te barrer avec mes papiers, je lui dis en posant une liasse de billet sur la commode.
Elle menlève ma veste et je défais les boutons de manchettes de ma chemise avant de me tourner vers elle pour lui retirer les bracelets de menottes qui entourent ses poignets.
Une fois ses mains libérées, elle sen sert pour déboutonner ma chemise.
- Jaimerais que tu te douches dabord, lui dis-je en retenant ses mains.
- Merci, je sais pas comment je le dois prendre. Cest parce que tes potes ont posé les mains sur moi ou tu me trouves sale ?
Javoue quen y réfléchissant, je comprends quelle le prenne comme ça.
- Ça na rien à voir avec les mains de ces porcs
cest juste que tu as encore plein de coke sur les seins et cest pas mon truc
- Viens avec dans la salle de bains, tu pourras te rincer lil un peu
Elle entre dans la salle de bains et jentends leau couler quand elle ouvre le robinet. Je me dirige vers le mini bar et me sert un nouveau whisky double. Jouvre ma chemise et retire mes chaussures et mes chaussettes. Je pose ensuite ma montre sur la commode avant de la rejoindre dans la salle de bains. Je me mets assis sur le bord de la baignoire alors quelle entre dans la douche.
- Cest peut-être pas ton truc la coke mais le whisky
dit-elle en frottant son corps avec la fleur de douche.
Je lui réponds en la matant sans gêne. Elle est franchement bien foutue. Mais plus que ça, elle est jolie.
- On a tous nos vices. Et je ne bois autant que lors de ces soirées. Je naime pas me mettre dans de sales états. Je ne comprends pas le plaisir quils ont à se défoncer. Ils disent que cest pour tenir le coup. Je pense quil y a dautres moyens.
Quand elle se tourne pour se rincer, je fais mine de pas lavoir regardée et avale mon whisky. Elle ferme le robinet et je lattends avec un peignoir avant de la sécher.
- Jai plutôt lhabitude quon se jette sur moi quand je suis nue devant un homme.
- Et moi je pense que ça fait longtemps quun mec na pas pris soin de toi au lieu de te baiser comme une chienne. Cest pas parce que cest ton boulot de tenvoyer en lair quon doit te traiter comme un morceau de viande.
Javoue elle a choisi dêtre escort girl et pute, mais nempêche quelle en reste une femme, et une femme on en prend soin.
Quand je pose le peignoir, elle mentraîne dans la chambre et me pousse sur le lit avant de me chevaucher. Elle est franchement bandante comme ça.
- Alors maintenant tu vas me dire ce qui te ferait plaisir beau gosse ?!?
- Dis moi ce qui te ferait plaisir que je te fasse
- Cest toi qui paies et cest moi qui choisis ? La blague. Allez dis moi
- Ce qui me ferait plaisir cest de te faire plaisir à toi.
Comme elle croise les bras et me fixe dans les yeux au lieu de me répondre, je décide de prendre les devants. Je me redresse et la porte jusquà la tête de lit.
- Ce je veux cest que tu te mettes à genoux, face au pied du lit et les jambes légèrement écartées. Et que tu fermes les yeux.
Elle obéit. Et pendant quelle prend position, je retire mon pantalon. Puis je mallonge sur le dos, sous elle, la bouche juste sous sa chatte dénuée de tout poil. Elle hoquète de surprise.
- Chut
je souffle doucement.
- Non mais cest bon job de te faire plaisir, cest pour ça que tu paies
- Je te paie pour prendre mon pied, et en te faisant plaisir je prends mon pied. Alors si je veux te faire un cunni, profite !
Elle tient enfin sa langue sauf pour gémir de plaisir.
Puis elle se laisse tomber à 4 pattes et baisse mon boxer pour libérer mon érection quelle prend en bouche et suce goulûment.
Après de longues minutes et des coups de langue experts, je suis au bord de la jouissance. Mais je ne veux finir comme ça.
Je la saisis par la taille et la fait tomber sur le côté. Je me relève et fais tomber ma chemise au sol. Mon boxer la rejoins rapidement. Dans la poche de mon pantalon, jatt une capote et la déroule hâtivement sur ma queue.
- Tu veux quon fasse ça comment ? Je lui demande.
- Tu te poses trop de questions. Fais ce qui te plaît.
- Je tai dit, ce qui me plaît cest de te faire plaisir
- Je nai vraiment pas de préférence
Alors je vais la prendre comme rarement les hommes doivent le faire depuis quelle couche pour gagner sa vie.
Je mallonge doucement au-dessus delle et entre en elle délicatement. Elle ferme les yeux, penche la tête en arrière et se mord la lèvre à mesure que ma queue la pénètre.
Jentame un lent va et vient en elle, tout en goûtant ses seins. Quand elle jouit, je me laisse enfin aller et jouis à mon tour.
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