Mon Harem
Quel curieux titre
Mais vous allez comprendre pourquoi.
Depuis quelques années, je suis surveillante chef à la maison darrêt de X. Vous comprendrez que je ne veux pas développer plus.
Cest un établissement mixte qui accueille des hommes et des femmes mais ils ont des quartiers séparés et nos « pensionnaires » ne comprennent quenviron 10% de femmes.
La plupart sont là pour de peines courtes infligées à la suite dun quelconque trafic de drogue, prostitution et autres méfaits généralement imputables aux femmes
Si quelque fois il y a des crêpages de chignon lors dactivités communes, généralement les « pensionnaires » sont assez ca lmes
Les seules incartades, et les plus fréquentes, sont de relations lesbiennes qui se nouent dans lintimité des cellules ou lors des douches collectives. Tant que cela ne perturbe pas trop la vie de tous les jours, nous fermons les yeux
Mais pour moi, depuis environ deux mois, cela a changé.
A la suite de la fouille des cellules, nous avons découvert les habituels téléphones portables passés sous le manteau au cours des parloirs mais aussi des substituts de phallus réalisés de manière artisanale, certains, à nen pas douter, avec la complicité des hommes travaillant à la menuiserie.
Comment avaient-ils pu passer les contrôles ? En principe, le cloisonnement est étanche !
Il fallait absolument éclaircir les choses.
Successivement jai convoqué dans mon bureau les deux filles chez lesquelles on avait trouvé ces godes de bonne facture.
Voici en gros reproduit les dialogues que jai eus
Alors S... (ou N
) on a trouvé de quoi occuper son temps libre ?
Oui Mdame
cest trop dur de rester sans sexe pendant des semaines !
Et qui ta fabriqué cet objet ?
Je nsais pas Mdame
Cest Hervé un des gardiens qui me la fait passer de la part dun mec qui est en détention !
Et alors ?
Il parait quil bande pour moi depuis quil ma croisée à linfirmerie.
Je te confisque lobjet
Je te le rendrai peut-être bientôt en échange de petits services.
Oui Mdame
Tout ce que vous voudrez !
La discussion avec S
sarrête là
Je convoque le fameux « Hervé » avec son chef de division
Il avoue sans crainte que cest bien lui qui a fait passer « les objets » à S
et N
, que cela ne lui a pas paru bien grave
En soi, il avait raison mais sil a pu faire passer discrètement ces godes
ny a-t-il pas le risque de voir passer autre chose. Son chef le réprimande devant moi et ils quittent mon bureau.
Quelques jours plus tard, je convoque S
dans mon bureau. A cette heure là, nous serons tranquilles car les autres détenues sont à la séance de sport à laquelle S
se préparait à aller car elle porte un survêtement informe. Je lui dis sèchement :
Approche ! Montre-moi ce que tu portes
Allez
à poil et plus vite que çà !
Elle est un peu surprise mais le ton employé ne lui laisse aucune échappatoire : Elle obéit et se retrouve en culotte et soutif devant moi qui lui tend lobjet confisqué.
Montre-moi comment tu fais pour te satisfaire !
Jnose pas !
Tu veux une paire de claques ?
Cest bon
Jsuis pas maso !
Mais dis-moi
qui ta rasé le pubis ?
Cest ma compagne de cellule
Beau travail
allez ne lambine pas !
S
sexécute rapidement en prenant la bite factice dans sa main droite. Elle la porte dabord à sa bouche pour lhumecter de sa salive avant de descendre au niveau de son pubis dont elle écarte les lèvres intimes du bout de lobjet.
Ensuite, elle lintroduit dans son sexe où elle le fait aller de plus en plus vite
Je dois avouer quà cet instant, je me sens excitée aussi
Je me souviens des caresses échangées à linternat et cela me renvoie quelques 20 ans en arrière. Ma copine préférée ressemblait beaucoup à S
Une grande fille dégingandée avec un regard perçant qui tout de suite mavait dominée et mise dans son lit.
Je retrouvais chez S
la même poitrine bien ronde et les hanches étroites
avec en plus quelques tatouages dont un attire particulièrement mon attention. Situé au dessus du pubis, il indique « pour toi » avec une flèche sarrêtant au dessus du capuchon du clitoris.
Je savais pourquoi S
avait été condamnée avec son mac : une histoire dentôlage où elle piégeait des gogos pour les dépouiller.
Devant le spectacle, je déboutonne ma veste duniforme et descends mon pantalon
Je sens que ma chatte est humide et la pointe de mes seins sortie
Quand S
jouit devant moi, je lui dis :
Approche
maintenant cest à toi de me contenter
lèche moi la chatte et après tu me baiseras avec ton gode
Laisse-le au chaud pour linstant !
