Une Semaine De Vacances 1/2
Pour la premère fois depuis longtemps, javais pu obtenir une semaine de vacances. Nous avions décidé daller la passer sur la côte basque. Nous, cest Sandra, ma copine, une brune pétillante, de 1,60m , qui vit avec moi depuis peu, et moi, Fabien, brun, 1,75m, les yeux verts également, Je suis plutôt musclé par la pratique de sports comme la natation, le tennis, la voile et le Karaté. Sandra est adepte des salles de sport, du yoga et du ski en hiver.
Nous avons entassé nos vêtements dans deux grands sacs de sport et casé les sacs, dans le coffre de ma petite voiture, avec les sacs de couchage, les matelas, les tentes, le parasol, la table de camping et ses deux chaises, sans compter une glacière et un grand sac, remplis de victuailles, et nous voilà partis vers le petit terrain de camping ou jai réservé un emplacement.
Jour 1 :
Nous arrivons, en début daprès-midi, après une halte pique-nique. Nous sommes en juin et les emplacements sont loin dêtre tous occupés. Le terrain est assez vaste, avec majoritairement des caravanes. Le gérant de lendroit, nous accompagne jusquà notre emplacement, un triangle de pelouse à lextrémité du camping, délimité par une épaisse haie derrière laquelle un mur de cloture ferme lendroit, et Quelques arbustes clairsemés qui forment la limite avec la place mitoyenne.
Nous installons nos deux tentes canadiennes, une pour nous, et lautre pour le matériel et la nourriture, la plus grande formant un triangle plus petit avec la cloture, et lautre perpendiculaire, de façon à ce que nous puissions passer de lune à lautre facilement, en cas de pluie. Nous avons donc un espace abrité, derrière les tentes, où nous installons la table, et les chaises. Je gare ma voiture sur lemplacement contigu qui est inoccupé. Je la bougerais si quelquun arrive, mais pour linstant, dans cette partie, il ny a que nous, et une grande tente, à deux espaces de la nôtre.
Aussitôt installés, nous partons pour découvrir les alentours, et surtout laccès à la plage.
Ils se sèchent énergiquement et le gars en bermuda, sallonge sur son drap de bain. La fille enlève sa culotte, et la secoue pour en éjecter du sable qui a dû sy inroduire, puis elle sallonge aussi, sans se rhabiller.
« Joile fille »commente Sandra, qui, comme moi les a suivi du regard
« Pas mal oui, mais le gars a lair bien aussi. »
« Elle na pas lair trop pudique « reprend ma chérie, ça te plait ça !. »
« Je te fais remarquer quil y a trois femmes sur cette plage et que tu es la seule qui porte un soutif. »
« Normal, je ne fais pas de naturisme, moi. »
« Qui te parle de naturisme ? Et regarde, il ny a quasi personne. »
Elle se lève « On va se baigner, il commence à se faire tard. Je te préviens, si cest trop froid, je ne me baigne pas. »
Nous voilà partis. Dès quelle a mis les pieds dans leau, Sandra pousse des petits cris
« oH ! Cest froid ! »
Pour lui prouver le contraire je mavance dans leau jusquà mi cuisse. Cest vrai que cest froid. Je me retourne pour lui dire de venir, mais une vague plus forte que les autres me renverse, et me voilà roulé dans le sable. Je me redresse tant bien que mal.
« Vas y dun seul coup, cest plus facile.
Mon conseil est superflu. Elle savance dans leau, mais maintenir son équilibre nest pas facile avec les rouleaux. Elle aussi, se fait renverser, et presque emporter par le reflux, je la ratt et laide à se redresser, son haut de maillot est autour de son cou et ne masque plus sa poitrine ronde. Elle se réfugie dans mes bras, et me dit
« je comprends mieux pourquoi les femmes ne mettent pas de soutif. Même mon slip a failli se barrer, et jai fait le plein de sable. »
Je la maintiens contre moi le temps quelle évacue le sable en question.
