Une Semaine De Vacances 2/2
Après une nuit , enduit de lotion après soleil, qui na pas empêché mes brûlures de me réveiller fréquemment, jai fini par piquer du nez, au petit matin. Quand je soulève une paupière, il fait grand jour. Sandra, qui heureusement est prévenante, ne ma pas effleuré une seule fois, malgré notre proximité dans lespace exigu. Discrète, elle sest éclipsée sans me réveiller. Je lentends sactiver à préparer le café sur notre réchaud.
Jour 4
Ce matin je souffre moins mais je commence à peler, découvrant sous la peau séchée qui tombe en lambeaux, une autre bien rose quil faudra protéger plus efficacement. Je sors de la tente en grimaçant. Sandra se tourne vers moi avec un sourire.
« ça va mieux ? Mon pauvre amour, tu as dû mal dormir. Ce matin je tai laissé te reposer. »
Elle me sert un bol de café. Sur la table de camping, il y a des croissants tout frais, et elle a même dégotté du jus dorange.
« Je tai pris du jus dorange. Il faut des vitamines pour cicatriser. »
Pendant que je déjeune, elle prend la parole.
« Je sais que tu men veux pour hier, mais je ne veux pas quil y ait dombre entre nous. Depuis que nous nous connaissons, tu me fais découvrir différentes façons de vivre la sensualité. Avec toi, je franchis des étapes, et je ne suis plus la jeune femme timide du début. Tu me fais découvrir des caresses nouvelles, des situations nouvelles et ma sensualité se révèle avec toi. Tu mas appris à lâcher prise, et à profiter des plaisirs que nous offre la vie, et, je ne fais quappliquer ce que tu menseignes. Je me suis trouvée dans une situation où je nai pas pu, ou pas voulu me bloquer. Au lieu de ça, jai découvert des sensations nouvelles. Je lai partagé avec toi en te racontant cette aventure. Je te suis fidèle et je naime que toi. Pour que notre couple sépanouisse, je ne fixe pas de barrières, ni à toi, ni a moi. Je ne veux pas de plans glauques dans des boites échangistes de deuxième zone, mais quand on rencontre des personnes, homme ou femme, qui partagent notre style de vie, et son libérés, jaimerais quon soit libres daller vers eux, pour un temps.
Entre temps, jai réfléchi et je me dis quelle a raison, je la pousse depuis longtemps à se libérer sexuellement, et je ne peux lui reprocher de le faire, dautant quelle ne ma rien caché.
« Je me suis emporté, hier, mais je ne ten veux pas. Je crois que jétais juste jaloux de navoir pas été là. Je ne veux que ton bonheur moi aussi, et je comprends ton attrait pour ce couple si sexy et attachant. Tu peux retourner à la crique quand tu veux. De mon côté, je souffre encore trop de mes coups de soleil. Par contre, tu pourrais leur proposer de diner avec nous, ce soir, que je puisse mieux les connaître. »
Sandra, est ravie.
« Je vais men occuper. En attendant, je dois tenir ma promesse » dit elle en posant la main sur mon slip.
Après une fellation matinale , je me réfugie, sous la tente, ma tête sortant de labri. Sandra, fait passer par dessus sa tête son long tee-shirt qui lui sert de chemise de nuit, et sétend nue sur un drap de bain. Elle lit un romant à leau de rose qui doit lui faire de leffet, car, de temps en temps, elle passe sa main sur son minou, maintenant entrouvert.
Décidément elle sest bien libérée.
Je dois aller me doucher pour me débarrasser de cette couche de lait solaire, qui a séché sur ma peau brulante. En partant, ma serviette à la main, je passe devant lemplacement des suédois. Stefan, est en train de lire un magazine ; il me salue dune signe de la main.
Anna, en long T-shirt, me lance un « bonjour ! » tonique. Elle est en train de ramasser le linge mis à sécher sur une corde. A chaque fois quelle lève les bras pour atteindre le fil, le tissu remonte, dévoilant sa chatte imberbe.
Je passe un long moment sous la douche qui me réhydrate et me fait du bien.
Elle se baisse vers moi, et membrasse sur les joues, puis va embrasser Sandra, une main sattardant sur sa poitrine avant de descendre effleurer son sexe entrouvert.
Après un frugal déjeuner, Sandra, est partie avec nos amis suédois, et jen profite, pour faire une sieste.
Elle revient en fin daprès midi, et menjoint de laccompagner aux sanitaires. Nous nous enfermons dans une cabine, et Sandra, se baisse pour gober ma queue, a demi-érigée. Une savante succion, achève de lui redonner une rigidité. Dans lespace, fermé par des cloisons qui ne vont pas jusquau plafond, on entend souvent des gémissements de plus en plus forts. Sandra sinterromp un instant et me montre la cloison en chuchotant : « cest eux. »
Avec un sourire malicieux, avant dabsorber mes couilles lune après lautre. Des coups sourds résonnent contre la cloison et la jeune femme, à côté, donne de la voix. Sandra sactive sur mon sexe, ses mains complétant la caresses de sa bouche. Je sens le plaisir monter en moi. Sandra se dégage, sans cesser de me branler et jenvoie plusieurs jets de sperme sur son visage et sur ses seins. De lautre côté de la cloison, Anna crie son pllaisir, à lunisson de Stéfan,
Lavés, sêchés, parfumés, nous sortons de la douche, en même temps que nos voisins. Stefan, en bermuda et débardeur, me fait un signe de tête et Anna, est toujours vétue de son paréo, sans rien dessous. Jadmire leur plastique irréprochable.
Nous avons trouvé un petit restaurant sympa, près du vieux port de pêcheurs, dans Biarritz. Nous sommes installés à une table, assez tranquille avec vue sur le port. Je suis installé en face de Sandra, et à côté dAnna, qui est elle, à côté de Stefan. Nous dégustons des plateaux de fruits de mer arrosés de vin blanc frais. Lambiance est décontractée, et nous apprenons à nous connaître. Nos nouveaux amis viennent de la banlieue de Stockolm. Stefan travaille dans lindustrie du papier, et Anna finit ses études de Kiné. Ils adorent visiter différents pays et ont une préférence pour la France. Nous apprenons quils ne sont pas naturistes, au sens strict du terme, mais quils ne détestent pas, quand les lieux et les gens le permettent, se passer de vêtement, voire même, pratiquer le sexe en plein air.
Ce quils ne nous disent pas, cest quils ont une bonne descente. Le vin frais coule à flots. Pendant que nous parlons, je sens le pied de Sandra, venir me chatouiller lentre jambe. Elle a lair ravie, et même rèveuse. Une main vient se poser sur ma cuisse, et remonte doucement. Ne voulant pas être en reste, je pose ma main sur la cuisse dAnna, qui porte une robe droite, très courte, tenue par des bretelles. Le tissu est repoussé par mes doigts, qui atteignent sa fourche, libre de tout vêtement. Elle écarte les jambes, et avance le bassin, tout en continuant à plaisanter. Mon doigt trouve lentrée de sa grotte et sy enfouit. Le dessert arrive. Anna le déguste avec des « hmmm ! » dont jignore si ils sont dûs aux sucreries ou à mes doigts qui sagitent en elle. Sandra, emet, elle aussi, de petits gémissement, et je finis par me convaincre que le dessert ny est pas pour autant. Après un avoir pris un cognac (pas moi, car je conduis) nous repartons en voiture. Les deux filles, comme à laller se sont faufilées à larrière de mon coupé. Tout en conduisant, jentends des soupirs qui montent depuis la banquette arrière. Stéfan, est tourné vers les deux filles et profite du spectacle.
