Collection Black. Mon Fantasme (1/3)
Quarante ans, vingt ans de mariage, un mari Christian commandant de la nouvelle Jeanne dArc, navire-école des officiers de la marine nationale.
Des jumelles, mariées à des jumeaux, je reconnais mes filles, mais je suis incapable de reconnaître mes gendres.
Par moments, je me demande si elle-même ne se trompe pas le soir au moment de ce coucher.
Un matin dans la salle de bains, elles papotaient nues quand lune delles a dit que le grain de beauté sur le côté de la verge de son mari lui permettait de le reconnaître.
Cest à partir de ce moment que jai eu des doutes que mes filles et mes gendres soient échangistes dans leur petit cercle intime.
Pour ne pas se séparer, ils habitent deux villas mitoyennes à Saint-Palais sur mer ou ils tiennent ensemble une boutique de souvenirs et tout pour la plage et la mer.
Les villas sont séparées par larrière par un mur quils ont abattu et qui leur permet daller et venir chez les uns ou les autres.
Deux ans de mariage pour eux et toujours pas grand-mère, jespère que lune des deux pourra un jour mapporter cette grande joie.
Vingt ans de mariage et pas un écart dans ma vie conjugale, pourtant, je suis encore appétissante et de temps en temps, je me fais draguer.
Depuis plusieurs mois, Christian me, délaisse de plus en plus, il part souvent en déplacement avec son bateau basé à Brest alors que nous habitions Toulon, car il vient den prendre le commandement dans cette ville où je ne lai pas suivi.
Précédemment, chaque fois quil revenait, nos corps senflammaient et il mapportait des orgasmes phénoménaux.
Enfin, je feins de le croire, car dans mon adolescence, jai vécu une expérience que mon subconscient à tout-fait pour oublier.
Je suis née dans une famille de militaires, mon père était commandant de carrière dans la Légion étrangère, toute ma jeunesse, régulièrement nous changions de régions au gréées de ses affections.
Javais quinze ans lorsque nous sommes parties pour Dakar au Sénégal, nous habitions dans le camp où les familles avaient de grands bungalows.
Nous avions à notre service deux boys qui faisaient tout dans la maison.
Sambou était grand et très fin, jai toujours pensé quil avait des origines touarègues, jadorais le voir frotter mes petites culottes les rincer et les étendre avec application.
Il y avait deux ans que nous étions là et je venais de fêter mes dix-sept ans quand un matin dinsomnie, je suis sortie pour voir le lever de soleil sur le camp.
Cest là que je les ai vus, Sambou et Diop qui se douchaient dans labri quils avaient construit et où ils pouvaient faire leurs ablutions à leau froide.
Sambou est sorti le premier nu, ne pensant pas que jétais là, la chaleur aidant, javais seulement un maillot publicitaire légèrement trop grand pour moi.
Jadorais le lever de soleil, mais la tige quil me présentait et que je voyais pour la première fois, ma beaucoup intéressée.
Jétais une jeune fille qui commençait à avoir lentrent jambes qui séchauffaient par moments, surtout le soir dans mon lit.
Mes doigts arrivaient à éteindre lincendie quand je caressais la petite excroissance en haut de ma chatte.
Dans notre milieu, jétais entouré dhommes et de quelques jeunes, mais larrivée et le départ des uns et des autres ne facilitaient pas notre rapprochement.
Jai passé ces années-là à lire lintégralité ou presque de la bibliothèque de la base.
Certains de ces livres mont appris, comment on jouait au papa et à la maman, mais aucun ne ma mise en garde quà ce jeu, je risquais de me brûler.
Sambou quand il a vu que je le regardais, na pas essayé de cacher sa tige, je dis bien tige, car sa verge était longue et fine.
Il a continué à se préparer et jai continué à le regarder.
Le bruit dans la maison de lun de mes parents ma obligé à battre en retraite.
Les jours suivants, je suis levé de bonne heure pour voir le lever du soleil.
Autant, je fantasmais sur le sexe de Sambou autant celui de Diop plus gros et bien plus court me laissait indifférente.