Nous franchissons la barre des rouleaux et nageons un peu, mais leau froide a raison de nous et nous remontons nous sécher après que Sandra a repositionné son soutif sur ses seins aux tétons érigés. Au passage je ne peux mempècher de jeter un coup dil aux deux blonds ; enfin surtout au la blonde qui est allongée sur le dos, les jambes légèrement écartées sur sa fente épilée. Derrière ses lunettes noires, je ne peux voir si elle dort ou si elle nous regarde.
Nous nous séchons et restons un moment à profiter de la caresse du soleil, mais il faut aussi aller au ravitaillement , au supermarché du coin. Nous levons donc le camp. Entre temps, les blonds sont partis, et il ne reste quun couple sur la plage. Un brun a la peau mate, et sa compagne, une femme brune, un peu ronde sans être forte, avec une opulente poitrine.
Un peu plus tard, au camping, quand nous revenons de nos achats, je maperçois en garant notre voiture, que le couple de blonds occupe la tente la plus proche de nous. Le gars est dehors, et me fait un signe de la main, et un sourire.
Jour 2 :
Ce matin, nous nous sommes réveillés tard et après avoir fait lamour, je suis allé acheter des croissants à lentrée du camping, pendant que Sandra préparait le café. Après un bon petit déjeuner, je compulse la documentation, pour choisir ce que nous allons visiter dans la région. Pendant ce temps, Sandra, est allée aux sanitaires pour se doucher.
« Tu sais les blonds de la plage, ils sont juste à côté. Cest marrant non ? »
Après quoi elle étend un drap de bain sur lherbe, prend un bouquin et sinstalle. Elle enlève son débardeur et commence à Lire.
« Sandra. »
« oui »
« Tu nas pas mis de soutif ? »
« Tu as dit que tu aimais les seins bronzés, et là, on ne peut pas me voir. »
Il est vrai que nous sommes cachés aux yeux déventuels passants par les deux tentes et notre véhicule. Il faudrait vraiment entrer dans le triangle délimité par nos abris de toile, pour nous voir.
Après le déjeuner, nous nous rendons aux sanitaires pour la corvée de vaisselle. Nos voisins blonds y sont déjà. Nous nous installons dans le bac à côté, et rapidement nous engageons la conversation. Lui sappelle Stfan, et Elle, Anna. Ils sont Suédois et passent leurs congés en France.
Laprès-midi nous partons à la plage. Jai pris un sac isotherme avec des boissons fraiches,
Sur le sable de la crique, il ny a aujourdhui que les blonds. Nous les saluons en passant, et ils nous font un signe de la main.
Au moment de sinstaller, Sandra hésite, puis enlève son soutien gorge. Je la félicite de son audace, et elle me répond que, si on va à locéan, elle finira sans , quoi quil arrive, et que comme il ny a que nos voisins, dont la jeune femme nen porte pas non plus, cest beaucoup moins gênant. Je me réjouis de cette décision car, jusquà présent elle ne faisait du Topless que très rarement. La journée sécoule paresseusement entre baignades, courtes mais rafraichissantes, et farniente. Nous avons remarqué que la jeune femme blonde, se baigne avec son bas de maillot, et lenlève ensuite. Et si elle revient se baigner, elle le remet. Son ami, se contente, de virer le sable qui est dans son bermuda, ne écartant lélastique entre les jambes. En allant nous baigner régulièrement nous avons eu lexplication . A chaque fois quon se trouve pris dans un rouleau, du sable sintroduit avec leau, dans nos maillots, a tel point que le poids de ce sable gorgé deau, finit par tirer le maillot vers le bas.
Malheureusement, le soir , je constate que la crème solaire indice 30 que jai achetée nest pas suffisante. Jai pris un énorme coup de soleil sur les deux pieds, les cuisses, le torse, et le visage ? Je sens ma peau tiraillée et sèche et quand, en allant me doucher, je découvre mon visage écarlate, je sais que je vais passer les prochains jours à me protéger.
Sandra compatissante, me couvre de biafine, et je passe une mauvaise nuit.