Je leur propose un dernier verre, puisque je nai plus à conduire. Je sors une bouteille dArmagnac, achetée en passant dans le Gers, et en sers quatre doses bien tassées. Les filles, déjà éméchées, trouvent ça trop fort et rigolent pour un oui ou un non. Jai mis en sourdine, un peu de musique. Anna se lève et prend Sandra dans ses bras pour danser un slow. Stéfan et moi, sirotant notre verre observons sans mot dire. Anna déboutonne les boutons restants à la robe de Sandra et en écarte les pans, dévoilant ses seins, suivant la courbe des hanches. Elle ne porte rien sous sa robe. A son tour, Sandra fait glisser les bretelles de la robe de Sandra, qui, dans un doux bruissement, chûte à terre, la laissant nue. Les deux jeunes femmes sembrassent longuement. Les mains de Sandra semparent des fesses dAnna et les tirent à elles. Je suis stupéfait par ce spectacle imprévu. Ala fin du titre, les filles se séparent, et sapprochent de nous pour nous embrasser. (je veux dire Sandra pour moi, et Anna pour Stefan). Puis les deux Suédois prennent congé.
Seul avec Sandra, je ne peux mempêcher de remarquer
« Eh bien, quel spectacle ! Il faut dire que les préliminaires avaient eu lieu dans la voiture, à moins que ce ne soit au restaurant. »
« Parce que toi, au restaurant, tu nen a pas profité » répond Sandra avec un sourire malicieux.
Une fois dans la tente, je ne peux retenir la question qui me brûle les lèvres :
« Et cet après-midi, comment ça sest passé ? »
« Quand nous sommes arrivés, il y avait un autre couple sur la plage, ainsi quune famille avec un . Nous sommes restés sagement en maillot, mais sans soutif car je nen avais pas pris, et Anna non plus. Ayant un peu chaud, nous sommes allés nous baigner, et en remontant, Anna a, de nouveau, enlevé son bas de maillot pour faire partir le sable qui sy était glissé, mais elle la remis aussitôt. De mon côté, jai détaché un des cordons de mon slip, pour rincer le sable , en tournant le dos à la plage. Apparemment, le lieu est connu pour être libre. La petite fille avec ses parents, était nue, comme le sont souvent les s en bas âge, et sa mère avait oublié son soutien gorge aussi. Lautre couple était aussi un adepte du topless, et jai surpris le mari, pendant quil enduisait sa femme de lait solaire, en train de ségarer dans la culotte de sa femme. Nous avons somnolé jusquà ce que la famille sen aille, puis nous sommes retournés à leau. Cette fois- ci Anna na pas remis sa culotte et sest allongée nue. En me tournant vers lautre couple, un peu plus loin, je me suis rendu compte quil étaient allongés face à face, sur le côté, et que la femme caressait son homme, au début, par dessus son slip de bain, puis rapidement, en faufilant sa main dedans.
Anna avait laissé Stefan, sétendre entre nous, et le caressait distraitement. Puis elle sest glissée plus bas , et a tiré le bermuda de Stéfan, pour len défaire. Il était nu et son sexe bandé se dressait fièrement ; un sexe de belle taille. Elle a commencé par effleurer ses couilles, en léchant son sceptre, avant de lemboucher pour le sucer, sa tête montant et descendant, au dessus de lui. Sa main, est venue chercher la mienne et la posée sur la queue palpitante, que jai empoignée. Jai caressé ses bourses et lintérieur de ses cuisses écartées. Je métais assise pour plus de commodité, et, par dessus le corps de Stefan, Anna sest penchée pour membrasser, puis elle a dirigé ma tête vers la queue érigée, et je lai prise dans ma bouche. Elle était plus longue et plus fine que la tienne, et gardait le goût salé de leau de mer. Je mappliquais à lengloutir de plus en plus profondément, mais il venait taper au fond de ma gorge avant que jaie pu absorber entièrement sa queue. Jétais prise dans le feu de laction. A ce moment, une seule chose comptait : le faire jouir. Je flattais ses couilles, et glissais mes doigts, dans son sillon pour aller titiller son anus, sans cesser denrouler ma langue autour de cet arbre vivant, serrant mes lèvres sur son gland. Bientôt je sentis les mains dAnna sinsinuer entre mes cuisses, et ses doigts sintroduisirent dans mon vagin, déjà détrempé. Elle me masturba dabord doucement, puis de plus en plus vite. Ne sortant ses doigts que pour les enfoncer dans mon petit trou, marrachant des soupirs dextase. Stefan donnait des coups de reins désordonnés et finit par gicler dans ma gorge, des jets abondants que jeus du mal à avaler sans m. Je me dégageais et crachais lexcédent dans le sable. Sans toutefois changer ma position. A quatre pattes sur le drap de bain, javais conscience dêtre impudique, mais la caresse dAnna, qui pointait maintenant sa langue sur mon anus, me pétrifiait, trois doigts envahissant mon antre intime, me maintenant dans un état, où les picotements de plaisir, alliés à une douce chaleur, mamenèrent plusieurs fois à lorgasme.. Au bout dun moment, enfin, je mécroulais foudroyée sur ma serviette. Anna, vint alors sempaler sur Stéfan et ils entamèrent une longue baise, balisée donomatopées de plaisir qui nont sans doute pas échappé à nos voisins de plage. Revenue sur terre, je me demandais, comment ils allaient réagir. Ils étaient, tous deux tournées vers nous, dans la position de la petite cuillère, et les ondulations de leurs corps ne laissaient aucun doute sur leur activité, lhomme se cramponnant, par derrière aux seins opulents de sa partenaire. Quelques minute plus tard, Anna et Stéfan jouirent bruyamment, et se séparèrent. »
« Eh bien, il sen passe sur cette plage » lui dis-je. Elle avait saisi ma verge et la caressait déjà. Au lieu de répondre, elle se pencha sur moi et ses lèvres se refermèrent sur mon sexe, pour une démonstration, in situ, de lactivité pratiquée dans laprès-midi.
Jour 5
Le temps est couvert. Mes coups de soleil me faisant moins souffrir, je mets un pantalon de toile, un polo et des baskets sans lacets, pour aller faire une visite de Biarritz.
La journée est agréable. Nous découvrons le centre de Biarritz, lhotel du Palais, dernier vestige des palaces, construit par Napoléon pour Eugénie, Immense batisse en forme de E, donnant sur la mer. Il paraît que les vagues viennent jusquaux baies du restaurant pendant les marées déquinoxe. Nous faisons un tour à la plage des basques, rendez-vous incontournable des surfeurs, puis nous découvrons le rocher de la vierge, très fréquenté, et le vieux port de pécheurs. La coursive sous le palais est déserte quand nous lempruntons, mais nous ne tardons pas à comprendre pourquoi. Les vagues de la marée montante, viennent se briser sur les murs du passage, et nous sommes rapidement trempés. La robe de Sandra, est collée à son corps, dessinant ses seins qui pointent sous leffet de leau froide. Dès que nous trouvons un endroit plus sec, je me rapproche delle et lui caresse les seins. Jai oté mon polo, et elle pose ses mains sur mon torse.