Pendant trois ou quatre matins, jai regardé mon sexe préféré, Diop pensant que je mintéressais à lui, samusais avec son petit bout jusquà ce quun jour, il me le présente dans toute sa force, cest à cette occasion que jai vue, quil pouvait presque doubler de longueur.
Les deux jours suivants, je regardais Sambou et jimaginais la longueur quil pouvait atteindre si je le provoquais.
Devant la porte-fenêtre de ma chambre, javais à ma disposition une chaise en rotin du même genre que celle, que javais vue dans un de mes livres et qui était lobjet mythique dune certaine Emmanuelle.
Ce matin-là, Sambou était seul, Diop était parti aider des boys dun bungalow voisin où lun était malade pour servir les propriétaires, qui fêtaient leur anniversaire de mariage et où nous étions invités.
Mes parents y étaient allés et javais décliné, leur fille était collante et je me demande si sa nature ne la portait pas vers notre propre sexe, je la trouvais un peu trop caressante à mon goût, du moins pour moi.
Je connaissais ce que lappellation lesbienne voulait dire, toujours la bibliothèque ou dans un coin sur le haut dune étagère, un petit malin avait placé des livres érotiques, hélas aucun navait de photos ou de dessins les illustrant.
Je nignorais pas que tous se coucheraient tard et que je risquais de ne pas me réveiller pour admirer mon lever de soleil.
Me sentant en sécurité du côté de mes parents, je me suis assise dans la chaise et jai replié lune de mes jambes vers ma figure, jai posé mes mains et mon menton sur mon genou, jamais, je navais pris une position aussi provocante, elle permettait à Sambou de voir ma féminité et surtout ma toison qui avait énormément poussé les mois derniers en même temps que mes seins se développaient.
Quand je parle de mes seins, ils ne pouvaient pas les voir, javais gardé mon maillot publicitaire.
Il me regardait tout en se rasant avec un rasoir qui semblait tellement coupé que je tremblais de voir son sang gicler.
Jai douté un moment que je lui fasse de leffet, car à aucun moment sa tige ne sest redressée, ma jambe comme elle était placée et la grandeur de mon maillot ma permis de sortir lun de mes seins, que jai caressés.
Rien, impuissant mon bel homme bleu, de guerre lasse, je suis entrée pour prendre ma douche.
Ma chambre avait une salle de bains personnels, car le grade de mon père lui donnait le droit davoir un bungalow double pour nous trois.
Je venais de me mettre nue quand jai senti une présence derrière moi, cétait lui qui avait enfin décidé de braver les interdits.
Il ma ceinturé sans que je me rebelle, je me suis retournée, jaurais pu le gifler, mais quand jai senti sur mon ventre ma convoitise, il ma pris sous mes fesses et ma posé sur le plateau de ma commode.
Cest là que jai vu sa verge qui avait grandi comme je lespérais.
Il ne ma jamais embrassé, mais il ma pénétré enlevant par là même mon hymen, je pense à la manière où je lai incité à venir me prendre quil savait cet état de faite.
Sa bite était tellement fine quelle a glissée toute seule au fond de moi sans marracher la moindre douleur.
En Afrique dans ces années-là, aucune préparation à la contraception ne nous était fait.
À lécole, nous avions étudié les anatomies masculines et féminines, jen avais retenu que le fond de mon vagin se continuait par mon utérus, elle était tellement longue et fine, que jai sentie quil était bien au fond et latteignait.
À ce contact pour la première fois de ma vie, je découvrais lorgasme.
Lorgasme deux fois plus fort que celui dont je parlais au début de mes souvenirs.
Deux trois quatre fois, je suis partie, deux trois quatre fois, jai perdu pied, deux trois quatre fois, je me suis mordu la lèvre pour ne pas hurler mon plaisir, deux trois quatre fois, jai senti quil venait de conquérir mon cur.
Quand sur la commode, il est arrivé au bout de sa résistance, pour ne pas memplir la vulve, il ma tout envoyé sur le ventre et sa giclée est montée si haute que mon vêtement en a été imprégné.