Jour 3 :
Après cette mauvaise nuit, je ressens des brulures, un peu partout, et je suis un peu vaseux.
Je bois un café, et je décide de me recoucher, car jai un gros mal de tête. Cest probablement un début dinsolation. Sandra, est un peu inquiète, mais je la rassure. Ça va passer. Je replonge et refais surface, sans avoir la notion du temps écoulé. Sandra, un petit chapeau sur la tête,lit en bronzant, son bas de maillot pour tout vêtement. Je menquiers de lheure. Il est 13h30. Je lui demande si elle a déjeuné, et elle me répond quelle sest préparé une salade composée, et quil en reste pour moi, mais je nai pas faim. Je sors de la tente, pour boire un peu deau fraiche, et lui propose daller seule à la plage. Sandra me répond quelle va rester à côté de moi, pour me veiller, au cas ou.
Cest très gentil de sa part, mais je sais que ma compagnie, dans ces cas la, nest pas très agréable. Je préfère quelle ne gache pas ses vacances, et en profites.
Pourquoi ne pas aller à la plage avec nos voisins, Stefan et Anna ? Elle se sentira moins seule. Jinsiste, et elle finit par accepter lidée, mais veut que je vienne avec elle pour leur parler. Nous nous rendons auprès de leur tente. Stefan, nous voyant approcher sest levé, et nous salue dun « bonjour » tonique . Je lui explique en anglais , ce qui nous arrive. Je lui montre mes cuisses, et mes pieds, et il comprend la situation. Il compatit à ma douleur, et me conseille de me reposer , Anna et lui, soccuperont de Sandra, et laccompagneront à la plage.Je les regarde partir, et vais mallonger sous la toile ou je tombe comme une massse.
Après un sommeil lourd et sans rêve, jémmerge alors que les ombres sagrandissent, et que le soleil bascule derrière lhorizon. Je suis seul sur le camp, mais Sandra arrive bientôt, enroulée dans une serviette qui dévoile ses jambes galbées, les cheveux tout humides, sentant bon le shampoing.
Elle me demande si je vais mieux. Ce nest encore pas la grande forme. Je linterroge sur son après-midi, et elle hésite à me répondre, puis elle prend la parole, cherchant ses mots.
Sandra :« Il sest passé un truc bizarre. Je suis ennuyée, mais je vais te le raconter. Comme tu sais nous sommes allés tous les trois à la plage. Ils ont un très grand drap de bain et Anna ma proposé de le partager avec eux. Je me suis donc allongée à côté delle. Stéfa était étendu de lautre côté. Anna ma entrainée dans leau, car , disait elle, si on reste au soleil trop longtemps, on a plus le courage dy entrer. Nous avons couru dune traite nous jeter dans les rouleaux, les vagues étaient plus fortes quhier. Stéfan, est vite remonté, tandis quAnna et moi, jouions dans lécume. Quand nous avons voulu sortir de leau, nos culottes étaient pleines de sable et pendouillaient lamentablement. Anna a oté son slip, et la rincé, se débarrassant des grains de sable inopportuns. Jai fait de même, et jai rincé mon maillot à mon tour.ce qui ne prêtait pas à conséquence car nous étions dans leau jusquà la taille. Puis Anna est sortie de leau, son maillot à la main. Jai hésité, un instant, puis je lai suivie. Jaurais bien remis mon maillot, mais avec les remous çaurait été difficile et, le remettre une fois que jétais au sec, cétait un peu tard. Je ne te cache pas que je ne voulais pas que cette gentille fille me trouve timorée.