« Tu vas attr un rhume, avec ces vêtements mouillés » lui dis-je
Sans attendre de réponse je défais, un à un les boutons de sa robe, qui finit par souvrir complètement sur sa peau bronzée. Elle frissonne et se serre contre moi, alors que je la frictionne vigoureusement, puis de plus en plus langoureusement. Je prends ses seins dans ma bouche, en tête les bouts dressés, les réchauffe en les léchant. Elle ronronne comme une chatte sous mes mains . Jen profite pour la défaire de sa culotte de dentelle noire détrempée, et masse ses fesses, qui finissent par sécarter, laissant mes doigts atteindre son calice, et sa vulve humide, mais chaude, cette fois. Sandra se dégage de sa robe, quelle étale , à plat sur des rochers secs, pour la faire sécher. Elle est nue à lexception de ses nus-pieds à talons hauts, et je me dis que nimporte qui pourrait nous surprendre, mais heureusement la marée dissuade les promeneurs. Tandis quelle arrange le tissu sur la roche, je viens me coller à son cul somptueux, et elle pousse un léger cri, au contact de mon pantalon, humide et froid.. Elle passe les mains dans son dos, et vient tirer mon pantalon vers le bas, dégageant ma queue déjà bandée. Elle sen saisit et la branle un peu avant de la diriger vers sa grotte intime. Mon gland, au contact de ses chairs douces et chaudes, palpite et dun coup de rein, je menfonce en elle jusquà la garde. Par contraste avec la température extérieure, jai limpression que son conduit est brûlant. Je la saisis par les seins et balance mes reins darrière en avant, au rythme de ses hanches, mon pubis venant rapidement taper régulièrement sur ses fesses rebondies. Petit à petit, nous faisons abstraction de lenvironnement pour nous concentrer sur notre plaisir. Le côté impromptu et le danger dêtre surpris, exacerbent nos sens. Sandra, se tord sous mes mains, se donnant sans retenue , exprimant son plaisir par des gémissements, et des ahannements sans retenue. Sandra pousse son postérieur en arrière, et je la prends par ses hanches pleines pour mieux la pénétrer. Le tempo de notre baise sauvage saccélère et elle vient empoigner mes couilles, entre ses jambes, en hurlant son orgasme, au moment où le mien se déclenche. Nous restons ensuite, soudés lun à lautre de longs moments, avant de nous séparer dans un éclat de rire.
« Javais envie, mais quand même ! on est des bêtes. » reconnaît Sandra.
« Si un passant était arrivé, il aurait cru que jétais un client avec une pute »
« Mufle ! « rétorque telle
Elle enfile sa robe qui a, à peine séché, et la reboutonne, pendant que je me refroque. Nos vêtements sont humides et froids. Nous nous dépêchons de rejoindre notre voiture. Nous y trouvons, un imperméable court appartenant à Sandra, et pour moi, un tee-shirt, pas très propre, mais sec. Pendant que je passe le t-shirt, Sandra se glisse dans limperméable et fait tomber sa robe, avant de refermer la ceinture du vêtement de pluie, sans avoir remis sa culotte qui rejoint la robe dans le coffre. Le ciel sest finalement dégagé, et je conduis notre voiture à lextrémité nord de Biarritz, tout près du Phare, qui est entouré de jardins, avec vue sur la ville et sa plage. Lendroit est désert en cette fin daprès midi et nous nous promenons dans les allées, jusquà une avancée en demi-cercle, ou un banc fait face au paysage. Nous nous y arrêtons, et je passe mes mains sur les cuisses de Sandra, écartant les pans du court manteau, pour remonter le long de ses cuisses halées.Elle méchappe et se lève, pour aller sadosser à la balustrade, dos à la falaise, et, après avoir vérifié quil ny a personne dans les parages, elle détache la ceinture de limper, qui souvre sur son corps nu.
Puis elle sapproche doucement de moi. Quand elle est face à moi, debout, les jambes écartées au dessus des miennes, je nai quà me pencher pour embrasser sa vulve, et lécher dune langue insidieuse son clitoris. Elle se cambre et projette son bassin vers lavant. Je colle mon visage contre sa chatte, et enfonce deux doigts dans sa cavité, qui les accueille aisément. Pour me laisser un accès plus libre, elle replie sa jambe, posant son pied sur le banc, ouvrant son intimité déjà lubrifiée, et plaque ma tête sur son ventre, refermant limper au dessus. Je lèche et explore son intimité de ma langue inquisitrice, tout en introduisant un doigt dans son anus, qui après une résistance peu convaincante, labsorbe dun coup. Je la prépare pendant quelques minutes, puis, je lattire vers moi, et la fait descendre sur ma queue que je viens de sortir de mon pantalon. Elle sy empale avec un soupir de bonheur, et entame un mouvement dascenseur sur ma bite, ses seins tressautant sous mes yeux. Après un instant, elle se relève
« Quelquun pourrait venir » dit elle en resserrant la ceinture de limper. Elle me tourne alors le dos, et se penche en avant , moffrant une vue extra sur sa fente et son cul. Elle se rassied sur mon sexe, nos ébats masqués par le vêtement, mais nos mouvements ne pouvant laisser aucun doute sur notre activité. Je la tiens aux hanches et la fais rebondir sur mes cuisses, dans le vacarme des vagues qui sécrasent inlassablement sur le sable, au bas de la falaise. Je la sens mouillée et ouverte. Tandis quelle monte et descend vivement, jempoigne ses seins par léchancrure de limper, et fais rouler ses tétons sous mes doigts, en massant ses globes durcis par le désir. Je sens bientôt monter en moi un flux torride qui se fraie un chemin et irradie mon chibre. Je me retiens au maximum, retardant lexplosion finale, alors que Sandra se déchaine au dessus de moi, sappuyant sur mes genoux, pour se donner plus délan. Je soulève larrière de son imper, et enfonce un doigt dans son petit trou, lui imprimant le même tempo que notre baise sauvage. Elle halète de plus en plus et je laccompagne de mes efforts jusquà ce quelle éclate dans un râle retentissant. Son plaisir pris, elle mexpulse et me branle vigoureusement , mencourageant de la voix quand je lâche plusieurs jets qui vont séparpiller sur la pelouse environnante. Après quoi elle me prend dans sa bouche en une douce fellation, pendant que mon sexe débande peu à peu.