Pendant que S
me fait un cunni savant, je sors mes seins et je triture les bouts pour accompagner la jouissance que S
fait monter dans mon ventre
Désormais, je suis son jouet
et cest bon de sentir ce sexe artificiel aller et venir en moi.
Je ne peux retenir ma jouissance et quand S
retire le gode de ma chatte, je libère ma cyprine qui ruissèle le long de mes cuisses.
Bon
maintenant çà suffit
Ne dis rien aux autres sinon je te mets au mitard pour 15 jours !
Oh non, je ne dirai rien !
Bon je te rends ton jouet !
Le corps apaisé, je me rhabille pendant que S
regagne sa cellule. Il est temps car les autres reviennent du sport !
Quelques jours plus tard, cest N
qui entre dans mon bureau. Dès que nous sommes seules, je lui tiens le même langage quà S
Elle comprend quelle doit se soumettre.
N
a une bonne trentaine dannées, à linverse de S
, elle est plutôt petite, environ 1.60m, des formes généreuses, un visage ovale avec de grands yeux sombres.
Je remarque tout de suite que sa poitrine est libre sous le blouson de survêtement et je lui fais la remarque.
Oh
jaime bien sentir mes bouts frotter contre le tissu, çà mexcite et quand je reviens dans la cellule, jai la chatte qui coule
Avec ma co-dét, nous nous offrons un beau cunni en 6 9.
La bite te manque tant que çà ?
Oui
avant, je baisais tous les jours avec mon mec et plus dune fois !
Bien
je vais te rendre ton jouet mais avant, on va senvoyer en lair toutes les deux ! Fais-moi reluire et ensuite ce sera ton tour. Ok ?
Comme avec S
, jouvre mon uniforme et N
se penche dabord sur ma poitrine pour lembrasser au travers du soutif et sa main droite fouille dans ma culotte à la recherche de mon bourgeon damour.
Je ne peux mempêcher daller caresser sa poitrine qui ballote doucement sous mes yeux
et ses tétons sortent aussitôt de laréole pendant que N
pousse des soupirs daise
Puis N
passe aux choses sérieuses (si on peut dire). Elle descend mon tanga sur mes hanches et se penche sur mon pubis quelle embrasse et ouvre mes lèvres intimes. Tout de suite, je sens sa langue fouiller les replis avant de sintroduire le plus loin possible dans mon vagin. Ensuite, elle remplace sa langue par le gode quelle enfourne lentement avant de le faire aller et venir, tantôt lentement, tantôt de plus en plus vite, comme si elle était attentive à la montée de ma jouissance.
Je me sens bien
je caresse la pointe de mes seins au travers de mon soutien gorge puis, pour être plus à mon aise, je les libère
Cette jeune femme mexcite au plus haut point
je vois mes fraises qui sont sorties comme jamais et je les maltraite un peu jusquau moment où la jouissance memporte dans un tourbillon de sensations.
A toi maintenant ! à poil sur le dos sur le bureau !
N
sempresse dobéir
Jai sous les yeux son pubis rasé
cest le premier que je vois
et je trouve cela beau !
Jembrasse ses seins en mordillant les tétons qui sérigent aussitôt
et ils sont longs comme une phalange d !
Mais ce que je veux, cest lui rendre la même caresse
après lui avoir bouffé la chatte, je vais la baiser avec ce phallus qui est très bien imité : un gland proéminent, un corps semblant veiné et un début des testicules qui facilitent lusage.
En fait, javais rangé ces deux godes sans trop y prêter attention
Celui qui les a fabriqués est assez doué !
Dès que le gode a été au fond de la chatte de N
celle-ci sest écriée :
Oh
que cest bon ! Baisez-moi bien fort comme vous lavez fait avec moi !
Tinquiète ma poulette, tu vas prendre cher mais MOTUS ET BOUCHE COUSUE !
Oh oui, pas de prob !
Et je lai envoyée en lair de la plus belle des façons
elle ruait littéralement sous ma pénétration manquant à plusieurs reprises de faire sortir le gode de sa chatte.
Le lendemain, je convoque sa codétenue à lheure du sport. Cest le meilleur moment pour cela ! Nous serons tranquilles pendant presque une heure. Je lattaque demblée :
Alors comme çà, on fait lamour avec N
! Vous mériteriez le mitard seules pendant quelques jours mais jai mieux à te proposer.
Je veux bien tout sauf le mitard !
Ok
alors
à poil et complètement !