Nous sommes donc allées nous étendre côte à côte sur le drap de bain. Je précise que nous étions seuls sur la plage. En approchant, jai vu que Stéfan, était allongé sur le ventre et semblait dormir. Nous avons laissé le soleil nous sècher, nous tournant sur la serviette, mais, au bout dun moment le soleil sest fait cuisant. Ne voulant pas mexposer à la même mésaventure que toi, jai sorti la crème solaire et me suis enduite. Jai passé la lotion à Anna qui sest tartinée des épaules aux pieds, en passant par ses petits seins, et son pubis tout rasé. Ensuite, elle ma demandé si je souhaitais quelle menduise le dos. Je me suis étendue, à plat-ventre. Elle a fait couler lhuile sur mon dos et a commencé à me masser doucement, étalant le produit, sur mes épaules et mon cou, jusquà ma nuque, puis elle est descendue le long de ma colonne vertébrale, en mouvements concentriques assez larges, jusquà mes flancs. Elle est descendue sur mes hanches, et le côté externe de mes fesses, puis mes cuisses, mes jambes et mes pieds. Ses mains sont ensuite remontées, malaxant mes mollets, marquant le pli du genou, et manipulant habilement les muscles de mes cuisses et de mes fesses, allant chercher les aducteurs, à lintérieur, mécartant les jambes, pour huiler mon sillon inter fessier.
Jétais tétanisée, je nosais bouger. Je sentais que ce massage devenait un peu trop personnel, et en même temps tellement agréable. Ses mains sinsinuèrent entre mes jambes, les écartant un peu plus pour masser, mes grandes lèvres. A ce moment, jaurais dû protester, ou méchapper, mais je nai rien fait. Je sentais un picotement de plaisir monter en moi tandis que ses doigts longeaient ma fente, effleuraient mon clitoris, pour venir sarrêter sur mon petit trou. Sa deuxième main massait le bas de mes reins. Après quelques passages, mon cul se soulevait malgré moi pour venir au devant de cette caresse. Elle en profita pour introduire un doigt dans ma chatte, qui coulait déjà abondamment. Elle fit des mouvements de va-et vient, qui continuèrent à méchauffer, avant de mettre un deuxième doigt, puis un troisième dans mon vagin. Je brulais de lintérieur et magitais sous ces doigts experts, jusquà atteindre lorgasme. Satisafaite, Anna murmura
« A toi maintenant »
Jai pris le flacon et jai passé la crème solaire sur son dos, ses jambes et ses fesses. Un fois enduite , elle sest tournée, sur le dos, me demandant de continuer. Jai massé ses petits seins, son ventre, pour atteindre son sexe épilé qui sest ouvert comme une fleur, perlée de rosée, à la lumière du printemps. Calquant mes mouvements sur les siens, je lai masturbée longuement, et elle a commencé à gémir sous ma main. Elle a relevé ses genoux, en écartant les jambes pour me faciliter laccès à sa grotte. Jessayais dexplorer son antre, au plus profond, alors quelle donnait des à coups de son bassin. Elle mencourageai de la voix, et criait son plaisir. Jai accéleré le rythme, et elle sest tendue comme un arc, avant de retomber dans un soupir. »
Waow !, je suis soufflé. Ma petite chérie toute timide et même prude parfois, me raconte une histoire que jai du mal à imaginer.
Moi : « Mais comment tu as pu faire ça ? Hier encore tu osais à peine enlever ton soutif. »
Sandra : « Je ne lexplique pas moi-même. Les évènements se sont enchainés, et quand je me suis rendue compte de ce qui se passait, il était trop tard pour faire marche arrière. »
Moi : « Enfin, tu tes mise à poil devant des inconnus. Ce nest pas le plus grave, mais tu tes laissée tripoter, avant de masturber une autre femme ! »
Sandra : « Jai honte de le dire, mais je me suis laissée submerger par le plaisir. Je nai pas osé refuser. Et puis cest toi avec tes idées de topless aussi ! »
Moi : « Cest ça, ça va être ma faute, bien sur. Cest tout ce qui sest passé ? »
Sandra : « Oui, presque »
Moi : « Quoi presque ? Quoi dautre ? »
Je mattends à dautre révélations.
Sandra : « En fait, nous avons quitté la plage, et nous sommes revenus. Tu dormais quand je suis passée. Jai pris une serviette pour aller prendre une douche. Je suis arrivée aux sanitaires en même temps que Stefan et Anna. Stefan est entré dans une cabine de douche, et Anna ma prise par la main pour y entrer avec eux. Là elle a défait le nud de mon paréo, et à viré son tee-shirt. Pendant ce temps, Stephan sétait deshabillé, et se savonnait sous la douche. Nous étions dans la grande cabine, celle pour les handicapés, où il y a plus de place.