« Jaime bien le tourisme avec toi. »dit elle espiègle en réintégrant la voiture. « Javais peur que les coups de soleil naient entamé ta vigueur. »
« Et tu es rassurée ? »
« Presque. Il reste encore à voir si tu tiendras la distance. Cest que depuis quelques jours, je fais ceinture. Jai donc besoin dun rattrapage. »
« Dis plutôt que tes intermèdes suédois tont excitée ! »
« Je te le concède, mais, je me suis réservée pour toi. »
« Nempêche que le blond Suédois te conviendrait bien. »
« Je reconnais quil a une queue tentante, et de plus, ils ont tous les deux flashé sur nous parce quon leur raconte depuis lenfance que les français sont des amoureux terribles. »
« Pas question dêtre au dessous de notre réputation. »
« Tu ne parles pas sérieusement ? » sétonne telle
« Après tout, tu as commencé à flirter avec eux, et même un peu plus. Comme tu las dit, je tai encouragée à lâcher prise et à profiter des bons moments que la vie nous offre. Peut-être est-ce le bon moment pour ce genre dexpérience. »
« Je ne pourrais pas coucher avec quelquun dautre que toi. »
« Oui, mais si je suis là ? »
« tu veux dire, une partouze ? »
« Pas ment, mais si je regarde, et que rien nest caché ? »
« Tu supporterais de me voir avec un autre homme ? » demande Sandra
« Je ne sais pas, Je pense que si tout le monde est daccord, ce serait possible. Et puis, si on aime pas, on arrête. De toute façon on est en vacances. On ne les reverra sans doute jamais. »
« Je tavoue que jai encore des freins. Cest vrai que sur le moment, jai tendance à laisser faire. Au fond, je dois avoir une nature jouisseuse. Mais après, jai des remords. Je me dis que jai laissé les choses aller trop loin ; que jaurais dû dire stop. Pourtant quand on me caresse, je suis de nouveau prête à accepter. »
« Tu veux connaître tes limites ? »
« Jaimerais savoir si jen ai. »
Nous partons diner dans un petit restaurant sur le port. Le serveur, intrigué par le refus de Sandra de quitter son manteau, se rend compte rapidement quelle est très légèrement vétue, et jette de fréquents coups dil dans son décolleté, et sur ses cuisses largement découvertes, le vêtement sétant écarté quand elle sest assise. Je demande à Sandra de louvrir un peu plus, mais elle refuse avec un sourire. Elle na pas de tendances exhib, même si elle accepte de se dévoiler, en comité restreint, et surtout avec moi. Sur le chemin du retour à notre camping, à ma demande, elle enlève son imper, et apparaît nue dans la lueur des phares quon croise. Je conduis dune main, lautre batifolant sur son corps. Heureusement, le trajet est court. A peine stationnés, elle sextrait du véhicule et sengouffre dans la tente.
JOUR 6
Encore une belle journée qui sannonce. Les coups de soleil ne me font plus souffrir, et ma peau commence à peler. Le café est prêt et jattaque mon petit déjeuner quand Sandra arrive avec notre linge de la veille quelle et allée laver. Elle est vétue dune mini robe à bretelles, et quand elle lève les bras pour étendre les vêtements, japerçois ses fesses rebondies sous la robe qui remonte, ce qui me fait penser à Anna la suédoise qui , dans la même situation mavait dévoilé son anatomie. Après le petit déjeuner, je prends un bon livre, et bouquine, à lombre, pendant que Sandra, bronze intégralement nue , à labri des regards , dans lespace devant notre tente.
En fin de matinée, elle attache un mini slip de bain, autour de ses hanches, et nous nous restaurons, de melon et dun très bon jambon de bayonne. Après quoi, elle prépare son sac pour partir à la plage. Jai décidé de ne pas prendre le risque de nouvelles brûlures, et je vais donc rester au camp. Je lui dis que je passerais peut-être à la crique, en fin daprès-midi, quand le soleil est plus doux.
Sandra :
En début daprès-midi, je rejoins nos nouveaux amis, et nous partons pour la crique. Je me suis enroulée dans un paréo coloré, et un peu transparent, mais, jai mon maillot de bain au dessous. Anna est en maillot jaune, de type tanga, avec un caraco assorti, très court, et Stefan, juste avec son bermuda. Nous arrivons sur le sable de lanse naturelle, où le couple aperçu, le premier jour, est déjà installé. Le gars très mat de peau et assez musclé est vétu dun maillot de bain noir, et sa plantureuse compagne, dun string rouge. Nous nous installons à lautre extrémité de la bande de sable. Nous étalons nos draps de bain et Stéfan se place entre Anna et moi. Il est encore tôt et le soleil est haut. Nous allons nous jeter à leau, moins agitée que les autres jours, et nageons un moment. En remontant, Anna, comme à son habitude, se défait de son slip et sétend nue au soleil. Pour ma part, je garde ma culotte. Nous ne sommes pas seuls et dautres baigneurs peuvent arriver. Je me tartine dhuile solaire, et Anna en fait autant, puis elle enduit le corps de Stefan. Elle sattarde à lintérieur des cuisses et le bermuda de Stefan se distend peu à peu. Il coupe court, et me propose de me passer de la crème sur le dos. Je minstalle à plat-ventre, et savoure le passage de ses mains adoucies par longuent sur mes épaules, mon dos, jusquau bord du cordon de mon maillot, quil tire un peu vers le bas. Puis il passe à mes jambes, en commençant par mes pieds, mes mollets, larrière de mes genoux, mes cuisses, en remontant latéralement sur mes hanches. Je sens une douce chaleur envahir mon ventre quand il glisse sa main entre mes cuisses, pour y appliquer lhuile protectrice, et je ne peux mempêcher décarter un peu mes jambes, lui laissant laccès libre, ses doigts effleurant mon sexe à travers le maillot. Je tourne la tête vers lautre boût de la plage et découvre un spectacle dun érotisme torride. La femme brune est allongée entre les jambes de son gars et presse ses seins autour de son sexe, leur imprimant un mouvement coulissant, le gland apparaissant et disparaissant entre les mammelles au larges aréoles, tandis quil lui pince les tétons du bout des doigts. Malgré la distance, on entend le râle de plaisir du beau brun.