-------------
JAI DIT : « A POIL ! ». Ne me fais pas attendre !
Aussitôt A
se couche sur le bureau et je mapproche de son pubis avant de glisser deux puis trois doigts dans son vagin
Ce dernier ne tarde pas à shumidifier
Je fais aller et venir mes doigts et jentends le clapotis de sa cyprine qui coule le long du périnée
Dis donc, salope, il ne ten faut pas beaucoup pour mouiller !
Mais ce que vous faites est si bon
Il y si longtemps quon ne ma pas fouillé la chatte, que je nai pas eu une bite bien raide dans mon con !
Si je ne me trompe pas, avec N
vous aviez ce quil fallait !
Oh
rien ne vaut une belle bite !
On verra !
Je continue à la masturber jusquau moment où elle jouit, expulsant des jets humides qui inondent ma main.
Alors
contente ? Cétait bon de se faire branler par une matonne ?
Oh oui, vos doigts mont fait du bien !
Bon, on se reverra ! Rhabille toi et file !
Jen avais assez
Tout ce que je veux, cest asseoir ma domination sur ces trois filles. Et je pense que cest chose faite.
Mais jen veux plus !
Je profite dune journée libre pour aller dans un sex-shop dune ville voisine : Je ne voulais pas être reconnue ! Javais une petite idée sur ce que je cherchais
dabord, un gode ceinture (je nen navais pas encore dans ma panoplie
) et un Plug gonflant
Jimaginais déjà lusage que jallais faire des ces deux achats.
Je laisse volontairement passer un peu de temps et sans le vouloir, ce sont N
et S
qui me donnent un motif pour les faire venir dans mon bureau : Elles se sont crêpé le chignon dans les douches et il a fallu les séparer !
Alors
on se distingue ?
Les explications confuses ne permettant pas de savoir qui avait commencé, elles finissent par reconnaitre quelles ont simulé, sachant très bien quelles se retrouveraient dans mon bureau !
Ah
les coquines
Avaient-elles parlé de ce qui était arrivé ?
Je voulais leur donner une leçon et les soumettre encore plus. Lordre est arrivé sèchement :
Troussez-vous et baissez vos culottes. En appui sur le bureau le cul tourné vers moi !
Jai saisi une badine dans un des tiroirs et jai commencé une correction en règle des deux filles, alternant les coups sur les fesses de lune avant de passer au cul de lautre. Lorsque les fesses ont été bien rouges, jai cessé
Je navais pas compté les coups et je men moquais !
Je ne suis pas une adepte de ce genre de punition mais vous lavez cherchée. Maintenant, je vous donne une mission si vous ne voulez pas goûter à ma badine
Cherchez dans la détention des filles qui sont en manque comme vous
Vous ny perdrez pas au change
Maintenant filez ! Je vous ai assez vues pour aujourdhui !
Javais déjà mon idée en tête ! Je pense que mon amant du moment ne sera pas contre !
Quelques jours plus tard, S
demande à être reçue pour un motif futile. Quand elle arrive à mon bureau, elle est accompagnée par V
une grande bourgeoise dune trentaine dannées qui est là pour peu de temps : Elle na quun mois de prison ferme à purger pour un accident en état divresse.
Cest S
qui sexplique :
Madame, nous voudrions être dans la même cellule. Je mentends bien avec V
, mieux quavec la truie que jai actuellement
cest une souillon, elle rote et pète sans arrêt !
Mais ma belle, ce que tu demandes
çà se paie content !
Oui
je sais ! On est daccord
V
est complètement bi et elle veut bien vous satisfaire !
Alors on va voir ce quelle sait faire
quant à toi, voici de quoi téquiper
Tu vas me baiser le cul pendant de V
me fera reluire !
Cest ainsi que je me retrouve entre V
qui me mange la chatte et glisse plusieurs doigts dans mon vagin et que S
me sodomise
Oh que cest bon
Je suis satisfaite au-delà de tout ce que je pouvais espérer mais mes deux complices restent sur leur faim : Aujourdhui, elles nont pas le droit à la jouissance mais elles ont gagné le droit de partager la même cellule !
Au moment de quitter le bureau V
me demande si elle a le droit dutiliser le gode de S
car elle a besoin de sexe.
Mais, jai mieux à te proposer ! Reviens demain à lheure du sport
Tu verras, ce sera une surprise.
Le lendemain, Ludovic, mon amant du moment arrive comme prévu dans mon bureau. Cest flic donc il peut accéder facilement. En plus il a des renseignements complémentaires à demander à V
(prétexte pour entrer).