Anna ma enlacée et ma embrassée, en caressant mes seins.. Elle ma entrainée sous la douche, et pendant que leau ruisselait sur nous, elle ma caressé encore. Mes mains osnt allées sur ses seins que jai cajolés un peu. Nous nous sommes savonnées mutuellement devant Stefan, qui nous regardait. Son sexe, assez impressionnant sétait dressé entre ses jambes. Il sest approché de nous, et , sest placé derrière Anna. Elle sest cambrée en écartant les jambes et elle la aidé à entrer en elle. Debout derrière elle, il lui a fait lamour longuement en lui palpant les seins. Très vite elle sest mise à gémir fortement, et lelle ma de nouveau embrassée. Sa langue senroulant autour de la mienne, caressant mes dents, cétait une sensation nouvelle pour moi. Très vite, il sest mis à Râler, et a joui en même temps quAnna. Après ça nous nous sommes rincés, et après avoir enroulé une serviette autour de moi, je me suis enfuie. »
Incroyable ! Il suffit que je ne sois pas là pour que ma copine se lâche avec des étrangers. Avec colère je lui fais part de mes pensées.
Sandra : « Je suis vraiment désolée, mon amour, mais ce qui sest passé, ce nest pas parce que tu nétais pas là, Je pense, enfin je sens que ce couple, jeune comme nous, est beaucoup plus libéré que nous et quils ne pensent pas à mal. Dans la douche, a aucun moment je nai ressenti de pression de leur part. Nous avions passé un bon moment à la plage, et ils ont voulu partager avec moi, leur passion. »
Moi : « Partager leur passion ? » je suis tellement stupéfait que tout ce que jarrive à faire , cest répéter ce que Sandra me dit. Pas très original.
Sandra : « Je tassure, que si tu avais été là, tu aurais partagé cette expérience, avec moi, avec eux. »
Je nose lavouer mais le récit de Sandra, mirrite et mexcite à la fois. Une barre de chair déforme mon short, et elle ne tarde pas à sen apercevoir. Malheureusement, pour cause de brûlures solaires, pas questions de se frotter lun contre lautre. Elle pose la main sur la bosse qui tend mon slip, et dégage mon mandrin qui se tend maintenant à lair libre. Me saisissant aux épaules elle me fait allonger sur le dos, et sagenouille à mes côtés. Puis elle se penche sur moi et sempare avec ses lèvres de la seule partie de mon corps qui nait pas eu à souffrir du soleil. Elle commence à me pomper, sa tête montant et descendant en rythme sur ma queue. Elle sarrête un instant et me dit
« Tu vois, cette histoire ta excité autant que moi » avant de replonger. Sa langue pointue, se glisse sous ma verge, et écarte mon méat, pendant que ses lèvres se serrent autour de mon frein en un mouvement coulissant extrêmement vif. Je sens mon gland gonfler. Elle lèche mon sexe tout du long en malaxant mes bourses. Jai tendu la main pour atteindre sa chatte humide qui accueille deux de mes doigts, en les accompagnant de mouvements du bassin.
Elle ma repris en bouche et ses lèvres forment un fourreau qui sactive jusquà ce que je sente la lave monter irrépressiblement en moi. Elle le sent aussi, je le sais, mais elle continue à enserrer mon membre. Je lâche plusieurs giclées dans sa bouche. Elle narrive pas à tout avaler et ça déborde aux commissures de ses lèvres. Elle se relève, et recrache dans lherbe le trop plein, puis revient me nettoyer avec sa langue., avant de venir déposer un baiser salé sur mes lèvres.
Sandra : « Cétait bon. Tant que ce maudit coup de soleil ne sera pas passé, je te ferais jouir comme ça. . »
Je me dis que, finalement, je ne vais peut-être pas perdre au change
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