Elle relache la pression sur sa poitrine et le prend en bouche pour le sucer. Pendant ce temps Stéfan a passé ses mains sous mon maillot et masse mes fesses. Emoustillée par le spectacle, je laisse faire quand il tire les ficelles de chaque côté et détache mon slip. Ses mains le repoussent et dégagent ma lune, alors que la brune engloutit son homme en gorge profonde. Les doigts sinsinuent dans mon sillon et viennent attr mon clito, en écartant mes lèvres intimes. Là bas, la brune pompe la queue de son mec, une main entre ses cuisses. Je crois défaillir quand un doigt me pénètre enfin. Je ne peux détacher mes yeux de ce couple, dont je partage, à distance, les pulsions. Quand la brune remonte contre son parteanire, écarte son string et fait pénétrer sa verge en elle, je ne peux mempècher de gémir en poussant mon cul vers la main qui me fouille. Le couple en face, se démène avec des gémissements qui couvrent le bruit du ressac. Je sens que je ruisselle de plaisir. Une main virile passe sous moi, et me relève sur mes genoux, le cul en lair. Linstant daprès, je sens la queue de Stéfan qui sintroduit en moi. Je ne devrais pas, mais cest trop bon, alors je le laisse membrocher. Je suis tellement lubrifiée quil vient très vite taper au fond de mon vagin. Le couple, sous mes yeux se désunit, et la femme faisant demi tour, vient sempaler sur le mandrin de son homme, toujours allongé. Elle est face à nous, et a, bien sur remarqué que nous lobservions. Elle monte et descend sur cette verge, le visage déformé par le plaisir, tandis que je me fais défoncer par Stéfan, qui me pistonne de plus en plus fort, son bassin venant claquer contre mes fesses. Un doigt vient titiller mon clitoris, et jexplose dans un cri. A lautre bout de la plage, un peu plus haut, la femme brune pousse des cris stridents en prenant son pied, puis elle se retourne et reprend le membre entre ses seins, juste avant quil nenvoie plusieurs giclées sur sa poitrine et son visage. Stéfan sest retiré et éjacule dans la bouche dAnna, qui recueille sa liqueur, et lavale, tout en lui massant les bourses.. Débarrassés de toute tension sexuelle, tout le monde se rallonge à sa place. Le couple, à lautre extrémité est parti se baigner. Je rattache mon slip de maillot et me dirige vers leau, également, rattrapée par Anna. Leau est toujours très fraiche et nous chahutons un peu pour nous réchauffer. Peu à peu, nos jeux se font plus tendres et Anna se rapprochant de moi, de leau jusquà la taille, menlace, et membrasse à pleine bouche. Sa langue agile senroule autour de la mienne. Je nai pas de tendances lesbiennes dhabitude, mais là, je moffre à ses caresses sans arrière pensée. Mes mains courent sur ses fesses (elle na pas remis son maillot), et je lattire à moi. Je glisse mes doigts dans son sillon ; elle suçote mes tétons ; mes doigts, entre ses fesses, jen arrête un sur son anus ; elle mordille mes bouts de seins ; je tourne autour de son anneau plissé, et jappuie ; elle met sa main sur ma chatte, au travers du tissu ; son anus se détend et mon doigt est comme absorbé ; elle écarte mon maillot et me plante un doigt dans la chatte ; je ressors de son cul, et vais insérer deux doigts dans sa vulve moite que je branle doucement. Elle ne met pas longtemps à jouir, et séloigne dans une gerbe deau. Nous retournons à nos serviettes mais Stefan nest plus seul. Le couple qui nous a gratifié de ses ébats, est à côté de lui. Enfin, la femme, qui a remis son string rouge. De près elle est assez bien foutue, dans le genre latino. Elle est plus grande quil ny paraît. Ses formes pulpeuses la font paraître plus petite mais elle fait dans les 1,70m environ. Son visage régulier très mat, et ses yeux noirs, sont contrebalancés par son sourire éclatant de dents blanches et régulières. Sa poitrine fait, au moins un bonnet D ou E (je fais un C) mais elle ne tombe pas. Ses cuisses sont pleines et fortes, et son fessier semble de marbre, rond et dur, sous un dos très cambré. Anna sallonge à mes côté car la brunette occupe son drap de plage. Elle sest agenouillée, et nous sourit, en tripotant le sexe de Stefan machinalement, comme un objet. Je feins de les ignorer et je mallonge à plat ventre, la tête tournée à lopposé. A lopposé, justement, le brun a remis son maillot noir, et appuyé sur un coude, observe sa compagne. Jentends des bruits à côté de moi, et je sens Anna qui se lève. Je tourne la tête, pour voir quelle a rejoint la brunette qui astique le mandrin de Stéfan. Elle se glisse entre eux et vient têter les seins magnifiques dont les pointes, sous la succion deviennent dures et surtout énormes. Le compagnon de la jeune femme les rejoint et caresse Anna, qui se retrouve avec deux doigts dans sa chatte et un pouce dans son cul. Elle se laisse doigter en gémissant. Pendant ce temps la brunette enjambe Stefan et saccroupit pour venir sempaler progressivement sur sa queue. Elle imprime le rythme en pliant et dépliant ses genoux, le sexe de Stefan senfonçant en elle à chaque mouvement avant de ressortir, presque entièrement de son sexe béant. Elle bascule vers larrière, et vient sallonger sur Stefan, son dos frottant sur le torse masculin. Anna qui a joui très vite prodigue des soins buccaux au partenaire de la brunette, qui a bientôt une érection resplendissante. Malgré moi, je ne peux quitter des yeux ce morceau, aussi long que celui de Stefan, mais bien plus gros, qui étire les lèvres dAnna, et quelle ne peut engloutir quà moitié. Il se dégage de sa bouche et vient se positionner entre les jambes de Stefan, qui interromp son mouvement. Tenant son chibre, il le guide vers la chatte de sa femme, déjà occupée par Stefan. Elle comprend la maneuvre et écarte encore plus les jambes, laidant de sa main à investir sa cavité. Devant mes yeux ébahis, je vois son sexe, coulisser le long de celui du Suédois, et entrer petit à petit, jusquà ce quil vienne buter contre le pubis imberbe. Il commence alors un lent mouvement de balancier, suivi par Stefan, et le sexe distendu de la brunette est ramoné par deux queues de bonne taille. Elle les encourage de la voix et clame son bonheur. Anna a passé sa main entre leurs cuisses et caresse les testicules des deux hommes. Stefan se cramponne aux énormes seins de la dame, tandis que son copain, la tient aux hanches. Difficile de rester à lunisson et le sexe de Stefan sort de la cavité. Le brun, se relève et entraine la brunette suspendue à son cou. Profitant de la position, Anna att la queue de Stefan et vient la pointer sur la rondelle de la brunette. Elle appuie un peu sur les épaules pour aider. La brunette géint un peu, mais le gland passe rapidement la barrière intime et la queue entière disparaît dans le cul de la brune.Le deux hommes se synchronisent et la brunette crie bientôt son bonheur à tue-tête, à chaque assaut. Elle crie sans interruption sous les coups de boutoir des hommes, jusquà ce quelle seffondre comme une poupée de chiffon, vaincue par la jouissance. Stefan la suit de peu, envoyant toute sa semence dans le fondement de la brune. Son partenaire, sort, toujours aussi raide, et Anna le prend dans sa bouche pour un pompage rapide qui vient rapidement à bout de sa résistance. Elle se retire alors quil jouit sur son ventre et ses seins.. Cachée derrière mes verre solaires, je nai pas bougé, simulant le sommeil alors que je bous intérieurement, et que je serais prête à me joindre à ces joutes érotiques. Que marrive til ? Quest devenue mon éducation stricte, et cette réserve qui me caractérisait. Fabien a beau me dire quil faut profiter de la vie, jéprouve à le faire, un sentiment de honte, mais malheureusement, le diable a dû prendre possession de mon corps. Moi qui hésitait à bronzer seins nus, je ne me reconnais plus. Je viens de me faire déglinguer, nue sur une plage, le cul en lair devant tout le monde, sans avoir même fait mine de résister, dautant que nous avions des spectateurs, et que cest même ce qui ma excitée. Heureusement, le couple latino, prend rapidement congé et quitte la plage. Je ne les ai même pas salués, occupée que jétais à faire semblant de dormir.