Nous bavardons un moment pour mettre au point la suite des événements. Je brosse un rapide portrait de V
et sur ses besoins. Il est daccord pour la satisfaire bien que les lieux ne soient guère propices.
Quand V
entre, nous voyons tout de suite quelle sest mise en frais
elle porte ses vêtements de ville (privilège accordé aux courtes peines) et elle sest maquillée. Elle est très élégante
Une splendide blonde aux formes discrètes mais agréables dans la plénitude de ses 30 ans.
Comme ils se sont déjà vus au moment de laccident, il est inutile de faire les présentations.
Voila
Tu mas dit hier être en manque de vraie bite
Ludovic est Ok pour te baiser ! Tu veux bien ?
Oh oui
Jai tellement envie que je narrête pas de me branler !
Cest parfait, pendant quil va te sauter, je vais regarder et me faire plaisir
Jaime bien voir une autre femme se faire baiser par mes amants !
Vous ne serez pas jalouse ?
NON
puisquil est là pour çà et que çà me plait ! Ne perdons pas de temps !
Ludovic fait placer V
les coudes en appui sur mon bureau, il descend le string et je devine déjà comment il va baiser la fille : je sais quil adore la levrette
cest dailleurs comme cela et en amazone quil me baise habituellement !
Les fesses de la blonde sont offertes et je ne me prive pas de les caresser, dintroduire deux doigts dans sa chatte qui est déjà humide :
Tu peux y aller
Elle est prête
elle nattend que çà !
Oh OUI
Baisez-moi bien
15 jours sans une bite, cest trop dur !
Bien évidemment Ludovic enfile une capote et sintroduit dans le sexe de la belle
Je sais comment il baise
Il va faire monter la sauce et la laisser redescendre de façon à ce que la fille soit « en demande » : Il va et vient dans la chatte, lentement, puis plus vite avec de diminuer de nouveau le rythme
V
lencourage
elle veut être baisée plus fort, plus à fond
finalement ils jouissent presque en même temps dans des soupirs de délivrance...
Quand Ludovic sort du sexe de sa partenaire, il bande encore ferme
Il prend de la cyprine sur le bout de ses doigts et les place sur lillet plissé
Il veut sodomiser V
Oh NON ! Pas là ! Personne nest passé dans mon cul !
Bon
alors tu vas me sucer
çà, je pense que tu sais faire !
Oh oui
et vous pourrez même décharger dans ma bouche ! Javale facilement !
De mon côté, je suis excitée si bien que dune main je caresse mes seins et de lautre, je fais aller et venir le gode dans ma chatte pendant quils baisaient.
V
est une fameuse pipeuse
en moins de quelques minutes, Ludovic se vide dans sa bouche !
Avant de la congédier, je lui demande si elle veut que jouvre « sa porte arrière ».
Oh oui
Il parait que cest si bon de se faire prendre par derrière mais je nai jamais osé !
Tiens prends ce petit rosebud et revient demain à la même heure. Je vais moccuper de toi !
Daccord Madame
Le lendemain, V
arrive dans mon bureau. Elle marche dune drôle de manière, un peu comme les mannequins de mode dont on a limpression quelles serrent les fesses
Bien
à te voir marcher je pense que tu as conservé le Plug dans ton cul !
Oui Madame
Je ne lai ôté que pour la toilette
Montre-moi çà ! Allez
Vite on na pas de temps à perdre.
Aussitôt, elle se trousse et descend sa culotte puis elle allonge son buste sur le plan de travail comme la veille. Ses belles fesses un peu blanches soffrent à ma vue et au fond de sa raie je vois ses orifices
Le sphincter est occupé par le petit plus en silicone que jagite dune main avant de le retirer en disant :
Je vais te mettre quelque chose de plus gros
un fois en place, je vais le gonfler et le dégonfler pour que tu thabitues à avoir quelque chose de plus conséquent dans ton boyau.
çà ne fait pas mal ?
NON
je suis sure que tu vas aimer.
Pendant la demi-heure qui suit, je gonfle et dégonfle plusieurs fois le dispositif que je fais aller et venir dans le rectum de la blonde qui y prend tellement goût que soudain elle se met à jouir !
Avant de partir de mon bureau, je lui confie mon gode ceinture et un tube de gel en lui disant que S
se fera un plaisir de lui défoncer la rondelle pendant quelques jours pour quelle shabitue et que pour son dernier après-midi avant sa libération, Ludovic viendra la sodomiser pour la première fois !
Cest ainsi que jai constitué un harem de filles qui ne demandent quune chose : me faire plaisir en échange de quelques caresses et de moments de jouissance partagée.
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