Il sest sauvé comme un voleur réalisant certainement quil avait passé la barrière infranchissable pour les hommes de sa condition.
Nous avons baisé pendant deux ans souvent le matin et chaque fois que nous trouvions seule. Jamais, je nai senti son sperme se déverser dans ma chatte, jen avais tellement envie quun matin ou une nouvelle fois mon utérus avait eu sa dose de caresse au moment de se retirer, je lai empoigné par les hanches lempêchant de sortir de moi, ses giclées mon fait du bien, à ce souvenir, ma chatte ruisselle.
Toutes ces pénétrations sans aucune protection auraient pu avoir de fâcheuses conséquences.
Ma mère ne mavait rien appris et le bon dieu devait être de notre côté, car tous les mois, je voyais mes règles venir.
Un jour, mon père nous a prévenus que nous étions invités à un cocktail à bord du navire-école Jeanne dArc, le navire faisait son tour du monde avec les officiers élèves préparant leur examen pour devenir officier.
Je mennuyais ferme pensant à Sambou qui aurait pu me faire lamour profitant de labsence de mes géniteurs.
Un des jeunes officiers élève chargés danimer la soirée voyant mon ennui est venu à moi pour moffrir une coupe de champagne.
Le verre bu, il ma entraîné dans une danse quhabituellement, jévite daccepter nayant pas le rythme dans la peau.
La série de slows qui a suivi ma été imposée, car nous étions en représentation pour la légion, il aurait été mal vu que la fille du commandant de la base de la Légion étrangère est un comportement laissant à désirer.
La soirée terminée après accord de mon père à qui il est venu demander lautorisation, il ma raccompagné en taxi et devant lentrée du camp, il ma baisé la main et est parti.
Quand jai demandé à mon père lautorisation, il discutait avec le commandant de la Jeanne et je lai entendu leur proposé de venir dans sa cabine, il voulait leur offrir un cadeau souvenir de son bateau et le champagne.
Chaque fois que des militaires se paye un verre, cela dure plus que de raison, surtout que mes parents avaient un chauffeur pour les rentrer.
Je dois avouer, que maman quand on lui proposait du champagne, nétait pas toujours très fraîche quen elle rentrait.
Arrivé dans notre bungalow, javais tellement pensé à Sambou, même en dansant avec ce jeune officier que ce soir-là, jai fait quelque chose dinsensé.
Sambou et Diop avaient une petite chambre sur le côté de notre bungalow, je my suis rendu, entrant sans frapper, la pleine lune éclairait les deux lits, sans me tromper, laissant tomber mes vêtements, je suis venue prendre la verge tant convoitée.
Je lai mise dans ma bouche, cétait la première fois que je le suçais, il a repoussé ma tête, il semblerait que ce ne soit pas dans les pratiques de sa tribu que les filles leur fassent des fellations.
Je suis revenue à la charge et quand jai jugé quil était capable de me percuter, je suis montée sur cette verge qui me faisait tellement de bien.
Cétait la première fois que je me trouvais placé sur lui, je me sentais pénétrer centimètres par centimètres plus profondément que les autres fois, du moins, javais envie de le croire.
Là encore, jétais aux anges dautant que je voyais Diop lui aussi réveillé qui ne perdait rien de mes seins et de mon intimité soudée au corps de son copain.
Je suis sûr que si je lui avais fait un signe, il serait venu moffrir son pieu.
Jétais devenue incontrôlable, ces verges noires mobnubilaient, jai fini par lui faire signe et pour la première fois, il ma pris la bouche avec son morceau, tellement gros que javais beau écarter mes mâchoires, il a eu du mal à y rentrer.
Une folle, jétais devenue folle, dans le camp, une centaine de boys sont attachés aux familles, en même temps que je profite de ces deux verges, je me voyais assaillie par ces centaines de ces verges noires.
Le lendemain, ma mère a frappé à ma porte, ou elle ma trouvé sagement couché, javais une visite
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