Une heure plus tard, Fabien nous rejoint. Il pose son drap de bain à côté dAnna qui a remis une culotte,, à lopposé de moi. Je ne serais pas surprise quil tente quelque chose avec elle. Pour linstant il sest étendu, gardant son t shirt et son bermuda. Anna propose daller dans leau. Elle invite Fabien à se joindre à nous. Nous courons tous les quatre nous jeter dans locéan. Fabien a abandonné son t-shirt. Il a encore les épaules rouges, et il pèle par endroits. Nous jouons tous les quatre dans leau, nous bousculant, nous frôlant et nous frottant les uns aux autres. Alors que je lui tourne le dos, Fabien me saisit pour me couler, en attrapant mes seins, quil malaxe sans pudeur. Je sens dans mon dos son sexe érigé au travers du bermuda, et je le flatte au passage, avant de sombrer. Quand je refais surface, je me trouve en face de Stefan, qui me soulève, en mettent sa main sur ma chatte, et me propulse dans leau. Anna est arrivée par derrière et tire son bermuda vers le bas. Il essaie de la rejoindre mais se prend les pieds dans le vêtement, quil enlève prestement. Ne voulant pas être en reste, je mapproche dAnna et tire son slip de bain . Fabien sest rapproché et défait les cordons de mon maillot, qui par à la dérive. Nous sommes maintenant nus dans leau, et après avoir jouté quelques minute, nous récupérons nos maillots pour remonter nous sécher., en riant.
Sur les draps de bains, après quelques minutes de séchage, cest lheure de la crème solaire. Anna soccupe de Fabien, et ses mains tartinent son corps, sans oublier le moindre recoin. Quand il se met sur le dos, son mât est bien dressé. En continuant de loindre dune main, Anna protège son membre du soleil en le mettant à lombre, dans sa bouche, qui pompe la queue, lenfonçant jusquà buter contre son pubis avec son nez. Stefan, qui lui, ne met pas de crème, se coule contre moi, et masse mes lèvres intimes, en me pénétrant de ses doigts. Il embrasse mes seins et les aspire entre ses lèvres. Mes tétons durcissent sous la caresse, et je sens mon sexe shumidifier. Jécarte impudiquement les cuisses en observant le sexe de mon ami qui baise la bouche de cette étrangère, Elle lui suce les testicules, et il écarte les jambes, laissant le passage à une main aux longs doigt, qui chatouille son périnée de ses ongles manucurés,. Elle humecte son majeur avec sa bouche et vient lenfoncer dans lanus de Fabien. Stefan, ma empoignée par la taille et mamène au dessus de lui, en 69. Je sens sa langue fouiller mes chairs les plus intimes, déclenchant une montée de chaleur dans mon bas-ventre. Je prends entre mes lèvre son sceptre long et courbé, que jaspire entre mes joues, ma langue dansant la sarabande sur son frein. A mon tour, je passe une main entre ses cuisses et vient lenculer dun doigt autoritaire. Il ne recule pas devant mon audace, et je me mets à agiter mon doigt, avant den ajouter un autre, quand il aspire mon clito entre ses lèvres. Il force ma bouche avec son vit, et jai plusieurs fois de hauts le cur quand son mandrin vient se bloquer au fond de ma gorge., Je continue, malgré cela car je ne veux pas quil arrête ce quil me fait. Ses doigts sont venus rejoindre sa langue, et il me fiste la chatte et le cul alternativement. Mon sexe est en ébullition, et jessaie de mouvrir encore plus pour accueillir ses caresses dans mes orifices en feu. La bouche pleine, je ne peux que gémir mon plaisir quand lorgasme memporte. Je sens son organe gonfler dun coup et il minonde le palais et la gorge de son sperme épais, metouffant presque. Je lexpulse et il continue denvoyer des giclées sur mon visage. Je tourne la tête pour voir Fabien qui me dévisage, debout tenant entre ses mains la tête d Anna, quil fait coulisser comme un fou sur sa bite, et dans un râle, envoie tout e sa semence dans sa bouche, son visage et ses seins. Bonne fille Anna, le reprend en bouche pour une toilette sommaire, et avale tout son sperme. Nous allons nous rincer, et au retour, Fabien a la tête entre les jambes dAnna. Il lui broute la chatte avec enthousiasme, et elle chante son plaisir en une plainte aigue et continue. Soccupant, tour à tour de son sexe et de son cul, il la fait jouir à grands cris, à plusieurs reprises, avant de la laisser pantelante, les jambes écartée sur son sexe et son cul ouverts, magnifiquement impudique.
FABIEN/
Je nimaginais pas ce qui sest passé dans cette crique. Quand jy suis arrivé, Sandra et les Suédois étaient sagement allongés sur leurs drap de bain, en train de bronzer. Les deux filles étaient topless, mais je sentais que lambiance avait été moins calme, un peu plus tôt.
Elle na dailleurs pas tardé à se réchauffer. Le bain ma donné une idée de la complicité entre ces trois là. Sandra a participé sans hésiter à des jeux aquatiques, qui ont vite dérapé sur quelque chose de plus sexuel, avec des attouchements qui ne devaient rien au hasard. Ces jeux se sont prolongés sur la plage où, heureusement nous étions seuls, et jai vu Sandra, Ma Sandra, sucer allègrement le Suédois, et lavaler, alors quelle a horreur de ça dhabitude. Il faut dire quAnna a dû la former un peu car cest une sacrée suceuse. Quand nous avons décidé de remonter au camp, Sandra a remis son paréo, sous lequel on voyait bien quelle ne portait rien, tout comme Anna et plusieurs campeurs se sont dévissées la tête au passage de ces deux femelles. Lambiance étant maintenant détendue, nous invitons nos voisins à partager notre repas, puisque, demain, nous reprenons la route vers le travail.
Je prends la voiture et vais vite acheter de quoi faire un bon plat de spaghettis carbonara. Pour le dessert quelques fruits suffiront, et je prends trois bouteilles de rosé, me souvenant que les allemands ont une bonne descente.
Sandra, ma raconté, pendant que je cuisinais, ce qui sest passé à la plage, avant que jarrive. Si je regrette de navoir pas été là, je suis surtout épaté par le changement qui se produit chez elle. Ma petite femme, un peu timide se révèle, en une salope prête à se faire baiser par nimporte qui, même si elle me dit quelle a évité de participer aux ébats avec un autre couple, parti avant que jarrive.
Nos invités arrivent, alors que le soleil se couche. Pour la circonstance, Stéphan a revétu un pantalon de toile écrue, et un débardeur de la même couleur, qui tranche avec sa peau bronzée. Anna est vétue dun short en Jean qui dévoile une bonne partie de ses fesses, et dun top en maille large, au travers duquel ses tétons dépassent. Sandra a revétu une robe droite, très courte, boutonnée devant, et un tanga blanc, qui apparaît dès quelle sassoit. Pour ma part, je suis en short, beige et chemisette noire. Nous attaquons par un melon au muscat de rivesaltes, apporté par Stéfan. Le melon est sucré à souhait et la bouteille de rivesaltes est vite vide. Le rosé frais vient ensuite, et les verres senchainent.
« Merci de cette invitation , Nous sommes heureux, Anna et moi davoir partagé cette semaine avec vous. » déclare Stéfan (en anglais)
«Nous sommes fans de la France, et des français qui sont à la hauteur de leur réputation, en matière de sexe. » complète Anna
« Cest assez drôle, car, chez nous, on fantasme sur les Suédoises et les Suédois, sans doute parce que vous avez la réputation dun peuple assez libéré, et aussi parce quen tant que latins, les grands blonds aux yeux bleus ont un côté exotique. » dis-je en réponse
« Cest vrai que la nudité est quasi naturelle pour nous. Dit Anna. Nous avons si peu de soleil dans lannée, que nous profitons de chaque occasion pour nous exposer à ses rayons. Bien sur, quand ils ne sont pas dangereux pour notre peau.Nombreux sont ceux qui ont le même problème que toi Fabien. Ils sexposent moins , voilà tout. »
« Les mentalités ne sont pas si différentes chez nous, et il ne faut pas prendre notre façon dagir comme une généralité. La plupart des Suédois sont assez réservés, surtout dans les générations précédentes. En Suède, par exemple, ce qui sest passé quand le couple, qui avait une trentaine dannée, est venu me proposer de faire lamour, est quasiment impossible. » précise Stéfan.
Sandra prend alors la parole :
« Je découvre bien des choses avec Fabien, car avant de le rencontrer, jétais une fille un peu coincée, et même découvrir mes seins sur la plage, me semblait dune audace et dune perversion inouie.Cette semaine passée auprès de vous a été un révélateur pour moi. A votre contact, jai appris que les jeux de lamour et le plaisir ne sont pas pervers. Vous avez eu une façon tellement naturelle de vous comporter que bien des barrières sont tombées, et faire des choses dont jaurais eu honte auparavant, est devenu une quète du plaisir sans arrière pensée. Même si, je lavoue, jai encore quelques tabous, comme mexhiber en public. »
« Cest parce que dans notre esprit, comme dans le tien, sexhiber nest pas naturel. Dans dautres situations, cacher son corps nest pas plus naturel. Il faut que cela ne soit, ni une contrainte, ni une provocation. » explique Stéfan.
La conversation roule sur plusieurs sujets. Les yeux sont rendus brillants par lalcool. Pour le dessert, les abricots bien juteux sont loccasion de jeux. Après avoir partagé un fruit avec Stéfan qui est venu le croquer entre ses lèvres, Anna tente la même chose avec Sandra . Leurs lèvres se touchent quand Sandra mord dans le fruit. Le jus séchappe, et elle ouvre la bouche pour le capter, recevant à la fois la moitié de labricot, et la langue dAnna, en un long baiser. Malgré tout, le jus a coulé sur la robe de Sandra, qui la rince à leau minérale. Je lui fais remarquer que ça ne va pas sécher, alors, elle déboutonne posément la robe et en écarte les pans, quelle secoue, nous dévoilant sa peau brunie, qui tranche sur le tanga blanc. Je mets une musique douce sur notre poste, et Sandra commence à onduler devant nous. Se prenant au jeu, elle écarte, puis rabat les pans de sa robe, les contourne avec ses mains pour venir caresser ses seins, au rythme de la musique. Je commence à être à létroit dans mon short. Un coup dil me confirme que Stefan, est dans le même état.
« Ah, les françaises
» soupire til
Anna a passé une jambe sur laccoudoir de son fauteuil et ouvert son short en Jean. Sa main disparaît à lintérieur en une occupation quil nest pas difficile de deviner. Sandra, continue de danser, en nous observant, dun air langoureux. Je passe machinalement ma main sur mon sexe par dessus le short, maintenant déformé. Sandra, sapproche de moi et caresse la bosse de mon short en passant, puis elle sapproche de Stéfan, et vient détacher sa ceinture, avant décarter les pans de son pantalon, faisant jaillir à lair libre son long sexe bandé. Comme moi, il na pas mis de slip. Elle se dirige enfin vers Anna, et se penche pour lembrasser. Puis elle tournoie au milieu de nous avant de simmobiliser, et de faire descendre son tanga, qui finit par terre et quelle mexpédie du pied.
Anna sest levé et danse maintenant face à Sandra. Elle se penche en avant, dos à nous, et sans plier les genoux, accompagne son mini short, lentement, nous offrant une vue imprenable sur son sexe épilé. Elle écarte les jambes et je peux voir deux doigts fin, qui viennent écarter lentrée de sa chatte, avant quelle se relève dun coup, et enlace Sandra.
Ses mains font glisser les bretelles qui retiennent la robe. Celle-ci glisse le long des bras de Sandra pour tomber à terre. Stéfan a empoigné son membre quil secoue énergiquement. Je me lève et me dirige vers les deux femmes, qui dansent ensemble. Jenlève mon short et viens me coller derrière Anna, qui doit bien sentir ma queue contre ses fesses. Elle sen empare, et la masturbe un peu avant de se diriger vers Stéfan. Je me colle au dos de ma compagne, et empaume ses deux seins, ondulant avec elle au rythme de la musique. Par dessus son épaule, je vois Anna qui vient chevaucher Stéfan et sempale sur son manche. Son haut en maille façon filet, fait curieusement trop habillé. Jentraine ma compagne sur les matelas que nous avons sorti de la tente pour loccasion. Elle se couche sur le dos, et maccueille en missionnaire. Je la besogne un peu, mais elle a vite besoin de me sentir mieux. Elle passe ses jambes par dessus mes épaules, dégageant laccès au maximum. Mon torse en appui sur ses jambes, je balance nerveusement mon bassin, lembrochant jusquà la garde, ahanant sur elle, qui geint sous mes coups de boutoir. Anna en appui sur la table, reçoit en levrette Stefan le pantalon sur les chevilles. Les trois lampes de camping projettent en ombre chinoise, nos ébats sur la ramure proche, et je me dis que tout le monde dans le camping, doit profiter du spectacle. Sandra atteint un premier orgasme, mais je ny suis pas encore. Jai déjà déchargé dans laprès-midi, et je sais quil me faudra maintenant un bon moment pour recommencer. Cest autant pour lendurance. Je mextrait de sa chatte et, sans changer de position, pointe mon gland sur son petit trou, déjà ouvert par la position. Elle me dit non, mais je suis déjà en train de menfouir dans son fondement, et son refus se perd dans un cri quand je la pénètre. Je reprends aussitôt mon rythme et la défonce allègrement. Anna et Stéfan, viennent à nos côtés sur les matelas, et, après sêtre débarrassés de leurs derniers vêtements, Stefan fait mettre Anna à quatre pattes pour lenculer. Les deux jeunes femmes gémissent et parviennent à jouir encore une fois. Stefan se dégage dAnna, mais je ne lui laisse pas de répit et je viens me positionner derrière elle, alors quil veint lui présenter sa queue quelle embouche aussitôt. Anna est surprise par ma queue, plus grosse que celle de Stéfan, et pousse quelques cris quand je menfonce en elle. Sandra, revient vers nous après avoir éteint deux des trois lampes, nous laissant une clarté faible mais moins voyante pour les yeux extérieurs. Elle passe derrière moi et me masse les couilles, en menfonçant un doigt dans lanus, quelle ramone au même tempo que jimprime à Anna. Cette fois, je sens une montée brûlante dans ma tige et jexplose bientôt dans les boyaux dAnna. Qui a délaissé Stefan pour exprimer ce nouvel orgasme. Je mabats sur son dos et nous roulons sur le matelas, mais Stefan a trouvé une autre partenaire, en la personne de Sandra, qui vient au dessus de lui, allongé sur le dos, et sempale sur son mandrin jusquaux couilles. Elle replie ses jambes, et entreprend un mouvement dascenseur, sur toute la longueur de sa queue, de plus en plus vite ; le claquement de son pubis sur les burnes de Stefan couvre leurs gémissements. Il la tient aux hanches et la fait danser sur sa bite, en poussant des râles de plaisir, quelle double en prenant son pied encore une fois.
Nous restons de longs moments étendus sur les matelas, à révasser en nous caressant doucement, jusquà ce que la fraicheur de la nuit nous fasse frissonner. Nos amis se replient dans leur tente, et nous rentrons nos matelas, avant de sombrer dans les bras, de Morphée, cette fois.
JOUR 7
Nous avons eu du mal à nous lever, ce matin. Cest toujours plus difficile quand les vacances sachèvent. Après un petit déjeuner réparateur, nous sommes allés ensemble faire la vaisselle. Au retour, Sandra soccupe des valises tandis que je démonte notre camp, en mefforçant de tout ranger dans notre petite auto. Jachève de démonter les tentes, mais elle a déjà rempli la valise et le grand sac de sport. Elle na laissé dehors quun short et un débardeur propre pour moi, et une longue jupe évasée avec une brassière assortie pour elle. Elle prend une des deux serviettes de toilette et part se doucher. Le paréo est si léger que je vois clairement ses fesses au travers. Une demi-heure plus tard, jai enfin tout casé dans le coffre, au prix dune bonne suée. Je prends une serviette de toilette et me rend aux sanitaires. Sur le chemin, je suis rejoint par Anna, à peine vétue dun long t-shirt sans manche.
« Bonjour ! » dit elle en me claquant un baiser sur la bouche. « bien dormi ? »
« Bien, merci, en partie grace à toi. »
Nous entrons dans lespace sanitaire, désert à cette heure tardive. Anna suspend sa serviette à un crochet. Son débardeur qui remonte dévoile ses fesses que je ne peux mempêcher de caresser. Elle se retourne face à moi, et ma main vient se poser sur sa fente découverte, dans laquelle jintroduis un doigt. Elle soulève son vêtement et le fait passer par dessus sa tête, pour le suspendre également. Son long corps ondule contre le mien telle une liane. Elle entreprend de faire glisser mon short, et dégage mon sexe fièrement dressé pour lui faire honneur. Elle sappuie sur la paillase de faience et ouvre les jambes pour maccueillir dans son antre humide qui mavale sans difficulté. Je la besogne alors quelle se tient à mes épaules, les jambes nouées autour de ma taille. Dans lespace clos, des bruits de vaisselle résonnent. Nous ne sommes pas seuls. Il faut faire vite. Jaccélère le mouvement, et Anna écarte encore plus les jambes, en se penchant en arrière. Jai vue sur sa chatte distendue par ma queue qui la pistonne, et je tors les pointes de ses seins gonflés de désir comme deux grosses framboises. Elle souffle de plus en plus pour ne pas crier, et jouit dans un soupir. Dans le batiment dautres bruits de souffle mélés de gémissements nous parviennent.
« Stéfan ? » crie Anna
« Je suis dans la douche, au fond » répond il
Cest la cabine pour handicapés, bien plus large, et plus agréable que les autres. Anna me prend par la main et my entraine. La porte est juste poussée, et souvre devant elle. Stéfan, sous la douche est en train de besogner Sandra, qui, bien plus petite que lui est suspendue à son cou et calée contre le mur , les jambes entourant les reins de lhomme qui la supporte littéralement. Jentre derrière Anna et referme la porte à clé. Anna se rapproche du jet et laisse leau tiède couler sur sa peau dorée. Je me suis rapproché et fais couler du gel douche sur elle avant de la savonner. Mes mains savonneuses glissent sans effort sur ses courbes déliées, du cou aux épaules, des aisselles aux seins menus, du ventre plat aux hanches étroites, des fesses musclées aux cuisses fines, sans oublier de bien écarter ses fesses pour nettoer à fond sa chatte, et son trou qui souvre sous mes doigts. Stefan, qui besogne toujours Sandra, me fait signe. Je mapproche, et il fait demi-tour, sadossant au mur. Maintenant, Sandra est dos à moi. Le long sexe de Stefan coulissant dans sa cavité, ses jambes écartées ouvrant son anus . Je plie les jambes, et vines pointer mon gland sur le cul de ma chérie, dans lequel je mintroduis, lui arrachant quelques cris. Le gland passe le sphincter dun coup et je me relève, menfonçant de toute ma longueur dans les intestins de Sandra, qui la bouche grande ouverte, semble chercher de lair. Je me mets à la bourriner à grands coups de reins, au même tempo que Stefan dont je sens la queue qui sagite dans la matrice de Sandra, contre la mienne, separées seulement par une paroi de chair. Sandra, pleure sans discontinuer. Elle monte et descend sur nos queues, en brâmant son plaisir, jusquà ce que nous inondions son intérieur de notre lave incandescente.. Reposé à terre, elle embrasse le torse de Stéfan, et vient ensuite, membrasser .
« Cétait si bon de vous avoir tous les deux !Jai joui au moins quatre fois. » Attirant Anna à elle, elle lui roule une magnifique pelle.
« Noubliez pas Anna, qui nen attend pas moins de vous. »
Je regarde Stéfan dont la bite est redescendue, comme la mienne. Les deux filles ont compris. Sandra sagenouille devant Stefan et Anna devant moi. A coups de sucion, daspiration, de léchouilles, et de caresses de plus en plus osées, nous sommes remis en forme. Anna, plus grande que Sandra, vient face à Stéfan qui att une de ses jambes et la soulève, avant denfoncer son pieu dans la vulve ainsi ouverte. En appui sur un pied, lautre jambe enroulée autour de celle de son compagnon, Anna cambre les reins faisant saillir sa croupe musclée. Je me colle à son dos, et après quelques tatonnements, enfonce mon mandrin dans son petit trou. Les orifices dilatés par nos deux queues, elle gémit sous nos assauts. Sandra, est venue derrière moi, et me caresse les couilles, puis elle se met sur le côté, et pendant quAnna est baisée et enculée par nos soins, elle nous presse les testicules. Anna jouit plusieurs fois avant que nous ne lâchions nos semences en elle. Nos joute terminées, nous sortons lavés, et vidés de la cabine de douche. Anna et Sandra sortent juste pour se trouver, nez à nez avec un type dune cinquantaine dannée qui les regarde se vétir, une bosse déformant son bermuda. Les filles le frôlent pour sortir, et le type devient écarlate, alors quelles passent en lui souriant.
Un peu plus tard, Anna et Stéfan sont venus nous dire adieu. Nous nous embrassons tous, et je fais vite tourner le moteur, ne souhaitant pas trop faire durer les adieux. Dans le rétroviseur, je vois nos deux Suédois nous faire signe de la main. Comme un clin dil, le t-shirt dAnna est remonté par son geste, sa chatte semble nous saluer.
Une fois sur la route, Sandra incline son dossier.
« Quelles vacances ! ne puis-je mempêcher de dire »
« Merci mon amour, répond Sandra. Je nai jamais autant pris mon pied. »
Après un temps de réflexion, elle ajoute
« Mais jai drôlement mal au cul. »
« Ils vont nous manquer, nos Suédois »
« Ils me manquent déjà » me répond elle « mais on peut sarrêter en cours de route, pour appliquer ce quils mont appris. »
Un sourire espiègle au lèvres, elle fait remonter son ample jupe, dévoilant son minou, bien épilé.
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